En Famille... Suite...

En famille
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J’ai obéis.
Il commençait à me tringler en me pistonnant lentement sans me lâcher le bassin. Son pieu coulissait dans mon cul qui s'ouvrait de plus en plus. Il accélérait ses mouvements. Changeait de rythme de temps en temps. Poussait à fonds m’arrachant des gémissements de douleur.
Son corps de rugbyman me plaquait durement contre l'évier sous des coups de boutoir de son sexe. Il se déchaînait sur mes fesses. Je criais de douleur, mais il s’en foutait et accélérait à la recherche de son plaisir. De plus en plus vite.
Il halète dans mon cou. Il me tire de toutes ses forces sur son braquemards. Son gland tape au fonds de mes entrailles. Je crie chaque fois qu'il bute au fonds de mon intestin.
- Ta gueule salope! C'est autre chose qu'un gode hein? Une bonne bitte de mec dans le fion, tu dois aimer cela?
Il ralenti. Son torse se colle contre mon dos. Je suis penché au-dessus de l'eau sale. Je n'arrive plus à faire la vaisselle. Mon corps tressaute au rythme de ses assauts. Sa voix murmure à mon oreille.
- Comment tu trouves ma bitte? Est-ce qu'elle est aussi bonne que celle du mec au ciné? T'as pas honte de te faire mettre devant ta femme? Et par un inconnu en plus? Il parait que ça te fais bander?
Je pleure silencieusement. Mélange de douleur et de honte. Sa main touche ma queue tendue à l'extrême.
- C'est vrai que t'aimes cela. C'est incroyable! Tu m'excites pétasse. Je vais te remplir le fion. Je vais te démonter le fion ma salope.
Il reprend ses coups de reins. De toutes ses forces.
Il m'écrase contre le plan de travail. Je le subis en silence, le visage ravagé de traînées de larme. Son gland vas de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je cris de douleur. II me tire brusquement contre son bassin. Ses poils grattent la peau de mes fesses meurtries.
Il se vide dans mon fion. Je sens son sperme me remplir. Il a des soubresauts de plaisir qui le plaquent encore plus contre moi.

Il est comme un animal en rut qui couvre sa femelle. Pas de fioritures. Juste une recherche brutale de son plaisir. Je suis sa femelle soumise, incapable de révolte. II me domine et se sert de mon cul. Je le subis, les bras dans l'évier et le cul dévasté.
Nous restons immobiles quelques secondes. Lui me couvrant avec sa queue bien plantée entre mes fesses et moi attendant qu'il me délivre de ce pieu brûlant.
J'ai jouis!
Enfin, il se retire. Me claque les fesses
- T'es un super coup toi.
Il s'essuie la queue et se casse de la cuisine. Je l’entends se laver en sifflotant. Je me nettoie le cul avec un rouleau de papier absorbant. Le liquide vaisselle mousse dans ma raie et me pique un peu. Je le retire avec une éponge et beaucoup d'eau. Je vois des traces de spermes sur l'éponge. Je me rince bien et me rajuste. J’ai l’anus irrité. J'efface aussi les traces de mon sperme sur les rebords de l'évier et sur le sol.
J'ai jouis! Le tapis est taché. Je ne peux rien faire.
Cela séchera avant le retour de Sam.
Je retourne au salon. J'ai du mal à marcher. J'ai encore l'impression d'avoir sa bitte dans mon fondement. Je serre les fesses car j'ai l'impression que mon cul coule.
C'est curieux, je me sens soulagé d'un poids. Impossible d'expliquer pourquoi? Peut-être à cause des nouvelles règles qui nous unissent lui et moi?
Ou alors, parce-que je sais qu'il ne dira rien de ce qui vient de se passer?
A condition que je file droit bien sûr.
Car je me doutais bien que cela ne faisait que commencer entre lui est moi. Et puis, quelque part, moi aussi je le tenais. Il suffit que je raconte à sa femme ce que nous avions fait. Comment réagirait-elle? Il était avachi sur le canapé.
