Les Aventures D'Un Queutard (5)
Son logement étant trop petit et mal isolé, Tom avait décidé de déménager. La solution la plus simple, sinon la moins onéreuse, était de s'adresser à une agence immobilière. Comme il voulait demeurer dans son quartier, il choisit la plus proche et entra un jour pour exposer ses désirs. Deux femmes étaient présentes. Une jeune fille blonde, charmante, et la patronne, une brune d'une quarantaine d'années. La jeune fille l'invita à s'asseoir et Tom lui raconta sa situation dans le détail. Il parlait depuis environ un quart d'heure quand la femme brune se leva de son bureau et s'approcha du duo :
- Laisse Séverine, je vais m'occuper de monsieur, je crois que nous avons ce qu'il lui faut. Je me présente : Raphaëlle, responsable de cette agence. Venez à mon bureau, je vais vous présenter quelques offres intéressantes.
Un peu surpris, Tom se leva, remarquant au passage la déception de la dénommée Séverine. Lui-même aurait bien aimé que cette jolie blonde aux yeux verts s'occupe de lui. Il avait peut-être fait une touche. Il lui aurait bien brouté le minou et fait connaitre sa matraque. Quelque chose lui disait qu'elle aurait bien aimé aussi. Mais la patronne avait fait tout capoter et sur le moment, il lui en voulut. Mais il fallait bien en passer par elle.
Pendant qu'elle lui présentait ses offres, Tom la détailla. Look typique de l'executive woman. Cheveux mi-longs, regard décidé, mâchoire volontaire, ongles carminés mais visage régulier, buste bien planté et, autant qu'il avait pu juger avant, fesses fermes dans le pantalon serré, relevées par les talons hauts. Bien qu'il ne fût pas particulièrement attiré par elle, son intuition, forgée par l'expérience, lui souffla :"c'est une femme qui baise". Il se concentra néanmoins sur les propositions et accepta une visite dès le lendemain.
Raphaëlle était au rendez-vous, vêtue d'un chemisier très échancré et d'une jupe courte qui révélait sous les collants noirs des jambes musclées de joggeuse.
- Vous vivez seul ou vous avez une petite amie ?
- Euh... seul.
- Je vous demande ça pour les propriétaires, ils aiment bien savoir. Mais ne me dîtes pas qu'un beau mec comme vous est toujours seul.
- C'est que... j'aime ma liberté, mais bien sûr parfois, je fais des rencontres.
- Je m'en doute. Vous devez même avoir l'embarras du choix.
- Je ne me plains pas.
- Vous les hommes, vous êtes toujours en position de force. Moi qui suis divorcée depuis deux ans, je vis seule aussi mais je n'ai pas l'embarras du choix. Les hommes qui me plaisent sont soit déjà mariés, soit trop jeunes et préférant les femmes de leur âge.
- Vous êtes pourtant très séduisante.
- Vous trouvez ? Vous me faites bien plaisir. Vous savez parler aux femmes. Ah, on est arrivé.
Le couple descendit pour visiter un nouvel appartement. Situé au dernier étage de l'immeuble, il offrait une vue splendide. Raphaëlle, tout en évoluant dans l'espace, le frôlait de ses seins et de ses hanches, se cambrant dès que l'occasion se présentait ou s'accroupissant en écartant un peu trop les jambes, dévoilant une petite culotte blanche entre deux cuisses charnues : elle portait des bas dim up.
Au retour à l'agence, elle l'interrogea :
- Alors, quel appartement vous intéresse ?
- Plutôt le deuxième, mais j'ai besoin de le revoir.
- Alors, rendez-vous demain, même heure.
Le soir, Tom repensa à Raphaëlle et son petit manège.
Le lendemain à l'heure dite, Tom rejoignit la directrice de l'agence, vêtue à peu près comme la veille, avec une différence notable : elle ne portait manifestement pas de soutif. Ses seins évoluaient en toute liberté sous le léger chemisier, en suspension. Et comme le temps s'était réchauffé, elle était jambes nues. Tom se laissa conduire et le duo entra dans l'appartement vide. Une certaine tension régnait entre eux. Raphaëlle avait dans les yeux une lueur que Tom identifia illico : c'était une lueur de désir.
