Un Dimanche À La Campagne
Un dimanche à la campagne
Directeur des achats dans une grosse entreprise, j'étais convié à une présentation de nouveaux produits par un de notre fournisseur. La présentation était suivie par un cocktail comme le veulent la tradition et les bonnes relations entre les clients et leur fournisseur. Ces cocktails sont l'occasion d'approfondir les contacts mais aussi, si possible, de faire naître des liens un peu moins formels entre les parties prenantes. Pour séduire les clients, les fournisseurs mettent, bien entendu, tous les atouts de leur côté. Parfois, ces atouts prennent des allures inattendues.
Ce jour là, le PDG invitant était accompagné de sa femme, une grande blonde décolorée, provocante, portant un tailleur gris (le gris est la couleur dominante dans ce genre de cocktail) très moulant, la poitrine avantageuse mise en vitrine par un décolleté généreux, une descente de reins à damner un saint. Tout ça juché sur une paire d'escarpins à talons hauts qui mettaient en valeur des jambes magnifiquement galbées.
Bien entendu toute lassistance jetait des coups d'il plus ou moins ouvertement vers cette femme splendide. Celle-ci suivait son mari qui l'exposait (on peut le dire comme ça) de groupe en groupe. Ces derniers étant constitués en majorité dhommes, l'effet était garanti.
Je faisais partie d'un groupe de quatre personnes qui ne se connaissant pas, échangeaient des banalités en buvant du champagne et mangeant des petits fours. Au bout d'une heure environ, le couple vint se joindre à nous. Le PDG se présenta à ceux qui ne le connaissaient pas et présenta sa femme à tous, il s'appelait Michel P et sa femme Nicole.
Ayant eu l'occasion par la suite de devenir plus intime avec eux, je les nommerais par leurs prénoms dans la suite de ce récit.
Très vite Michel sembla s'intéresser plus particulièrement à mes trois confrères.
Délaissé, je me consacrais sans regret aucun, à faire la conversation à Nicole.
Nicole se tenait, là, devant moi, me laissant à loisir fixer sa poitrine toujours plus arrogante. Me regardant et m'écoutant parler avec un sourire quun observateur attentif pourrait qualifier dironique. Quelques instants plus tard, elle m'interrompit, et ordonna, c'est le mot, à Michel d'aller nous chercher du champagne. Michel, bredouillant des excuses à ses interlocuteurs, s'exécuta immédiatement.
Quelque instant plus tard, il nous porta deux flûtes de champagne et sans rien ne dire, retourna vers ses interlocuteurs et s'éloigna avec eux, nous laissant seul dans notre coin. Lorsque nos verres furent vides, dun air tout aussi autoritaire, elle mordonna à moi, quelle connaissait à peine, de chercher deux nouveaux verres. Le ton quelle employa me procura un frisson de plaisir dans le dos et je mexécutais avec le même empressement que Michel.
Admiratif, je devais admettre lautorité naturelle qui se dégageait de cette femme, cétait une femme de caractère et en réalité, c'est elle qui menait les échanges entre nous, me guidant par ses questions et suggestions vers le terrain qui semblait l'intéresser. La séduction et les pratiques sexuelles.
Peut être éméché mais sans contestation sous le charme, je me suis entendu lui avouer ma curiosité envers les pratiques sado-masochistes. Aveux que je ne me serais pas cru capable de faire à une inconnue. Mes propos n'avaient pas l'air de la surprendre ni de lui déplaire. Au contraire, elle me dit avec gourmandise qu'elle aimait pratiquer de temps en temps un sado-masochisme soft, quelle adorait avoir des hommes à ses pieds, soumis à ses désirs, et que nous étions fait pour nous entendre
.
Heureusement un des mes premiers compagnons vint nous saluer avant de partir. En regardant autour de moi, je me rendis compte que le restaurant commençait à se vider. Nicole se décida alors à rejoindre son mari pour saluer les invités en partance. Resté seul pendant un bon quart d'heure, je décidais de partir moi aussi.
Le couple se tenait prés de la porte, saluant tour à tour les invités qui passaient devant eux. Un sourire sur le visage de Nicole fut la seule indication de notre complicité lorsque je lui serrais la main. Au moment de saluer Michel, celui-ci me pris en aparté et me tendit une carte de visite en me précisant d'appeler à ce numéro avant le lendemain soir si je voulais donner suite à la conversation avec sa femme.
Je dormis assez mal cette nuit là, excité d'avoir retenu l'attention d'une aussi belle jeune femme, me posant des questions sur les relations entre elle et son mari, essayant de deviner ce qui se cachait sur ce quelle appelait des pratiques SM softs. Des images de mes propres fantasmes me trottaient dans la tête, provocant quelques érections que je fus bien obligé de calmer. Quavait-elle pu dire à son mari que je trouvais si complaisant ? Au bureau, le lendemain, je ne parvins pas à me concentrer sur mon travail. Redoutant un piège quelconque et l'instant d'après, prêt à téléphoner à Nicole. La journée fut pénible. Malgré tout, le soir ma décision était prise.
Décidant de me jeter à l'eau, je pris la carte de visite dans ma veste et téléphonais ; Après deux sonneries:
Allô! Je suis bien chez madame Nicole P.
- Elle-même au téléphone.
La voix était calme et rassurante.
Bonjour, je suis Julien, nous nous sommes rencontré hier au cocktail offert par votre mari.
Bonjour, Oui, je ne vous ai pas oublié, je dirais même que jattendais votre coup de fil.
Voilà, j'ai repensé à notre conversation et
- Oui
Mal à laise, je bredouillais.
Ben.. Voilà, jai longtemps repensé à notre conversation. Jaimerai savoir si vous étiez sincère lorsque vous avez dit que nous étions fait pour nous entendre ?
En doutez-vous ?
Elle me laissait mariner, me voyant arriver avec mes gros sabots.
- Non, mais
Me jetant à leau.
Serait-il possible de nous revoir ?
Bien sûr, cela dépend de vous. Vous avez bien compris que jaime dominer nest-ce pas, acceptez-vous une rencontre dans ces conditions ?
Jai bien compris, il ny a aucun problème.
Après un long silence.
- Très bien, êtes-vous prêt pour le rôle de soumis ?
En entendant ces mots, je fus pris dune érection soudaine, le souffle coupé, la gorge sèche. La tempête sous le crâne, jétais ferré. Il me fallut quelques instant pour reprendre la conversation.
- Oui et
Dune voix malicieuse, elle minterrompit.
- Très bien, je serais heureuse de vous faire connaître les joies de la soumission. Que diriez-vous de dimanche après-midi?
