Retour De Brousse 3 - Sous La Table
RETOUR DE BROUSSE 3
Je rappelle que lai 20 ans. Je me trouve à Conakry pour une ONG française depuis quelques semaines. Je suis aujourdhui dans la maison dun coopérant français ou, à tout le moins, francophone dont jai fait connaissance la semaine dernière au retour dune virée en brousse : Jean. Et la soirée qui se prépare sannonce torride.
Jean et ses trois convives vont passer à table. Pour ma part, je dois passer « sous la table » et moccuper de ces messieurs dames le temps du dîner ; ils ne savent pas que cest moi qui suis là, dhabitude cest une des petites bonnes africaines qui fait ce job. Cest lune dentre elles qui ma tout expliqué. Elle se nomme Honorine, mais on lappelle Awa quand elle est en service un peu spécial pour Jean.
Il y a ce soir un Africain plutôt costaud, en djellaba violette, et son associée, une femme de grand gabarit elle aussi, environ trente ans, avec un ample pagne bariolé très chic. Ce sont des Mandingues, ethnie dont les hommes sont réputés très bien dotés, vous voyez ce que je veux dire ; toutes les femmes en ont peur, dit-on, peur de se faire déchirer, mais ensuite elles ne peuvent plus sen passer. A peine croyable !
Quant à Jean, il est accompagné dune belle et grande Européenne. Une grande amie (sic). Tous deux sont en blanc.
Et moi, jai juste un boxer un peu large pour être à laise, dixit Awa.
Un dernier apéro est préparé au bar pour Jean et ses trois invités. Il séclipse un instant pour venir sassurer que tout est bien en ordre du côté des employés de maison. De retour, il maperçoit, me frôle, me caresse le dos, les épaules nues comme prévu, sattarde sur mes fesses, glisse sa main dans mon boxer comme pour vérifier si tout le matériel est bien en place
- Tu es bien mou ! Tu as baisé ? Cest Awa ?
Je suis, comment dire, penaud.
- Oui, Jean, cest Awa. Je me suis laissé faire, et puis
jai fait.
- Parfait.
- Oui, jai bien compris. Je serai votre sex-toy en somme ; vous ne le regretterez pas.
- Un détail quon ne ta peut-être pas dit. Tu seras bien caché sous la nappe. Elle est disposée de telle sorte que mes invités ne voient rien. Moi non plus. Mais elle est ainsi faite que toi, tu pourras regarder et voir ce qui se passe côté cuisine. Si Honorine a quelque chose à te dire ou à te donner, cest là que ça se passe. En toute discrétion. Et pareil dans lautre sens.
En disant cela, il me branlait si bien que ma bite dépassait du haut du boxer. Super
- Dernier détail. Tu regarderas ma main sous la table. Si je te montre un seul doigt, tu toccupes de la Sultane. Si je tends deux doigts, ce sera la fille qui est avec moi, Bénédicte.
- Et les hommes ?
- Simple, trois doigts cest pour Amidou. Et quatre, cest pour moi.
- OK Jean. Je vais minstaller, je vois que ça bouge coté bar.
Jai droit à un dernier tripotage bien senti, vicieux à souhait, une petite tape sur les fesses et
vive la galère.
Un dernier regard dAwa, et me voici sous la nappe. Ce qui mintrigue le plus, cest lhistoire de la femme-fontaine. Je crois bien deviner, mais je verrai bien si ça arrive.
En fait, cest une table rectangulaire. Un mec et une femme de chaque côté de la table, chacun étant face au conjoint de lautre.
Cest la Sultane qui commence la séance. Elle dépose sans bruit ses escarpins et caresse lentement ses cuisses. Japerçois sa culotte, « la » culotte, ce qui sera le trophée de Jean, si jarrive à lui enlever. Il faudra quelle y mette du sien. Pour le moment, jobserve, je ne bouge pas.
Voilà que sa jambe se tend, jusquà toucher les sandales de son vis-à-vis. A lévidence il sy attendait. De son pied, la Sultane caresse la jambe de Jean et remonte tout doucement jusquà lentre-jambes. Que dois-je faire ? Jai bien limpression que Jean a un début dérection.