Tout à coup, elle le prit par la main et l'entraina vers la baie vitrée, pour admirer une nouvelle fois la vue. Face au panorama, dos à lui, le regard perdu vers l'horizon, elle le tira vers lui et posa sa main sur son sein droit, sans mot dire. Tom pu jauger la fermeté du globe et ne retira pas sa main. Mieux, il le soupesa, le flatta et entra dans le chemisier pour le titiller. L'autre main de la directrice se glissa entre ses jambes et lui attrapa les couilles.
- Tu bandes, souffla-t-elle.
Il se plaqua contre elle et l'embrassa dans le cou, tout en continuant à lui pétrir le buste. Il n'avait jamais résisté à une main féminine sur son entre-jambes. Elle roucoula et sa pression sur son membre se fit plus forte :
- Sors ta queue et baise-moi, là, tout de suite, dit-elle, toujours le regard sur la vue panoramique.
Elle l'aida de ses deux mains derrière le dos à se déculotter, avec une adresse stupéfiante. Il releva sa jupe, fit glisser son string, palpa les fesses, les écarta, titilla son anneau, descendit vers la fente qu'il trouva très humide. Raphaëlle lui tendit une capote qu'elle avait tiré d'on ne sait où, signe de sa préméditation. Il s'en coiffa et la pénétra sans coup férir. En appui sur la baie vitrée, elle lui renvoya la balle avec ardeur et les peaux claquèrent dans l'appartement vide.
- Viens sur moi, je pourrai durer davantage.
Toujours juchée sur ses escarpins, elle vint s'empaler sur lui et il put enfin voir son visage dans le plaisir. La longueur de son pénis et la profondeur de la pénétration la rendaient radieuse, méconnaissable. Ce n'était plus la femme de tête mais la femme érotique qui dansait sur sa bite. Elle s'était débarrassée de son chemisier et de sa jupe et offrait le spectacle de sa pulpeuse nudité qui devint intégrale quand elle ôta aussi ses escarpins. En appui sur ses pieds nus, elle faisait aller et venir son ventre sur le sien dans d'amples mouvements et d'ardentes circonvolutions dans un bruit mélangé de clapots et de gémissements, entrecoupés de mots crus tranchant avec son attitude martiale de l'agence :
- Ah je baise ! Ah je baise ! Tu me la mets profond. Tu es dur. Tu es long. T'arrête pas surtout.
Elle se retourna et lui offrit dans la même position le spectacle de ses fesses joufflues, constellées de fossettes lorsqu'elle tressautait sur lui. Soudain, elle se releva, le prit par la main et l'entraina dans la salle de bains vide. Elle se mit les coudes sur la planche du lavabo, face au miroir et l'invita à la pénétrer dans cette position. Leurs regards se croisèrent dans le miroir. Elle appréciait visiblement cette double observation : son visage et le sien. Ses seins se balançaient en cadence.
*******
Une liaison tumultueuse, parfois même orageuse, commença entre Tom et Raphaëlle. Flattée d'être honorée, malgré la différence d'âge, par un aussi fringant jeune homme, la directrice d'agence était aussi soucieuse de préserver son terrain de chasse. Elle craignait par dessus tout d'être supplantée par plus jeune qu'elle. C'était aussi la raison pour laquelle elle faisait preuve d'une ardeur et d'une imagination débordantes. S'ils baisaient peu au lit, ils étaient en revanche friands d'accouplements dans des lieux incongrus : toilettes de restaurant, aires d'autoroute, forêts puis, la belle saison arrivant, dunes derrière les plages où ils se baignaient nus. A domicile, la baignoire et la table de la cuisine étaient sollicitées pour des actions non prévues par leurs concepteurs. Il arrivait aussi parfois qu'ils s'unissent dans le bureau de l'agence occupé par la directrice, hors la présence de Séverine, ce qui excitait particulièrement Raphaëlle. Elle adorait particulièrement répondre au téléphone pendant que, assise sur son bureau, Tom lui léchait la chatte avant de l'enfiler une fois qu'elle eut raccroché. Elle lui lâcha un jour en pleine action : "je suis e de ta bite". C'était assez bien résumé et Tom dut admettre qu'il avait rarement honoré une femme aussi passionnée par son membre viril, ce qui le contraignait à être toujours d'attaque.