Elle prenait un ton de plus en plus autoritaire mais curieusement j'étais soulagé par la tournure des événements.
- D'accord, pas de problèmes.
- OK, tu viens avec deux mille francs en liquide. Toujours d'accord?
Elle venait de me tutoyer et son ton autoritaire ne supportait pas la contradiction. J'eus un bref instant d'hésitation, je n'imaginais pas qu'elle puisse faire ça pour de l'argent mais jétais déjà trop excité.
Toujours d'accord.
Dimanche chez moi, 14 heures précise, j'insiste, précise et il faudra partir au plus tard à 19 heures. Tu trouveras ladresse sur ma carte.
Elle raccrocha et je restais avec le téléphone dans la main. De nouveau je m'interrogeais.
Les jours suivants me parurent interminables mais plus on approchait du dimanche, plus jétais anxieux.
Le dimanche arriva, nous étions en juillet, le temps était radieux, un ciel complètement bleu, la température atteignant les 30 degrés. Ladresse sur sa carte se situait à environ deux heures de la capitale. Quittant Paris vers dix heures le matin, jarrivais vers midi et après avoir pris soin de reconnaître le lieu exact où je devais me rendre, pris une légère collation dans le village voisin.
A quatorze heures précises, je me présentais à la grille dune grande demeure. Cétait une grande bâtisse en pierre et en brique, une tourelle au milieu lui donnant un air de petit château. Devant, une large allée donnait sur un grand parking recouvert de galets, sur les côtés, de la pelouse et des massifs de fleurs très bien entretenus, le tout entouré darbres centenaires. Manifestement, je nétais pas chez des pauvres.
Cest Michel qui mouvrit la grille, javais espéré quil ne serait pas là, mais tant pis. Après avoir garé ma voiture à lombre sur le parking, je le rejoignis sur le pas de la porte. Il me fit avancer dans lentrée sombre et fraîche.
- Elle vous attend sur la terrasse, je vais la prévenir.
Il avait plus lattitude dun larbin que du maître de maison mais javais pris la résolution de ne pas métonner et de voir venir. Je débouchais sur une grande terrasse éclaboussée de lumière, un peu à lécart, à lombre dun marronnier rouge, trônait une balancelle. La terrasse donnait sur un immense parc éclatant sous le soleil. Au fond du parc on apercevait un plan deau, sur les côtés, des arbres centenaires.
Nicole était à moitié allongée sur la balancelle, donnant de temps en temps une impulsion du pied donner du mouvement à la balancelle. Elle était habillée en tenniswomen, Un bandeau blanc lui barrant le front, la poitrine difficilement contenu dans un tee-shirt très décolleté, une jupette sarrêtant au ras des fesses, laissant voir des jambes magnifiquement bronzées qui se terminaient par une paire de tennis.
Je mapprochais ne sachant quelle attitude prendre, je lui tendis mollement une main quelle dédaigna dun air méprisant.
- Dhabitude les esclaves se prosternent et me baise les pieds !
Le ton était donné, dans toutes les histoires SM, cest effectivement la règle. Linstant était crucial. Je ne métais jamais trouvé dans cette situation et mon amour propre venait den prendre un coup, cest une chose de fantasmer et une autre de voir ses fantasmes devenir réalité. Si jessayais de prendre un air décontracté, elle pouvait toujours le prendre de haut et me renvoyer en invoquant mes ridicules prétentions et mon manque dhumour. Dun autre côté, si je rentrais dans le jeu, elle pouvait me rire au nez en sétonnant du fait que javais pris sa proposition au sérieux.
Pris au piège, je me jetais à leau, abandonnant toute dignité, je me mis à genoux devant elle.
- Avant davoir lhonneur de me baiser les pieds, je te rappelle ; nous jouons un jeu qui consiste pour toi à être mon esclave, ce qui implique quà partir de maintenant, tu nas plus quun seul souci, mon bon plaisir !
De mon côté, et si tu le mérite, je ferais en sorte que tu passes ici des moments tels que tu nose même pas en rêver. Ce jeu se terminera à 19 heures, ensuite tu redeviendras un homme libre.
- Il est encore temps de partir ? Que décides-tu ?
Subjugué, je nhésitais pas une seconde.
Je reste.
Très bien, as-tu apporté largent ?
Je lui tendis les billets que je sortis de ma poche. Elle les prit et commença à les compter.
- Vas-y, tu peux rendre lhommage qui est dû à ta maîtresse !
Le ton autoritaire quelle avait pris mémoustillait. Me prosternant, je lui baisais les pieds avec dévotion.
- Mieux que ça, mets-y plus de conviction !
Le ton était sévère mais je me rendis compte que cétait ce que jétais venu chercher. Le jeu était commencé, les rôles distribués et je me sentais étrangement bien dans ma peau, une légère érection se fit même sentir. Posant mes lèvres sur ses pieds un à un, je les embrassais, les léchais, commençant à me complaire dans cette position humiliante.
Au bout de quelques minutes que je ne vis pas passer, elle me souleva doucement le menton du bout de sa chaussure. Jeus alors une vision de rêve. Deux longues jambes superbes qui se rejoignaient là-haut tout juste séparées par une culotte en coton genre « petit bateau ». Ces culottes étaient anachroniques sur cette femme très sophistiquée et cest justement cet anachronisme qui la rendait perverse et qui exacerbait mes sens. Dés lors, mon érection se fit franche et nette, elle savait parfaitement ce qui mettait les hommes en émoi.
Baisse ton pantalon pour que je puisse vérifier si tu mérites que je perde mon temps avec toi.
Sans réfléchir, toujours à genoux, je baissais mon pantalon et mon caleçon laissant ma queue libre de lui indiquer mon admiration.
A la bonne heure, il ne manquerait plus que je ne te fasse pas bander. Je suis contente de voir que je te plais, cest indispensable pour ce que je te réserve. Très bien, rhabille-toi.
Ses yeux étaient luisants dexcitation et lexpression de jubilation contenue sur son visage démontrait combien elle savourait ces instants où tout lui était permis. Usant de son pouvoir en faisant référence dun air hautain à ma condition desclave, elle rappela que ma présence nétait tolérée quà conditions que jexécute ses ordres sans discussion.
Mindiquant du doigt une remise de jardin.
- Tu vas aller dans cette remise là-bas, tu y trouveras des meubles de jardin et des fauteuils de plage. Après les avoir nettoyés, tu les installeras prés de la piscine qui se trouve là-bas derrière la haie. Préviens-moi dés que tout est prêt. Aller, dépêche-toi, je naime pas attendre.
