Collection Étrange Phénomène. Satan Existe (2/3)

Mon histoire va vous paraître étrange, pourtant elle est bien réelle.
Au moment où j’écris ces lignes, j’ignore à quel moment les choses ont dérapé et pourquoi.

• Lise, veux-tu prendre Charles-Henri pour époux ?

J’ai prononcé ces mots il y a six mois, six mois d’un bonheur total, jusqu’au mariage de ma belle-sœur où je me pique le doigt à un clou rouillé sur le prie-dieu ou je me suis agenouillé.

À partir de ce moment, j’ai un comportement anormal surtout pour moi jeune fille puis jeune femme très bien élevée.
Ce doit être une autre que moi qui met la main aux fesses d’Édouard le mari de Chloé ma belle-sœur en pleine séance photo le jour de leur mariage.

De chiotte en masturbation intempestive, c’est d’une voix roque que je prends de temps en temps que j’oblige Agnès la médecin à venir me brouter la chatte à son grand étonnement.

• Ça te plait regarde je coule, avale ma cyprine sale gouine.
Docteur, que m’arrive-t-il, depuis que je me suis piqué le doigt à un clou rouillé, j’ai des comportements anormaux. »

Aucune réponse de sa part, ses mains écartent mes lèvres vaginales et enfilent sa langue au plus profond de moi.
La réponse elle est dans ma tête quand la voix se remet à me parler.

« Tu vois, je te possède, j’arrive même à ce que ce médecin te broute, laisse-toi faire, tu verras je vais te faire faire de grandes choses.
N’est rien à craindre, quand j’en aurais fini avec toi, je retournerais d’où je suis venu et tu reprendras ta petite vie de bourgeoise. »

Le toubib relève la tête au moment où j’allais jouir, elle prend sa main et sans sembler forcer elle me l’enfonce jusqu’au poignet.

« T'as vue ce que j’arrive à vous faire faire, tu ignorais que l’on pouvait te fister, quand tu seras rentré après avoir bouffé la chatte de cette salope, demande à ton mari de t’en faire autant, tu verras sa réaction.

»

Une nouvelle fois la voix a raison, comment avons-nous changé de place, c’est Agnès le toubib avec son gros ventre qui est les pieds dans les étriers ma bouche sur son sexe.
Mon éducation m’a porté à m’occuper du mieux que je peux de mon mari, mais lécher avidement une femme enceinte, ça dépasse tous les entendements.
Surtout quand je mets une main sur son ventre, le bébé me donne des coups de pied.

« J’ai assez joui avec cette femelle, écoute ce qu’elle a à te dire et foutons le camp, on va bien trouver une ou deux bites à sucer et se faire défoncer avant de rentrer.
Tu as senti, c’est mon fils qui grandit dans ce ventre.
Je te rappelle que tu dois demander à ton mari de te mettre sa main au fond de ton vagin. »

C’est normalement habillé assis devant la professionnelle que je l’écoute.

• Sur le plan physique, rien d’anomal, juste des sécrétions un peu poivrées, vous allez prendre ces ampoules, mais par précaution je vais vous faire une injection contre le tétanos.

Que cette voix au fond de moi est stressante.

« Tirons-nous, j’ai horreur des piqûres, chaque fois que je trouve un corps encore potable, il faut que je subisse une piqure.
Viens, je connais un beau black qui nous attend, il va nous vacciner avec sa queue. »

Que répondre à ça ?

• Aie !
• Vous êtes douillette Lise, ce n’est qu’un intramusculaire, l’aiguille est toute petite et j’ai piqué dans le gras de l’épaule.

C’est la blouse ouverte, son stéthoscope autour de ses seins rempli de lait que je quitte la doctoresse, mon dieu que m’arrive-t-il.

Quand je sors, je tombe sur ma belle-mère.
Que fait-elle là, mystère, je l’embrasse ?

