Mon Fantasme À Plusieurs Réalisé

Mon fantasme à plusieurs réaliser
Il y a un fantasme qui m’obsède depuis des années. Je suis très excitée lorsque j’entends le commentaire des hommes sur les femmes. Lorsqu’ils tentent de deviner le physique des femmes. Des conversations chuchotées, des paroles entendues décrivant le corps féminin dans des mots très crus, me font mouiller à chaque fois.
Je voulais m’approprier ce fantasme. J’avais vraiment envie d’être déshabillée, dévoilée et commentée de manière très crue. J’avais besoin d’être en confiance, je l’ai trouvé auprès de mon amant. Je suis très amoureuse de lui, il me fait l’amour divinement, avec douceur et virilité. Il a vite compris que j’avais de gros besoins sexuels et que je ne souhaitais pas lui laisser, l’exclusivité du plaisir.
J’apprécie la pluralité masculine et féminine. Il accepte et s’est d’ailleurs mis à apprécier de faire l’amour avec plusieurs femmes et de jouir en me regardant prendre mon pied avec plusieurs hommes. Pour réaliser mon fantasme, nous avons établi des règles. Mes yeux seront bandés par un masque noir.
Nous avons fait une liste d’une vingtaine de personnes dont j’avais accepté qu’elles me dévêtissent, me touchent. La liste comportait 6 membres dont 3 serait choisis par mon amant. Le but est d’augmenter mon plaisir par le contact de mains que je ne pourrai reconnaître. La date fut fixée à mon insu.
Je suis excitée à l’idée de passer à l’acte. Un soir Bernard m’annonça alors que la date retenue était pour le samedi suivant. Les quelques jours passèrent. J’étais excitée comme une puce sur un caniche.
Le samedi matin, au réveil, mon chéri était très excité par la situation dans laquelle je m’étais mise. A peine les yeux ouverts, il m’a prise vigoureusement. J’ai senti sa main remonter entre mes jambes, s’insinuer entre mes cuisses. Au lieu de me doigter ou de me lécher comme il en a l’habitude, il a abaissé soulevé mon t-shirt, il m’a retournée et m’a prise sans préliminaires, ce qui est exceptionnel chez lui.

Son sexe dressé est entré dans mon vagin comme un poignard. Il m’a consommée, prise comme un objet, et, j’ai apprécié cette exception…
Nous voici en début d’après-midi. Il est temps de se préparer. Je demande à mon chéri de me laisser seule dans la chambre. Je choisis les sous-vêtements. Un ensemble blanc fera l’affaire. Un soutien-gorge corbeille à armatures avec un petit nœud à l’entre-bonnet. Le bas est un string avec aussi un petit nœud à la taille.
Je me déshabille devant la glace et passe ma tenue. Cela m’excite déjà, beaucoup de passer ce soutien-gorge du 95c, mes seins sont à plein dedans, sous doute un peu gonflés par le plaisir que j’anticipe. J’enfile ma culotte et fait disparaître ma toison pubienne abondante. Je me rasais avant de rencontrer mon copain. J’ai laissé la pilosité repousser car il adore découvrir mon intimité en fouillant à travers les poils.
Je complète mon habillage en passant une mini-jupe en cuir et un pull fuchsia en mohair sans rien d’autre dessous. Ces vêtements me moulent bien: mon look provocateur devrait susciter des envies de découverte. Je n’ai pas de longues jambes et mes cuisses, bien que rondes attirent les caresses des hommes. Me voilà prête. Je sors de la chambre. Mon copain m’enlace: ma tenue l’excite.
- Tu sais que je te prendrais sur la table tout de suite si on avait le temps ?
- Oui ! Je sais, en constatant la raideur de sa verge en touchant son pantalon.
Il est presque quatorze heures. La sonnette retentit.
Bernard me tend un masque noir. Il m’aide à l’attacher. Me voilà dans le noir, debout au milieu de la salle de séjour. J’entends la porte d’entrée qui grince tandis que mon copain l’ouvre. Ils sont venus ensemble et j’entends une série de bonjour tous, masculins différents et inconnus. Je respire différents parfums et sens des présences autour de moi, sans pouvoir les localiser. Pourtant, je crois sentir leurs regards qui parcourent mon corps.
Un homme ouvre le feu :
- C’est ta Gonzesse ? Je la trouve bien grasse.

