Une Infinie Jouissance
UNE INFINIE JOUISSANCE
Lautre matin, jétais au petit marché de mon quartier. Je choisissais des fruits quand, tout à coup, je sentis sur ma nuque un souffle chaud et, n même temps, une main aux fesses, bien insistante
Je me retournais. Rémi ! Je ne lavais pas revu depuis notre première et seule rencontre, bien torride ( voir « une infinie douceur « ). Jen avais gardé le souvenir de quelquun de très très doux, zen, réservé même mais
chaud comme la braise une fois lancé sexe. Eh ben, on dirait quil avait un peu changé le Rémi ! Rien que dans sa façon de maborder
Bon, ce nétait pas pour me déplaire non plus car jen avais plutôt gardé un trop bon souvenir de Rémi. Visiblement, lui aussi. Très vite, on se retrouve comme si on sétait quitté la veille. En plus, ça tombe pas mal ca&r Paulo est absent depuis un bon moment déjà et il nest pas près de rentrer de suite
Ca commence à me démanger pas mal côté bas ventre
Aussitôt, Rémi minvite à boire un verre de blanc avec lui en terrasse. On sinstalle en vis-à-vis, les yeux dans les yeux, seuls au monde. Rémi ma déjà rebranché sexe et me redemande où jen suis avec Paulo. Visiblement, il cherche à renouer. Déjà, sous la table, sa jambe vient se coller contre la mienne. Cest sa technique, ça, la jambe collée
Son pied me caresse avec insistance. A la table dà côté, un jeune couple se dévore la bouche avec délice en nous lançant des coups dil amusés et complices. Rémi ne se gêne absolument pas et évoque, à voix très haute, les exploits amoureux de notre première rencontre
Sily avait encore un doute sur notre relation, cette fois, il est totalement levé pour nos voisins.
« -Viens, on va sacheter des trucs à grignoter. Tu nas pas faim, toi ? «
Aussitôt dit, aussitôt fait. On passe dun marchand à lautre pour acheter nems, ailes de poulets, fajitas, salades
Et on sen revient au café, à notre table. Le petit couple est toujours là. On dévore tout ce quon a acheté, en se faisant goûter, en se léchant les doigts lun de lautre.
« - Tu sais, je crois que je vais pas pouvoir tenir jusquà chez toi
Jvais voir sils ont des chambres. »
Aussitôt il se lève, va demander et claironne de lautre bout de la salle :
« -Cest bon, ils ont des chambres. Viens ! »
Pour le coup, nos voisins de table sont écroulés de rire.
« -Jcrois bien quon va faire comme vous ! »
La montée dans lescalier fut plus quépique. Rémi ma déjà délesté de mon blouson, il me colle conttre le mur, me dévore la bouche en glissant ses mains sous mon sweat. Jen profite pour glisser les miennes dans son jean. Tiens, il na pas de slip. On nen finit plus de se dévorer et de se caresser au point que notre petit couple nous double dans lescalier pour rejoindre leur chambre, eux aussi et nous vannent au passage. A peine franchis la porte, Rémi se jette sur ce qui me reste de fringues à enlever. Pour le coup, je ne reconnais plus du tout mon petit « zen zen » davant.
« -Dis voir, tas pas baisé depuis quon sest vu, ma parole !
-Tu crois pas si bien dire. » me lance t il.
Très vite trop vite-, il ma mis en slip. Il se colle littéralement à moi de tout son corps. Je le déshabille lentement, très lentement pour exacerber encore plus son désir. Le voilà nu, bandé comme un dieu grec. Toujours sa belle bite longue et fine, bien droite. Un joli corps bien proportionné, longiligne fin, très agréable à regarder. Avec ça une chute de reins qui na rien à envier à celle de Paulo. Il me jette sur le lit et vient sécraser sur moi. Il commence à me lécher partout, partout. Puis il vient se mettre à califourchon sur mon visage, moffrant sa bite, ses couilles et sa raie. Je choisis de commencer par ses couilles. Je les gobe une à une, le soulève un peu, passe mon visage sous son périnée et commence à le rimmer. Il grogne de plaisir. Il cherche à se faire titiller la rondelle, il a lair daimer ça. Il cherche à senfoncer sur ma langue pointée.
