Biens Allumes
BIENS ALLUMES
Ils avaient l'air bien allumés les petits jeunes du quartier. Il y avait un petit groupe de trois garçons que j'avais remarqué peu après mon arrivée dans cet appartement. Ils n'avaient pas l'air bien méchants, non, c'était plutôt le contraire. Il faisaient les marioles, un peu taquins entre eux, ils ne cassaient rien. Je n'ai pas trop su ce qu'ils faisaient dans la vie. Ils n'avaient plus l'âge d'aller au lycée, ils n'étaient pas étudiants, ils semblaient travailler en intérim et partageaient une colocation pas loin de chez moi et semblaient se satisfaire de cette situation.
Souvent il y en avait au moins un qui était là, dans le petit parc juste à côté de chez moi, il avait toujours un ballon avec lui. Il s'amusait à le lancer contre un grand mur aveugle qui limitait le parc sur la gauche. J'avais une vue plongeante sur ce petit parc depuis mon balcon au second étage. Et souvent je les regardais s'amuser.
Physiquement, ils étaient adorables, la beauté de la jeunesse. Ils bougeaient bien, ils portaient des vêtements juste au corps. Des pantalons droits et serrés un peu dans le genre legging. C'était un plaisir de les voir s'agiter, quelquefois ils faisaient un peu de bruit mais jamais ils n'embêtaient les passants ou les nounous qui venaient promener les gamins.
Au début j'avais un peu redouté que ce ne soit de petits voyous ou des emmerdeurs
Il n'en faut pas beaucoup dans un quartier pour empoisonner la vie de tous mais ce n'était pas le cas ici. Juste trois petits jeunes qui aimaient bien rigoler sans trop déranger les voisins.
Le jour de mon arrivée, je terminais de monter mes affaires, j'avais mon dernier carton dans les bras quand un d'entre eux passant pour se rendre au parc me lançait
'' Tu veux un petit coup de main M'sieu ? '' . M'sieu, c'est vrai que je suis plus âgé, beaucoup plus âgé qu'eux, je pourrais facilement être leur père, pas leur grand père tout de même mais leur père, sans problème, j'ai l'âge.
Il portait des basket blanche, il était mince, très mince, moi qui ai tendance à m'arrondir un peu partout
Pfff
( Vous pouvez rigoler, vous verrez quand vous aurez mon âge ! ) Surtout que je faisait moins de sport depuis que j'avais pris ma retraite. Il portait une chemise colorée avec des dessins de fruits exotiques qui ne dissimulait pas une certaine musculature fine mais bien dessinée, un blouson épais qu'il refermait le plus souvent, c'est vrai qu'il faisait encore un peu froid dans ces derniers jours d'hiver, un pantalon jeans taille basse qui le moulait bien, surtout au niveau des jambes mais sans pour autant gêner ses mouvements. J'aurais aimé pouvoir admirer une jolie bosse en haut de l'entre jambe mais
Non, c'était discret
Petite bite ? Peut être, on ne peut pas toujours juger sur pied comme ça ! Une seule chose était sûre, c'était pas un géant sur ce point !
Les jours suivants, je m'installais. Tous les après midi je voyais passer le petit jeune que j'avais rencontré le premier jour. Il avait toujours le sourire, il était très mignon, quelquefois il jetais un il dans ma direction puis au moment ou il arrivait il prenait l'habitude de me saluer. Des petit voyous ? J'ai pas l'impression. Il n'était pas rare que plus tard dans l'après midi un de ses deux camarades le rejoignait souvent suivi par le dernier. Il portaient tous les trois le même genre de pantalon, ça dessinait bien leurs fesses sans pour autant devenir indécent. Ce genre de pantalon peut aussi mettre bien en évidence la bosse que les garçons portent tous en haut des cuisses, là, entre les jambes
J'aime bien regarder la bosses des mecs moi. Avec eux je restais sur ma faim, il y avait bien quelque chose, ça c'était évident, mais ces lascars là ne cherchaient pas à se faire remarquer.
