Collection Étrange Phénomène. Satan Existe (3/3)

Mon histoire va vous paraître étrange, pourtant elle est bien réelle.

Il semble que suite à une piqûre à un de mes doigts dans l’église où je me suis mariée, le jour du mariage de Chloé ma belle-soeur, un étrange phénomène se soit emparé de mon corps.
Moi s'y poser en toute occasion depuis ma naissance en passant par les meilleures écoles, je deviens un vrai démon du sexe.
Jusqu’à ma belle-mère qui dans sa grande limousine se fait sauter par son chauffeur black, je comprends qu’elle aussi dans sa jeunesse a été atteinte par le même mal.
Satan existe et Satan s’empare de nous par le biais de piqûres.
Ce qui est mal sein, c’est que Satan semble vivre dans les églises, comment le combattre, ma belle-mère me propose de m’adresser au père François celui qui m’a marié.
Je suis prêt à aller le voir, mais la voix me met en garde, elle fera de moi une pute.
J’ai déjà eu ma dose de dépravation, Dieu seul sait dans quel bordel parisien est-elle capable de me faire entrer.
La nuit que je passe est blanche.
Au matin espérant retrouver ma tranquillité je me prépare.
Au moment où je vais pour ouvrir ma porte, on sonne.
J’ouvre.

• Lise, tu m’as fait peur, je venais te voir mais je vois que tu t’apprêtes à sortir.
• Tu veux quelque chose !
• Oui, te parler de maman, elle a toujours été étrange, mais je crois qu’elle couche avec Firmin son chauffeur.
• Tu dois te tromper, ta maman est une femme très fidèle à ton papa comme je le suis à Charles-Henri et toi à Édouard.

C’est à ce moment que la voix se fait entendre.

« Tu t’avances, si tu savais ce que je lui ai fait faire, si je lui mettais dans le crâne que j’ai réussi à ce que tu suces celui qu’elle venait d’épouser. »

• Nonnnn.
• Évite de hurler, j’entends très bien, pourquoi dis-tu non avec tant d’insistance ?
• Je disais que non, ta maman est une femme intègre comme toi Chloé.

• Celui qui me fera tromper Édouard est loin d’être né.

« Demande-lui ce qu’elle faisait hier au soir pendant que tu étais dans le bois de Boulogne avec sa mère. »

• Nonnn.
• Tu es malade Lise, pourquoi ce nouveau non !
• Je disais non, il est vrai que celui avec qui tu tromperas ton mari est encore dans les … couilles de ton père.
• Comment parles-tu Lise, tu me déçois ?

« Tu vas voir ce que je vais lui faire faire. »

• Nonnn.
• Si, il fait chaud, je vais tourner de l’œil, ça te gêne que j’ouvre mon chemisier.

« Dis-lui de faire comme chez-elle ! »

• Fait comme chez toi.

Ma belle-sœur comme moi, sommes incapable à nous battre contre Satan.
Il est bien plus fort que nous et rapidement je vois les trois quarts des seins de Chloé.
Ils gagnent à être vus, elle semble plate, mais comme toutes les filles de bonne famille, montrer trop de ses attributs est mal vue.

• Lise, j’avais oublié un rendez-vous, je te quitte.

Chloé a-t-elle pris conscience du danger de rester près de moi, je l’ignore.
Ce que je sais c’est que ma décision ai prise, je prends un taxi et me bouchant les oreilles, je rendre dans l’église.

« Petite pute, pute, pute, pute, pute. Tu vas ressortir pour aller sucer des bites.
Pute, pute, pute… »

Je m’agenouille là où tout a commencé du moins je le pense.

• Bonjour ma fille, vous semblez chercher quelque chose !
• Êtes-vous le père François ?
Je viens de la part de Germaine ma belle-mère c'est elle qui m’envoie ?
Mais oui, je te reconnais, je t’ai marié à Charles-Henri et Chloé avec Édouard.
• Dis-moi ce qui t’amène et ce que tu cherches !
• Un clou, il y avait un clou où je me suis blessé et depuis.
• Ce n’est pas vrai ça recommence, comment vais-je faire pour me débarrasser de toi Satan !

C’est ma voix rauque qui résonne dans l’église.

• Tu me reconnais PD.
Pardon monsieur le curé, c’est plus fort que moi.
• Je sais ma fille, depuis des années mes prédécesseurs et moi nous combattons ce démon qui est entré en vous.
Vous aurez beau chercher sur ce prie Dieu, il sort de sa torpeur tous les dix ans.
Sors de ce corps Satan.

Encore ma voix me faisant faire ce qu’elle veut.

• Arrête de mettre cette croix sur la bouche de ma copine, si tu savais ce que je suis arrivé à leur faire faire.
Dans deux minutes tu vas aller chercher ton eau bénite.
La dernière dans le corps de celle que je suis entré avec cette jolie salope, c’est au moment où je me baignais car il faisait très chaud.
La mémé a trempé ses doigts et je me suis senti propulsé sur sa peau, ça a été un jeu d’ à investir son corps.
• Gagnons du temps et je rentre au bercail en attendant le moment de revenir sur le devant de la scène.

Comment ces mots peuvent-ils sortir de ma bouche, je voudrais dire que je refuse ces propos mais ils sortent tous seuls ?
Pourquoi mes mains relèvent ma jupe découvrant mes fesses ?

• François vient m’enculer et quand tu déchargeras cette jeune fille retournera à sa vie de none, je te le promets.
• Tu me l’assure, je l’encule et tu sors de son corps.
• Juré craché, si je mens je vais en enfer.
• Ne te fiche pas de ma gueule Satan.
• On peut bien s’amuser.
Je suis content de revoir ta queue, la mienne je l’ai derrière, tu pourrais bander devant ce joli cul que je te présente mon ami François.
• Mademoiselle Lise, pouvez-vous me sucer qu’on en finisse avec cet ignoble individu !

Je prends la verge du curé François en main, une de plus, je commence à avoir une vieille habitude.
Ses couilles reposent sur le dessus du prie-dieu.
Je le suce, une nouvelle fois je fais bander un homme.

• Je voudrais éviter de faire ce que je vais faire.

Il passe derrière moi, se baisse et m’emmanche la rondelle.
Je jouis deux fois par l’anus, jusqu’à l’éjaculation du curé.

Sans le vouloir, j’éructe et je vomis tout mon repas.

• Voilà c’est fait mademoiselle, je vous ai libéré, ce vomissement est la preuve que Satan est parti.
Retrouvée votre quiétude mademoiselle.

Je quitte l’église, est-ce bien vrai que je suis guéri si tenter que j’étais malade.
Dans les jours qui suivent, je retrouve mon calme, mais çà un moment sans que quiconque me pousse, je sens qu’au fond de moi il me manque quelque chose.

• Allo Firmin, venez me chercher.
• Bien madame Lise, vous voulez que je vous conduise dans l’allée du bois de Boulogne.
• Oui Firmin, dépêchez-vous, ma chatte dégouline.

Nul besoin de Satan pour être une salope.