A poil! Encore plus impressionnant tout nu. Un gorille.
Des poils noirs partout. Des membres comme des jambonneaux. Peu de graisse en fin de compte, sauf sur le ventre tendu. Bien sûr, je ne pouvais pas ignorer sa queue. Un gros tuyau au repos sur son ventre avec des grosses couilles qui émergent d'une forêt de poils frisés.

Je me demande comment, mon cul avait pu prendre un tel morceau. Déjà, bien qu'au repos, elle me semble bien plus grosse que la mienne.
- Viens t'assoir... Non, pas là, à côté de moi.
Toujours ce ton de commandement. J'ai obéis. Je n'avais pas envie de me révolter. De toute manière c'était trop tard maintenant. Nous sommes restés silencieux devant la télé. J'étais presque gêné d'être habillé à ses côtés. Il émanait une telle puissance de sa stature de rugbyman. Il sentait la sueur et l'eau de toilette.
- On a encore trois bonnes heures avant que Véro et Sam reviennent. Il souriait en disant cela. Il y avait plein de sous-entendu derrière ses quelques mots.
- J'ai comme l'impression que ma queue t’a plu.…. J’espère que t'as bien jouis parce que moi j'ai tiré un sacré coup mon pote... Je vois que tu es toujours aussi bavard... Pas grave, j'ai l'habitude de parler seul dans mon bahut... Si j'ai bien compris, quand tu fais la vaisselle, elle t’encule avec un gode... Elle se l'attache autour de la taille et c'est elle qui devient l'homme et toi la femme... D'après Véro, tu adores te balader avec un plugg planté dans le cul. Tout juste, si tu sors pas avec un engin fiché dans le cul. Il parait même que tu la baises comme un chef quand t'as le cul plein...
Je ne savais plus ou me mettre. Je devais être rouge de honte devant la crudité de ses paroles qui démontrait qu'il savait tout.
- Décontracte toi mec. N'en fais pas une maladie. Je ne vais pas le crier sur les toits tu sais. Je m'en fous moi, de vos séances de ciné... En tout cas faut vraiment que vous aimiez ça pour prendre de tels risques... Même si il y a des endroits spécialisés. Arrêtes-moi si je me trompe, mais si j'ai bien compris, quand elle en a envie, tu mets un jog sans rien dessous et vous allez ensemble dans un ciné plutôt homo... C'est çà?

- OK je continue et tu écoutes si tu veux... Là les mecs comprennent qu'il y a dans la salle une femme qui prête son mec parce que vous entrez ensembles, vous faites en sorte qu'on vous voit, mais vous laissez un siège de libre entre vous deux.
.. A priori, ils ont l'habitude de ce genre de trucs... Quand un mec vient s'asseoir entre vous, Véro le caresse, lui sort la queue et le branle. Quand il bande bien, elle lui met, elle-même, une capote et du gel et toi tu viens t'asseoir sur sa queue après avoir baissé ton fut... Et tu caresses la chatte de ta femme en te faisant enculer. C'est gonflé dit donc! Moi je n'oserai pas faire cela avec Sam. C'est pas mon genre de me faire mettre. Même pour faire plaisir à Sam.
Je l'écoutais raconter nos expériences. Il savait vraiment tout. Sa queue grossissait lentement. Ça l'existait de raconter. J'étais consterné par le nombre de détails qu'avait raconté Véro à sa sœur.
Brusquement j'avais envie de prendre cette queue pendante dans ma main. De sentir la chaleur et la puissance de ce muscle doué de vie au creux de ma paume moite. J'étais horrifié par cette envie. Mon comportement me semblait incompréhensible.
- En fait, ce qui intéresse Véro, c'est de t'offrir à des mecs. Elle aime te voir te faire mettre par des inconnus. Elle aime que tu lui obéisses sans discuter. Elle en tire une jouissance physique et mentale. Et avec son caractère par rapport au tient, il t'est difficile de refuser. Je suis même sur que tu aimes cela.