Tous les jours ils passaient un long moment à jouer au ballon puis s'asseyaient sur le dossier d'un banc et discutaient en se taquinant, ils avaient un rire clair et joyeux.
J'avais décidé qu'il fallait que je reprenne le sport. Je vous avait bien dit que j'avais tendance à m'arrondir d'un peu partout ! Un après midi je descendais et traversais le parc.
'' Tu viens jouer avec nous au ballon dis M'sieur ? ''
C'était le premier de ces trois garçons que j'avais rencontré la semaine précédente qui m'invitait. J'entendais aussitôt ses deux camarades lui murmurer
'' Mais tu es fou, on ne le connaît pas
Et
! ''
Moi : Tiens pourquoi pas, il faut que je fasse du sport.
Le p'tit jeune : Ça c'est bien vrai tu es gros ! Ça te feras du bien!
Moi : Mais c'est que tu es du genre flatteur toi !
Lui : Normal je suis un p'tit branleur ! C'est ce qu'on me dit toujours !
Ses deux camarades ne savaient pas comment réagir, je rigolais de bon cur, ils en faisaient tous de même. On tapait le ballon pendant tout l'après midi, on faisait quelques pauses en prenant le temps de faire connaissance. C'est là que j'ai appris qu'ils travaillaient en intérim, ils étaient en colocation et s'en sortaient assez bien. Ils habitaient à trois pâtés de maisons de là. Je les invitais au fast-food juste à côté.
Did, c'était le premier garçon que j'ai rencontré, n'était pas timide mais ça je l'avais déjà remarqué. Ses deux camarades étaient un peu plus réservés mais se détendaient rapidement. Il y avait Johnny et Larsen, je vous laisse deviner pourquoi ils l'avaient surnommé comme ça, je vous dis seulement qu'il faisait de la musique
Je voyais Did tous les jours qui ont suivi, il ne travaillait pas à ce moment et venait s'occuper tous les jours, histoire de passer le temps.
J'avais envie de lui caresser les fesses que son pantalon moulait si joliment et je ne me privais pas d'admirer ses cuisses, il était mince mais musclé le petit bonhomme. J'aurais voulu être un peu plus jeune moi, il était trop mignon et j'étais en train de tomber amoureux. Il avait toujours ce petit sourire racoleur et ce regard un peu coquin. Il s'en amusait ! Il s'amusait de tout d'ailleurs ! Il avait toujours le sourire, était toujours joyeux, et avait toujours envie de rigoler. ( J'imagine que parmi vous aussi il y en a que ça amuse de rire ! ). J'appréciais de plus en plus sa compagnie.
Les semaines avaient passé, j'avais perdu un total de plus de dix kilos ( il avait une bonne influence sur moi le p'tit gars ). Le printemps se faisait sentir et quelquefois je m'installais sur mon balcon pour travailler, l'ordinateur à l'ombre devant moi, la tasse de thé sur une petite table juste à côté de moi. Je travaillais à mes mémoires. Oui bon d'accord je suis un peu jeune pour écrire mes mémoires mais comme je n'écris pas vite je préfère m'y prendre tôt
Je ne sais pas si c'est un bon argument ça ?
Quand Did arrivait il me saluait en hurlant
'' Tu devrais te bouger au lieux de rester devant ton ordinateur , tu vas encore grossir
''. Toujours aussi rigolo le p'tit gars ! Je rangeais alors l'ordinateur et descendais le rejoindre, on partait alors faire une promenade de santé au petit trot
Il avait l'air d'apprécier ma présence également. Tout en courant on discutait de tout et de rien, je lui avais raconté que j'avais été garde du corps dans une famille très importante dont je ne devais pas trop parler.
Did : Garde du corps ? Ça explique un peu ta musculature.
Moi : Tu trouves que je suis musclé ?