Sinstallant confortablement sur la balancelle, elle se plongea dans une revue sans plus soccuper de moi. Je me précipitais vers la remise, Il y faisait une chaleur lourde. Il y avait là coussins, chaises, table, fauteuils de plage etc.
Il y avait aussi de leau et le nécessaire pour nettoyer. Je mappliquais mieux que si cétait pour mon propre usage. Lorsque tout fut prêt, je me rafraîchis le visage et la poitrine pour être plus présentable et allais la prévenir ensuite.
Elle ne leva pas la tête à mon arrivée. Me raclant la gorge, dune petite voix inquiète, je lui annonçais.
- Jai tout installé !
Elle mignorait, continuant de lire sa revue. Après quelques minutes, ne sachant que faire, jessayais.
Maîtresse ?
Elle leva doucement la tête, lair pas très contente quon la dérange.
Maîtresse, cest très bien, tu dois toujours tadresser à moi de cette façon ! Mais cest la dernière fois que tu minterpelles, un esclave doit toujours attendre que sa maîtresse lautorise à prendre la parole.
Elle avait daigné me répondre. Soulagé et pour me faire pardonner, je me précipitais à ses pieds et les adorais. Elle me laissa faire quelques minutes et puis, me repoussant du pied, méprisante, elle se leva et décréta.
- Eh bien, si cest prêt, Allons-y !
Je la suivit à trois pas direction la piscine, saisi par une impression étrange qui mêlait une honte confuse à un sentiment de bien-être bizarre, des bulles de champagne me traversaient le cerveau. Réalisant que cette fois je ne rêvais pas, que je me trouvais dans la réalité. Peut-être que mes obsessions allaient enfin se réaliser, en tous les cas je nen avais jamais été aussi prés, cétait aujourdhui ou jamais. Ressentant des picotements dans le bas-ventre en contemplant sa croupe péremptoire, je mimaginais lui léchant la raie. Je me rendis compte que je bandais comme un âne, désormais, dés que jétais à moins de dix pas delle, je bandais. Je découvrais les affres de lincertitude, passant sans transition entre la honte extrême, le bonheur de la soumission et lespoir de délicieuses extases.
Arrivée au bord de la piscine, elle sinstalla dans un fauteuil.
Ne sachant que faire, jattendais debout quelle veuille bien me donner des ordres. Quelques minutes plus tard, semblant redécouvrir ma présence.
Approche-toi !
Me détaillant du regard.
Tu ne vas pas rester affublé comme ça. Va voir Michel à la maison, demande-lui de te prêter un boxer-short et un tee-shirt et reviens ici pour te changer. Dit aussi à Michel de venir me voir.
Oui maîtresse.
Quelques minutes plus tard, je revins avec Michel qui mavait prêté des vêtements. Dés que nous fûmes prés de Nicole, il adopta une attitude déférente qui me fit penser quil devait avoir en cet instant, à peu prés le même statut que moi auprès delle. Mordonnant de me prosterner devant elle. Je me jetais à ses pieds, elle les posa sur ma nuque et sadressant à Michel.
Tu peux nous laisser, je vais pouvoir faire ce que je veux de mon jouet. Reviens à 19 heures précise, je crois que jen aurais fait le tour.
Le jouet cétait moi, mais même ce mépris ne pouvait mempêcher de la désirer. Dhabitude, mon sang naurait fait quun tour en entendant des propos aussi humiliant, mais là, jen redemandais.
Michel nous quitta, je restais seul avec Nicole. Elle mordonna de me changer. Généralement, je ne me gène pas lorsquil faut me mettre nu devant une femme, au contraire. Là, le contexte était différent, Nicole mobservait dun il critique et mon érection, qui lui indiquait combien javais envie delle, me mettait en position dinfériorité. Elle sétait très vite rendue compte que jétais prêt à accepter toutes les bassesses pour rester prés delle.
Lorsque je fus nu elle me demanda de mapprocher. De lindex, elle samusa à croiser le fer avec ma bite tendue, soupesant ensuite mes couilles dans sa main.
Alors, nous sommes daccord, je peux faire ce que je veux avec ça ?
Oui, maîtresse.
Tant mieux, je nen doutais pas un instant mais jaime te lentendre dire. Pour linstant je nen ai pas envie. Enfile le short et le tee-shirt, je nai pas envie non plus de voir des chairs flasques et poilues.
Elle exagérait, je nétais pas Arnold Schwarzenegger mais en général, on me trouvait bien de ma personne et je croyais que les quelques poils sur la poitrine ajoutaient à ma virilité.
Métant habillé selon ses désirs, elle me fit asseoir sur mes talons à ses pieds, ensuite, elle écarta ensuite ses jambes dune manière impudique qui contrastait avec son attitude raffinée en me disant.
Jespère que tu sauras apprécier le point de vue que je toffre ! Baisse ton short, jaime bien savoir ou jen suis avec mes esclaves !
Je baissais le devant mon short, laissant ma queue libre despérer décrocher la lune. Le point de vue quelle me proposait aurait pu venir à bout de nimporte quelle impuissance, surtout quune petite auréole se faisait jour sur sa culotte, prouvant quelle aussi aimait ce jeu. Tenir le short baissé me mettait dans la position humiliante du vaincu soffrant à son vainqueur.
Bon, et maintenant, si on essayait de faire le tour de ce qui te plait dans le SM ?
Vous maîtresse.
- Ca je le vois, mais encore ? Que dirais-tu de te faire fesser ? Que penses-tu du bondage ? Te faire marcher dessus avec des talons aiguilles ? Aimerais-tu te faire fouetter ? As-tu des fantasmes pédéraste ?
A chacun des fantasmes quelle citait, je balançais la tête négativement en lui répondant timidement non, craignant de lui déplaire mais ne voulant en aucun cas avoir ce genre de relation.
Cest Michel qui va être déçu. Mais alors, Dis-moi ce dont tu as envie mis à part mon cul ?
Ce nétait pas une professionnelle, nous navions quune après-midi devant nous et elle navait pas le temps de chercher parmi les différentes pratiques du sm celles que nous aurions envie de pratiquer en commun. Elle savait très bien que comme elle, un esclave à des fantasmes et des répulsions. Il est dés lors inutile de mettre en oeuvre des pratiques qui stopperaient net la magie du moment.
De mon coté, si je voulais ne pas gâcher un après-midi si bien commencé, je devais impérativement lui avouer mon fantasme. Je ne lavais jamais fait à personne. Après beaucoup dhésitations, je murmurais.
