38 - Samia Et Le Syndicat.
Mais je le veux, ce boulot ! Travailler juste le matin, ça me convient super bien. Sortir et aller dans des grands restaurants et des boîtes de nuit, aussi... Il y a un temps pour faire sa tête de cochon et un temps pour se déculotter. Et puis, son sexe a laissé un gros regret du côté de mes fesses. Alors, je lui dis :
Jaimerais beaucoup que vous me fassiez visiter latelier, Monsieur Max...
Il me regarde en souriant, sans répondre. Alors, jajoute :
Sil vous plaît.
Daccord, venez.
Putain, ma réputation ! Les ouvrières chuchotent entre elles. Quest-ce que jaurais dû faire ? Il bluffe peut-être... ou pas. Il marche rapidement en mexpliquant le fonctionnement des différentes machines, je ny comprends rien. Je retiens quau départ, il y a de la laine, du lin, du chanvre (des vêtements pour planer ?) et à larrivée, il y a des grosses bobines de fil et des tissus. Si on était il y a quelques siècles, le rouet, je comprendrais... enfin, peut-être. Je finis par lui dire dune voix plus plaintive que je ne le voudrais :
Vous marchez trop vite, Monsieur Max, et puis je ne comprends rien.
Il sarrête et me regarde dans les yeux. Moi, je les baisse aussitôt. Oui, cest con, mais il a des yeux... inquisiteurs ! Il me dit :
Un problème de concentration, Madame de Préville ? Vous voulez quon passe à létape suivante ?
Cest celle où il me baise ? Bah, puisque ça doit quand même arriver... Je réponds :
Oui, je voudrais que nous ayons de bons rapports et que vous soyez plus compréhensif et plus gentil avec moi.
Il rigole, avant de me répondre :
Daccord, suivez-moi...
On prend encore plusieurs couloirs (cest un labyrinthe, cette usine !) et on arrive dans une petite pièce dans laquelle il y a deux banquettes de camion pour sasseoir, une longue table et huit chaises, un frigo et un lit. Il me dit :
Cest ici que les camarades et moi, on met au point des stratégies pour protéger les ouvriers de cette usine.
Il passe tout le temps du vouvoiement au tutoiement, cest assez déstabilisant. Je réponds :
Il est pas très glamour votre nid damour, Monsieur Max.
Pas assez bien pour une Comtesse ? Parce que cest ce que tu es, non ? Comment il baise, le fils du patron ? Il a la réputation davoir une pine descargot.
Je souris malgré moi. Jai envie de répondre "Cest pas gentil pour les escargots !" Max me dit :
Déshabille-toi.
Je me dis une fois de plus "Mais comment je peux me retrouver dans ce genre de situation aussi vite ?". J'enlève ma robe, puis je descends ma culotte.
Tant quà faire, autant lui donner du spectacle... Donc je me retourne et je me cambre. Je sais que je peux compter sur mes fesses pour me donner un coup de main avec les hommes. Jimagine mes fesses avec deux petites mains potelées. Bon quest-ce quil attend... je suis offerte, là. Mais lui me dit :
Donne-moi ta culotte.
Elle est sur mes chevilles, je lenlève pour lui donner. Il me laisse un bon moment comme ça, ma culotte en main, comme tout à lheure quand je lui tendais la main. Il finit par la prendre et la met dans la poche de poitrine de sa salopette, avec un bout qui dépasse. Il me dit :
Quand tu viendras me voir, je veux que tu naies pas de culotte, cest...
Je suggère :
Symbolique ?
Exactement ! Bravo, tu es peut-être moins conne que tu en as lair. Cest vrai que tu es Rom, pas le produit des industriels du Nord, qui pratique les mariages consanguins.
Mais quest-ce quil raconte ? Il ajoute :
Pourquoi symbolique ?
... Euh... parce que je représente le patronat qui se déculotte devant les syndicats.
Bravo, petite... Le symbole suivant, cest le patronat qui se fait enculer par les syndicats, non ?
Oui, Monsieur Max...
Alors grimpe sur cette banquette et présente-moi ton trou du cul.