Did : Bein oui quand même un peu
Pas mal même !
Nous étions allongés torse nue sur le gazon près d'une rivière. Il passait alors le dos de sa main sur mon torse et me caressait doucement. Il m'allume là ?
Did : Et puis j'aime bien aussi ta fourrure !
La je ne savais plus quoi répondre, c'est vrai que je suis du genre nounours. Lui il a un corps complètement lisse, je le devinais très doux mais je n'osais pas y toucher.
Moi : C'est vrai que
Au niveau fourrure
Et toi par contre tu n'as pas de poil sur le corps, c'est naturel ou
?
Did : C'est naturel ! Sauf sous les bras, là j'épile. Sinon c'est naturel !
Did : Ça te plaît ?
Oui finalement pas de doute ! Il m'allume ! J'osais passer ma main sur son torse à mon tour !
Moi : Musclé comme tu es ça te vas bien !
Je n'osais pas en faire plus. Je le regardais, je devrais dire
Je l'admirais ! C'est vrai qu'il est craquant, bien foutu, musclé, mince, le peau d'une extrême douceur, une silhouette de rêve et allongé sur le gazon, comme ça on pouvait voir plus nettement une jolie petite bosse entre ses jambes tout en haut de ses cuisses. Je rêvais d'y poser la main mais je n'osais pas !
Did : Quand tu n'as pas de poil sur le corps il vaut mieux être bien musclé, avec quelques poils ça gomme les défauts. Si tu as des poils tu peux avoir un peu de lard !
Moi : Ça va j'ai compris, un peu comme moi !
Did : Mais non tu fais pas gros lard !
Je me laissais retomber sur le gazon !
Moi : Gros lard ! Comment il y va lui ?
On riait de bon cur.
Did : Tu as perdu au moins dix kilos depuis qu'on cours ensemble, non ?
Moi : Onze !
Did : Tu vois c'est un bon début ! Il faut que tu en perde encore combien avant de redevenir élégant ?
Moi : Branleur ! Tu es un branleur !
Did : Si seulement !
Moi : Pardon ?
Did : Non rien !
Il se relevait rapidement. '' Il faut que je rentre
On ne se verra pas pendant plusieurs jours, j'ai une mission
L'agence d'intérim
Tu ne passes pas tes après midi sur ton ordinateur sinon tu vas encore grossir
?''. Il me saluait et partait en courant. Je restait là, plein de rêves dans la tête, des rêves qui avaient tous le visage de Did et la douceur de sa peau.
Deux semaines plus tard je me sentais en manque, je ne parvenait pas à écrire une seule ligne, j'en profitais donc pour suivre ses conseils, je ne restais pas sur mon ordinateur je faisais du sport, je me musclais. Ses camarades passaient souvent avec leur ballon dans le parc juste sous mon balcon. Je le rejoignais pour taper quelques balles, on discutait, ils me donnaient des nouvelles de Did. Il avait une mission dans un autre département pour une période d'un mois, il restait encore deux semaines. Ils sont sympas aussi ses deux copains mais je n'ai pas la même affinité avec eux. Le printemps avançait, on se croyait presque en été par moment.
Juin arrivait, Did n'était toujours pas de retour. Quand je marchait dans la ville il m'arrivait de le voir ici ou là, mais ce n'était jamais lui. Ses camarades me disaient qu'il devait revenir, mais là c'était sûr, à la fin du mois de Juin.
Fin Juin arrivait ! Ça faisait plusieurs jours que je n'avais pas vu les jeunes. Ils m'avaient dit qu'ils auraient une mission, c'est comme ça avec l'intérim. On sonnait à ma porte. J'allais tranquillement ouvrir, c'était Did. Il affichait un large sourire charmeur et réjoui, je lui répondais par le même sourire et le prenait dans mes bras. Sur ma lancée je l'embrassait sur la bouche et aussitôt je réagissais, me reculais, confus je ne savais plus quoi dire, je m'étais laissé aller. J'allais bafouiller je ne sais pas quoi quand
Did : On recommence ?