« -Ah ! Tu veux du hard ? OK, alors ça sera donnant donnant »
Aussitôt je me reglisse sous lui et essaie de le pénétrer par en dessous, à sec. Il couine.
« -Je parie que tu te balades jamais sans ton tube de gel !
-Exact ! Comment tas deviné ? »
On se « gélifie mutuellement nos bites, copieusement. Il cherche à nouveau à me pénétrer. Je me laisse faire, moyennant une très légère douleur. Une fois bien au fond, je commence à coulisser sur sa tige, en me retirant presquentièrement à chaque va et vient, et je me fais désirer quelques secondes
En fait, jessaie de le rendre fou de désir trop longtemps contenu. Jinverse alors les positions et cherche à le transpercer. Il sempale bien volontiers, en force. Puis il commence ses monte et baisse. Il me dit adorer ça. Faudra que je pense à lui demander ce quil naime pas question sexe ! Il sait très bien onduler du ventre à chaque fois quil descend, il sent ainsi mieux ma bite lui frotter lintérieur, comme il dit.
« -Viens ! Viens ! Vide-toi ! Remplis moi ! »
Dans la chambre à côté, le mur de séparation se met à encaisser les coups de boutoir de notre jeune voisin. La tête de lit claque en cadence contre le mur, de plus en plus vite, les gémissements frisent les hurlements de plaisir. Ca rend complètement fou Rémi et moi aussi dailleurs-. De notre côté aussi, la tête de lit claque, en écho, sur un rythme soutenu contre le mur. Stéréo parfaite ! Rémi, quant à lui, me secoue comme un prunier depuis un sacré bon moment. Je sens sa longue bite qui coulisse à un rythme denfer de plus en plus facilement dans mon fourreau brûlant. Ses couilles claquent avec force contre mon cul à chaque coup de bite.
Cest alors que, sans que rien ne lannonce, je me sens envahi par des ondes de chaleur qui partent de mon cul.
« -Oh ! Merci ! Merci, Rémi ! »
Est-ce lambiance générale qui est à la jouissance tous azimuts ? Voilà que Rémi se met à juter lui aussi, minondant le cul de son foutre brûlant. Et ça coule, et ça coule. Et ça me remplit. Trop trop bon. Il crie son plaisir.
« -Wouaah ! Quel pied ! On sy est tous mis, là ! »
On rigole tous les deux de bon cur, repus, apaisés. De lautre côté du mur, on entend deux petits coups frappés. On répond de même, heureux. Mon bel amant est retombé sur moi, pantelant. Je le garde sur moi, en moi. Je sais, par expérience, quil va débander très très lentement. Tant mieux. Je le caresse doucement partout, le couvre de baisers, de mercis. Je le doigte doucement
« -Oh, Rémi, si ça te dit, tu viens chez moi quelques jours, et quelques nuits. ..Jai trop envie de revivre ça
-
Et Paulo ?
-Il ne reviendra pas avant quelques jours et, de toute façon, je lui dis tout, et lui aussi. On est très libre, tu sais
-Si ça te fait plaisir, je demande pas mieux, en fait jen crève denvie, mais je ne te garantis rien tu sais
-Je sais, je sais. »
On reste ainsi un sacré long moment en descente très très lente. On est trop trop bien. On discute, en chuchotant. On se livre nos secrets de sexe les plus intimes. On ne peut être plus proches, plus fusionnels.
« -Tu sais, jai adoré quand tu as joui comme un fou, cet rare ça.
-Cest grâce à toi Rémi. Merci !!!!!!!!! Cest fou comme tu as changé !
-Changé ?
-Ben, oui. Avant, tétais plutôt « zen zen », non ? Et maintenant, plutôt hard ?
-Ah, ouais
Tas pas aimé ?
-Si, si !!!
- En fait, je me cherche
Alors, je change !
-OK. En fait, jai adoré les deux. Notre rencontre cool cool et notre combat corps à corps ! Finalement, jaime bien aussi quand on me malmène un peu
, je crois ».
