Le Peintre Et Sa Muse Chapitre 3
« Alors ma belle Annie, tu nes pas venue pour poser nue jespère, parce que je ne couche jamais avec mes modèles. »
- «Non, ne me fais pas languir, je suis venue pour du sexe, rien que du sexe et encore du sexe ; prends-moi , fais-moi jouir, depuis hier je ne pense quà ça ! »
Mais François nest pas pressé et puis le doux parfum enivrant du sexe lui revient aux narines. La nuit dernière il a dormi avec la petite culotte dAnnie posée sur loreiller, et trop saoulé par les entêtantes effluves émanant de la petite lingerie, avant de sendormir il na pas pu résister.
Les yeux fermés, revoyant Annie offerte, ouverte, la ruche dégoulinante de nectar, il a tenu la petite culotte sous son nez, et de lautre main il sest donné un plaisir, imaginant que cest Annie qui lui procure ce plaisir. Les giclées de sperme sont venues sécraser jusque sur sa poitrine, la dernière dans sa main, et finissant de se masturber il a étalé cette dernière giclée sur toute sa hampe.
Le souffle court il sest levé, pour passer à la salle de bain puis il est revenu se coucher.
Alors aujourdhui il a le temps, le temps de soccuper dAnnie il veut lentendre à nouveau gémir de plaisir.
La dévorer tout entière quelle devienne sa maîtresse, quil lui fasse découvrir des choses inconnues.
Alors François prend en mains les deux globes laiteux aux larges aréoles brunes avec les tétons qui pointent et qui réclament baisers et succions.
Annie sent les lèvres de son amant prendre possession de son sein droit tandis que pour le gauche François fait rouler le téton entre ses doigts tout en létirant le plus possible.
Annie, très sensible des seins, gémit à tout va, tenant son amant par les cheveux elle le maintient sur sa poitrine. De la langue, son amant entoure son téton et Annie à limpression quil sallonge de plus en plus à chaque fois que la bouche laspire avec force.
Annie supplie François de lui donner son gros sexe quelle a eu en main dans latelier de Bernard, mais François est bien décidé à faire durer le plaisir, elle est venue chercher du sexe, elle va être gâtée.
Annie lance sa main sur le coté pour la poser sur la braguette pour tenter de prendre ce gros sexe dont elle rêve.
François prend la main qui tente de le caresser pour la mettre sur la fente juteuse.
- « Branle toi le temps que je me déshabille ! »
Et tandis quil retire ses vêtements, Annie se caresse, enfonçant trois doigts dans son vagin à létat de liquéfaction totale on entend même le clapotis des doigts. En même temps elle est hypnotisée par leffeuillage de son amant qui se retourne pour retirer son pantalon, et Annie voit soudain quil était nu, elle lattendait avec impatience.
François se retourne et Annie peut voir le gros sexe qui va lui faire tant de bien.
Lentement François sapproche de la banquette jusquà toucher ses lèvres, alors François lui dit :
- « Suce-moi et continue de te branler, je veux tentendre jouir, après je te nettoierai la chatte avant de te baiser, allez, suce moi bien, ma bite est toute à toi ».
Alors Annie prend dans la main cette tige brûlante et elle tire le prépuce vers le bas. Elle approche sa bouche du champignon violacé, (oh cette queue sent bon, elle sent lhomme et elle sait quelle va devenir folle de cette queue).
Alors Annie passe sa langue sur ce sucre dorge maintenant tout à elle.
Elle passe sa langue sur tout le pourtour du gland, insistant sur le frein, quand elle entend son amant soupirer et quelle sent palpiter le pénis tout entier. Alors nosant pas encore mettre cette queue dans sa bouche, elle descend la bouche tout le long de la hampe jusquaux testicules toutes douces, son amant a eu le délicatesse de se raser le sexe pour elle.
Tout en suçotant la chair raide et douce à la fois, elle remonte jusquà lextrémité de la bite, pour poser ses lèvres en corolle autour du gland et de la langue cueillir la première goutte translucide et légèrement acidulée, signe du plaisir intense que ressent son amant.
Écartant le plus possible la bouche, elle loge difficilement le gland entre son palais et sa langue.
François va lui faire comprendre quil est devenu son maître et quil va la soumettre, il prend Annie par les cheveux et dun seul coup il lui enfonce son sexe jusquà la gorge lui arrachant des larmes et des hauts le cur. Et avant quelle ne sétouffe il revient au bord des lèvres, elle a juste le temps de reprendre sa respiration que François lui enfonce à nouveau son gros sexe au fond de la gorge.