Toujours avec ce même sourire, mais peut être encore plus réjoui. Je le faisais entrer, je refermais la porte et là seulement
On recommençait. Ses baisers étaient chauds, c'était la première fois depuis que je le connaissais que je sentais son corps aussi ferme, doux, fort.
Did : Tu as pris du muscle toi !
Déjà il glissait une main sous ma chemise et je sentais une caresse d'une grande douceur qui me faisait frissonner du bas de mon ventre jusqu'à mes tétons. Did me repoussait doucement contre mon canapé, je me retrouvais assis, il rigolait devant moi.
Did : Il faut que je te dise ou plutôt que je te montre quelque chose.
Il baissait alors rapidement son pantalon devant moi, toujours en rigolant.
Did : Tu as vu ça ? C'est cool non ?
Il avait un dispositif de chasteté, un modèle CTC en titane.
Moi : Et il y a longtemps que tu portes ce genre de truc ?
Did : Depuis Noël ! C'est mes copains, il me l'ont offert mais ils ont gardé les clés jusqu'à aujourd'hui.
Moi : Tu ne l'as pas retiré depuis Noël ?
Did : Nan !
Moi : Tu le portais avant qu'on ne se connaisse alors ?
Did : Ouai !
Moi : Et tu n'avais pas la clé ?
Did : Nan !
J'éclatais de rire. Me relevais, je lui donnais un baiser et le retournais pour l'asseoir là ou j'étais.
Did : Tu as déjà vu un truc comme ça dis ? Hein ! Tu n'as jamais vu un truc pareil ? Dis !
Je me plaçais juste devant lui, en un geste je baissais mon pantalon et , vous auriez vu la tête qu'il a fait ! Je lui montrais fièrement mon dispositif, modèle CTC également, que je portais.
Did : Ah ouai !
Là il ne rigolait plus, il avait toujours le regard rieur mais sa bouche exprimait surtout la surprise. Puis il pouffait de rire.
Did : Mais c'est le délire ça ! J'y crois pas ! Et ça fait longtemps que tu portes ce genre de truc toi ?
Moi : Ouai !
Did : Avant qu'on ne se connaisse ?
Moi : Ouai !
Did : Et tu l'as retiré ?
Moi : Nan !
Did : Tu n'as pas les clés non plus ?
Moi : Si, au contraire, j'ai les clés !
Did : J'hallucine !
Je le regardais, et sa surprise m'amusait beaucoup !
Moi : J'étais garde du corps d'un des membres de la famille Brosso pendant des années, j'ai longtemps été au service du jeune Philippe, je suis en retraite depuis peu et je ne l'ai pas encore retiré. C'est addictif ce genre de truc, tu as du le remarquer. Mais j'ai la clé !
Did : Moi aussi maintenant, mes copains me l'on donné pour marquer les six mois non stop.
Moi : Tu en as de la chance !
Did : J'ai le droit de faire ce que je veux !
Moi : Et tu as pensé à moi.
Did : J'étais pas sûr mais, je me suis dit que si je ne tentais pas
Moi : Je crois que tu as bien fait.
Il s'était relevé et déjà je lui avait retiré sa chemise, je sentais la force de ses muscles et la douceur des sa peau sous mes doigts. Je le caressais avec autant de désir que de douceur. Il me déshabillait à son tour, et la douceur de sa peau se serrait contre ma fourrure, il m'embrassait également.
Nos pantalons étaient ouverts, braguette ouverte, on les laissait tomber tout seul sur nos chevilles et quand on relevait les pieds c'était en premier pour les repousser plus loin, nous étions nus. Ça devait faire longtemps que je n'avais pas senti cette pression dans ma cage, je l'avait presque oubliée celle-là. Depuis maintenant plusieurs années c'était devenue une partie de moi, plus qu'une partie de mes vêtements, une partie de moi. Elle ne m'avait pas quittée depuis si longtemps que je ne me souvenais plus vraiment. Mais la pressions que je ressentais m'indiquait que tout marchait bien, que tout marchait toujours parfaitement.