Cette passion érotique ne laissait pas insensible l'employée Séverine. Malgré ses 25 ans et son corps parfait, elle enviait sa patronne d'être aussi bien servie, elle qui rencontrait parfois d'amères déceptions sexuelles. Voulant se faire valoir, Raphaëlle ne lui dissimulait pas la puissance de son partenaire et le plaisir inouï qu'il lui procurait. Séverine aurait encaissé sans mot dire si elle n'avait pas perçu que Tom lui conservait un intérêt certain, quoique dissimulé. Les femmes sentent ces choses là. Elle évoluait néanmoins sur la corde raide. Si la perspective d'attirer Tom dans son lit restait une constante de son esprit tourmenté par ses besoins érotiques mal assouvis, il lui fallait néanmoins procéder de telle sorte que sa patronne ne s'en aperçût pas. L'occasion lui fut offerte un jour que l'amant de Raphaëlle se retrouva au bureau alors que cette dernière accomplissait une visite imprévue, et annulé son rendez-vous avec Tom, qui ne l'apprit qu'à l'agence.
Ce jour là, il faisait chaud et Séverine était vêtue d'un boléro et d'une mini jupe qui mettaient en valeur épaules, seins et cuisses bronzées par le soleil de juillet. Tom ressentit aussitôt une petite boule à l'estomac ainsi qu'une raideur dans son entre jambes. Sans vergogne, il se mit à draguer l'employée qui, pour la forme, protesta et excipa de la liaison de son dragueur avec l'absente. Mais comme Tom avait de l'intuition, il ne s'arrêta pas à ce barrage formel et accentua sa pression verbale avec des mots choisis, vantant la demoiselle non seulement pour sa plastique mais aussi pour son esprit et son efficacité professionnelle. C'était un discours qui lui alla droit au coeur mais pas seulement. Tant et si bien qu'avant le retour de la patronne, tous deux savaient qu'ils allaient baiser ensemble et le plus tôt serait le mieux. Justement, Raphaëlle devait partir au siège de l'agence immobilière pour une réunion mensuelle dès le lendemain. Tom invita Séverine à diner, histoire de respecter un minimum de convenances.
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Le rendez-vous était donné à l'agence et Tom s'y pointa à l'heure dite. Séverine l'accueillit avec une bise sur la joue. Elle était vêtue d'une jupe vraiment très courte mettant en valeur ses cuisses bronzées et d'un boléro moulant sa poitrine agressive. Elle avait dénoué ses cheveux châtain clair qui tombaient voluptueusement sur ses épaules découvertes. Tout en elle transpirait le sexe et Tom ressentit illico une raideur dans son boxer. Toute la journée, il avait pensé à ce moment et c'était comme si le sperme s'était accumulé dans ses couilles gonflées. Ce qu'il ne savait pas, c'est que Séverine avait dû changer deux fois de culotte dans la journée tant elle mouillait en prévision de la soirée. Sa sexualité bouillonnante de fille de 25 ans allait enfin pouvoir se libérer, espérait-elle, après des semaines de frustration ou de déception. Elle allait rencontrer un vrai baiseur et elle se moquait bien de le piquer le temps d'une soirée à sa patronne.
Dès leur rencontre, compte tenu de ce qui précède, une tension s'installa entre eux. Tom la suivait des yeux dans l'agence, fixant ses fesses serrées dans la jupette pendant qu'elle rangeait quelques dossiers. Elle le frôlait de sa hanche, se cambrait légèrement, une moue sur ses lèvres charnues et il arriva que sa main frôla le devant du jean de Tom. C'en fut trop pour lui. Il l'attrapa au vol, la prit par le cou et lui roula une pelle number one qui la fit chavirer et la rendit toute molle. Tom l'entraina dans le bureau de la patronne et ferma la porte. Il la coinça contre le bureau et fourragea sous la jupe pour faire glisser le slip le long des cuisses bronzées. Elle bataillait avec la braguette du jean de Tom pour en sortir le pénis qui surgit comme un diable de sa boite, tendu à l'extrême. Il l'assit sur le bureau et pantalon aux chevilles, l'enfila sans coup férir et sans préliminaire, jusqu'à la garde, dans un déduit marécageux. Jambes nouées dans le dos de son mâle en rut, mains en appui sur le bureau, Séverine lui renvoya la balle en couinant. Ce fut un coït fougueux, intense, bavard, Séverine célébrant son baiseur en appuyant sur les B : "Tu me Baaaises Bieeen, elle est Boooonne, ta Biiiite". Survolté, Tom cognait au fond de la matrice dans un véritable cloaque, s'attirant à chaque coup de boutoir une onomatopée enthousiaste de la part de la jeune fille, au comble du plaisir. Il éjacula lorsqu'elle eut un violent orgasme et se retira en se comprimant la verge tandis qu'elle se ruait vers les toilettes, une main entre les cuisses. Ils se retrouvèrent en riant et en s'embrassant :
- C'était magnifique, magique, merci Tom ! souffla-t-elle.
