Sous La Robe...
En ce vendredi après-midi, jétais dans le hall de la cage descalier de mon pote de quartier. Attendant patiemment quil veuille bien descendre de chez lui comme nous lavions convenu ce midi alors que nous rentrions des cours. Jaurai pu aller toquer à sa porte me direz-vous ! Mais je ne lai pas fait et pourquoi ? Tout simplement parce que mon pote a une sur. Et quelle est pincée pour moi. Au point dêtre une vraie sangsue à chaque fois que je passe la porte de lappartement de ses parents.
Alors pour patienter, jai regardé à travers la porte vitrée, le défilé de passants sabritant sous leur parapluie de la pluie qui tombait sans sinterrompre depuis la vieille. Me laissant bercer par lodeur de la pluie qui flottaient dans lair. Cest alors que la personne la plus détestable de la cage descalier fit son entrée. Merde la tuile ! Et il était plus question pour moi que je sorte. Cela lui aurait fait trop plaisir. Je ne sais pas pourquoi mais elle ne ma jamais porté pas dans son cur. Pourtant elle aurait pu être belle si elle prenait soin de se maquiller, ou de shabiller dune manière moins sévère.
Petit à petit lodeur de pluie fut remplacée par celui du parfum de femme. Bien sûre quelle ma aperçu en pénétrant les lieux. Comme elle na pas aussi répondu à mon salut. Mais cela nétait pas nouveau chez elle.
Elle a secoué son parapluie et sest avancée jusquau pied des boites aux lettres. Pendant quelle soccupait à récupérer son courrier, jen ai profité pour aimanter mon regard sur sa paire de jambes enrobé de nylon opaque bleu foncé que son imperméable ne pouvait cacher. Une faiblesse chez moi. Putain ! Que jaimerai mis frotter comme laurait fait un chat ! Me disais-je pour moi-même.
Avec de telle pensée, il métait difficile de contrôler mon excitation. Affichant une forte érection. Qui était difficilement camouflable au fond de mon pantalon.
Du côté des boites à lettres, la femme a fourré son courrier dans sa poche avant de récupérer son parapluie.
Si jaurai pu me faire disparaître je laurais fait. Je mattendais dun moment à lautre à être agresser verbalement. Alors quelle fut à quelques centimètres doù je me trouvais, je lentendis pousser un souffle de contrariété. Et comme cétait prévisible, mapostropha
- Tu comptes peut-être me laisser le passage ?
- Mais vous avez assez de place, madame.
- Ah oui tu trouves, toi ! Me fit-elle dune voix contrariée.
- Mais voyons ! Il ne faut pas exagérer, regardez ? Vous avez un mètre !
- À ce que je sache tu nhabites pas là ? Non ? Je me trompe ? Donc il serait judicieux que tu foutes le camp.
- Sinon ? Fis-je.
- Sinon tu risques de le regretter. Elle eut un rire de gorge.
- Ah bon ! Répliquais-je. Une fessée ?
- Cesse de plaisanterie ! Morveux !
Son jeu, si je pouvais appeler cela comme ça, ma amusé. Au point quau fil de la discussion un peu agité, jai pris de plus en plus dassurance. À un moment comme il fallait bien que tout cela cesse je me suis glissé sur le côté. Me collant contre le mur. Lui laissant un passage denviron un mètre cinquante entre moi et la rampe.
- Je pense que là madame, vous allez pouvoir entrée chez vous.
- Il me semble que je tai dis de foutre le camp dici. Non ?
- Jattends madame, mon pote qui habite cette cage. Comme vous le savez bien. Pour mavoir à maintes fois vue avec lui.
- Il pourrait darrivé des bricoles pour me manquer de respect.
- Ah oui ! Et je peux savoir lesquelles ? Vous allez le dire à ma maman !
- Je ten fais la surprise.
Elle ma fixé avec un pli moqueur au coin de la lèvre. Puis elle sest décidée, enfin ! À gravir les marches. Là je ne sais pourquoi mon regard sest posé sur son genou enrobé de nylon. À seulement quelques centimètres de mes yeux. Que jai trouvé excitant.
- Mais ça ne va pas ! Tu vas me faire tomber. Petit con, aboya-t-elle. Lâchant son parapluie qui dévala les marches, finissant sa course sur le tapis.
Jai profité de sa décontenance pour plonger mon visage sous sa robe bleue. Humant les odeurs qui se dégager de dessous. Elle a posé une main sur mon crâne, prête à me repousser.