Il savait cela aussi. Mais ou cela s'arrêtera? C'est pas possible qu'elle ait tout raconté. Mais pourquoi? Parce qu'elles sont jumelles? Et Sam.? Est-ce qu'elle aussi, lui a raconté sa vie sexuelle avec son routier macho.
La queue grossissait devant mes yeux.
- Ca m'excite de t'imaginer assit sur un mec dans le noir. J'imagine Véro, jambes écartées en train de se faire caresser. Branle-moi... Vas-y, branle-moi... Tu le fais bien à d'autres... Vas-y. Je suis sûr que tu en crèves d’envie.
Ma main a enserré sa bitte. La peau était très douce et très chaude. On aurait dit un animal qui vivait dans ma paume. Il a poussé un soupir de bienêtre.
- Vas-y lentement mec, on a tout le temps...
Sa bitte grossissait rapidement et se redressait au milieu de forêt de poils.
Elle était vraiment d'une taille très respectable, courbée vers le nombril. Je me suis à nouveau demandé comment j'avais pu la prendre en totalité dans mon cul. Généralement, je ne voyais pas les bittes car tout ce passe dans la pénombre. Est-ce que celles que j'avais déjà eues étaient aussi grosses?
Ma main allait et venait du gland à la base de la hampe. La chair coulissait parfaitement sur le gland. Il se laissait faire, jambes écartées. Son membre était bien tendu. Il a repris son monologue
- Il parait qu'une fois dans ce ciné, ils sont venus à deux autour de vous. Ils étaient assez vieux. C'est ta femme qui a mené les négociations si j'ose dire... Elle ne t’a même pas demandé ton avis. Les mecs ne se connaissaient même pas. Ils avaient simplement envie ensembles. Ils voulaient profiter de l'aubaine.…
Sa queue vibrait, le gland violacé complètement décalotté, les testicules dures chauffaient ma main. J'ai accéléré le mouvement sur sa hampe.
- Pas si vite mec. Ralentis on a le temps et tu ne me feras pas jouir plus vite. C'est moi qui décide du moment... Vous avez été dans un endroit discret sur une aire de repos pas loin. Vous avez fait un soixante-neuf, Véro et toi. Elle en dessous, jupe retroussée. Toi à quatre pattes au-dessus d'elle, sans pantalon. Tu la léchée pendant que les deux vieux se relayaient dans ton fion. Il parait que c'était fantastique pour elle de sentir ta langue dans sa chatte, et de voir en même temps ton cul se dilater pour prendre ces queues inconnues. Elle a jouit à répétition trois fois. Chaque fois qu'un mec se vidait dans la capote, elle gueulait de plaisir. Vous êtes complètement dingues les deux... Accélère, je vais jouir... Vas-y oui
Son sperme a fusé vers le plafond pour retomber en grosses gouttes sur son ventre. J'ai continué jusqu'à ce qu'il crache le dernier jet et qu'il arrête lui-même les mouvements de ma main.
- Super... Même moi, je ne me branle pas aussi bien. Décidément t'es un cas toi...
Il s'est tu, et nous sommes restés sans rien dire, chacun perdu dans ses pensées. C'est vrai que cela avait été une super partie avec ces deux mecs levés au ciné. J'avais aussi beaucoup aimé. Jamais je n'avais vu ma femme prendre son pied avec autant de violence et autant de fois de suite. Ces deux la m'avaient cassé le cul et Véro avait rigolé à gorge déployée quand je lui ai dit que j'avais le fion en compote et les mâchoires ankylosées à force de lui tripatouiller la chatte de ma langue. Son pull était arrosé de mon sperme car moi aussi j'avais pris une sacrée jouissance. Mon visage était couvert de sa mouille. Les deux mecs sont partis sans dire un mot et nous avons pu baiser tranquillement à nouveau et jouir ensemble.
Cela avait été une nuit mémorable.