- Oui, elle a un gros cul, dit un autre.
- Et de grosses loches, dit un troisième.
Une main se pose sur ma poitrine. J’ai un léger moment de recul mais je me reprends. Il m’empoigne le sein droit et la quatrième déclare:
- Elle a de gros seins, mais ils sont bien fermes.
- Ses fesses sont grosses mais elles se tiennent. Dit la cinquième qui a passé sa main sous ma mini-jupe et a pincé ma fesse droite.
- Ouais, elle est peut-être baisable, elle a la taille fine.
On a soulevé mon pull pour affirmer cela. Six mains me caressent le bas du dos et mon petit ventre. Cela me fait frissonner. Très curieux comme sensation d’être caressée par plus de deux mains. Puis on me soulève le pull. Je lève les bras et on me l’enlève. Plusieurs mains se jettent sur mon soutien-gorge. On palpe mes seins au travers du tissu.
- Enlève le soutif qu’on voie ses nénés !
Je sens deux mains qui dégrafent mon soutien-gorge. Je le laisse glisser et il tombe au sol.
- Quels seins. Regardez, les mecs, elle a déjà les tétons dressés !
- Oui elle est excitée la cochonne !
- Hum ils sont fermes, comme je les aime.
On me tire les tétons, me malaxe les globes, me le soupèse. Bientôt deux bouches me tètent. On me palpe les fesses, tout le monde commence à s’échauffer. Une main se risque sur le côté et déboutonne ma mini-jupe qui glisse au sol et je soulève mes pieds pour la retirer totalement. Je ne porte plus que mon slip et mes chaussures.
Quelques paires de mains me caressent les cuisses tandis que deux hommes embouchent toujours mes seins. Je mouille comme une folle et le plaisir me vient, accentué par les caresses insistantes sur mes cuisses et mes fesses puis sur mon slip, opaque qui attire la convoitise de trois mains au moins, et une main se risque à l’intérieur.
- Je vous annonce qu’il y a de la fourrure à voir !
- C’est vrai, montre-nous çà vite !
Sans autre forme de procès, je me retrouve avec ma culotte sur les genoux.

- laisse-moi toucher sa moquette. Dit un.
Les mains se succèdent sur ma toison pubienne, que j’ai effectivement drue. Personne n’ose passer la main entre mes cuisses, serrées à cause de mon slip sur les genoux. C’est surprenant. Un doigt se glisse dans ma fente. J’ai le sexe en feu et j’ai besoin que l’on touche mes petites lèvres. Enfin quelqu’un se décide à enlever le dernier rempart à ma nudité.
- Quel beau cul. Tu avais raison, elle a de grosses fesses mais elles sont bien fermes.
On me tire vers la table.
- Penche-toi en avant.
- Ecarte les cuisses ! Plus que ça.
- Regardez, elle a déjà les cuisses trempées, la coquine.
C’est exquis toutes ces mains sur ma vulve que l’on écarte et mes cuisses effectivement trempées de mouille. Je me cambre, j’ai envie que cela continue.
Des doigts s’enfoncent dans mon vagin détrempé et entreprennent de me donner du plaisir tandis qu’une main se place sur mes nymphes et me masturbent. Un doigt me surprend en s’enfonçant dans mon anus. J’entends les pantalons qui descendent. Des verges sont approchées de mes mains. Je les empoigne et entreprend des masturbations. Je suis au bord de l’extase, mais ne suis pas à l’aise dans cette position pour faire éjaculer ces hommes.
Je monte sur la table écarte les cuisses au bord de la table. Quatre mains reprennent leur manège sur mes cuisses, ma vulve et mes fesses. D’autres pétrissent mes seins. Je lèche un sexe énorme qui s’est approché de mon visage. J’en tiens un autre dans la main gauche. C’est simplement divin. J’ai un orgasme, tant ces mâles se sont bien occupés de moi. Mon périnée se contracte profondément.
- Elle est en train de jouir, les copains !
Cela entraîne une éjaculation sur mes seins du sexe que je lèche bientôt suivi de celui que je tiens en main, moins long mais recourbé, sur mon ventre.
Les autres sont debout et au bruit se masturbent devant mes cuisses écartées. Il n’était pas question de pénétration et sous la surveillance de Bernard, mon exigence est respectée.
Je sens bientôt plusieurs jets de liquide chaud asperger mes cuisses, ma vulve et ma taille.
Je m’attends à ce que ces messieurs se rhabillent et s’en aillent, mais Bernard m’a réservé une surprise. J’entends sa voix :
- Bon maintenant que vous en avez profité les gars, vous allez me la nettoyer que j’en profite aussi.
Tout à coup, je me retrouve lavée à l’aide de gants de toilettes par plusieurs mains. On insiste particulièrement sur mes seins et mon sexe que j’ai bientôt très propres.
- Placez-la au sol, à quatre pattes ! commande Bernard d’un ton décidé.
On me prend par la main et me conduit sur le tapis qui occupe le milieu de la pièce. Je me mets spontanément en levrette, mais on fait mine de m’y maintenir, ce qui m’excite.
Je reconnais les mains de mon amant me prendre par les hanches. Il me pénètre d’un coup avec une force et tout de suite me laboure avec une fréquence très élevée, comme s’il ne cherchait que son plaisir. Tout à coup, je sens des mains qui me pétrissent les seins et j’entends le bruit caractéristique de mon petit vibromasseur blanc. On me l’applique bientôt sur le clitoris, tandis que mon chéri me prend avec de grands coups de boutoir qui font claquer ses cuisses contre mes fesses.
Avec ce traitement, je parviens rapidement à mon deuxième orgasme. Bernard se lâche et éjacule en moi. Je reste immobile et indécemment cambrée au sol. J’entends que les six hommes se rhabillent et sortent un à un de la maison. Mon chéri s’approche de moi, me retire le masque. Je suis anéantie. Il m’embrasse sur la bouche puis me dit :
- Alors, ma puce, ça t’a plu ?
- Oui, au-delà de ce que j’espérais ! Merci pour ta surprise, c’était génial !

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