- Vous sentez bon. Lui lançais-je.
Mon visage était tout contre sa peau nue, au-dessus de bas, alors que plus haut elle gesticulait. Comme un poisson hors de leau. Mais javais plus de force quelle, ce qui ma permis de poser mes doigts sur sa cuisses. À quelques millimètres de lourlet de la culotte. La tentation était si forte que jai glissé un doigt entre la peau et le tissu pour enfin toucher les poils.
- Arrête tout de suite
tu mentends ! Lentendais-je mordonner.
Jai écarté son sous-vêtement, tant que je le pouvais et jai approché mes lèvres de ses poils pubiens odorants. Lodeur de pisse à la fois âcre et douceâtre, ma remplit les narines. Du bout de la langue, jai léché doucement la fente qui séparait les lèvres et la vulve. Qui sest ouvert sous la pression de ma langue. La plongeant dans le transpirant. Dune ruade, elle a pu se libérer de ma prise, et par la même occasion monter quelques marches, pour sécarter de moi. Là elle a frappé le sol du talon de sa botte.
- Petit con ! Me fit-elle en se rajustant. Je te ferais payer cela
très cher, crois moi ! Très cher !
- Comme vous allez, là, madame ! Je suis sûr que cela na pas été pour vous déplaire.
- Tu mériterais que jaille à la police.
- Ne vous gênez pas, madame. Si vous le désirez je vous accompagne.
Comme elle ne bougeait pas. Je me suis empressé de renchérir. - Je suis sûr que vous nen ferez rien.
- Ah oui ! Tu es bien sûr de toi. Et quest-ce qui te fait dire ça ?
- Je mattendais à prendre un déluge de coups.
- Je nai besoin de personne pour me défendre. Et dailleurs je ne suis pas aimer dans le quartier, mais ça tu le sais.
- Voyez-vous ça !
- Oui ! Parfaitement
- Dîtes plutôt que cela était loin de vous être désagréable. Et que cest pour cela que vous navez pas crier.
- Tu ais vraiment con.
- Mon petit doigt me dit que cela fait longtemps que vous navez pas reçu un tel hommage avec une langue. Je me trompe ? Dailleurs entre nous elle a bon goût !
- Ta gueule ! Tu entends ! TA GUEULE
- Moins fort ma petite dame. Vous allez alerter les voisins.
- Je men fou des voisins. Je les emmerde.
- Vous devez entrer madame, pour vous calmer.
- Je fais ce qui me plaît. Je nai pas dordre à prendre de toi, morveux ! Si jai envie de rester, je resterais
ce nest pas un morveux qui va me dicter ce que je dois faire.
- Vous désirez peut-être que je vous accompagne jusquà votre domicile ?
- Ça ne va pas ! Vous me prenez pour quoi ? Fit-elle dune voix haute perchée qui sonnait faux.
- Pourquoi ne pas lavouer madame, que vous attendez que ça.
- Où vas-tu chercher ça ?
- Je le sais. Je le sens.
Je me suis relevé.
- Allez, dite-le ! Avouez-le ?
- Je ne le dirai pas, parce que cest faux.
- Alors pourquoi ne pas rentrer chez vous ?
-
- Bon ! Alors vous avez gagné je me casse de cette gage.
Et alors que je descendais les marches, jentendis dans mon
Dos :
- Attends !
Je me suis retourné. Je tremblais.
- Tu veux vraiment maccompagner jusquà chez moi ? Me lança-t-elle.
Ma gorge sétait nouée. Javais limpression d.
- Oui ou non ? Ajouta-t-elle. Je nai pas toute la journée.
- Je naurais jamais cru que vous portiez des bas ?
Elle a baissé les yeux.
- Quelle est la couleur de votre culotte ?
- Pourquoi tu veux savoir ça ?
- Jaime bien, voilà tout !
Elle a levé les yeux au ciel.
- Elle est blanche, voilà tu es content !
- Très bien, elle est blanche, et en dentelle
- Comment tu sais ça, toi ? Me coupa-t-elle.
- Je sais au toucher reconnaître sa texture. Elle est bien en dentelle ?
- Bravo, elle est bien en dentelle.
- Peut-être transparente.
- Si on veut. Mais enfin pourquoi toute ses questions ?
- Une qui vous moule bien le sexe, montrez-moi là.