Jarrive à éviter le pied de la Sultane. Je vise la braguette. Un bouton, deux boutons, trois boutons. La ceinture est desserrée. Je laisse faire. Pas besoin de toucher, Elle sen occupe. Sur un signe imperceptible de Jean, je fais glisser son pantalon blanc. Pas trop car il a une voisine à côté de lui, heureusement que la nappe est bien couvrante. Je maperçois que, pour donner le change, il a posé sa main sur la cuisse de Bénédicte et quil joue avec lélastique de la lingerie. Je descends son slip et
je marrête là.
Le pied de la Sultane sest pour ainsi dire noué autour de la bite. Fabuleux ! Jusquoù vont-ils aller, ces deux - là ? Et on nest quaux entrées. Je suis attiré comme par un aimant. Je vois le pied qui monte, qui tourne, qui descend, la bite enserrée entre le gros orteil et le deuxième. Putain, elle le branle, elle le masturbe comme si elle le tenait à pleine main. Je vais laider. Je prends les couilles à pleine paume, sans forcer, je sens que Jean ne sera pas très endurant sur ce coup-là. Il me faut être prêt, parer à tout. Et ce qui devait arriver arrive en moins de cinq minutes. Pas mal. Deux trainées blanches , et un soubresaut discret, mais satisfait.
Kleenex or not kleenex ? Jopte pour la première solution pour nettoyer le pied de la Dame ; après tout, je ne la connais pas encore. Et sans kleenex pour la bite de Jean, que je nettoie jusquà la moindre trace avec ma langue avant de la remettre en place. Un petit signe de Jean, sous la nappe. Chapeau, cétait très bien.
Quelques minutes de discussion, au-dessus de moi. Japerçois Honorine, en petite tenue comme dhabitude et comme toutes les jeunes employées dans cette maison, qui doit amener le deuxième plat. Une belle volaille, si jai bien compris. La maladroite laisse tomber un petit linge, du bon côté de la table. Maladresse intentionnelle ? Oui, sans aucun doute. Jai droit à voir son pouce levé franchement. Félicitations, mon cher Jeremy !
Un autre signe à présent ; cest Jean.
- la faire jouir, bien comme il faut, mais sans que ça se voie à la table ;
- découvrir ce quest une femme-fontaine ; je men doute un peu, mais je veux voir ;
- et enfin et surtout, lui piquer sa culotte pour donner à Jean.
Je prends position, bien accroupi sous le pagne. Elle a dû se laver bien comme il faut, cest sûr. Il nempêche que ça sent lAfricaine, un mélange de savonnette et de musc assez âcre ; la première fois, ce nest pas facile mais on shabitue.
Pour commencer, jopte pour le pied qui a servi à branler Jean. Va-t-elle me rejeter ? Je ne suis pas fétichiste du pied, cest un truc que je ne comprends pas. Pour autant je mempare de ce pied vicieux, le caresse, glisse un doigt entre les orteils masturbateurs, et jattends. Pas longtemps. La Sultane se trémousse comme une ado et fait en sorte que ma main remonte. Les mollets, les cuisses, Hmmm cest vrai quelle est athlétique.
Parvenu sans mal en haut des cuisses, je maventure et mattarde dans la culotte. Progressivement ; on nest jamais trop prudent. Surprise, elle bloque tout. Non, elle change davis, cest elle maintenant qui vient à la charge de plus belle, cuisses grand-ouvertes malgré la lingerie. Pour le moment, je me contente de la masser à travers le tissu du slip. Un micro-slip, tendu à fond. Mais ce que je sens sous mes doigts nest pas micro ; au contraire. Je sens que je vais me régaler. Elle écarte davantage. Je me lance, jy vais. Super
Jécarte la ficelle, et là, bien que je sois dans la demi-obscurité sous la table, je vois tout, elle montre tout, la salope. Des lèvres grandes comme des oreilles, et surtout un clitoris gros comme une petite bite. Turgescent, il nattend que ça. Pas de doute, elle en veut.
Cunnilingus, on appelle ça ainsi. Je men prends au clito. Un vrai trayon ! Je men occupe exactement comme si cétait une bite.