- « Tu voulais de la queue, alors avale celle que je toffre ! Allez tête bien mon gros biberon.»
Alors il se retire du fond de la gorge et il laisse Annie lui sucer le gland mais bientôt les doigts dans sa chatte commencent à faire leur effet. La main dAnnie est trempée ainsi que le drap, elle sent que sa petite rosette a eu le droit à son arrosage aussi. Elle y pose un doigt et cest lexplosion, elle emprisonne sa main entre ses cuisses, elle tremble de tout son corps, la vague de plaisir la traverse de part en part, allant de son ventre en ébullition à ses seins et ses tétons que François se met à étirer en voyant convulser Annie. La bite dans sa bouche a étouffé ses cris de plaisir.
François se retire de sa bouche, et il lembrasse : « Maintenant je vais te défoncer la chatte !»
Alors il retourne Annie, la met à genoux il va la prendre en levrette.
Il passe son sexe sur la fente détrempée, il fait glisser son gland du clitoris jusquà lanus, donnant des frissons à Annie qui à chaque fois que le gland passe à lorée de sa grotte, se recule pour tenter de sempaler, mais son amant se recule lui aussi.
Combien de temps a duré ce manège ? Ils ne savent pas comme si on faisait lamour montre en main !
Mais soudain au moment où elle recule, François avance brusquement, enfonçant son mandrin jusquà lutérus, dilatant les chairs à lextrême. Annie sécroule sur le drap, François la retient par les hanches, en attendant que le vagin prenne bien la dimension de ce qui le rempli.
Annie mord le drap pour ne pas hurler, mais petit à petit la douleur initiale fait place au plaisir dêtre pénétrée.
François commence un va et vient lentement, sarrêtant parfois pour bien sentir le vagin dAnnie qui se contracte autour de son membre comme pour le masser.
François change régulièrement de rythme, pénétration lente juste à lentrée du vagin pour bien soccuper du point G, et puis pénétration rapide ,le gland butant à chaque fois sur la matrice et à chaque retrait, la mouille coule sur le drap et le claquement du ventre sur les fesses trempées dAnnie l'amène à un deuxième orgasme, ses contractions bloquent littéralement la queue au fond de son ventre.
Mais son amant nen a pas fini avec elle. Une fois revenu au calme, il sort de sa chatte, la positionne sur le dos il lui prend les jambes et les pose sur ses épaules.
La chatte luisante et béante de plaisir soffre à sa vue, et tandis quAnnie les yeux fermés, tente de récupérer, François enfonce de nouveau son dard entre les babines gonflées.
Du fait de la position il ne peut pas senfoncer totalement, mais justement le gland frotte exactement là où il faut et cette fois ci, au moment où Annie a un troisième orgasme, François lui déverse sa sève dans son vagin en feu.
Il sort sa queue et envoie les deux dernières éjaculations sur les seins dAnnie, puis il remonte jusquà sa bouche et lui donne sa queue à sucer.
Annie goûte enfin à la liqueur de son amant, et elle lui rend son sexe tout propre.
François veut lui rendre la pareille mais Annie sy refuse, sa vulve est bien trop sensible.
Alors il se rhabille tout en contemplant le corps de son amante.
Annie se lève, sessuie avec le drap quelle roule ensuite en boule sur la banquette. François le lui prend des mains en lui disant : « Pour tavoir avec moi toute la nuit ».
Annie remet sa robe et enfile ses escarpins, elle regarde lheure, mon dieu elle devrait déjà être rentrée.
Il faudra quelle passe aussi à la douche, elle pue le sexe il faudra éviter Bernard en rentrant.
François la raccompagne jusquà la porte donnant sur la rue, un dernier baiser et elle quitte à regret son amant.
- « François je nai jamais autant joui, tu es un amant merveilleux».
- « Ne te fais pas de souci je vais te faire découvrir beaucoup d'autres choses tu es une amante merveilleuse !!»
François regarde Annie séloigner jusquà ce quelle tourne au coin de la rue en lui faisant au revoir en lui envoyant un baiser.
François regagne son atelier ce nest plus le moment de travailler, alors il prend le drap et il monte à létage pour rejoindre son appartement et sa chambre. Il dépose le drap sur loreiller, non sans en avoir humé une bouffée de plaisir. Il sent son sexe frémir à nouveau dans son pantalon et il va prendre une douche en imaginant quAnnie fait de même en ce moment.
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