- Si tu veux, mais chez moi. Répliqua-t-elle.
- Soyez sympa. Je veux la voir là, maintenant et ici.
- Non ! Chez moi !
- Ici ! Implorais-je. Sil vous plaît ou je pars.
- Bon ! Bon ! Tu as complètement obsédé.
Elle a soupiré, puis, dun geste vif qui ma coupé le souffle, elle a ouvert son imperméable, et a remonté sa robe bleue jusquà la taille. Ses jambes gainées de sombres mont apparu.
- Voilà ! Tu es content ?
- Jen veux un plus
Elle sest cambrée avec une sorte de coquetterie, avant de men montrer plus. Mes yeux sécarquillèrent lorsque sa culotte en dentelle blanche, mest apparut. Doù se dessinait le renflement de la motte. On sy attardant dessus, jai limpression de distinguer par transparence un triangle de poils.
- Putain !
- Reste poli. Tu veux bien ! Bon ! Tu las bien vue ? Si tu en veux plus je te donne rendez de me suivre. Par ce que moi je rentre.
Je suis du genre de mec à qui un plan de cul ça ne se refuse pas. Alors je lai suivi. Dans lappartement ça sentait le chou. À peine avait-elle fermé la porte quelle sest jeté sur moi. Collant sa bouche à la mienne. Me roulant des pelles à en perdre le souffle. Je me suis laissé tomber à ses pieds. Jai pris linitiative de retrousser sa robe par-devant, et cela jusquau nombril. Alors quelle la maintenait, jai tardé la langue, et jai entrepris de la caresser à travers la dentelle. Elle a écarté imperceptiblement les jambes pour me facilité la fouille. Alors, de la pointe, jai chatouillé le sexe épanoui dans son nid douillé. Enfonçant doucement le voile dans la fente pour le plus grand plaisir de sa propriétaire. Puis avec mes dents jai saisis fermement létoffe, et jai tiré vers le bas. Déculottant son sexe tandis quelle roucoulait.
Dessous, la motte était entrebâillée. Le liseré des lèvres était grossièrement humecté. Un trait rose entaillait la toison. Jai posé doucement mes lèvres sur la fine entaille, faisant ployer la chair humide.
Je pouvais à présent mourir, tellement jétais heureux. Elle a encore un peu écarté ses jambes, et je fus enseveli sous la robe. Ses talons raclèrent le parquet. Jai empoigné de mes mains ses globes fessiers. Que je me suis mis à les malaxer. Avant dintroduire un doigt dans la profonde raie moite de sueur. À la recherche de son anus. Que jai profané, tandis quavec ma langue jai titillé son sexe. Elle sest figée le souffle court.
Ankylosé, par une position loin dêtre agréable, jai émergé ma tête de dessous sa robe.
- Pourquoi tarrête tu. Ça commencé à devenir très intéressant. - Vous ne préférerez pas un endroit plus confortable ?
Je lui ai souris, presque affectueusement. Elle ma rendu mon sourire.
- Petit garnement. Me lança-t-elle restant un instant immobile, le temps de réfléchir où elle allait bien mentrainer. Puis elle ma prit par la main, affichant un large sourire de satisfaction, et elle ma emmené jusquà sa chambre. Un frisson nerveux de plaisir ma parcourut le dos en découvrant le lit conjugal. Tout de suite le portrait du mari mest apparu à lesprit.
Une fois la porte fermée elle ma dit :
- Tu sais que je nai jamais trompé mon mari. Et pourtant ce ne sont pas les occasions qui mont manqué. Mais là, avec toi, je me laisse tenter. Mais cela reste naturellement entre-nous. Cest bien entendu ?
- Vous savez ma petite dame
- Mireille ! Me coupa-t-elle. Pas petite dame.
- Oui Mireille. En amour, rien nest interdit, à condition que lon prenne son pied.
- Tu as bien raison. Fit-elle, en virevoltant dans sa robe. Quelle sest empressé dôté. Le reste suivis, ne gardant que des bas de nylon opaque. Elle a retroussé le couvre lit, et le drap du dessus, et elle sest allongée. Jusquà ce que son dos repose sur le matelas. Elle a replié les cuisses sur la poitrine. Mexhibant ses deux orifices. La chatte toute luisante de mouille, de bave. Plus bas, la raie foncé entre les fesses molles était poilue jusquau pourtour de lanus où un bouquet de poils drus masquaient le trou du cul.
