Le Peintre Et Sa Muse Chapitre 2 L'Accrochage

Chapitre 2
L’ACCROCHAGE

C'est en début d'après-midi que je sonne.
Il fait tellement bon en ce milieu de printemps et par cette belle journée je me suis permis de porter une tenue légère, un pantalon de lin et par dessus une chemise ethnique en soie de chine bleu indigo, ma couleur préférée.
Je suis passé chez mon barbier pour faire égaliser ma barbe que j’ai parfumée avec une huile cuir ambré, cela devrait s’accorder avec le 5 de Channel et c’est peut être le seul vêtement que porte mon acquéreuse, tout comme Marilyne ; j’espère bien le découvrir un jour.
Je suis devant la porte d'entrée d'une belle maison située sur un grand terrain qui se compose de zones enherbées qui sont plantées d'arbres.
Accolée au bâtiment, dans le prolongement d'une terrasse, il y a aussi une piscine.
La propriété est au bout d'une rue, c'est la dernière maison, avant la forêt.
J'ai sous mon bras, emballé dans un papier kraft comme il est de coutume et entouré d’une ficelle de chanvre, le tableau qui m'a été acheté et que j'ai promis de livrer.
La porte s'ouvre.
Elle est devant moi, la belle acheteuse de la veille.
Souriante, rougissant un peu, toujours aussi séduisante avec son 1m64 et ses 60 kg. Elle porte une jupe courte et un débardeur d'été à bretelles. Un top très décolleté.
- "Je suis à l'heure, comme promis.
- Oui, c'est bien, entrez donc."

J'entre dans le couloir, une porte et nous voici dans le séjour qui se compose de deux parties, salon et salle à manger.
Elle m'invite à m'asseoir et s'assied face a moi.
Je vois maintenant aussi ses jambes nues, des mollets bien galbés et comme hier elle porte des escarpins.
- "Bernard, viens, notre artiste est là.
- Oui Annie, j'arrive".
Flûte me dis-je, elle n'est pas seule. Enfin il faut faire avec.
Enfin je sais qu'elle se prénomme Annie et lui Bernard.
Ce dernier arrive, Il est en pantalon et une chemise ouverte sur la poitrine.


On se salue, il s'assied aussi face à elle.
On engage la conversation que j’ai bien du mal à suivre correctement car je n’ai d’yeux que pour les genoux d’Annie qui est assise devant nous dans un fauteuil bas, ce qui relève un peu sa jupe et qui d’un seul coup me parait bien courte.
Comme toutes les femmes elle a replié ses jambes l’une contre l’autre et inclinées sur le côté je peux donc voir la naissance d’une cuisse, il ne m’en faut guère plus pour imaginer le reste. Ses cuisses me semblent bien fermes.

Bernard me fait la conversation, me parle de lui, de ses activités, etc etc……
Je tente d’y couper court en m’adressant à Annie :
- « C’est la vue de Collioure qui vous a plu ?
Peut être y avez-vous une résidence secondaire ?
Pour ma part j’ai des amis qui résident pas très loin, à Banyuls,
Je leur rend visite régulièrement j’en profite pour peindre quelques aquarelles, la lumière y est tellement belle. ».
- Oui nous avons en ville un petit appartement avec vue sur la place principale. Peut-être un jour
on se retrouvera là-bas. Merci de vous être déplacé pour nous amener le tableau.
- Bernard va chercher quelque chose à boire."

L'homme se lève il sort, je l'entends ouvrir une porte, des pas, il doit aller dans la cave. Alors je poursuis :
- « Mais je vous rends visite exceptionnellement pour vous chère madame, je ne le fais jamais c’est toujours mon agent qui s’en charge, mais pour vous j’ai tenu à le faire, et si nous cherchions un emplacement pour cette aquarelle.
Mais si mes souvenirs sont exacts je crois que vous vouliez l’accrocher dans votre séjour !»
Elle acquisse de la tête, se lève et je fais de même, on se déplace un peu pour aller dans la pièce qui est une salle de séjour avec télé, meubles et un trois grands murs blancs. Je suis à ses côtés je vois de près sa poitrine très gonflée.
Je me permets même dans ma tête de l'estimer... 90D ou 95C ? A vérifier, quand je dégraferai son soutien gorge pour remplacer les bonnets par mes deux mains.

Je déballe le tableau après l’avoir posé sur la table basse, Annie se penche pour le regarder de plus près, la jupe courte dévoile le haut de deux belles cuisses fermes.
Qu’elle ne reste pas ainsi, sinon je vais finir par y mettre les mains.
- « Nous avons le choix de trois murs, pour ma part je choisirai le mur que l’on voit en entrant dans la pièce, ainsi chaque fois que vous franchirez la porte, les souvenirs de vos vacances vont vous revenir à l’esprit, mais il faudrait un crochet ou au moins un clou et un marteau, vous devez avoir cela Annie ?
Vous permettez que je vous appelle par votre prénom, un de mes tableaux chez vous c’est un peu comme si j’entrais dans votre intimité n’est-ce pas ?"
Si nous allions chercher ce clou ensemble ! »

C'est à ce moment là que son homme revient avec une bouteille et j'entends Annie lui dire
- "Prépare les coupes et aussi des gâteaux. Nous allons dans le petit abri de jardin où tu ranges tes outils de bricolage pour chercher de quoi accrocher le tableau."