Je l'entraînait dans ma chambre par le main, dans son autre main il tenait sa clé. Je le repoussais sans ménagement sur mon lit, il tombait de tout son poids mais sans se faire mal, il rigolait. Il me tendait alors sa clé et se mettait à l'aise, je lui écartais les jambes et maccroupissais juste entre ses genoux. Avec douceur j'ouvrais le dispositif, je retirais la cage et dégageais l'anneau.
Comme je m'en doutais c'était pas un géant, il avait une toute petite bite, toute molle. Mais je le trouvais toujours aussi craquant, je lui caressais le corps avec toute la douceur que je connais, je passais mes mains sur ses cuisses, sur l'intérieur de ses cuisses. Je passais les pouces à la base de son sexe, là aussi il n'y avait pas de poil. A part les cheveux avec Did on ne peut pas dire '' A poil '' !
Sa queue restait toujours toute molle, mais je sentais déjà sa respiration s'accélérer. Je me penchais alors vers lui et prenais sa queue dans ma bouche. C'est là que je l'ai senti grossir et durcir. C'était pas un géant mais, finalement il n'était pas ridicule non plus. Elle rentrait en entier dans ma bouche mais il faut dire que j'avais été entraîné. Je l'entendais gémir, il me caressait les cheveux et me laissait faire. Je le sentais se tortiller sous mes caresses, quelques petits éclats de rire, au moment ou je devais le chatouiller puis de nouveau des gémissements de plaisir. Sa queue se relevait fièrement, fermement et avait retrouvé toute sa fermeté, encore plus ferme que ses muscles.
Je relevais la tête mais continuais à l'embrasser, à le caresser du bout du nez, du bout de la langue. Je remontais, j'arrivais à son nombril, mes mains lui caressais le torse, je pinçais doucement ses tétons. J'arrivais à ses tétons, je les mordillais doucement et là je le sentais trembler, je le sentais retenir le réflexe qu'il avait de me repousser quand un frisson trop fort le prenait.
J'arrivais enfin à ses lèvres, nous nous embrassions de nouveau mais avec passion maintenant. Avec le temps, ma cage je ne la sentais plus mais à ce moment, je la sentais. Ma queue protestait comme elle le faisait, comme elle l'avait fait il y a bien longtemps, à l'époque ou
C'était déjà si loin tout ça
Did me retournait sur le dos, je me laissais faire. A son tour il me caressait tout le corps, il posait des genoux de chaque côté de mes hanches. Je le regardais, il était toujours aussi beau, encore plus même. Sa queue était relevée, plaquée contre son ventre, un belle petite queue, pas très grosse mais pas ridicule. Plus petite que la mienne mais la mienne justement elle était toujours dans sa cage.
Did : La clé ?
Je tendais le bras vers la table de nuit, j'ouvrais le premier tiroir, fouillais de la main, toujours en le regardant dans les yeux. À chaque battement de mon cur je sentais une pression, une contraction de ma queue. C'était sans douleur, sans véritable gêne. Je lui donnais la clé.
Il me caressait alors le bassin, passait ses mains sur mes hanches, ses doigts à la base de mon sexe, il me massait les couilles, je sentais sa langue se promener sur mes couilles, sur la peau de ma bite à chaque ouverture. Il prenait ma cage dans sa bouche et je sentais une caresse très douce au travers des ouvertures, là je bandais fort, la pression était à son maximum, je respirais fort et par moment je tremblais à mon tour.