Son slip ressemble à un maillot de bain. Sil tient, cest miraculeux ; juste deux petites attaches nouées de part et dautre. Mon défi sera plus facile que ce que je croyais. Elle bouge un peu, rectifie sa position de sorte que jai une main sous ses fesses. Je sens bien quelle cherche quelque chose, elle me trouve et vient senfiler sur mon doigt. Elle ma mis dans son cul
je ne sais que faire. Jenfonce, je vrille, elle a lair daimer. Je vrille dans lautre sens
De loin, tapie dans un recoin, Awa me montre un papier « Continue, Continue. Tu lauras».
Quelques minutes plus tard, objectifs 1 et 2 atteints. Un grand geyser de jus de femme (jai cru de la pisse, mais ce nen est pas) et une jouissance silencieuse et pourtant tumultueuse.
Il faut à présent nettoyer tout ça, les kleenex ny suffiront pas. Idée lumineuse, pendant que la Sultane est en train de se resservir au-dessus (jentends bien) et quelle rit des plaisanteries quéchangent les deux mecs, je passe à lobjectif numéro 3. Simple : je défais les deux nuds du string noir. Elle est tellement excitée quelle ne sen rend pas compte. Et, dès quelle a un mouvement du bassin je tire doucement vers le bas. Arrivé à la cheville, un petit coup sec et hop, cest gagné ! Je men sers un peu pour essuyer le jus, il t en a eu au moins demi-litre, et je nai pas tout avalé ; je suis comme douché. Cest tout propre à présent. Et je tends à Jean le trophée, toujours sous la table. Assis face à la Sultane, il a tout deviné : le cunni, la fontaine, le slip, tout, absolument tout. Il doit être très heureux, et en même temps fier de son champion.
De son emplacement, Awa a tout vu . Jai droit à un deuxième pouce levé, et je peux lire, de loin, sur un petit carton « Bravo, champion ».
Quelle est la suite ? Mystère. Jean sest laissé faire entre les orteils de la Sultane. La Sultane ma douché de son jus intime; super, mais surprenant. A qui le tour ? La galanterie voudrait que ce soit Bénédicte. Lalternance voudrait que ce soit Amidou. Alors, deux doigts ou trois doigts ?
Je me régale de regarder le sexe de la Sultane. Quel outil, cest magnifique ! Si Amidou est dans les mêmes proportions ce doit être géant. Elle se caresse. Non, ce ne sont pas ses doigts, cest Amidou qui vient en reconnaissance et qui la masturbe de son gros index. La cochonne !
De lautre côté de la table, Jean nest pas en reste. La main de sa Bénédicte est entièrement glissée dans son pantalon, elle en veut elle aussi.
Le verdict tombe. Trois doigts
cest donc le tour dAmidou.
Plus facile que Jean. Amidou est en djellaba. Est-il à poil là-dessous ? Pas vraiment. Un boxer XXL assorti au boubou. Jy vais, je caresse à travers le tissu. Comment va être la bite ? Pas dure du tout pour le moment. On va dire mi-molle mais de taille déjà bien respectable. Jai une idée, je vais caresser la cuisse, monter vers le boxer, glisser la main doigt dans léchancrure, toucher la tige, hummm il aime ça. Je vais plus loin, il se déplace un peu et je commence à sentir la chaleur de ses couilles. Je baisse tout le bazar, le boxer est maintenant enlevé.
Et me voici en face du monstre. Je vais le branler en douceur
cest géant. Je plains sincèrement celles qui le prennent dans le sexe, ou pire encore dans le trou du cul. Je vais lui lécher le gland. Curieusement, il nest pas rose mais marron chocolat comme le reste. Jy vais, je lèche
il sest parfumé, ça va, je titille, je tourne, le méat est bien ouvert et ça me fait bander. (Au loin, japerçois Awa toute excitée, et elle voit mon état car le bout de ma bite dépasse).
Pourrais-je le gober ? Jessaie, jy arrive. Victoire ! Jai la bouche pleine, jadore. Il prend ma main pour que je malaxe ses couilles, cest sûr il aime ça. Je pense quil ne va pas tenir trop longtemps. De sa main libre il sest emparé du clito de sa femelle, il le tord, elle semble aimer. Et je sens que, pour lui, ça va venir. Ouiiii ! Ça vient sans prévenir, et il y en a. Je me prends une sacrée dose de foutre que je dois avaler jusquà la dernière goutte. Un dernier regard sur la mini-bite de la Sultane, elle est violacée à présent, il a dû la serrer un peu fort ou la pincer pendant le brame (cest le mot qui convient, on aurait dit un cerf) et elle a sans doute un peu mal.