Voilà, lorsque je lis des bouquins SM, je suis très excité par les passages uro surtout quand la maîtresse se soulage dans la bouche du soumis. Jadore quand la maîtresse sassied sur le visage de son esclave. En fait, jaimerais être tout petit et pouvoir vivre dans la culotte dune femme, pouvoir en permanence lui lécher le sexe !
Je craignais une réaction de rejet et mon sexe sétait ramolli, luro nétant en général pas très bien accepté en France. Mais, heureusement, Nicole ne manifesta aucun signe négatif.
- Ah! Bon, comme ça, tu aimes que lon te pisse dessus ? Ce nest pas courant !
- Oui, maîtresse.
- Et
cela tarrive souvent ?
- Hélas, je nai pas encore eu ce bonheur.
- Mais alors, comment sais-tu ?
Il mest déjà arrivé en lisant des bouquins, dêtre tellement excité que je me pisse sur la main et la lécher ensuite. Il arrive aussi parfois, lorsque jai de la chance de voir une jolie jeune femme sisoler, daller écouter à la porte et si jai de la chance, dentendre le bruit de sa miction tomber dans leau des wc, ça me fait bander comme un cerf à tel point quil faut que me soulage le plus tôt possible.
A cette évocation, un afflux de sang arriva dans mon gland qui prit une couleur violacée. Nicole jeta un regard sur ma queue et fit une moue significative.
En effet, je vois ça
En tout état de cause et pour que les choses soient bien clairs, sache qui test tinterdis déjaculer sans mon autorisation.
Sans être une dominatrice expérimentée, elle savait quand même quil faut toujours tenir le soumis en situation dexcitation et despoir.
Ainsi donc tu as goûté de lurine ? Quel goût cela a ?
Oh! Je nen ai pas bu souvent. En fait, ce nest pas très bon, tiède, un peu salé, plus ou moins fort, cest surtout le contexte qui fait que cela se transforme en aphrodisiaque. Il marrive parfois de me réveiller la nuit avec une trique raide comme du bois mort uniquement parce que je rêve quune femme accroupie au-dessus de moi me pisse sur la figure.
Les dés étaient jetés. Maintenant que javais fait mes confidences, je navais plus quà attendre ses ordres. Dépendre de son bon vouloir et de ses caprices me la rendait encore plus inaccessible et plus belle, Elle mordonna daller chercher son téléphone portable dans la maison.
De retour prés delle, je magenouillais en lui tendant le téléphone.
Tout en le prenant, elle se souleva légèrement du siège et commença à descendre sa culotte me faisant comprendre dun geste que je devais finir lopération. Savançant sur le bord du fauteuil, elle mordonna de la lécher.
Je voyais enfin son sexe, complètement épilé, il était luisant de cyprine. Heureux de constater quelle prenait autant de plaisir à masservir que moi à être asservis, je me jetais sur la délicieuse fournaise de son sexe comme un égaré du désert sur une gourde deau.
Pendant que je la suçais, elle avait composé un numéro sur son téléphone.
Allô! France, cest Nicole, comment vas-tu ?
?
Suivirent ensuite pendant quelques temps, des banalités sur des personnes et des événements qui métaient inconnus.
Au fait, devine pourquoi je tappelle ?
?
Figure-toi que je me trouve assise dans un fauteuil au bord de la piscine, à lombre, avec un homme en train de me sucer !
?
Non, pas Michel, un esclave, tu connais mes goûts !
?
Oui, je lai à ma botte, et je tassure, vu létat de sa queue, il ne peut rien me refuser. En plus, il suce divinement bien.
Elle parlait sans se soucier de moi, comme si je nétais quune serpillière avec laquelle elle essayait déponger le suc féminin expulsé par sa chatte. De temps en temps, elle avait des petits soubresauts suivis immanquablement par des flots de cyprine.
Tu sais ce quil prétend ?
?
Il dit pouvoir avaler des litres de pipi de femmes.
?
Oui, je tassure, rien que den parler tout à lheure, sa bite allait exploser. Je suis sure que si un papillon avait frôlé sa queue au même moment, il naurait pas pu se retenir. Boire du pipi de femme le met en extase.
?
Non, je nai pas pu vérifier, je nai pas envie maintenant. Cest dailleurs comme ça que jai pensé à toi et à Elsa !
?
Oui, cest un homme, et alors ? Il ne vous touchera pas, par contre, si vous voulez, vous pourrez faire joujou avec !
Elle disposait de ma personne sans me demander mon avis mais elle en avait le droit parce quelle était ma maîtresse.
?
Ok, va demander à Elsa !
?
Lattente ne dura pas longtemps, je continuais de la lécher en y mettant beaucoup dapplication.
Tu verras, vous ne regretterez pas, il vous faut vingt minutes environ ? A tout de suite, je vais essayais de dormir en attendant !
Elle mit fin à la communication et tout en mordonnant daller chercher la crème à bronzer, se déshabilla complètement et sallongea sur la chaise longue.
Lorsque je revins, elle était allongée nue sur le ventre, mettant en valeur un dos magnifique et une croupe ravageuse prolongée par ses magnifiques jambes. Je ne me fis pas prier lorsquelle me précisa détaler la crème partout sur son corps.
Josais à peine toucher cette peau si douce, si fine, mais elle mintima lordre dy aller de bon de cur. Etre le privilégié qui caressait ce corps splendide me rendait fou dexcitation. Elle maidait en se soulevant et se retournant pour me faciliter la tâche, me permettant ainsi datteindre tous les recoins de son corps, je pus enfin sentir ses seins dans la paume de mes mains, caresser ses épaules, ses cuisses. Il ny eut pas un centimètre carré de peau que je nai caressé, massé pour lenduire de crème protectrice.
Absorbé par ma tâche, je ne vis pas le temps passer mais lorsque jentendis des crissements de pneus sur le gravier, jeus un serrement de cur et commençais à minquiéter à propos de celles qui ferraient bientôt joujou avec moi.
Nicole, nouant une serviette de bain autour de la taille, décida daller à la rencontre de ses invitées. Je la suivis à trois pas comme doit le faire un esclave docile. Contournant la bâtisse, nous arrivâmes au moment où France et Elsa descendaient de leur cabriolet.
Javais compris quil sagissait dun couple de lesbiennes. Elles étaient habillées toutes deux avec un short moulant et une chemisette. France devait avoir environ 35 ans, pas de poitrine, un cul pas terrible mais des jambes bien ciselées, des cheveux courts et des yeux bleus qui vous transperçaient. Elsa, plus jeune, devait avoir un peu moins de trente ans, très vivante, un visage lumineux, des petits seins qui pointaient sous le corsage entrouvert et un petit cul qui sil était moins somptueux que celui de Nicole nen était pas moins bandant. Je me disais que je naurais aucun mal à exécuter ses caprices. Ce qui nallait pas tarder.
