Collection Étrange Phénomène. Satan Existe (1/3)
Mon histoire va vous paraître étrange, pourtant elle est bien réelle.
Au moment où jécris ces lignes, jignore à quel moment les choses ont dérapé et pourquoi.
Lise, veux-tu prendre Charles-Henri pour époux ?
Le chérir et tout le tralala.
Javais vingt ans il y a six mois quand jai prononcé ces mots chers à mon cur.
Six mois dun bonheur sans le moindre nuage.
À un détail près, notre nuit de noces, très sympathique au demeurant dans la tradition des nuits de noces.
Entrée dans notre chambre, dans les bras de celui à qui je venais de dire oui en fin daprès-midi.
Baiser fougueux malgré ma petite appréhension.
Je sais que les garçons ont une verge quils doivent faire entrer dans notre petit réceptacle.
Verge qui va menlever mon hymen.
Je savais tout ça, mais maman a souhaité me donner les derniers conseils hier au soir.
Ça sest fait à un détail près, jignorais que jaurais mal, pourtant Charles-Henri a été très doux, et depuis nous faisons lamour dans les règles de ma famille depuis plusieurs générations.
Ma chambre était à côté de celle de mes parents et au plus loin de ma mémoire, jamais le moindre bruit a pu me faire penser que maman faisait lamour.
Dans les jours qui ont suivi, chaque fois que mon mari voulait que je fasse mon devoir conjugal, je me prêtais à la chose, cette grande douleur ayant disparu.
Six mois sans que mon sang sarrête de couler.
Là encore je savais que lorsquelle disparaîtrait, huit mois plus tard je donnerais à mon mari le fils que toute sa famille espère que je lui donnerai pour perpétrer la lignée de banquiers nous permettant de vivre sans souci du lendemain.
Six mois plus tard, hélas, je vais devoir consulter, rien narrive.
Jai mis ma plus belle robe pour venir au mariage de Chloé la sur de Charles-Henri vingt-cinq ans avec un officier de gendarmerie dans sa plus belle tenue.
Je suis au côté de ma belle-mère au premier rang, normale famille oblige.
Chloé, veux-tu prendre Édouard pour époux ?
Ça me ramène six mois en arrière, la messe continue quand je me fais mal au doigt après un clou dépassant du prie-dieu sur lequel je suis à genoux.
Ça passe jusquau moment où Germaine la maman de Charles-Henri et de la mariée me fait remarquer que je saigne.
Regarder Lise vous avez mis sur votre robe de tailleur blanc.
Jirai me nettoyer après la messe.
La cérémonie se termine et je frissonne un coup, ma belle-mère le voit.
Êtes-vous sûr dêtre à jour de vos vaccins, faite attention avec ces vieux clous, le tétanos satt facilement et malgré ce que lon en dit, on en meurt encore ?
Aucun problème de ce côté, maman a toujours veillé à ce que mes vaccins soient à jour.
Après la cérémonie, jarrive à estomper la tache grâce à lune des lingettes que jai toujours dans mon sac.
Nous allons au pied du château ou nous allons faire le repas là ou nous avons fait le nôtre.
Je suis sur la photo de groupe, tout est normal alors quau fond de moi, je bous.
Il fait très beau comparé à notre mariage, pour le nôtre quelques gouttes de pluie ont permis de dire à nos familles, mariage pluvieux, mariage heureux.
Nous passons aux photos des différends invités avec les mariés.
Je suis à la droite des mariés juste à côté dÉdouard.
Sans que je puisse refréner mon geste, personne derrière nous, je lui mets la main aux fesses.
Fesses de sportif, mais geste complètement dépassé surtout que lorsque nous changeons dinvité je vois une petite tache de sang sur sa fesse gauche.
Quelle mouche ma piqué, moi pourtant réservé, je viens de me comporter comme une vulgaire salope.
Je pense en rester là, mais dans la soirée, le marié fait danser les femmes proches de lui.
Quand il vient minviter une valse se termine, lorchestre, le même que le nôtre, entame un slow.
Sans me poser de question, mon bas-ventre veut savoir si ma belle-sur sera une femme comblée ce soir.
La verge qui se plaque sur mon pubis méchauffe le sang, jai étrangement envie de baiser là au milieu de tous ces bourgeois.
Va vers les toilettes, je te rejoins.
Le slow terminé, je réponds à linjonction de mon beau-frère.
Nous sommes presque 200 à la noce, un peu moins quà la nôtre, mais les toilettes sont libres, personnes, à croire que quelquun veut faciliter ce qui va marriver.