• Je venais aux nouvelles, je m’inquiétais, Charles-Henri ma téléphoné, il paraît qu’à l’église au mariage de ma fille vous vous êtes piqué le doigt.
• Germaine, belle-maman, c’est vous qui m’avez fait remarquer que mon doigt saignait.

• Ah bon, j’ai dû oublier.
Firmin conduisez-nous au bois de Boulogne nous allons profiter des derniers rayons du soleil avant de rentrer auprès de Victor mon mari.
• Bien madame.

Firmin est un grand noir que ma belle-mère a pour chauffeur pour conduire son immense limousine, on a des moyens dans notre famille.
Mince.

« Eh oui, je suis là, eh oui, le chauffeur est noir et oui. »

• Ferme ta gueule.

Même voix roque.

• Lise, vous qui en temps normal êtes si gentille pourquoi m’enguirlandez-vous.
• Non, Germaine, c’était pour l’autre.
• Quel autre.

Quoi répondre.

• La voiture de devant qui bouche la circulation.
• Firmin vous avez trouvé la petite allée tranquille, c’est bien, venez nous rejoindre.

Encore cette voix dans ma tête.

« Tu vas voir ce que je suis capable de faire à ta belle-mère, tu ignorais que Germaine est une salope.
Je me suis occupé d’elle dans sa jeunesse, j’aime la mettre dans de bonnes dispositions de temps en temps. »

Firmin vient à l’arrière, curieusement il a ôté son pantalon.

• Voilà madame, je suis à votre disposition.
• Regarde Lise, j’aime que cette bite bien noire et bien grosse me perfore ici dans ce bois.
Victor ton beau-père, comme mon fils est né pour faire du fric, le sexe pour eux c’est du temps perdu.
Firmin ouvrez ma bouteille de champagne avant de me baiser.

Dans cet habitat restreint mais suffisant le chauffeur bandant déjà, étant à genoux devant ma belle-mère ayant remonté la jupe de son tailleur Dior me montrant sa chatte entièrement épilée s’apprête à le recevoir.
Elle est sortie sans culotte.
Contrairement à moi son vagin est dépourvu de grandes lèvres.
Firmin nous sert une coupe à chacune, nous trinquons.
Germain s’allonge un peu, elle prend sa coupe et verse du champagne dans son nombril le liquide rejoignant sa chatte.


« T’as vu ce que je lui fais faire, regarde, il va boire à sa chatte, j’avais oublié ce moment intense, c’est ça boit un coup et masturbe-toi, Firmin c’est pour elle toi tu as eu la doctoresse. »

Je voudrais que cette voix s’arrête.
Firmin ayant assez bu ainsi que les coussins s’avancent et s’enfoncent dans ma belle-mère avant de la pilonner.
Je suis un peu gênée par ses cris, mais comme je me masturbe, mes cris se mélangent aux siens.

« C’est bien je vais vous laisser tranquille pour ce soir.
Le fistage du mari tu oublies, ta belle-mère a raison, ton mari comme son père sont des impuissants, ils jouissent avec leur fric.
Réfléchi pourquoi tu attends depuis des mois qu’il te fasse un gosse. »

Firmin ayant repris son volant et certainement remis son pantalon nous raccompagne.

• Firmin, ma belle-fille c’est comme moi, quand elle t’appelle tu viens la chercher et tu l’emmènes dans notre allée.
• Bien madame, vos désirs sont des ordres.

Nous retournons chez moi, la limousine s’arrête.

• Lise, demain matin, va à l’église où vous vous êtes mariées Chloé et toi, voit le père François, dit lui que tu t’es piqué le doigt dans son église, il va faire ce qu’il faut que pour tu retrouves ta quiétude.

La petite voix me rappelle à l’ordre.

« Si tu vas voir ce fumier de curé, je te fais faire la pute, à toi de choisir. »

Je finis par être sûr que contrairement à ce qui est dit, Satan existe, il me parle…

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