Nicole embrassa les deux filles. France la questionna :
- Cest lui.
- Cest lui, cest mon esclave et le vôtre maintenant si vous voulez. Allez esclave, vient saluer tes nouvelles maîtresses comme il convient !
Nous étions encore sur le parking et on pouvait éventuellement nous voir de la route mais ayant pris goût à la soumission, je ne fis pas de manière pour me jeter à leurs pieds en prenant bien soin de commencer par France qui me semblait plus rétive. Je léchais ensuite le pied que me tendait malicieusement Elsa lorsque je lentendis dire.
Ah! Cest ça tes nouvelles chiottes Nicole ? Ça tombe bien, je mapprêtais à aller pisser lorsque tu nous as invités, depuis je me retiens mais là je nen peux plus, je peux lutiliser ?
Entendre ces mots que jespérais depuis si longtemps me fit avoir une érection phénoménale, ma bite était si raide que jaurais pu men servir pour percer un mur en béton. Elsa se mit entre ma voiture et la maison pour ne pas être vue de la route. Elle descendit son short et son string quelle laissa choir à ses pieds. Je me précipitais pour laider à les enjamber.
Lorsquelle fut cul nu.
- Alors, comment fait-on ?
Je lui proposais de me mettre la tête en arrière soutenu par mes bras tendus, elle naurait plus quà menjamber. Ce quelle fit en riant.
Javais ma bouche à cinq centimètres de sa chatte qui comme celle de Nicole était complètement épilée. Cette chatte, situé en bas dun mont de vénus arrogant avait des lèvres finement dentelées, une uvre dart. Sans complexe, Elsa se mit à pisser à gros jets, jessayais den avaler le maximum mais le débit était trop important, Elsa nessayait même pas de se retenir. Jen eus plein le visage et son urine coulait dans mon cou et sur ma poitrine mais en même temps, ma bite formait une tente avec mon short. Trop vite, la source se tarit, encore quelques petits jets que javalais goulûment et ce fut fini.
Je me préparais à essuyer les dernières gouttes sur ses petites lèvres lorsquelle sécria.
Mais Nicole, elles dont dégoûtantes tes chiottes, regarde, jen ai plein sur les cuisses !
Je lui proposais de la lécher mais sur un ton qui nadmettait pas la réplique.
- Il ne manquerait plus que ça, tu ne tes pas vu, tu as plein de pisse sur la figure et ton tee-shirt est plein de tâches ! Aller, file te rincer et revient ici, illico presto ! Aller ! Court ! Dépêche-toi !
Je me relevais et partis en courant sous les quolibets de France et Nicole. Après mêtre rincé sous la douche de la piscine et mêtre essuyé, je revint en courant, torse nu, pour me jeter aux pieds dElsa et lui demander pardon pour mon manque de maîtrise. Elle prit un air magnanime et me laissa lui lécher les cuisses et sa délicieuse chatte. France en rajouta en riant.
Et son cul, tu ne veux pas lui lécher son cul ? Et pourtant elle a un superbe trou du cul, et en plus, si tu as de la chance, elle se sera mal essuyée la dernière fois quelle a chié.
Elsa, plus fâchée du tout, éclata de rire en me présentant sa croupe. Sa raie était pleine de sueur mais son cul était propre. Aux anges, je la léchais consciencieusement afin de plus mattirer de reproches.
Le spectacle tirant à sa fin, mes maîtresses décidèrent de se reposer au bord de la piscine. Toujours à genoux aux pieds dElsa, je laidais à remettre son short. Pour me récompenser, elle me confia la garde de son string.
Il était déjà 16 heures. Elles sinstallèrent toutes les trois autour de la petite table basse et Nicole proposa du thé à mes nouvelles maîtresses. Celles-ci acceptèrent bien volontiers, Nicole en profita pour rappeler perfidement que lesclave avait déjà été servi.
Bien entendu, je fus chargé daller préparer le thé à la cuisine. Du thé au jasmin avait précisé Nicole, cela donne un meilleur goût au pipi.
Suivant ses indications, je revins avec un immense plateau sur lequel javais disposé les petits fours et le nécessaire à thé.
Nicole avait exigé un service maximum, par des discrets claquements de doigts et des regards appuyés elle mindiquait la façon de procéder. Obéissant aux doigts et à lil, jétais donc aux petits soins pour mes maîtresses. Essayant dêtre le plus transparent possible, je mettais la quantité de sucre quelles mindiquaient, touillais le thé avant de le leur proposer, tournant derrière elles pour passer les petits fours en prenant bien soin de leur présenter le plateau sur leur droite, me tenant prêt à reposer les tasses lorsquelles en avaient bu une gorgée et les reproposer à genoux avant quelles ne me lordonnent.
Feignant mignorer, elles se prélassaient en papotant. De mon côté, je développais des trésors dimagination pour me faire invisible. Elles parlaient comme si je nexistais pas et pourtant jétais leur sujet de conversation. Cette indifférence méprisante me mettait en émoi. Des afflux de sang parvenaient régulièrement à ma bite mais comme jétais en érection permanente, cela ne se voyait plus.
Nicole leur racontait comment elle mavait repéré au cocktail. Elle me décrivait comme étant un bel homme qui semblait dominer son auditoire, très à laise, un rien prétentieux, peut-être même arrogant, parait-il même, que je me comportais comme un chef, habitué à donner des ordres sans douter quils puissent ne pas être exécutés sur-le-champ. Dés lors, elle sétait jetée intérieurement le défi de me mettre à ses genoux. Nicole neut aucun mal à gagner son défi, elle sest très vite rendue compte que javais des prédispositions à lesclavage sexuel. France rappela ensuite ma course ridicule lorsque Elsa menvoya me rincer. Sachant pertinemment que jentendais tout, elles employaient des mots humiliants en parlant de moi. Heureusement, Elsa avoua quelle avait pris plaisir à me pisser dessus. Cet aveu me mis du baume au cur, si je navais pas eu ce devoir de discrétion, je laurais embrassé.
La cérémonie du thé touchait à sa fin. Elsa décida de se rafraîchir nue dans la piscine. Nicole se leva, prit la direction de la maison tout en mordonnant de faire le ménage. Elle prit aussi son ton autoritaire pour me dire de venir la rejoindre dans dix minutes.