Du moins je lespère et il est là, il me pousse dans un WC et me plaque contre la paroi.
Je suis coincé, mais cest bon de sentir le poids de ce corps écraser le mien et se frayer un chemin en moi en me soulevant simplement la jupe de mon tailleur.
Je vois que mon beau-frère a une jolie petite pute dans son lit.
On te donnerait le bon dieu sans confession, mais tu es une salope, à la limite dêtre une chienne.
Mettre la main au cul du marié le jour de ses noces, jen ai sauté des folles de leur cul mais des comme toi jamais.
Cest comme ça que je trompe Charles-Henri sans comprendre ce qui marrive, surtout quand je parle dune voix roque à celui qui me baise.
Plus fort, va plus fort, je te dis daller plus fort, voilà ça vient, oui, oui, oui.
Et jai un orgasme comme jamais je nen ai eu.
Jignorais que lon pouvait autant jouir plusieurs fois de suite avant que mon amant ne se retire.
Comment ai-je pu me faire sauter dans ce lieu infâme même sil est très propre et surtout par le marié me laissant pantelante de longues minutes ayant refermé la porte derrière lui.
Je suis assise au sol, ma culotte déchirée dans ma main, quand me la-t-il enlevé, je lignore mais après avoir réussi à fermer la porte à clef, je la porte à mon nez, elle put dune odeur jamais sentie.
Jarrive à reprendre pied, je ressors et le reste de la soirée jévite de me trouver dans son secteur, bien que quelques fois nos regards se croisent et quun petit sourire ironique apparaisse sur ses lèvres.
Une fois, je danse un slow avec Charles-Henri, lui avec Chloé, nous passons lun près de lautre, je sens sa main sur mon cul.
Je madresse à mon mari avec la même voix un peu roque que dans les toilettes.
Chéri, jai hâte que nous soyons chez nous pour que tu me baises.
Charles-Henri me parle à loreille, moi seule lentend.
Comment parles-tu ma douce, tu sembles étrange, cest ton doigt qui te tracasse, demain va voir Agnès notre médecin, ces clous rouillés ça peut être dangereux ?
La soirée se termine, de retour chez nous aux aurores, je retrouve et ma douche et mon lit avec délice.
Charles-Henri oublie de me baiser me frustrant mais je mendors après mêtre violemment masturbé à ses côtés.
Chéri, Père mattend à la banque, il ma demandé de passer hier pendant la noce de ma sur, il a une affaire urgente à me confier.
Je viens dappeler Agnès, le docteur, elle tattend à 14 heures, son cabinet est fermé le dimanche, mais elle est prête à te recevoir.
Cest avec ma voix normale que je le remercie et que je my rendrais avant de me retourner.
Quand je me réveille, je métonne de la voix que je prends depuis hier à certains moments.
Jai dû prendre un peu froid, je vais dans larmoire à pharmacie où je trouve du sirop et des cachets de paracétamols.
Je vois le médecin tout à lheure, je lui en parlerais.
Je profite de lendroit pour me faire couler un bain chaud, je me prélasse, jai le temps, Charles-Henri ma prévenue quil mangerait avec son père.
Pour la première fois, une petite voix au fond de moi me parle ou du moins je feins de lentendre.
Une nouvelle fois, je me caresse surtout ma petite excroissance en haut de mon sexe.
« Voilà tu as trouvé, voilà ou tu dois frotter pour que je prenne mon plaisir, tas vu jai fait de toi une salope, tu mappartiens et ces loin dêtre fini. »
Je dois être devenue folle, par chance je vois le docteur deux heures plus tard, quand jarrive je constate quelle est enceinte.
Votre mari ma appelé car vous vous êtes piqué le doigt avec un clou rouillé.
Voix rauque, je rétorque !
Et toi, le clou qui ta engrossé il était rouillé !
Tu veux me bouffer la chatte.
Sans plus, je soulève mon tailleur comme la fait Édouard dans les chiottes, je monte sur la table dauscultation, je mets les pieds dans les étriers.
Agnès semble subjuguée et je vois sa tête venir à moi hagarde.
Je la prends par les cheveux et je la plaque sur mon sexe.
Je dois être devenue folle, pourquoi ce comportement qui semble plaire à cette femme enceinte, une force maléfique semblant lattirer quand sa langue se pose sur mon clitoris.
Suce, suce, lèche sale truie.
Toujours de cette même voix rauque
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