Comment expliquer à la brute en face de moi, que chaque fois que nous faisions ce genre d'expérience, notre couple en sortait encore plus fort. Que c'était avec joie que je devenais de temps en temps la chose de ma femme et que c'était avec joie et reconnaissance qu'elle acceptait que j'aille au bout de ses fantasmes à elle.
Je le regardais assis à ma droite. Son sperme était en train de sécher et collait ses poils sur son ventre. Il était fascinant. Tant de brutalité latente et endormie, concentrée dans ce corps.
Il me plaisait.
Dommage que Véro n'était pas là.
Dommage que ce soit notre Beauf.
Si nous l'avions rencontré au ciné, on se serait éclaté les trois. Il m'a regardé. Il a des yeux de porc, ronds, noirs, enfoncés dans leurs orbites. Cela lui donnait un regard difficile à soutenir. Il a souri. Rien d'amical dans ce rictus. C'est un sourire plutôt méchant.
- Chez toi, Il parait que tu es toujours à poil, alors fait comme chez toi... Allez grouille toi... Allez tu sais bien que tu le feras, alors ne perdons pas de temps.
Je me suis levé et lentement débarrassé de mes vêtements? J'ai à peine hésité pour baisser mon caleçon. Je me suis assis nu comme lui. Nos deux physiques devaient faire un contraste saisissant. Lui brute poilue avec du muscle partout et moi fin et pratiquement imberbe. Il m'a détaillé de la tête aux pieds.
- C'est vrai que t'es pas mal du tout. Sam. dit que t’es beau mec. Je suppose qu'elle dit vrai. Généralement, elle a bon goût. Tu sais que tu lui plais beaucoup. Elle dit que t'es comme un mannequin. Heureusement qu'elle préfère ma virilité bestiale. C'est comme cela qu'elle m'appelle. Elle dit que je suis un mec bestialement viril et protecteur de son foyer. C'est pour cela qu'on s'entend bien. Dans la vie comme au lit. Je suis sur que Véro et toi vous entendaient à merveilles. Vous avez trouvé chaussures à vos pieds comme on dit dans ma région.
Il m'a détaillé lentement du haut en bas, s'attardant sur ma virilité au repos. Rien à voir avec la sienne. Longue, assez fine, peu de poils et des couilles assez basses. Je savais que j'avais une belle queue. Je savais aussi m'en servir. Assez bien même, avec les nanas. A vrai dire, j'avais connu assez peu de nana, puisque nous nous sommes mariés très jeunes Véro et moi.
oooOOooo
Avec Véro, nous avons fait l'amour avant de nous marier. Nous allions dans des endroits discrets à la tombée de la nuit. Elle était déjà très délurée. C'est elle qui a pris mon éducation sexuelle en mains. Je savais que je n'étais pas le premier. Elle n'était pas non plus ma première rencontre. Mais entre nous, ça a tout de suite collé. Et ça a démarré très fort.
Tout a commencé avant même notre mariage. Un soir, nous faisions l'amour dans un bois. C'était au tout début de notre rencontre. Elle était debout contre un arbre, jupe retroussée autour de la taille, seins à l'air. Son slip était resté dans la voiture. Il faisait doux. J'étais contre elle, mon pantalon aux chevilles et je la pénétrais lentement en prenant tout mon temps. Sa chatte bien lubrifiée avalait ma pine dressée. Nous prenions notre temps. Brusquement, je l'ai sentie se contracter. Elle m'a parlé à voix basse
- Y a quelqu'un
Je me suis immobilisé au fonds de son ventre
- Ou?
- Derrière toi. Je ne suis pas sure.
Elle chuchotait à mon oreille. Nous ne bougions plus. J'avais beau tendre l'oreille, je n'entendais rien. A part quelques bruissements.
- Je suis sure qu'il y a quelqu'un qui nous regarde...
- Merde. Qui peux venir à cette heure-ci. T'es sure? Tu veux qu'on arrête? Qu'on aille ailleurs
Elle a eu un moment d'hésitation avant de me répondre d'une voix excitée.