Je mactivais au mieux et dix minutes plus tard, me retrouvais dans lentrée de la maison. Ne sachant pas où elle était, jattendais là debout lorsque je vis de la lumière et une porte souvrir. Cétait la porte des wc.
- Par ici, esclave, entre !
Elle était là, nue, face à la glace du lavabo, se mettant de la crème sur le visage. Elle avait un corps splendide, le ventre délicatement arrondi mettait en valeur sa féminité, des seins lourds qui comme par miracle, tenaient tout seul. Cette déesse représentait la quintessence des canons féminins.
Je viens de chier, esclave, malheureusement je nai pas pu me retenir de pisser, alors jai pensé que tu aimerais me torcher le cul avec ta langue.
Lodeur dans cet endroit confiné, confirmait ses dires. Tétanisé, je restais debout, Je navais pas de problème avec luro mais je nétais pas prêt pour la scato.
Nicole se retourna et me gifla de toutes ses forces en me disant dune voix cinglante.
Alors, vais-je devoir attendre longtemps comme ça ? Depuis quand un esclave se permet-il de faire le difficile ?
On ne mavait plus giflé depuis ma tendre enfance, jétais cramoisi, humilié et honteux que la femme que je désirais par tous les pores de ma peau me traite dune façon aussi méprisante. Pourtant, cette gifle ne fit quexacerber mon désir. Alors, abandonnant toutes mes réserves, je me laissais tomber à genoux derrière elle. Ecartant ses globes parfaits, je constatais avec soulagement quil ny avait pas daccumulation de matières, juste quelques traces brunes odoriférantes.
Fermant les yeux, je repensais à la définition de lesclave quelle mavait confiée lors de notre rencontre au cocktail. « Un esclave à le devoir dexécuter immédiatement les ordres de sa maîtresse, sans rechigner, et le droit de faire du zèle pour satisfaire ses caprices »
Abandonnant toute dignité, je jetais mon visage dans sa raie. Lodeur me monta aux narines, je sortis une langue timide. Le goût acre me fit avoir un haut le cur mais je décidais de tenir bon.
Lodeur menivrait maintenant, mhabituant au goût, je léchais avec ardeur, traquant la moindre trace de bas en haut de sa raie, enfonçant ma langue dans son petit trou pour chercher dimprobables restes. De temps en temps, Nicole se penchait en avant pour sapprocher du miroir et tendait sa croupe par la même occasion, linstant daprès, elle se redressait. Je suivais servilement tous ces mouvements. Mon visage et son cul ne faisant plus quun.
Je navais plus la notion du temps mais elle se retourna trop vite à mon goût. Me tapotant sur la tête comme on caresse un toutou, elle me félicita.
- Très bien, esclave, très bien, je suis contente de toi.
Le moindre de ses gestes avait de la grâce. Je la regardais comme on regarde une déesse, les yeux embués de reconnaissance pour ce compliment qui me remplissait de fierté. A cet instant, elle pouvait me demander nimporte quoi, jétais prêt à lui obéir, à exécuter les actes les plus abjects sur un simple battement de ses cils.
Nous repartîmes vers la piscine, comme dhabitude, je la suivais à trois pas. Sinstallant de nouveau dans son fauteuil, elle interpella France.
Eh bien, avec un esclave comme ça, je vais faire des économies de PQ. Tu devrais essayer, cest une référence en matière de lèche !
Mais France navait pas envie. En notre absence, elle sétait mise nue au soleil. Je pus ainsi constater quelle entretenait soigneusement un petit triangle de poils au-dessus de sa grotte. Les yeux mi-clos, elle menvoya chercher une petite caméra dans la boîte à gants de sa voiture, précisant « pour filmer Elsa en dominatrice.
Dés quelle eut la caméra, France se leva et se mit à filmer les évolutions dElsa dans la piscine.
Elsa, sapercevant quelle était filmée, prenait des poses et exécutait des figures dans leau. Les possibilités étant limitées, elle décida de sortir de leau. France mordonna de me mettre nu, prendre une serviette éponge et de lattendre à genoux au pied de lescalier.
Elsa posa les pieds sur la terrasse de la piscine et pris la serviette sur mes bras tendus. Elle sessuya le haut du haut du corps tout en remuant gracieusement, souriante face à la caméra, elle me jeta ensuite la serviette sur la tête en mordonnant de lui essuyer les jambes.
Leau froide lui ayant donnée de nouveau envie de pisser, elle décida bien entendu dutiliser les chiottes qui avaient la bonne idée dêtre présentes quand elle en avait besoin.
France, toujours caméra aux poings, donna ses instructions.
- Ma chérie, essaie de pisser par petits jets, Jaimerai bien faire quelques plans différents pour faire voir à nos invités, ok ?
- Esclave, tu te mets à genoux et tu te penche en arrière, cambre toi pour mettre ta bite en évidence, écarte les cuisses, voilà, comme ça, cest bien !
Elsa, à mon top, tu tavance face à la caméra et lorsque tu seras en place, tu te soulages mais garde en bien pour les autres plans !
Et sadressant durement à moi.
- Lesclave, on ne bande pas avant laction !
Elle pris une chaussure qui traînait par-là et me tapota sur la queue mais ce nest pas facile de ne pas bander avec trois nanas à poils autour et la perspective de la délicieuse boisson qui métait promise. Je navais en effet, presque rien bu depuis mon arrivée.
Nicole vint à son secours en maspergeant le bas-ventre deau froide, ce qui permis à ma queue dêtre un peu moins prétentieuse.
- Bon, on va faire avec. Ok on y va, quand tu veux Elsa !
France était à un mètre devant moi, elle sétait allongée de façon à prendre ma queue en premier plan.
Elsa, savança et menjamba la tête. Sajustant pour ne pas rater sa cible, elle mit son index dans sa bouche comme une petite fille prise en faute, et libéra un jet qui atterrit dans ma gorge. Aussitôt ma bite fit un bon vers le ciel. Cette fois, je réussis à ne pas en perdre une goutte. Après avoir déglutis, je récupérais les dernières gouttes qui perlaient sur les lèvres de son sexe.
France dirigea ensuite plusieurs plans notamment une vue den haut « pour bien voir la pisse tomber dans la bouche » Dautres plans encore jusquà ce que Elsa ait complètement vidé sa vessie.