Je sentais ses mains, ses doigts qui me tripotaient ma cage et mes couilles. C'était une étrange impression au moment ou la cage s'en allait, il l'avait retiré avec douceur, je la sentais encore sur ma queue mais je savais qu'elle n'était plus là. Ensuite c'était l'anneau de maintient qu'il ouvrait et retirait et pour finir c'était sa bouche qui se refermait sur ma bite et sa langue qui me caressait désormais sans entraves ma queue, mon gland, mes couilles. Je tremblais de plaisir. J'avais la tête en feu, le souffle court et fort.
Je sentais ses baisers se promener sur mon ventre, il me chatouillait le nombril avec la langue et me faisait rire, il me caressait du bout du nez avec une grande douceur, la langue suivait. Puis la langue s'attardait sur mes tétons avant que du bout des dents, avec une grande douceur, il me les mordillait. Je frémissais, je gémissais, je crois même que là je faisais beaucoup de bruit !
Il n'avait pas de difficultés à prendre ma queue en entier dans sa bouche pourtant je suis mieux monté que lui. Mais il sait faire le gars ! Et en plus il fait ça bien. Je me retournais contre lui, il se retrouvait en dessous de moi. Il se retournait et c'est moi qui me retrouvais en dessous de lui. Je me retrouvais assis en tailleur, lui sur mes genoux, les jambes repliées dans mon dos. Ce n'était plus que câlin, caresses, baisers, douceur. Je décidais de l'enculer.
Je bandais ferme, je savais bien que tout marchait bien. Je me branlais un peu, juste comme ça pour le plaisir, je l'installais sur le dos, la tête sur un coussin, bien à son aise. J'aurais pensé que ma queue était bien plus grosse que la sienne mais finalement, je ne sais pas si c'était le temps passé dans la cage ou si c'était une impression de ma part mais elle était à peine plus grosse que la sienne.
Je me mettais en position, et en un mouvement je m'enfonçais et mon ventre s'écrasait contre ses fesses. Il râlait de plaisir et refermait ses jambes dans mon dos. Il se cramponnait à mon cou, je passais mes bras sous ses genoux et refermais mes bras. Ses jambes se retrouvaient repliées contre son ventre et quand je me relevais il suivait accroché à moi, complètement empalé sur ma queue
Et je suis sûr qu'elle était plus grosse à l'époque
Le confinement l'avait un peu réduite en taille mais c'était pas bien grave, ça marchait toujours aussi bien.
J'étais debout au milieu de la chambre, lui était accroché à moi, je lui donnais des coups de bassin à répétition. Cette position pourrait paraître inconfortable mais il ne faut pas oublier qu'il doit faire à peine soixante kilos tout mouillé alors que moi j'en fais plus de quatre vingt dix
Et que du muscle ( enfin presque ) ! Je l'appuyais contre le mur et m'appuyais contre lui, la position était plus confortable pour moi et j'en profitais pour lui buriner le cul sans ménagement. Il avait le visage juste en face du mien, par moment je ne bougeais plus et en profitais pour l'embrasser.
Quand je reprenais je le voyais faire des grimaces, je l'entendais gémir, je sentais son souffle, je sentais finalement un liquide couler contre mon ventre, il jutait, il jouissait, il gémissait de plaisir, il tremblait, il sanglotait presque.
Cette dernière stimulation provoquait comme un frisson qui me parcourait le dos et je jouissais à mon tour, je jutais dans son cul, c'était intense, je me retrouvais en sueur, à bout de souffle. J'avais encore quelques mouvements incontrôlé de mon bassin, il gueulait à chaque fois.
Je me calmais, je m'appuyais contre lui, il était coincé entre le mur et moi, ma queue encore dans son cul, ses bras autour de mon cou. Il respirait fort tout comme moi. Je finissais par me relever, au moindre de mes mouvement il gueulait, je le jetais sur le lit et restais debout devant lui.