Cest bien un syndicaliste : beaucoup de bla-bla avant quil ne se décide à passer à laction. Je me mets à genoux sur la vieille banquette, en écartant bien les cuisses... Alors ? Ça vient ? Je contracte mon anus comme si je lui faisais un clin dil... Il me dit :
Réflexion faite... je ne vais pas tenculer aujourdhui. Je ne le sens pas bien. Alors, tu vas te mettre à genoux et me sucer la bite.
Salaud ! Tout ça pour mhumilier... Oh ! Je sens quil va bien me faire chier le syndicaliste à deux balles ! Bon, je serre les fesses et me mets à genoux. Ma chatte, qui entretient des relations très étroites avec mon cul, est verte de rage. Jen peux rien, moi, hein ! À genoux, je prends le sexe de Max en main. Il a une belle taille, ce qui enrage encore plus ma chatte. Je tire sur la peau pour découvrir le gland qui est très mouillé, preuve quil prend déjà son pied... en jouant avec les miens. Je suce en pressant ses couilles dune main.
Il me pose sa main sur ma tête et me fait accélérer en disant :
Jai beaucoup de boulot et je ne peux pas perdre trop de temps à me faire sucer... alors prépare-toi à avaler mon sperme maintenant. Ensuite, tu feras la même chose avec mes revendications.
Il faut rire ? Non, cest con. Soit il jouit sur commande, soit cest un éjaculateur précoce, parce que quelques minutes plus tard, des saccades de spermes envahissent ma bouche. Javale comme une grande, son sperme et mon amertume. Il me dit :
Bien, ça na pas trop duré. Jattends des camarades, tu peux disposer.
Je lui dis :
Je reviendrai demain matin et...
Tu ne me trouveras pas ici. Dégage maintenant.
Daccord, à vendredi matin, Monsieur Max.
Cest ça... et natt pas froid... à la chatte.
Trop drôle ! Je repars dans les couloirs, nue sous ma jupe et bien frustrée. Je ne cherchais pas à me faire baiser, au départ, mais ma chatte y a cru et elle déteste les fausses promesses !
Est-ce que mon beau père savait que ça allait se passer comme ça ? Et puis cette histoire de préavis de grève, est-ce que cest vrai ? Jai limpression désagréable de me faire manipuler de tous les côtés.
Je retourne à mon bureau... mais pour y faire quoi ? Jai accompli mon travail du jour avec les syndicats : échanger ma culotte contre un préavis de grève. Bravo Samia, tu es une habile négociatrice ! Je nai encore rien à faire dans ce bureau. Je vais demander à mon beau père sil veut bien me laisser partir. Jattends un peu dans le bureau de sa secrétaire. Rapidement, il me fait entrer dans le sien. Il me dit :
Alors ?
Il est sympa, on a un peu discuté... Il ma montré le fonctionnement de...
Pas de grève en vue ? Pas de revendications ?
Non, non...
Très bien, tu peux rentrer chez toi. Ah, jaurai besoin de toi demain en fin d'après-midi pour rencontrer des industriels asiatiques. Tu parles anglais ?
Yes Sir.
OK. Tiens, avant de partir, donne-moi ton avis à ce sujet.
Il me montre un dossier qui est sur son bureau. Je mapproche et hop, sa main file sous ma jupe et se plaque sur mes fesses nues. Je pousse un cri de surprise ! Il me demande :
Où est ta culotte ?
Cest con, mais je rougis...
Tu as perdu ta langue en même temps que ton slip ?
Non... euh... je devais trop faire pipi, alors jai fait un peu dedans et je lai jetée.
Il rigole et enfonce deux doigts dans ma chatte, qui est en mode mousson. Il me dit :
Tu ne serais pas un peu excitée, toi ?
Oui, mais où ça va, ça ? On fait des tissus ou des films pornos dans cette usine ? Des films pornos, je crois, vu quil enfonce trois, puis quatre doigts dans ma chatte qui halète, la petite salope... Je mappuie contre son épaule, tandis quil me branle négligemment, en tournant comme sil mélangeait le lait dans son café. Gisèle, la secrétaire, entre juste à ce moment-là ! Elle dit :
Oh pardon Monsieur le Directeur.
Pas de problème Gisèle, je discute un peu avec la chatte de ma belle fille.
Monsieur Max vient de vous adresser un bref message.