Apparemment satisfaites de mes services, France et Elsa me firent ensuite prendre les poses les plus humiliantes possibles afin disaient-elle, de montrer à leurs copines « comment elles apprécient les mâles »
Elsa posant un pied sur mon dos comme un chasseur sur son trophée. Moi, à genoux face à la caméra, faisant le beau comme un toutou et Elsa jouant avec ma bite du bout de son pied. Elsa, en amazone sur mon dos, prenant différentes poses. Elsa, à cheval sur mon dos, faisant le tour de la piscine en me tapant sur les fesses. Elsa, sasseyant tête bêche sur mon dos, jouant du tambour sur mes fesses, etc.
Ce film étant tourné à la gloire des dominatrices, je me faisais donc le plus servile possible afin de mettre en valeur lorchidée quétait Elsa.
Ravie et excitée, Elsa, voulue à tous prix filmer France « en train de jouer avec lesclave » A bout darguments pour justifier ses dénégations, France accepta de faire plaisir à Elsa.
Avisant un bout de bois qui traînait par-là, France le jeta dans leau, je me précipitais bien sur, pour plonger et le lui rapporter entre les dents. Mavançant à genoux jusquà elle, je le déposais ensuite à ses pieds.
Elsa, à qui cette scène plaisait beaucoup, me demanda de mébrouer de façon à ce lon voit bien ma bite ballotter de droite à gauche lorsque je sortais de leau. Nous dûmes recommencer plusieurs fois la scène jusquà ce quelle fut satisfaite.
Après toutes ces prises de vues, les jeunes femmes commencèrent à se lasser et retournèrent sasseoir. Nicole proposa une boisson rafraîchissante, proposition que les filles acceptèrent avec plaisir. Je fus tout naturellement chargé du service. France indiqua quelle avait une petite envie et, compatissante, fit remarquer en riant que lesclave devait avoir soif lui aussi. Nicole, en bonne maîtresse de maison et connaissant le peu dintérêt de France envers les hommes, se rappela quil devait y avoir une gamelle ayant appartenue à son gros chien dans la remise, il suffisait de la rafraîchir, elle mordonna de la rapporter en même temps que les boissons fraîches.
De retour de la cuisine, tout en sueur, à peine avais-je eu le temps de verser les boissons que France sempara de la gamelle que javais apportée, la posa par terre et saccroupie pour y satisfaire son impérieux besoin.
Suivant les ordres dElsa et sous lil de la caméra, je mavançais à genoux et plongeais mon visage dans la gamelle. France, qui navait pas terminé, continua à se soulager en me pissant sur la joue pendant que je lapais lodorante boisson.
Cette façon de boire ne métant pas habituelle, je mis beaucoup de temps au grand plaisir de ces dames qui sirotaient leur rafraîchissement en commentant ironiquement mes efforts.
Cest Elsa qui eut le bonheur de lécher les dernières gouttes de pipi sur la vulve de France. Ce fut le départ dun gougnottage de plus en plus torride entre les deux femmes, je pouvais suivre les ébats dun il tout en lapant loffrande de France. La situation était très chaude et les deux femmes, certainement pour ne pas mettre Nicole en porte-à-faux, décidèrent de se finir dans lintimité chez elles. De toute façon, la journée arrivait à son terme et France donna le signal du départ. Tout le monde se rhabilla et Nicole mordonna de remettre mon short pour raccompagner les jeunes femmes.
Sur le parking, assumant dinstinct mon rôle desclave, je me mis à genoux prés de la portière du conducteur du petit cabriolet japonais. Les jeunes femmes sembrassaient avant de se quitter. France remercia Nicole pour « cette très agréable et reposante après-midi », et Elsa quelle « espérait remettre ça bientôt »
Arrivant prés de sa portière, France fit une courte pose pour que je puisse lui baiser les pieds avant de monter dans sa voiture. Je me précipitais de lautre côté où mattendait Elsa pour lui rendre le même hommage. Le moteur était en marche lorsque Elsa, déjà assise dans le cabriolet, fit une dernière requête à France.
- Avant de partir, jaimerais bien lui tâter la queue.
France, qui lui laissait faire tous ces caprices dautant quElsa avait pris sa mine boudeuse, me regarda dun il méchant tout en mordonnant.
- Vas-y baisse ton short !
Debout prés de la voiture décapotée et ravis quenfin, quelquun sintéresse à ma queue, je baissais mon short laissant apparaître une bite avec un gland violacé. Elsa la prit dans sa main, la soupesa, sa main était douce, agréable, je me retenais pour essayer de respecter la volonté de Nicole. Sadique, Elsa fit quelques va-et-vient le long de ma hampe, ce fut de trop, la fabrique de sperme qui avait été sollicité toute laprès-midi ne pouvait plus rien stocker, jéjaculais en de longs jets blanchâtres. Ma bite, enfin soulagée, eu un petit mouvement de repli, ce faisant, la dernière giclée laissa une trace sur la main dElsa qui sécria.
- Tu as raison, France, un homme cest vraiment dégoûtant !
Se tournant vers moi.
- Quattends-tu pour me lécher ça !
Je mexécutais servilement en me confondant en excuses. Lorsque sa main fut débarrassée de la marque impure, elle se retourna vers France et lui roula un patin torride.
Le cabriolet démarra et les deux filles nous firent des signes de la main en franchissant la grille.
Nous nétions plus que deux.
Nicole sapprocha de moi et empoigna vigoureusement ma queue à travers mon short. Ma queue, qui après avoir eu satisfaction était un peu moins prétentieuse.
Dit donc, après avoir bandé toute laprès-midi tu ne vas me lâcher comme ça !
Cétait dit dun air moqueur mais elle savait pouvoir compter sur la fascination quelle exerçait sur moi, sentir la main de cette créature de rêve sur mon sexe me fit retomber en extase, la queue de nouveau triomphante. Nicole me tirant par la bite, nous repartîmes vers la piscine.
Elle me fit allonger sur la chaise longue en me disant de mettre la capote que je devais avoir apportée. Dés que je fus prêt, elle me chevaucha, prenant bien soin de diriger ma queue dans son fondement. Elle mouillait si fort que je sentis à peine lintromission. Elle exécuta quelques vas et viens lents et voluptueux, à chacun de ces mouvements, je sentait la douce chaleur de son vagin englobant mon vit. Les vas et viens devinrent de plus en plus saccadés et, attentif à sa jouissance, je devais me cambrer pour éviter que ma bite ne sorte au cours dun mouvement trop brusque. De temps en temps elle sarrêtait pour reprendre son souffle et se penchait sur moi pour je puisse lui sucer les tétons et lui triturer les seins.