On se regardait, on se souriait. On ne disait rien, je m'allongeait à côté de lui et partageais un long, très long moment de tendresse et de douceur. Il me caressais la fourrure ( je vous l'ai dit je suis du genre nounours ). Plus tard on passait sous la douche, on s'habillait et le lui proposais le restaurant. Après tous ces efforts on était en appétit.
Cette nuit là il l'a passé avec moi. On n'en est pas resté là, on a remis ce genre dexercice plusieurs fois. Il m'a pris, je l'ai repris, puis il m'a
Bref on n'a pas beaucoup dormi. Au petit matin je me réveillais, il était dans mes bras, gros comme une crevette je sentais à peine son poids. Je le regardais un long moment sans oser bouger, son corps était ferme et doux et c'était vraiment agréable.
Il finissait par se réveiller et il me caressait, je sentais sa mains glisser ver mon sexe.
Did : Tu as une belle bite je trouve !
Moi : Elle était plus grosse dans le temps !
Did : Tu es sûr ? Moi je trouve qu'elle est bien ! Ça faisait combien de temps que tu portais ton truc ?
Moi : Cinq ans !
Did : Non stop ?
Moi : Non stop !
Did : C'est normal alors.
Moi : A la PK Companie ils disent que la taille importe peu
Je comprend mieux pourquoi maintenant.
Did : Ça marche quand même très bien.
Moi : Mais ils disent aussi que ce n'est pas définitif, on revient vite à sa taille d'origine
Did : Moi elle me convient très bien comme ça.
Did : Je vais devoir le remettre moi ! Tu me suis sur ce coup ?
Moi : Ça marche !
Il était neuf heure du matin, on n'avait pas dormi trois heures et on avait baisé le reste du temps aussi je ne vous cacherais pas que quand on sortait de la douche on était sexuellement satisfait, on s'installait sur la moquette de la chambre. Assis en tailleur, l'un en face de l'autre, il avait toujours ce petit sourire charmeur et ce regard coquin. Il prenait son dispositif passait l'anneau principal, j'en faisait de même. Ensuite il enfilait la cage, j'en faisais de même. Puis il prenait sa clé.
Moi : Tu te vérouilles !
Did : Non !
Il verrouillait mon dispositif d'un geste rapide, je le laissais faire.
Moi : Ah ! Tu veux jouer à ça ?
Did : Même pas peur !
Moi : Et c'est combien ton record dans ce dispositif ?
Did : Ces six derniers mois ! Et toi ?
Moi : Plus, beaucoup plus !
Did : Cinq ans ?
Moi : Plus, beaucoup plus !
D'un geste aussi rapide que le sien je verrouillais son dispositif. Il me regardais faire !
Moi : Le premier qui craque commencera par libérer son camarade qui aura toutefois le droit d'attendre cinq semaines maximum avant de libérer à son tour le premier, il pourras aussi jouer avec son copain pendant ces cinq semaines comme il l'entend !
Did : Wouah !
Moi : Ça marche ?
Did : On fait comme ça !
On s'est revu plus souvent par la suite, il n'apportait jamais la clé avec lui. Mais régulièrement il dormait à la maison, pour le reste, on faisait comme tout le monde à la PK, on utilisait des godes ceinture et des jouets de ce genre
Un jour vers la fin de l'été, on se détendait dans le parc, Johnny et Larsen étaient torse nue et je remarquais qu'ils portaient chacun une clé accrochée à leur cou. Ils s'en rendaient compte.
Johnny : Pour la clé, tu sais, c'est la clé d'un dispositif PK qu'on a payé à Did pour Noël.
Larsen : C'est Did il nous la confiée, et c'est nous qui décidons du moment ou nous l'utiliserons.
J'avais l'air un peu surpris, je regardais Did qui me répondait toujours avec son sourire et son regard rieurs.
Johnny : Il n'a pas l'air de comprendre !( à l'intention de son ami Larsen )
Larsen : On sait très bien que ce n'est pas le dispositif de Did qu'elle ouvre !
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