La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1279)
chienne Kajira (ex-Vénus) au Château (suite de l'épisode N°1250) -
Le Château vivait encore une de ces fameuses soirées orgiaques
. Les semaines passèrent entre mon travail dans ma société que Maitre dirigeait dune main de fer et mes voyages à létranger pour ledit travail. Mais la différence concrète lors de ces voyages était que je travaillais pour des Dominants en lien avec Monsieur le Marquis et donc je leur servais de vide-couilles et de jouets sexuels pour quils expriment leurs perversités. Mais aussi japprenais la vie au Château, les séances avec Walter pour mapprendre à être une véritable Kajira, les séances avec Maitre et Ses soirées
Mais un beau matin tout changea, il allait me falloir du temps pour me remettre de cet événement qui allait me faire quitter pour un certain temps le Château et les pieds du Maitre. Je me rappelle de cette matinée, une journée de travail au Château, quand mon téléphone sonna.
- Bonjour vous êtes bien Mademoiselle de Bourbon ?
- Oui Monsieur, que me voulez vous ?
- Cest la gendarmerie de Toulouse. Je nai pas une bonne nouvelle à vous annoncer Mademoiselle mais je nai pas le droit de vous en parler au téléphone. Et ne connaissant pas votre adresse je ne sais pas comment faire
- Je comprends Monsieur, je vous demande deux petites minutes
Je pris mon téléphone et alla voir Maitre dans Son bureau pour Lui demander lautorisation de faire venir le gendarme. Le Noble prit le téléphone et sortit de Son bureau. Je me mis aussitôt à genoux et lattendais ainsi les mains derrière le dos et la tête baissée. Lappel dura un long moment quand arriva Walter qui nétait pas comme touts les jours. Il me fit me relever, minstalla dans un fauteuil et me dit dattendre le retour de Monsieur le Marquis qui ne devrait pas tarder. Puis le Majordome me donna un médicament qui était un relaxant au vu de la nouvelle que le Maitre de Ses lieux allait mannoncer mais je ne le compris que plus tard.
- Ma belle, Ma Kajira, Cristal, je viens de discuter longuement avec ton interlocuteur de la gendarmerie. Connaissant très bien le préfet du département de la Haute-Garonne, jai pu argumenter sans difficulté pour savoir ce que ce gendarme te voulait. Comme tu peux le voir à Ma mine attristée, tu devines que ce ne sont pas de bonnes nouvelles pour toi, Ma douce. Il vient de mannoncer que tes parents ont eu un grave accident de voiture qui leur a été malheureusement fatal, morts sur le coup dans un choc frontal sur une route départementale.
Sur ses mots, je meffondrai en larmes. Il est vrai que depuis que javais annoncé à mes parents mes désirs de soumission, il avait coupé les ponts avec moi mais ils resteraient pour moi mes parents et cette nouvelle de leur mort métait dévastatrice.
- Tu vas devoir être forte durant cette épreuve qui Je le sais va être très difficile mais je serai là pour toi. Comme Je te lai dit du moment où tu tes offerte à Moi, je me dois de tapporter toute laide et assistance nécessaires et mon soutien sera total... Il va falloir que tu ailles sur Toulouse pour faire toute les démarches et même si tu mappartiens totalement, tu as le devoir de ty rendre.
- Maitre, je ne sais pas trouver les mots suite à cette annonce, je me sens complètement perdue face aux responsabilités que je vais devoir prendre et décider et je sais que je ny arriverai pas toute seule surtout face aux amis de mes parents, qui comme Vous le savez, sont tous des Dominants.
- Sache que pour le moment ta soumission passe au second plan, tu dois te concentrer sur ce qui reste la priorité des priorités, les démarches pour les funérailles et celles vis-à-vis du notaire, même si je sais que tu ne peux faire autrement que dêtre à Mes pieds. Javais prévu depuis longtemps de taccompagner lors de ton déplacement dans le Sud-Ouest.
- Merci Maitre Vénéré, merci Votre présence me sera dun réconfort inouï, disais-je dans des sanglots de tristesse
- Maintenant, tu devrais aller te reposer dans une des chambres du Château, tu pourras te doucher à leau chaude, ton repas te seras servi dans la chambre, prend ce temps de liberté en tant que femme, en tant quune personne à part entière et non en tant quesclave-Kajira, durant ce temps que Je taccorde pour te préparer à ce qui tattend à Toulouse, tu es et seras mon invitée...
Sans un mot, Walter maccompagna dans une des nombreuses chambres du Château, il fit également porter mes affaires vanille. Je massis sur le lit et de nouveau, je me mis à pleurer. Au bout dun certain temps, je finis par mendormir et je fus réveillée par une de mes surs de soumission qui mavait porté mon repas de midi. Quand jeu fini mon repas que je mangeais sans appétit, pour me changer les idées, je pris mon plateau et alla jusquaux cuisines pour le déposer sachant quà lheure où on est tout le monde était très occupé. Et je vis Madame Marie qui corrigeait sévèrement un chien encagé pour avoir fait des saletés sur le sol de la cuisine et quand elle me vit, elle me lança dun ton sévère et réprobateur :
- Que fais-tu ici la chienne ? Et surtout dans cette tenue qui nest pas la tenue dune chienne du Maitre. Et encore plus en ma présence, cest un comportement intolérable.