Je vous écoute.
Oh putain et le pire, cest que je suis sur le point de... larguer les amarres. Gisèle lit :
Merci pour le petit cadeau.
Quel salaud ! Cest moi le cadeau ? Cest..... oh.... oui... je jouiiiiisss. Un spasme tord mon bas ventre et mon vagin se sert tellement, que jemprisonne la main de mon beau-père ! Ouch ! Cest fort... Il me faut quelques minutes avant de me détendre... Beau papa dit à Gisèle :
Passez-moi la boîte de Kleenex.
Il sessuie la main, tandis que je suis toujours appuyée contre son épaule. Il prend 2 ou 3 kleenex et me les colle contre la chatte en disant :
Je te mets ça, sinon tu vas laisser une traînée derrière toi comme un escargot.
Jai les jambes molles et je suis un peu déboussolée... Gisèle retourne dans son bureau, tandis quil mannonce :
Monsieur Desallié ne sera pas là demain, tu ne devras pas venir le matin... Mais le soir, tu devras toccuper de ces clients.
Je peux prendre Julien avec moi... pour conduire... et...
Si tu veux. Sois prête à 19 h demain soir. Habille-toi sexy mais classe. En partant, passe voir comment Julien se débrouille. Lisa comprend vite et tu devrais bien tentendre avec elle.
Daccord... au revoir "Monsieur".
Jirais bien faire une petite sieste, mais avant, je demande où se trouve Lisa "du nettoyage". On mindique lendroit. Cest une pièce encombrée de matériel divers : bosses, raclettes, seaux, produits de nettoyage, escabeaux... Lisa est une petite boulotte blonde et frisée. Elle ressemble à une petite brebis obèse. Je me présente :
Samia de Préville, épouse de Julien.
Elle me prend aussitôt dans ses bras et membrasse. Vachement familier, le petit mouton. Elle mannonce avec un accent Chti 100 %, il sent le maroilles, cest vous dire :
Jsuis bin continte dvous voir !
Bon, je ne vais pas continuer à vous faire laccent. Je réponds :
Merci, cest gentil. Je venais voir si tout se passe bien avec Julien.
Ah bin non, pas du tout. Vous savez quil doit diriger ce service, je lui ai dit que pour se mettre dans le bain, il devait aller vérifier le travail des femmes du nettoyage, mais il est nul. Je ne crois pas quil pourrait se faire obéir dans un jardin ds... alors ici, où on doit avoir de lautorité, cest une catastrophe. Il a essayé de réprimander une fille, elle lui a filé une claque. Il est revenu en pleurant.
Ça ne métonne pas de Julien... Mais bon... quest-ce quelle peut en faire ? À ce moment-là, on toque timidement. Vous connaissez lexpression « quand on parle du loup, on voit sa queue » ? Cest ça, Julien toque à la porte et entre. Daccord, parler de queue en ce qui concerne Julien, ce nest pas très approprié. Dès quil me voit, jai droit à des pleurnicheries :
Je ne veux pas commander à ces gens Samia. Ils me font peur. Il y en a même un qui a un couteau.
Il est tellement penaud que je me mets à rire. La brebis rit avec moi. Quand on est calmées, je dis à Julien :
Commander, je sais que tu nen es pas capable. Il te faut un truc plus calme, je vais en parler à ton père et avec Mademoiselle Lisa.
Elle me dit :
Oui, faut lui trouver autre chose. En attendant, tu peux mle reprindre ?
Oui, je vous refais un petit coup daccent, là. Je repars avec Julien. Il me dit :
Tu nes pas fâchée, Samia ?
On dirait vraiment que je suis tout le temps fâché sur toi... On va te trouver un truc cool à faire. De toute façon, tu devrais travailler le matin, comme moi, et laprès-midi, tu feras du ménage et des courses. Demain, je vois des clients laprès-midi. Tu maideras à me préparer et je te prendrai peut-être avec moi. Il se peut que je flirte un peu avec des clients, ça ne te dérange pas ?
D'accord, je me fous de lui. Il répond :
Non, Samia.
Cest cool davoir un mari complaisant....
À suivre.
Si vous désirez me parler, je suis ici : mia.michael@hotmail.fr
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