Finalement, Rémi est un sacré coup ! Tout juste 20 ans et déjà une belle assurance et pas mal dexpériences, côté cul. Une belle ligne de poils, savamment coupée qui file vers un pubis de poils bien drus, coupés à pas plus dun centimètre. Une toison bien drue, parfaitement délimitée au rasoir. Dailleurs, il ne comprend pas que je me rase entièrement, perso, il pense que ça lui ferait perdre de la
virilité ! Très branché sexe. Jamais il dit non. Toujours partant. Toujours dispo. Toujours prêt aux expériences les plus folles ou les plus limites. Cest quen trois jours et deux nuits -, on en a essayé des trucs ! Très intello aussi mais sensuel aussi. Un mélange réussi, en fait. Facile à vivre, toujours gai, franchement agréable. Un super coup. Et avec ça, un petit cul bien bien serré, agréable comme tout à transpercer. Très exubérant aussi pendant lamour. Toujours à encourager, à commenter, à gémir bruyamment. Franchement, il donne envie de remettre ça encore et encore. Dailleurs, cest ce quon a fait abondamment pendant ces trois jours. On était tout le temps fourré sous la douche pour se nettoyer, et
peu après, il me ressautait dessus. Finalement, on sest découvert plein de passions communes. Le sexe bien sûr. Les slips aussi et la lecture de bons bouquins. En parlant de slips ou de maillots de bain, il a tout de suite été bluffé par la collection incroyable de Paulo. Il ma tout de suite demandé sil pouvait se servir dedans régulièrement. Ce quil a fait à peu près chaque heure, alternant slips et maillots. Ce que je fais depuis longtemps quand je suis chez moi car je me balade toujours en slip. Là aussi, il sest vite coulé dans le moule. Quant à la lecture, cétait craquant de le voir, en slip, vautré sur le canapé avec un bon bouquin et ses grosses lunettes dintello. Quand il lisait, il se tripotait toujours une mèche de ses cheveux du bout de ses doigts. Le monde aurait pu sécrouler autour, je ne suis pas sûr quil sen serait aperçu. Quoique
Quand on est tous les deux vautrés sur le canapé avec chacun un bouquin et que sa tête se pose négligemment sur mon slip ou que son pied ségare sur mon slip
Comment voulez-vous, dans ces conditions, vous concentrer sur ce que vous lisez ? On sait, tous les deux, comment cela va finir
Bien ! Rémi se sert aussi beaucoup de sa chevelure dans ses ébats amoureux. On voit tout de suite quil y est très attaché, quil en prend le plus grand soin. Comment pouvez-vous résister quand il vous caresse la bite et les couilles, ou quil vous parcourt la raie du bout de ses mèches tombantes ? Vous jsais pas mais moi, ça mélectrise complètement. Paulo fait aussi ça avec un très gros pinceau à blush quil a récupéré du boulot.
Lautre nuit, dun coup, je me réveille à moitié et ne sens pas sa présence à mes côtés. Jouvre un il, il est là, face à la porte fenêtre de la chambre. Il a lair captivé par ce quil voit. Je devine que ça doit se passer chez les voisins den face, Paul et Fabrice ( voir « Trop chaud partie 1 »). Sans bruit, je me lève et mapproche derrière lui. Je me colle à lui et lui chuchote à loreille :
« -Ca texcite ? » Il sursaute, il ne ma pas entendu arriver.
« -Carrément, oui ! »
Je passe ma main dans son slip, il bande comme un âne, son gland est déjà tout mouillé. Sans se retourner, il glisse aussi sa main dans le mien »-Trop beau de les voir ainsi
Tu les connais ?
-Oui
-Intimement ?
-
Oui. Si tu veux, on les rencontrera.
-Et comment ! Parce que vous avez déjà baisé ensemble ?
-
Oui. Ca te dirait den faire autant ?
-A qui le dis tu !
-Bouge pas, jarrive ! »
Je vais chercher dans la table de nuit le pot de gel. En revenant vers lui, je rallume dans la chambre.
« -Hé ! Quest ce que tu fais ? On va nous voir
-Cest le but. Voir et être vu. Voyeur ET exhib. Cest le jeu. Laisse toi faire, tu ne le regretteras pas. »
Je me mets à genoux derrière lui et lui fait glisser très très lentement son square cut jaune citron, liseré vermillon, en mousseline, le long de ses cuisses fuselées. Ses superbes fesses se dégagent et mexplosent littéralement au visage. Superbe panorama de collines avec une vallée merveilleuse et un puits de délices
Je le débarrasse de son slip et le fais sincliner à loblique, jambes écartées, en appui sur la vitre. Jécarte ses deux globes et enfouis mon nez, ma bouche, ma langue dans sa raie. Je la parcours en la léchant doucement. Je sais quil adore particulièrement ça. Je mattarde sur sa feuille de rose
parfaite. Je lui titille du bout de ma langue. Il souffle. Jalterne les coups de langue et les poussées de doigt. Je la vois se dilater doucement.