Lexcitation semblait la gagner de plus en plus, sa respiration se faisait rauque. Penchant sa tête en arrière, elle pris ses seins dans ses mains, se tordant les bouts, ses lèvres laissaient échapper quelques onomatopées qui ne faisaient que confirmer létat dans lequel elle se trouvait. Je nétais plus quun gode quelle serrait avec ses muscles vaginaux et dont elle se servait pour atteindre la jouissance.
Ayant atteint mon objectif, je me laissais aller moi aussi pour me mettre en harmonie. Tendu comme un arc, jéjaculais en elle au moment ou elle eut un orgasme énorme, nous avions tous deux le souffle court partageant une émotion intense.
Elle resta comme ça, sur moi, de longues minutes sans rien dire, hébétée, lair absente. Ma queue avait depuis longtemps déjà, quitté sa grotte.
Revenant doucement sur terre, elle savança pour mettre sa chatte sur ma bouche mimposant par cette attitude, de la nettoyer de toute la mouille qui perlait encore.
Ayant repris ses esprits, elle reprenait aussi le contrôle des opérations. Se dirigeant vers la douche de la piscine, elle mordonna de la suivre pour lui passer les savons, shampoing et serviette lorsquelle en aurait besoin. Je me tenais debout, attentif à ses ordres, lorsquelle eut besoin de se savonner les jambes, elle mordonna de me mettre à quatre pattes devant elle pour lui permettre de poser ses pieds, un à un, sur mon dos. Je mexécutais, ravis quelle me trouve de nouveau une utilité. Sentir ses pieds sur mon dos, servir de marche pied à cette déesse qui mutilisait comme un objet utilitaire comblait mes espoirs davilissement, cela me fit avoir une nouvelle érection. Après sêtre séchée, elle shabilla des vêtements que je courus chercher et lui présentais à genoux. Avant de repartir vers la maison elle me précisa.
Tu vas ranger les meubles dans la remise et tu donneras un coup de balai autour de la piscine. Il sera alors pratiquement lheure de partir mais avant, viens me saluer, je serais sur la terrasse de la maison.
Je mactivais pour faire le ménage et me présentais sur la terrasse aussi vite que possible. Nicole était là, assise sur le pat de la terrasse, sexposant aux rayons du soleil encore ardents en cette période de lannée. Une fois encore, je ne savais pas comment laborder, à tout hasard, je me mis à genoux et attendis quelle veuille bien madresser la parole.
Feignant mignorer, elle attendit une dizaine de minutes et puis, comme-ci elle était surprise.
Ah ! Tu es encore là. Cela tombe bien, jai refais mes comptes et constatée que tu me dois encore mille francs ! Tu peux me faire un chèque !
Devant mon air surpris, elle ajouta.
Ben oui, deux mille francs cétait boisson non comprise, tu as été bien servi nest-ce pas ?
Je dus reconnaître quelle avait raison même si jétais frustré de ne pas avoir goûté sa production. Je lui fis donc un chèque. Mais elle en navait pas tout fait fini avec moi, en le prenant, elle minvita à mallonger sur le pat.
Baissant sa culotte, elle sassit sur mon visage. Mon érection repris de plus bel. Dés quelle se fut ajustée la chatte sur ma bouche, je pus sucer une mouille abondante. Elle poussa et je reçus ma récompense dans la gorge. Jétais aux anges, à tel point que je fus surpris dentendre une voix qui disait.
- Bonsoir, ma chérie, il est encore là ?
Cétait la voix de Michel.
- Je termine de pisser et le laisse partir.
Elle ajouta.
Il a été parfait, je ne pouvais pas le laisser partir comme ça, sans un pourboire en liquide. Cest naturel non ?
Ils rirent tous deux des triples jeux de mots.
- Dit donc, vu sa queue, il a lair dapprécier.
Oui, je te raconterais plus tard, mais pour linstant laisse-nous, je me soulage par petits jets pour quil puisse bien déguster et comme il me suce diaboliquement, je veux en profiter au maximum.
Sa miction terminée, elle sattarda de longues minutes me permettant de laper une quantité au moins aussi importante de sa mouille délicatement parfumée.
Je serai bien resté indéfiniment sous son cul, mais malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin.
Comme dans un nuage, je me retrouvais dans ma voiture, à la grille de la propriété. Je redécouvrais lexistence du soleil, du paysage, après lextase de lasservissement où le plaisir de mes maîtresses était mon unique préoccupation, je devais de nouveau prendre des initiatives ne serrais-ce que pour mengager dans la circulation.
Etait-ce un rêve ou avais-je réellement vécu cet inoubliable après-midi ? Je dus me pincer plusieurs fois, mais, non, cétait bien réel. Mon palais était toujours imprégné de Nicole, je continuais à déguster et ma bite était toujours raide. Je dus marrêter à deux reprises pour me branler avant darriver exténué chez moi.
Epilogue
Deux semaines plus tard, Je rencontrais de nouveau Michel au cours dun rendez-vous professionnel. Il minvita au restaurant comme cela se passe entre un bon client et son fournisseur. Manifestement, il ne se moquait pas de moi en ayant réservé dans un des plus grand restaurant de la capitale.
A lapéritif, il commença par me donner un chèque de trois mille francs parce que me confia-t-il. « Nicole nen a pas besoin et quelle a tout largent quelle veut pour sacheter ce dont elle a envie » En fait, il me dit que cela avait amusé sa femme de jouer les putes et de mesurer jusquoù je pouvais aller dans mon désir envers elle.
Nous étions en climat de confiance et Michel me fit des confidences. Il leur arrivait, à Nicole et à lui, de jouer de temps en temps au dominé et à la dominatrice pour mettre du piment à leur relation. Avec moi, cétait la première fois quils faisaient appel à un homme seul de lextérieur, en général, ils faisaient des échanges avec des couples mais la dernière fois, Michel avait poussé le jeu un peu trop loing. Cela leur avait ouvert des horizons insoupçonnés, les fantasmes de Michel nétant pas du tout les mêmes que les miens.
La nuit, après mon départ, avait été paraît-il, très chaude. Plus tard, ils avaient aussi vu le film prêté par France. Mais en plusieurs petites séquences, Michel étant obligé à chaque fois dassécher la moule de Nicole.
Michel me donna aussi des nouvelles de France et Elsa. Elles avaient, elles aussi, eu une nuit ardente.
Cet après-midi avait donc été une réussite à tel point que Nicole a chargé Michel de me demander si jétais libre le premier week-end doctobre. Cétait lanniversaire dune amie et jaurais été le cadeau de Nicole à cette amie.
Cette proposition me fit bander et il est inutile de préciser ma réponse !
A suivre
peut-être
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