La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1280)
chienne Kajira (ex-Vénus) au Château (suite de l'épisode précédent N°1279) -
- Jouis Ma Kajira, lâche ta jouissance Ma chienne, je lexige
Sous Ses mots et sous Ses doigts expérimentés je me laissais aller à lorgasme mais une jouissance tellement animale, intense, volcanique que jétais parcouru par des spasmes violent et puissants qui me remontaient sur toute mon échine par des décharges électriques orgasmiques. Je coulais de plaisir fontaine sous les mains du Noble qui pendant ce temps se branla sur moi et déversa Sa noble semence par des jets saccadés et chauds sur mon corps jouissant encore et encore, alors que je savourais encore le plaisir que Le Châtelain mavait accordé. Puis je me mis de nouveau à genoux pour nettoyer délicatement Sa verge recouverte de nos sécrétions corporelles. Il me mena dans la douche et me fit mettre à genoux, lever la tête et ouvrir ma bouche, puis il maspergea de Sa douche dorée sur tout mon corps et se servit de ma bouche comme un urinoir pour ensuite de nouveau se nettoyer. Après jeu le droit de me doucher à leau chaude et pour finir Monsieur le Marquis me fit monter dans le lit et je mendormis dans Ses bras dans une sieste bien méritée
. A mon réveil, Maitre avait quitté la chambre et je trouvais sur la table un mot écrit des mains du Noble
« Ma chienne, Ma propriété, Ma Kajira, Cristal, Jai passé un agréable moment avec toi, Prends du temps pour toi, repose toi, car notre départ est prévu pour cette fin daprès-midi. Je compte finalement après ce début daprès-midi user de Ma chienne quand je le voudrais. M ais sache que pour le moment profite, tu es Mon invitée. Le Seigneur et Maitre »
Je mapprochai de la fenêtre, au travers on pouvait y voir les jardins. Un endroit rempli de souvenirs pour moi. Du plus loin que je me souvienne je venais à chaque vacances au Château sans jamais me douter de se quil cachait aux yeux du monde. Cétait pour moi une deuxième maison car mes parents étant très occupés, ils me laissaient là des quils le pouvaient.
- Et bien Cristal tu as fait une bonne balade à cheval ?
- Maitre, oui effectivement et jen ai profité pour repenser à mon enfance quand je venais au Château avec mes parents et à ces moments où je ne connaissais pas encore notre monde, aux balades à cheval et à bien dautres choses.
- Je sais Ma belle, Je tai observé de mon bureau, il est vrai que maintenant tout à changer car tu nes plus la petite fille innocente que tu étais. Tu as grandi et as découvert ta soumission à Mes pieds, mais sache aussi que tu es Ma Kajira donc si tu le mérites, peut-être que Je daignerai taccorder certains privilèges. Mais pour lheure il est temps de se préparer, nous partons dici quelques heures, pour rappel, juste en cette fin daprès-midi
- Oui Maitre, je ferai toujours mon maximum pour Vous satisfaire, cest ma seule raison de vivre, dêtre
.
- Je le sais Ma belle. Aller vient, allons nous préparer...
Il était 18h quand nous prîmes la route pour laéroport de Lyon et une fois dans le jet privé du Maitre, Celui-ci mordonna de le sucer en guise de repas et puis je minstallai couchée à Ses pieds durant le voyage qui dura moins dune heure. Une fois arrivé à Toulouse, Maitre avait déjà tout prévu car une limousine nous attendait pour nous conduire à un luxueux hôtel 5 étoiles.
Quelques jours passèrent et le jour des funérailles eut lieu. Tous les dominants et amis de mon père et de ma mère avait répondu présent pour leur rendre un dernier hommage. Je me sentais mal car tout le monde durant la cérémonie me dévisagea et je me doutais donc que mon père avait fait passer la nouvelle de ma soumission aux pieds de Monsieur le Marquis car tout le monde adressa ses condoléances à Maitre et non à moi. Je me sentis humiliée par leurs manques dattention à mon égard et il ne me tardait quune chose en finir avec cela. Je dus me faire violence pour ne pas leurs rentrer dedans. Une fois tout le monde parti, je méloignai un peu pour me poser sur un banc en bordure dune allée du cimetière car javais besoin de souffler, de reprendre ma respiration et envisager ma vie émettant le souhait de ne jamais revoir tous ces dominants si ingrats
2 mois passèrent, non sens mal pour moi, qui comme lavait anticipé Maitre, je commençais à déprimer, ça se ressentait dans ma soumission, une envie de rien que je devais moi-même combattre, mais heureusement jétais très comprise car Monsieur le Marquis fit preuve dune extraordinaire compréhension emplie dhumanité, il voyait bien que javais perdu tous mes repères et me donna le temps quil me faudra pour me reconstruire
Le jour daller chez le Notaire à Lyon (un dominant et ami personnel de Maître) changea tout pour régler la succession.
« Ma fille, ma Cristal, si tu lis cette lettre, cest que malheureusement je ne suis plus de ce monde et que je naurais jamais pu te parler. Depuis ton départ de la maison pour vivre ta soumission aux pieds de mon cher ami Monsieur le Marquis, un vide en moi sest créé. Lentêtement borné et absolu de ton père et les soucis quil ta causé ma fait prendre conscience que je ne pouvais plus vivre comme ça sans rien faire. Alors il y a peu, ma fille, sans que ton père ne le sache, je suis allée voir mon ami Monsieur le Marquis pour parler et il ma dit que tu étais heureuse et épanouie, chose qui me manquait de savoir et sache que ton épanouissement personnel, ton bonheur sont à mes yeux les choses les plus importantes. Tu as donc ma bénédiction ma fille, profite de la vie quIl toffre, savoure-là et assume ce que tu es. Seul ton bonheur compte pour moi. Maman qui taime tant »
Sur ses mots, je compris que javais laccord de la personne à qui je tenais plus que tout, ma maman, et un déclic eu lieu sous les yeux de Monsieur le Marquis et du Notaire. Je ne devais plus cacher ce que jétais mais lassumer aux yeux de tous et peu importe les réactions des gens. Je regardais Maitre et me prosternais à Ses pieds et récitais mon sermon avec un bonheur infini et le goût de la soumission, ce besoin de la vivre revint instantanément comme par magie ! Magie qui fut le résultat de ce déclic salvateur :
« Je suis la Kajira du Maitre, Monsieur le Marquis dEvans, jobéis à tout ce quIl exigera de moi sans me poser de question, je Lui appartiens corps et âme et le remercie de soccuper de mon éducation desclave soumise »
- Eh bien, mon cher Edouard, quelle magnifique déclaration, tu as vraiment une chienne extraordinaire
- Je le sais Mon cher ami et je suis heureux denfin retrouvé Ma Kajira dévouée à me satisfaire.
(A suivre
)
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