La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1278)
Camélia au Château -
Je mappelle Camélia, je réside dans la région lyonnaise et je suis une jeune femme dune vingtaine dannées ayant créé ma propre entreprise de conseils pour les affaires et autres conseils de gestion. Une holding de renommée internationale, dont le siège est à Lyon, ma récemment contacté pour prendre un rendez-vous. Javoue ma grande surprise quune telle société fasse appel à mes services alors que cest le genre dentreprise qui ne doit pas manquer de spécialistes relatifs à mon domaine professionnel. Bref, après mêtre interrogée, je me décide à me rendre à ce rendez-vous, une démarche indispensable dans mon métier si je veux tout simplement gagner ma vie. Je me rends donc dans le premier quartier daffaires lyonnais, le fameux quartier de la Part-Dieu. Une fois arrivée à ladresse indiquée sur le mail me donnant le RDV, je me trouve devant un impressionnant et cylindrique immeuble moderne de béton et de verre que les lyonnais appellent le crayon qui en fait est le surnom de La Tour Part-Dieu. Je me rends au 26ème étage et sortant de lascenseur pour me rendre à la porte de la société MDE Internationale Corporation laquelle je cherche de mon regard attentif. Je marche dans un long couloir à l'épaisse moquette cramoisie...
Il y a apparemment très peu de bureaux à cet étage, me semble-t-il... Juste un couloir, avec trois portes capitonnées de cuir rouge. Mais je marche directement vers la porte tout au bout et me voici face à l'ultime porte où une magnifique plaque de cuivre mentionnant le nom de la société... Je n'ai même pas le temps de frapper à la porte, celle-ci s'ouvre dans un mouvement souple et silencieux. Une jeune femme brune et souriante me fait signe d'entrer sans un mot et s'écarte pour me céder le passage. Je ne l'ai jamais vue. Je suppose quil sagit dune secrétaire. Une jolie brune dont les formes sont parfaitement mises en valeur par une jupe droite en cachemire gris, qui s'arrête au-dessus du genou.
- Monsieur Le Marquis d'Evans vous attend, dit-elle en se dirigeant vers la porte qui donne je suppose sur son bureau. Monsieur le Marquis ? Je devais rencontrer daprès le RDV un certain Monsieur Walter Wilson. Et là, je comprends tout ! Je comprends enfin le véritable but de ce RDV. Tout séclaircit dans mon esprit. Sachez pour info que dans ma vie privée, je suis très attirée par les relations de Domination/soumission et ainsi je corresponds virtuellement depuis longtemps avec un certain Monsieur Le Marquis d'Evans qui est de la même région lyonnaise que moi
Je ne lai encore jamais rencontré, mais celui-ci minspire confiance. Confiance instaurée au fil de nos correspondances et je dois lavouer, le rencontrer en réel ne me laissera pas indifférente
Celui-ci ma donc invité à le découvrir en réel par ce moyen détourné dun prétexte professionnel. Et ce Walter Wilson, je suppose que ce nest autre que le fameux Majordome de Monsieur le Marquis, javoue que je navais pas du tout fait le rapprochement quand jai reçu le RDV
La secrétaire interrompt mes pensées. Elle minvite à entrer dans le bureau du Noble. Je m'avance et je passe la porte... La secrétaire s'efface pour me laisser entrer et je pose mon premier pied dans le fameux bureau. Le trac me prend ! Je m'avance, le bureau est immense
Enfin, je ne sais pas si ce mot est suffisant pour évoquer lespace le plus luxueux que je n'ai jamais vu ! Un carré gigantesque. Sur la droite, il y a une espèce de salon privé, en cuir fauve autour d'une table basse en bois flotté, vernis.
Je massis dans le fauteuil en faisant attention de ne pas croiser les jambes devant lui. Son charisme navait dégal que sa prestance et javoue que jétais fort impressionnée dêtre enfin en Sa présence. Il me regarda et me jaugea des pieds à la tête de haut en bas et inversement dans un parfait silence, on nentendait aucune mouche voler ! Le simple fait quil me scruta ainsi provoqua en moi une réaction mincitant à baisser la tête instinctivement. Mais aussi mon bas-ventre ressentait une forte excitation en Sa présence et commençait à shumidifier face à cette situation. Je nosais briser ce silence sachant que toute parole sera malvenue sans avoir reçu lautorisation au préalable de parler. Je gardais le regard rivé au sol et ressentait, sans le voir, Son regard si profond et dominant me détailler telle une uvre dArt. Cest à ce moment précis, plongé dans mes pensées, qu'il décida de briser le silence :
- Camélia, est-ce une façon de se tenir, avachie sur un fauteuil ?, accuse le Noble dun ton sévère et dominant.
Pendant ce temps, alors que je me redressais et adoptais la position demandée comme envoûtée par Ses mots et Ses paroles, Son charisme, Sa voix calme et puissante mais sans concession, je ressentais alors encore une plus forte excitation en pensant à nos nombreux échanges sur Skype ainsi quà la chance et lhonneur que javais enfin me retrouver en Sa présence. Cest à ce moment qu'il décida de se lever son fauteuil pour sapprocher de moi silencieusement tel un prédateur fonderait sur sa proie. Il commença à tourner autour du fauteuil, me jaugeant de la tête aux pieds. Je ne sais combien de temps a duré ce manège avant quil ne rompe de nouveau ce silence mais je peux vous le dire ce temps ma paru comme suspendu ou une éternité :
- Camélia, ça fait longtemps même très longtemps que je tobserve et que je ne te quitte plus des yeux si je puis dire. Il y a longtemps que jai deviné qui tu es, ce que tu es, par tes mots, tes réactions et ton assiduité sur mes récits ainsi que nos nombreuses discussions. Ta véritable Nature ne fait aucun doute. A lévidence, il y a une soumise, profondément soumise, qui sommeille en toi et qui ne demande quà se réveiller, quà sépanouir. Ca fait bien longtemps que je l'ai compris et je compte te faire devenir Ma chienne, Ma soumise
Si tu lacceptes, bien entendu, car sache que je nai jamais personne et que ce nest pas aujourd'hui que ça commencera. Donc je te laisse réfléchir, maintenant que tu sais pourquoi tu es là. Je vais quitter ce bureau 5 minutes et quand je reviens si je te retrouve dans ce fauteuil assise, je comprendrais que tu déclines ma proposition qui ne se reproduira pas car je ne donne jamais une deuxième chance dêtre sous Mon joug. Et tu pourras partir sans aucun souci. Si à contrario, tu adhères à ma proposition, je veux te retrouver à genoux, là, au milieu de cette pièce, dénudée totalement, mains croisées derrière le dos, tête baissée, comme la salope que tu es
Puis il quitta la pièce sans aucun autre mot, me laissant seule avec mes mille pensées qui tournaient en boucle dans mon esprit.
- Regarde-moi bien dans les yeux quand je te parle et je te dirais alors seulement quand tu pourras les baisser.
Je le regardais donc dans les yeux ayant bien du mal à soutenir Son regard si dominant :
- Ainsi donc, je ne m'étais pas trompé, dit-il dun ton imposant et fier. Maintenant que les choses sont claires entre toi et moi. Il est temps que tu vives ta condition de soumise à Mes pieds. Mets-toi à quatre pattes et viens me nettoyer les chaussures avec ta langue. Je veux quelles soient brillantes et applique toi
(A suivre
)
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