Je me suis penché jusquà son sexe. Mes lèvres se sont couvertes peu à peu de son humidité dont lodeur me montait aux narines. Jai sucé les poils. Les étirant entre mes lèvres et les enduisant peu à peu de salive. Mireille était aux anges. Jai tendu la langue et lai plongé dans le trou du cul sous les encouragements de la propriétaire. Suçant bruyamment le bourrelet de lanus avant me retirer pour mieux la replonger dans la seconde qui suivit. Lorifice sest dilaté graduellement. Tout cela a agi sur moi avec la force dun aphrodisiaque.
- Montre-moi ta queue
je veux voir ta queue
Je me suis défroqué. Ma verge sest crispée alors quelle ma prit dans sa main. Jai dû me faire violence pour ne pas jouir tout de suite, alors quelle a entamé un lent va-et-vient sur mon membre. Me trayant comme elle laurait fait avec un pis de vache. Elle sest même autorisée de laisser sa main en haut de la verge pour masser le gland avec le pouce.
Avec son autre main, elle ma saisi les couilles rétractées au fond des bourses. Elle les a soupesé, les a malaxés. Les râles ont fusé de ma bouche, tant la caresse était extraordinaire exquis. Encouragé par mes plaintes elle a accéléré le rythme de ses mouvements du poignet. Je me suis raidi, le ventre tendu, près à cracher ma jouissance. Mais lincroyable se produisit, me sentant proche de conclure, la coquine a arrêté le mouvement de pompage sur ma verge. Me rendant la monnaie de ma pièce. Peu à peu le bien être de la jouissance a disparut.
Cest linstant quelle choisit pour mattirer à elle. Se servant de ma verge comme dun pinceau. Faisant monter et descendre le gland doù sécoulé des larmes de plaisir tout chaudes, le long de la fente. Entre les deux bourrelets gonflés de sa vulve moite et visqueuse. Dans son sommet le clitoris. Pas très gros, mais long, qui dardait dune manière particulièrement obscène. Sans perdre de temps, la coquine la guidé dans son con. Mon gland sest frayé un passage entre les nymphes. Jai suspendu alors mon mouvement, seulement enfoncé que de quelques centimètre. Elle était tendue, vibrante, dans lattente du coït. Elle avait ses lèvres qui tremblotaient, imperceptible.
Puis je me suis laissé tomber. Menfonçant dans mon entier dans le sexe. Pour le plus grand plaisir de la femme. Qui rayonnée de bonheur. Goûtant la chaleur des parois humides, qui se sont crispées sur mon sexe. La friction de ce dernier, me procurant des convulsions dans tout le corps.
- Oui
oui
cest bon ! Me fit-elle. Jen avais besoin
Ah je meurs
au fond, oui. Narrête pas, oui, cest bon. Bouge
bouge ! Oui narrête pas. Bourre-moi bien. Comme ça oui, cest bon.
Sous son encouragement jai donné de légers coups de reins, avant de passer les mains sous elle, la saisissant par les fesses pour la manipuler à ma guise. Jai profité de cette nouvelle pose pour la besogner de larges et puissants coups de reins. Son vagin, large et brûlant chuintait tellement que ma queue baignée dans son jus.
Je lai limé durant un long moment avec la régularité dun métronome. Elle a crié, me remerciant de lui donner tant de bonheur. Elle aussi donnait des coups de bassin pour senfiler à fond. Elle a eut un orgasme. Suivit dun autre peu de temps après. Ce dernier a déclenché le mien. Jeus une plainte prolongé sourde venue du ventre. Un spasme encore plus brutal a secoué ma queue et jai éjaculé à plusieurs reprises avant de me laisser aller sur le dos, haletant, bras en croix et jambes écartées.
Comme il se faisait tard, elle ma pressé pour que je quitte son appartement. Pour récupérer je me suis assis sur la même marche. Celle-là même qui avait préludé le début de notre histoire.
Jai eu la chance de croiser son mari, alors qui rentrer de son travail. Jai toujours adoré ce moment. Je lai même souvent provoqué pour être plus juste.
Ce pauvre monsieur qui connaissait très mal sa femme. Ni sa nature et encore moins son tempérament.
Tous les tabous entre elle et moi, avaient sauté, et elle ma offert les jours suivants ce quelle avait toujours refusé à son époux. Je lui fis découvrir les joies et les bienfaits de la sodomie.
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