- Non. Non continue j'ai trop envie.
- On risque d'avoir des problèmes s’il y a réellement quelqu'un.
- Je pense pas. Ça doit être un voyeur... Continue. Vas-y bourre moi Chéri. Après tout si cela lui plaît à ce mec de nous regarder. Moi ça ne me gêne pas.
J'ai repris le rythme lentement tout en tendant l'oreille. Notre excitation remontait. À un moment, il m'a semblé entendre des craquements. Elle les avait entendu aussi. Il faisait très noir.
- Il s'approche... Continue. Vas-y, enfonce la bien. Tu peux pas savoir ce que cela m'excite que tu me baises devant quelqu'un. Je vois sa silhouette. Bourre-moi bien.
Effectivement, elle mouillait considérablement. Mon sexe coulissait parfaitement le long de ses muqueuses gonflées. Les craquements étaient plus forts. Les bruits se rapprochaient. Je continuais de plus belle mes coups de reins pour enfoncer mon pieux au plus profonds de sa chatte.
Elle devait certainement le voir, mais elle ne disait plus rien. Elle avait les yeux brillant dans le noir. Je devinais qu'elle regardait quelqu'un. Je ne me suis pas retourné. Ma bitte était le centre de mon corps…
Brusquement, j'ai senti une présence dans mon dos. Je ne me suis pourtant pas retourné. J'avais ma tête enfouie dans le creux de l'épaule de ma maîtresse.
Le type s'est collé contre moi. J'ai sursauté, complètement dégrisé. Véro a senti que j'allais arrêter ce jeu. Ses bras m'ont entourés le torse et m'ont plaqué contre elle. Ses seins s'écrasaient contre ma chemise. Ma bitte allait exploser. Je n'allais plus tenir longtemps.
J'ai à peine senti des mains froides sur mes fesses. Ce n'étaient pas celles de mon amie. Puis des doigts dans ma raie. Mon excitation a atteint des sommets. Celle de Véro aussi. Les doigts ont pénétré mon cul. C'était la première fois. J'ai crié. Véro a deviné ce qui se passait et sa bouche s'est plaquée sur la mienne. Les doigts étaient dans mon cul. J'ai explosé dans le ventre de ma future femme. Nous avons jouis ensembles avec une violence jamais atteinte. Je sentais les doigts coulisser dans mon cul. Ma bitte brûlait au fonds de la chatte. Véro gémissait dans ma bouche. Mon sexe coulait en elle. Les doigts me faisaient un peu mal, mais c'était fabuleux. Fabuleux pour nous deux. Véro et moi avons gémis de bonheur.
Nous sommes restés soudé, ma barre toujours dure fichée dans son sexe mouillé. Je n'avais plus rien dans le cul. Le type n'était plus là. Disparu comme par enchantement.
Nous avons lentement repris nos esprits. Nous sommes redescendus de ce septième ciel. Nous étions essoufflés de tant de jouissance. Véro s'est essuyée avec mon mouchoir. J'avais un peu mal à l'anus. Nous avons regagné la voiture.
Avant de démarrer, nous nous somme regardé. Elle était en train de remettre son slip, sans aucune pudeur. Nous avons éclaté de rire. Elle m'a mordu doucement le lobe de l'oreille.
- C'était super
- Géant.
- Quel effet ça t'as fait d'avoir des doigts dans le cul mon chou?
- Et toi quel effet ça t'a fait de voir ton mec se faire doigter par un autre mec?
- C'était vraiment magnifique. Surtout par un inconnu.
- Alors pour moi aussi... Même si j'ai un peu mal au cul quand même. Il était comment?
- J'en sais rien. J'ai pas fait attention.
- T'as pas vu son visage?
- Non je te regardais toi. Ton visage crispé m'a largement suffit. T'étais super en train de souffrir du cul.
- Ah bon? J'ai quand même mal au cul.
- Mon pauvre chéri va!
Nous avons éclaté de rire.

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