Je suis Annie, nous sortons par la porte-fenêtre du coin cuisine qui donne sur une belle terrasse. Je ne peux m'empêcher de regarder autour de moi, cette terrasse est à l'abri d'autres regards, pas de maisons aux alentours, que des prés, et de la forêt.
Nous passons à côté de la piscine couverte et marchons dans l'herbe vers un joli cabanon au fond de la propriété.
Annie, avec ses escarpins a un peu de mal à se déplacer et oh surprise agréable, ses seins ballottent quand elle se déplace. Je pense qu'ils doivent être lourds.
Elle ôte ses escarpins pour marcher pieds nus dans l’herbe.
Je la prends de nouveau par le bras et je m’assure que l’on ne peut plus nous voir depuis la maison.
Et je lui dis:
- « Donnez-moi vos escarpins et retirez votre petite culotte vous serez plus à l’aise et donnez la moi ! Je vous tiens».
Ce faisant j’accentue ma pression sur son bras elle ne résiste pas, Annie me donne ses escarpins et elle passe son autre main sous sa jupe et élégamment elle retire la petite lingerie qui couvrait son sexe, et elle me la tend.
Elle est rouge de honte mais j'ai deviné en elle une envie de soumise qu'il me faudra exploiter.
Je la porte à mon nez afin d’en humer les fragrances et je sens déjà une humidité certaine. Annie n’ose pas me regarder mais je sais que c’est gagné je vais faire ce que je veux d’elle.
Arrivés devant le chalet de jardin Annie m’invite à rentrer :
-"Entrez, voici l'antre de Bernard. Il y passe des heures et des heures à bricoler ici. C'est son domaine".

Elle me dit cela face à moi, avec un regard qui semble être un défi.
Je découvre ce petit chalet avec aux murs des outils, des outils, des boites avec vis, clou, des scies, perceuses... tout bien rangé.
Au milieu, une grande table de travail mais propre. Contre un mur, un canapé, je semble surpris car elle se sent obligée de préciser : "Oui Bernard en profite aussi parfois pour faire la sieste lorsqu'il est fatigué. Il a bientôt 70 ans!"

Alors dans cette ambiance d'intimité, dans ce cadre inhabituel, je ne peux me retenir davantage.
Je m'approche d'Annie, je la prends contre moi et ma bouche cherche la sienne.
Et elle ne recule pas, au contraire, elle ouvre sa bouche, nos langues se rencontrent.
Et tandis que nous échangeons notre premier baiser, je pose mes mains sur la jupe d’Annie à la hauteur de ses cuisses et je remonte vers les hanches entraînant par la même occasion tout le tissu
Sa jupe se réduit à un bourrelet autour de ses hanches, et voilà enfin Annie fesses et sexe à l’air entièrement à ma merci, docile et prête à tout.

Je la soulève en la prenant par les cuisses mon sexe à l’étroit dans mon pantalon se plaque sur le pubis d’Annie elle ne peut pas ne pas le sentir, je n’ai qu’une envie la prendre la faire jouir, je la dépose sur la table ; Annie déboucle ma ceinture et déboutonne mon pantalon qui tombe à mes pieds et elle pose sa main sur ma tige turgescente, bandée à m’en faire mal.
On se regarde les yeux dans les yeux, elle me dit :
- « Mon dieu tu es gros, c'est terrible, c'est un rêve! ».

Je baise mon slip qui rejoint mon pantalon.
C’est vrai la petite main d’Annie a du mal à faire le tour de mon sexe.
Pendant qu’elle me caresse mon vit qui est dur et dressé, d’une main j’écarte un peu plus Annie et de l’autre j’explore son sexe déjà trempé, il est tout lisse, un doigt, puis deux dans son vagin puis je frotte mon pouce sur le haut de sa fente, sous la pulpe de mon pouce je sens son bouton tendu, hors de sa cachette, ses petites nymphes engluées de cyprine entourent mes doigts, mais je me peux pas résister plus longtemps au doux parfum entêtant de la chatte d’Annie, alors je tombe à genoux la tête entre les cuisses d’Annie je n’enivre du doux parfum de sa ruche.
Puis je lape tout ce nectar opalescent, de la langue.
Je nettoie toutes ces petites chairs brûlantes, entre mes lèvres, j’aspire ce clitoris gorgé de sang, tendu vers un plaisir qui ne saurait tarder. Il est petit mais dur.
Ses cuisses enserrent ma tête j’entend à peine Annie qui soupire, elle me tient par les cheveux afin de plaquer ma bouche plus fortement sur son sourire vertical, et soudain plusieurs giclées viennent arroser l’intérieur de ma bouche, j’avale tout c’est peut être de l’urine de la jouissance, les deux mélangées, peut importe venant d’Annie je veux bien tout avaler, tout goûter, m’en gaver.
Enfin Annie relâche son étreinte et je peux me relever.
Je suis plus que prêt à embrocher la belle Annie, mais en se relevant elle me dit :
- « Pas maintenant nous avons déjà trop tardé !
- «Branle moi au moins ou suce moi ! ».
- Non on prend le marteau et les clous pour ce que tu me demandes je viendrai te voir à ton atelier ».

Dépité, je remonte slip et pantalon, nous prenons un marteau et des clous, Annie m’embrasse de nouveau, puis elle reprend sa petite culotte dans ma poche révolver et elle m’essuie la figure avec en me disant tu sens le femelle !
Il ne reste plus qu'a regagner la maison, planter un clou et boire une coupe avec Bernard qui s'étonne que nous ayons mis autant de temps pour trouver un marteau et un clou et qu'il aurait mieux fait d'y aller lui-même.
Elle lui dit qu'elle a montré tous les éléments du cabanon et dehors elle a aussi montré les arbres fruitiers.
Puis il fait remarquer à Annie qu’elle a retiré ses escarpins. S’il savait que la culotte aussi n'est plus sur elle et qu’elle est dans ma poche.
Annie lui rétorque que pour marcher dans la pelouse avec des escarpins ce n’est pas facile et qu’elle les a oubliés dans l’abri de jardin.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!