- Tu es un coup en or, lui répondit-il.
Et main dans la main, tout juste rajustés et sommairement nettoyés, ils gagnèrent le restaurant. Ni l'un ni l'autre ne virent la tache pourtant immanquable qui s'était déposée au sol, sous le bureau. Une tache de sperme, échappée de l'éjaculation massive de Tom malgré sa compression, mélangée avec la cyprine copieuse de Séverine.
Au restaurant, entre des considérations liées au marché de l'immobilier et au comportement de Raphaëlle... au travail, Tom et Séverine s'échauffaient mutuellement. L'un lui promettait pour la nuit suivante "une bite de 20 cm" et "pas une minute de sommeil". L'autre mettait en doute qu'il ait pu "recharger aussi vite" et assurait que s'il "bandait mou, il irait dormir dans la baignoire". Lui certifiait qu'elle "sentirait sa bite jusque dans sa gorge", elle qu'il "ne pourrait se servir de sa queue que pour pisser pendant au moins une semaine". Et c'est dans un état proche de la combustion interne qu'ils entrèrent à poil dans le lit de Séverine quelque temps plus tard après avoir dispersé leurs vêtements dans tout l'appartement.
Séverine dut reconnaitre que Tom ne s'était pas vanté. Sa queue était une véritable matraque quand il la pénétra pour la deuxième fois de la soirée. On ne sait trop comment réagirent les voisins mais comme il le lui avait promis, Tom lima longuement Séverine dans toutes les positions et sans éjaculer une goutte de sperme au point de la rendre quasiment aphone. Le point haut des décibels fut atteint quand Tom la sodomisa, ce qui ne lui était encore jamais arrivé. Ce fut, de sa part, une révélation qui allait influencer toute sa vie sexuelle à venir. Tom l'encula à quatre pattes, couchée et même assise sur sa queue tandis qu'elle se branlait en même temps le clitoris. Epuisé et en nage, il se laissa faire lorsqu'elle le "termina" par une longue fellation qui lui arracha les reins. Et il s'endormit illico, vidé de sa substance tandis que Séverine, très énervée, allait prendre une douche.
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Dès le lendemain, alors qu'il était au travail, Tom reçut un coup de téléphone de sa jeune maîtresse. Elle était en pleurs. Entre deux sanglots, elle lui raconta que sa patronne l'avait virée. Tom réussit à connaitre les raisons de ce licenciement brutal. Dès son arrivée matinale, Raphaëlle avait découvert sous son bureau l'imposante tache qu'elle trouva immédiatement suspecte. A l'évidence, ce n'était ni du café, ni de l'eau mais une substance grasse que son expérience fit penser à du sperme. Elle interrogea Séverine dès son apparition puis, voyant son trouble, la cuisina et sa subordonnée finit par avouer qu'elle avait "fait l'amour" dans ce bureau. Ce n'était pas suffisant pour Raphaëlle. Elle voulait savoir avec qui. Séverine résista longtemps mais devant la menace d'en référer en haut lieu, et sous une rafale de questions, elle finit par avouer que l'éjaculateur était Tom. Prise d'une véritable furie, la chef d'agence intima aussitôt l'ordre à sa subordonnée de "ficher le camp" et de ne plus revenir, son licenciement devant lui être signifié par courrier. Et elle en était là dans son récit à Tom.
Celui-ci comprit illico que son histoire avec Raphaëlle avait pris fin. Il se reporta sur Séverine mais dans les semaines suivantes, celle-ci comprit qu'elle n'avait aucun avenir dans la ville, étant grillée parmi les confrères de son ex-chef d'agence, et elle émigra sous d'autres cieux. Quant à Tom, il subit lui aussi la vengeance immobilière sous la forme de tracasseries diverses et variées dans son appartement, à commencer par une nette hausse de son loyer, totalement illégale vu qu'il n'avait pas achevé son bail. Il comprit qu'il devait vider les lieux au plus vite et s'enquit d'un autre logement. Mais cette fois, il choisit une petite agence dont le gérant et seul employé était un quinquagénaire bedonnant qui, par bonheur, avait une dent contre Raphaëlle. Et Tom partit à nouveau en chasse, n'étant que peu enclin à une chasteté prolongée.
(A suivre... éventuellement).
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