« -Oooooh ! Encore ! Ouuiiii ! »
Puis je me mets à lenduire copieusement de gel, ainsi que ma bite. En face, Paul nous fait un grand signe du pouce. Ca met Rémi en joie. En transe, aussi. Je me relève, me colle à lui et lui chuchote.
« -Je te préviens, je vais tembrocher comme un vulgaire poulet !
-Oh oui ! »
Ce que je fais dun coup sec. Je lencule à fond. Il souffle et pousse un cri mais me dit quand même de ne surtout pas arrêter. Je me mets à le limer consciencieusement. Je me retire alors puis lencule à nouveau. Lentement cette fois. Et ainsi de suite, de nombreuses fois. Cette fois, ma bite coulisse vraiment bien dans son cul. Il apprécie beaucoup et me le fait savoir bruyamment. Je pense que la situation insolite, lexhibition - au seul bénéfice des voisins -, le spectacle hard donné par nos deux voisins den face, tout cela contribue à le chauffer au plus haut point. Il me demande de le défoncer à fond. Il se met à se frotter contre la vitre, de plus en plus vite. Ca ne traîne pas. Il envoie de grandes giclées sur le carreau. Aussitôt, il récupère son sperme et
le passe dans ses cheveux !
« -Hé ! Cest comme dans le film « Mary à tout prix » !
-Exactement ! » On rigole.
Sur ce coup là, il me finira dans sa bouche, avalant tout. On finira la nuit n dormant un peu quand même.
Le lendemain, en faisant les courses, on rencontre nos voisins. On discute autour dun verre, en terrasse. Ils nous proposent de nous retrouver à la piscine laprès midi. Pourquoi pas ? Rémi les trouve sympas.
Laprès midi, on se retrouve à la piscine tous les quatre. Jai bien fait de conseiller à Rémi le mini slip de bain jaune et moi le vert car je savais queux, ils seraient en rose et bleu. A nous quatre, on fait un bonne partie du dau des gays. Bref, on annonce la couleur ! On passe un grand moment à nager, chahuter, se reposer. Paul et Fabrice ont lair conquis par Rémi
.Qui ne le serait pas ? On passe ensuite au sauna, hammam. Ils ont réservé une heure en privatif. Sensuit de longues plages de sudation sèche ou humide, entrecoupées de séances de douches glacées. Tout cela se faisant bien sûr complètement nus. Cest hyper relaxant mais
ça montre aussi que Paul et Fabrice ne sont pas du tout insensibles au charme de Rémi ! Lui non plus, dailleurs. La cohabitation se fait de plus en plus proche, de plus en plus collée mais, ça nira pas plus loin pour cette fois car on sest promis de se revoir à cinq, dès le retour de Paulo.
La seconde nuit sera douce, douce. Tout linverse de la première. On aurait dit que Rémi avait repris son penchant naturel : la douceur. Jai adoré la façon dont il ma pris cette nuit là. Il ma dabord laissé mendormir. Puis, avec une infinie lenteur, douceur- tendresse ? -, il a commencé à me caresser partout. Déclenchant chez moi ce que jai cru être un rêve érotique. Jai assez vite émergé mais je nai surtout pas voulu me réveiller totalement, me laissant flotter dans un entre deux des plus agréable. Rémi sait vous sucer très très lentement pendant un temps infini, sans jamais sexciter lui-même
Il gobe les couilles comme personne, il vous rimme comme un dieu
Il vous gode
vous avez limpression que cest sa propre bite ! Il vous fait monter en pression avec une infinie lenteur, au point que la jouissance est une apocalypse et une délivrance. Quel savoir faire pour quelquun daussi jeune ! On sent quil adore donner du plaisir. Jai retrouvé là le Rémi que javais connu lors de notre première rencontre. Mais, je dois dire que jaime bien les deux faces, au propre comme au figuré !
Le lendemain soir, la séparation ne fut pas évidente. Mais on promit de se revoir avec Paulo et les voisins, le plus vite possible
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