Juste le temps de remettre en place son matériel dans le caleçon. Jean ne me laisse quun bref répit. Deux doigts ! Cest le tour de Bénédicte.
Sa grande robe blanche descend presque jusquaux pieds. Elle cache tout
enfin, presque tout. Et elle va me montrer tout, absolument tout, je le veux, jy arriverai. Le ouistiti y arrivait bien, lui.
Dabord, les chaussures blanches à talon haut, je les touche tout doucement ; je ne vais pas les lui enlever. Trop sexy. Alors, je me hasarde au bas des jambes. Surprise, il y a des bas très fins
curieux, par cette température, mais cest très joli. La cochonne se laisse faire. A vrai dire cela ne me surprend guère, dautant que, au-dessus de moi, juste sous la nappe, japerçois la main de Jean qui écarte les pans de la robe et se glisse vers lentrejambe. Jespère quil ne va pas me gâcher le travail. Sil savait comment je bande !!!
A mon tour, jécarte la grande robe blanche ; cest lumineux, ça change de la Sultane. Mes mains remontent doucement, glissent sur la soie des bas
Que vais-je trouver ? Si ce sont bien des bas, jarriverai à mon but. Mais si cest un collant, laffaire nest pas gagnée, il faudra quelle y mette du sien, la salope !
Je sens quelle aime ça, la garce, voilà que jen suis aux genoux ; jécarte les pans de la robe, pour mieux voir. Oui, ça y est, japerçois. Ma main remonte le haut des cuisses, elle tremble de désir la Mignonne. Ah, jarrive, je mapproche, ce nest pas un collant. De simples bas retenus par un joli porte-jarretelle. Ma main sattarde sur une cuisse chaude, entre le bas et le reste ; elle tremble de plus en plus. Elle prend ma deuxième main et, résolument, la pose sur sa motte, la cochonne ! Jy vais, je masse, je tourne, je sens la mouille à travers le tissu.
Par chance elle a enfilé la culotte par-dessus son porte jarretelle, je la fais glisser aux genoux. Surprise, la chose est lisse et doux comme un abricot ; jy vais, avec les doigts, avec la langue, et même les dents sur ses lèvres dentelées. Il faut veiller à ne pas mordre, et faire venir la jouissance tout doucement. Je sens quelle freine, oui, oui, ça va venir
Viens, Bénédicte lâche-toi, et surtout nen laisse rien paraître à la table, cest la règle du jeu.
La petite culotte est à présent aux chevilles, blanche, transparente, vraiment mimi
et mini.
Côté abricot, je sens que le feu dartifice approche. Oui, oui, oui, un dernier soubresaut
Elle est ailleurs, et nulle part.
Instant rêvé, je mempare du sous-vêtement et le glisse avec mes kleenex. Le moment est venu de tout ranger, la longue robe fendue, les chaussures, les bas et le porte-jarretelles de petite pute chic, un dernier bisou sur la fente
et, au loin, Awa qui me fait signe. Encore gagné !
Nos quatre convives en sont au digestif. Nayant pas eu de directives, jattends sagement quils quittent lendroit. Ça va durer quelques minutes. Le temps pour Jean de me faire comprendre sa satisfaction. Au passage, il vient de temps en temps vérifier mon érection de la pointe de son pied nu. Jai même failli décharger dans le boxer. Mais je me réserve.
Ah, au fait, javais oublié Amidou. Jarrive à lui faire passer discrètement le trophée Bénédicte. Surpris, il le défroisse et nen revient pas tellement cest mini. Un petit signe de la main, cest super.
Avant de se lever de table, nos deux hommes ne peuvent sempêcher de visiter encore une fois la fente de leur voisine. Sans culotte, cest encore plus facile. Un doigt ou deux, ça narrêtera donc jamais. Jen profite pour palper leurs couilles, moi aussi, mais à travers leur vêtement, pour vérifier si tout est bien en ordre, mais nous nallons pas trop loin.
Tout le monde séloigne enfin, Awa vient me rejoindre sous la nappe en pouffant. Mais nous quittons vite lendroit.
« - Jai dautres choses à te montrer. La salle jeu en particulier. Ce sera pour demain si tu en es daccord »
A suivre
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