- Marie, dit Walter qui arriva juste à ce moment-là, Mademoiselle de Bourbon est linvitée de Monsieur le Marquis, elle vient de perdre ses parents dans un grave accident de voiture.
- Ah ?... Je
Je ne savais pas, personne ne men a informé, dit la cuisinière déstabilisée par cette triste information.
- Cristal, vue lheure, tu devrais aller dormir, dit le Majordome sur un ton très paternaliste, très protecteur
- Oui, vous avez raison, merci
Je ne reconnaissais pas Walter, il était dune gentillesse incroyable et visiblement il me ménageait avec une sincérité évidente et émouvante. Je regagnais donc ma chambre mais impossible de dormir, je navais plus lhabitude de dormir dans un lit moelleux étant habi à dormir au Chenil avec mes frères et surs de soumission. Je me sentais seule et vide de tout. Jaurais pu aller voir le Noble et lui parler de mes angoisses face à tout ce qui allait se passer mais je ne voulais pas Le déranger. Je minstallais donc sur la chaise et posais mon ordinateur et commençais à travailler, histoire de me changer les idées, de me réfugier dans le travail au lieu de broyer du noir. E comme je devais absolument boucler tout mes dossiers en court ne sachant pas quant jallais rentrer, surtout je ne voulais pas prendre de retard dans mon travail. Au bout dun moment, le Châtelain entra dans la chambre :
- Cristal, tu devrais déjà faire une sieste afin de partir un peu plus reposée !
- Je sais Maitre mais je ny arrive pas et surtout je voulais mettre tout les dossiers urgents en ordre pour ne pas prendre trop de retard et afin de penser à autre chose. Et puis Maitre, je nai plus lhabitude de dormir dans un vrai lit.
Le Noble sapprocha de moi et me caressa le visage dun geste tellement Dominant. Il prit mon menton pour le relever et mon regard croisa le sien. Il vit dans mon regard mon mal-être et en même temps mon désir et envie de soumission de me sentir moi, Sa chose, car malgré les circonstances, javais besoin dêtre ce que je suis, tout simplement. Ce besoin de lâcher-prise et cet abandon total qui me fait temps de bien, cest maintenant plus quà tout autre moment que jen avais besoin, comme si Sa Domination était une sorte de thérapie à ma grande peine.
- Oui Ma chienne, je sais ce que tu as besoin malgré les évènements et je ne peux que te comprendre et surtout ne pas taccabler. Tu es avant tout, ce que tu es et jen ai pleinement conscience
Ton besoin dêtre asservie est vital pour toi, viscéral et dans toutes circonstances car tu es ainsi, tu as besoin de ça pour être mieux dans ta tête en cette période de grande tristesse
Tient regardes, comme tu es déjà bien trempée, lèche, nettoie Mes doigts de ta mouille
voila cest bien
Bonne petite chienne
.
Monsieur le Marquis me mit à genoux et sortit alors Sa grosse verge déjà bien volumineuse pour la glisser au fond de ma bouche et il me baissa littéralement ma cavité buccale. Je me sentais de nouveau à ma place, en effet jen avais tant besoin à ce moment là de mon existence, subissant les envies du Maitre à qui jappartenais totalement. Après mavoir ramoné un long moment la bouche et resté en gorge profonde, il sactiva de nouveau et se retira de ma bouche. Puis il me prit à même le sol en levrette comme une vulgaire chienne de rue, une saillie bestiale fulgurante, profonde, je subissais les coups de reins puissant du Maitre, chaque poussée viriles fit claquer Ses couilles pleine contre mon cul alors quil madministrait, tout en me baisant, de délicieuses fessées excitantes qui ne tardèrent pas à me faire redoubler mon plaisir, alors que ça faisait déjà un moment que je me retenais de jouir. Il alternait entre ma chatte dégoulinante et mon cul ne se souciant pas de mes gémissements de douleur quand il entra sans ménagement dans mon trou du cul. Mais plus il me besognait, plus mes gémissements de douleur devenait gémissements de plaisirs. Cela dura et dura jouant avec mon excitation, me faisant monter à la limite de la jouissance à plusieurs reprises sans jamais me laccorder. Jétais totalement excitée, en chaleurs, coulant abondamment sur le sol. Jhaletais comme une vraie chienne en manque. Mon envie de jouir était à lextrême et exacerber par les coups de reins du Châtelain changeant dorifice à Sa guise et au moment où je crus que jallais ne plus pouvoir me retenir car Il me branla vigoureusement mon clitoris décalotté quand Il mordonna :
- Jouis Ma Kajira, lâche ta jouissance Ma chienne, je lexige
(A suivre
)
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