Collection Zone Rouge. Poupette. Saison Ii (20/20)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

C’est impossible, je me suis rendu chez l’officier d’état pour qu’il me parle de la succession de mes parents et surtout de maman.
Persuadée qu’ils avaient tout dilapidé en se droguant, malgré ce que j’avais gagné en me prostituant et ainsi que d’autres filles, c’est une véritable fortune dont je vais hériter.
Ce que j’apprends sur la succession m’amène à savoir qui est ma famille et comment mon père biologique prénommé Lucien a quitté ma maman avant ma naissance.
Il était promoteur de spectacle en France et son frère Bob faisant le même travail aux U.S.A.
Ils devaient faire partie du même réseau mis en place par le sénateur et qui attendait l’âge légal des jeunes filles pour les faire travailler et s’enrichir.

- Voilà madame tous les biens qui vous reviennent en ligne directe.
Attendez, j’oublie l’annexe.

Il lit le feuillet devant lui.

- Je vais résumer, en plus des biens que je viens de vous donner la liste, vous êtes propriétaire à 50 % avec ce sénateur d’un nombre incalculable d’appartements à travers le pays, la plupart en Californie.
Attendez, il y en a en France aussi.
Ils devaient les louer à des jeunes étudiants car il y a beaucoup de studios.

Je comprends où passent les filles après leurs 18 ans.
Ils leur mettent un appartement à disposition avec un loyer qu’elles doivent payer tous les mois avec les passes qu’elles font sans risque pour eux car ils devaient avoir des comparses qui encaissaient les loyers.

- Je vous conseille de trouver un avocat travaillant sur les droits de succession car tous ces biens sont dans des États différents et même à l’étranger et la législation est différentes d’un endroit à l’autre.
Êtes-vous américaine ?
- Oui j’ai reçu ma carte pour mes 18 ans après avoir prêté serment sur la Bible.
- Et votre mère s’est-elle suicidée après ?
- Oui.


- Alors en Californie vous n’aurez aucun droit de succession à payer.
Faite attention à tout cet argent, il y a des requins quand l’appât du gain est là.
- Je me marie mardi après-midi et mon fiancé à de bons avocats je vais les contacter.
- Si vous voulez de bons renseignements pour faire fructifier votre bas de laine, je suis à votre disposition.

Les requins sont déjà devant moi.
Je signe les papiers me faisant l’héritière et je le quitte.

- Fred conduisez-moi dans une papeterie qui vend des objets de haute qualité s’il vous plaît.

Mes achats terminés je rejoins la limousine.

- Fred à la maison, c’est terminé pour aujourd’hui, attendez que le sénateur vous appelle.
- Je vous monte votre valise.
- Je suis jeune inutile.

Voilà pourquoi j’ai demandé à Fred de me conduire, si c’était Cristopher la voiture serait restée devant l’immeuble et j’aurais sonné chez Abby pour déposer ma valise et en profiter pour m’isoler avec mon chauffeur.
Je monte au dernier et j’entends Miguel qui est dans sa baignoire.
Là encore je prends conscience qu’à chaque fois que je parlais à ce jour le nom du sénateur m’étais inconnu, je me remémore les noms que j’employais, pas très élogieux pour pépère.
Je dépose mon attachée caisse que je viens d’acheter avec un code sur la chaise à côté du lit et ma valise au pied.
Je me déshabille et je rejoins la salle de bains.

- Te voilà ma poupée, tu m’as pris ma voiture, c’est vrai, je t’invite au restaurant demain midi.
J’ai pour habitude de manger dehors les dimanches midi ça soulage ma domestique.

J’ai envie de lui dire que toutes les femmes sont loin d’être des putes ou des domestiques mais à son âge son cerveau doit être imprégné par ses idées phallocrates et il me sera difficile de le faire changer, en ai-je d’ailleurs envies.

- Laisse-moi une place.

Il avance et je passe derrière lui me collant à son dos.

Il est épais comme une ablette, si c’était une femme on pourrait croire qu’il est anorexique.
Il s’appelle Miguel mais on pourrait le surnommer sac d’os car dans son milieu je constate qu’ils ont tous des surnoms comme moi pour eux, c’est Poupette.

- Tu avais rendez-vous pour la succession de ta maman.
- Oui, j’hérite simplement de la maison où elle habitait.

Je me méfie car il semble bien au courant de mon déplacement, pendant que j’étais chez l’homme de loi Fred a dû l’appeler.
Je passe ma main autour de son corps.
Je pourrais avoir une répulsion mais j’ai eu tellement l’habitude de toucher et être fouillée par des corps de toute morphologie du gros au maigre en passant par le beau gosse timide qui se paye une pute car il est dans l’impossibilité de draguer, que de caresser le sénateur est facile pour moi.
Il porte sa main à sa tête mais je sens que sa bite arrive à réagir, je sens qu’il bande, je vais pour lui demander de nous relever pour qu’il me pénètre quand je sens sa liqueur dans mes doigts malgré l’eau.

- Tu es diabolique Claudia, ça fait des années qu’une femme n’a réussi à me faire jouir deux fois en aussi peu de jour comme tu viens de le faire.
J’ai senti mon plaisir monter dans mon dos comme c’était le cas quand j’allais à Vegas m’occuper de celle qui commençait leur carrière.
Grâce à toi je recouvre ma jeunesse.
- Lève-toi que je te savonne.

Il s’exécute et me montre sa verge qui est redevenue toute flasque et ridiculement minuscule avec seulement une perle de sperme coulant de son gland.
Au moment où il doit sortir il semble avoir un léger malaise, mais je le ratt et je lui évite de tomber.

- Tu as eu un malaise Miguel.
- Non, j’ai simplement glissé, mais qui t’a donné mon vrai nom, je préfère que l’on m’appelle sénateur ?
- Tu refuses ton nom d’origine italienne, viens t’allonger pour te reposer.

- Veux-tu déjà me mettre au lit pour aller faire la fête ?
- J’aime t’appeler par ce prénom, ce sera notre secret, moi seule pourrait te le donner comme en ce moment entre toi et moi.
- Je veux bien, cela me rappellera ma jeunesse avant d’aller faire la guerre.
- Pour la fête, rien à craindre, tu peux dormir tranquille, je dîne avec une amie, elle sera mon témoin pour notre mariage.
Elle habite dans cet immeuble au deuxième étage.
Bob a failli l’écraser quand il s’est suicidé car elle rentrait de son travail.
- Si je m’attendais qu’il finisse comme cela, mais c’est bien que tu aies une amie, je préfère cela à un amant.
- Miguel comment peux-tu dire une chose pareille moi qui suis nue près de toi alors que je viens de te faire jouir dans notre baignoire.
- Mais avoir un sexe d’homme bien viril en toi cela doit te manquer.
- En me disant cela tu me ramènes au rang de prosti que Bob m’a obligé de devenir mais j’en sors grâce à toi alors les bites des hommes.
- C’est bien, mais tu as eu beaucoup de confidence de ce genre dans ton rendez-vous.
- Juste une chose, j’ai appris que Bob était le frère de mon père resté en France après nous avoir abandonnés avec maman.
Maman a retrouvé Bob quand nous avons émigré ici.
J’ai su que vous aviez fait la guerre du Vietnam et que tu lui as sauvé la vie, mais comment a-t-il pu faire cette guerre étant de nationalité française.
- Bien analysée jeune fille, j’ai rencontrée Bob alors qu’il venait de déserter d’un bateau militaire qui revenait de Tahiti et faisait escale à San Diego.
Il est venu à Los Angeles avant de rejoindre l’Utah où j’habitais, dans ces années-là, il ignorait que la règle voulait qu’un homme devait avoir fait cinq ans d’armer dans son pays pour être exempté du service militaire.
Il pouvait seulement justifier de trois ans et c’est au centre de recrutement que je l’ai rencontré et que nous sommes partis au front en première ligne car les garçons comme nous un peu tête brûlé étaient prioritaires pour aller en première ligne.

Quand nous avons été de retour moi qui était né aux U.S.A comme j’étais devenu un héros je me suis lancé en politique et été élu et réélu plusieurs fois sénateur.
Pendant cette période nous avons fait les quatre cents coups, nous baisions à couilles rabattues, excusez-moi de l’expression mais tu es loin d’être une oie blanche et nous pouvons être fiers d’avoir dépucelé des dizaines de jeune fille.

Pour les jeunes filles que tu as baisées, je suis au courant, je suis passée dans les mains de Bob et je suis prête à te le faire payer très chère dès que tu m’auras passé cette maudite bague au doigt.
Bien sûr je le pense et me garde bien de lui dire.
Pour changer de sujet ayant eu mon explication concernant mon beau-père je lui prends le sexe dans ma main et je le caresse comme une femme amoureuse pourrait le faire.

- Miguel tu vois cette mallette elle contient l’original du contrat de propriété de la maison de mes parents, as-tu la force de te lever pour la mettre dans ton coffre, elle y sera en sécurité.
- Viens-on va la ranger, il faut être prudent.

Nous nous levons je prends ma mallette et il ouvre le coffre.

- Voilà elle est en sécurité.
- Miguel, tu es peu souvent en dehors de l’appartement mais si cela arrivait et que j’ai besoin de ces papiers comment ferais-je, pour les récupérer, peux-tu me donner le code d’ouverture du coffre.
- Tu as raison, c’est un coffre à 6 chiffres 24-8-11-13-10-26.
Je l’ai déjà brouillé tu pourras le faire quand tu en auras besoin.

Quel con, je voulais ce code et la mallette qu’il a rangée contient simplement une photocopie de l’extrait de l’acte de propriété de la maison donné par le notaire.
La liste de tous mes biens est présentement dans ma valise bien au chaud et dès ce soir elle sera en lieu sûr.
J’ai tiré cette photocopie ou j’ai acheté la mallette et j’ai rangé tous les papiers importants dans un Marocain en cuir d’un plus bel effet.
Je vais éviter d’y toucher avant notre mariage pour éviter qu’il est des soupçons, je m’arrangerais bien avec Tex concernant les registres, je trouverais bien une histoire plausible, j’ai de l’imagination.

Fin de la saison II.

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