Le Visiteur

Monique n'essayait même pas de masquer ses pensées. Elle était convaincue que c'était un effort dérisoire et inutile.
Bien sûr, certains prétendaient qu'ils pouvaient se protéger en utilisant de l'alcool, des hallucinogènes ou un pouvoir mental.
Mais elle n'y croyait pas. Comment peut-on être sûr, lorsqu'on est sous l'influence d'un psychotrope, que l'on échappe au contrôle?
De toute façon, pour ce que ça servait ... Il n'y avait aucun signe de résistance de masse et personne ne semblait vouloir se libérer.
La préoccupation majeure de Monique, à cet instant précis, c'est qu'elle avait besoin d'être baisée. Pas baisée simplement.
Elle avait besoin d'une baise cosmique. Elle avait vraiment besoin d'exulter, de s'envoyer en l'air.
Elle en avait tellement besoin que ça la mettait mal à l'aise. Mais ça l'émoustillait aussi.
C'est à ça qu'elle pensait, l'esprit perméable, confiante, en attendant son visiteur.
Elle l'attendait dans le séjour de sa maison, près de la grande baie vitrée, rideaux grands ouverts, derrière des vitres qu'elle ne cherchait même plus à garder propres.
Elle était totalement nue, car c'était inutile de porter des vêtements, ni lingerie, ni accessoires coquins ou sexy.
Le visiteur n'en avait pas besoin. Il ne comprenait pas l'intérêt de ce genre de détail.
Sa réaction serait la même, qu'elle soit sexy ou non, sa seule préoccupation étant que ses vêtements n'empêchent pas la pénétration.
Elle imaginait son visiteur en mâle, mais elle ne savait pas s'il était masculin, ou féminin, ou les deux, ou ni l'un ni l'autre.
Mais cela n'avait pas vraiment d'importance, seule comptait la pénétration.
La pénétration ... Ooh, putain oui, magnifique, succulente, sublime, somptueuse, un truc de mâle dominant, alors son visiteur était devenu masculin dans son esprit.
Elle l'attendait, tremblante de fièvre et d'avidité, entièrement nue devant sa fenêtre, exposée au regard des passants.


Mais personne ne s'aventurerait ici avant l'heure convenue.
Elle avait dénoué et longuement brossé ses magnifiques cheveux roux, puis légèrement maquillé ses yeux verts et ses lèvres pâles.
Même si c'était parfaitement inutile, le temps passé à s'apprêter pour lui était un instant délicieusement troublant.
Ses seins lourds, gorgés de désir, se balançaient lorsqu'elle se dandinait d'un pied à l'autre.
C’était tout ce qu’elle pouvait faire pour s'empêcher de rouler ses mamelons turgescents entre ses doigts.
Mais elle ne voulait rien faire qui puisse déplaire à son visiteur. Qui savait ce qui pourrait troubler ses plans?
Elle pouvait voir son reflet dans la vitre. Son corps pulpeux, en forme de sablier. Sa fente aux lèvres épaisses. Ses cuisses musclées.
Il y a quelques mois à peine, elle ne se serait jamais exposée aussi effrontément. Mais beaucoup de choses avaient changées.
La pensée de ces temps nouveaux inonda sa chatte d'un nouveau flot d'humidité.
Cela ressemblait à un mauvais roman de science-fiction, le jour où les extraterrestres sont apparus.
Des sortes de navires gigantesques, transportant des formes de vie qui ressemblaient à des masses gluantes avec des tentacules.
Il n'y eut aucun avertissement, aucune résistance ni aucune bataille finale pour la défense de la Terre et de l'Humanité.
La Terre s'est rendue en moins d'une heure. Et l'Humanité a été asservie immédiatement.
C'était comme un mauvais scénario de science fiction mal écrit. La guerre des mondes était terminée avant d'avoir commencé.
Nous étions seuls dans l'univers, et l'instant suivant, ils ont surgi du néant.
Sans comprendre, nous avons été asservis par une race extraterrestre capable de contrôler nos esprits si complètement que nous ne savions même pas que nous étions contrôlés.
Sans réfléchir, les gens ont commencé à faire les choses un peu différemment. Bien sûr, au début, c'était un peu révoltant.

Mais, il nous semblait qu'ils avaient toujours été là. Peut-être, ou peut-être pas. Cela n'avait plus aucune importance.
L'important, c'était ce que les extraterrestres avaient en tête pour les citoyens de la Terre. L'asservissement, mais pour quoi faire?
Êtes-vous vraiment un esclave si vous vivez comme avant?
Vous allez travailler? Vos s vont à l'école? Vous faites vos courses, un peu de sport, vous flirtez, vous baisez, etc ..?
Bien sûr, certaines choses avaient changé. L'absence de conflits. Les haines raciales, les violences étaient proscrites.
Les extraterrestres nous avaient étudiés avant de venir, et ils étaient venus préparés.
Ils avaient visionné l’ensemble de nos comportements, et ils avaient découvert nos deux obsessions: le pouvoir et le sexe.
La quête du pouvoir entraîne des conflits. Fini, le pouvoir. Terminé. Le pouvoir appartient aux extraterrestres. Ils ont pénétré nos esprits. Ceux qui autrefois se détestaient ne parvenaient plus à se rappeler pourquoi. Les gens ne voulaient plus de conflits.
Combien sont-ils? Dix? Mille? Des millions? Impossible de savoir. Ils surgissent n'importe où, n'importe quand.
Pas de moyen de locomotion. Pas de faisceau de télé-transportation. Combien sont-ils pour contrôler sept milliards de terriens?
Suffisamment. Pas de rébellion, pas de menaces. En contrôlant nos esprits, ils nous redirigent, sans heurts.
Personne ne comprenait le but ultime des extraterrestres. L'asservissement est généralement effectué pour une raison. Vénération. Puissance. Nourriture. Mais ils ne semblaient pas avoir de besoins. Les choses ont changé subtilement sans raison apparente.
Mais la deuxième obsession des terriens, c'était le sexe. La quête du plaisir. La fièvre des sens. Ce désir fou qui poussait Monique à attendre, complètement nue, devant la fenêtre du séjour, frémissante d'impatience en attendant son visiteur.
Les extra-terrestres ne l'ont tout simplement pas compris.
Alors ils ont commencé à expérimenter cela.
La première fois, Monique s'en souvenait encore. C'était pendant une interview à la télé, un matin. L'émission phare de la matinée, celle animée par la sculpturale présentatrice blonde. Cette émission faisait fureur tous les jours à cause de la plastique exceptionnelle de cette beauté et des sujets torrides qu'elle traitait. La plus impudique des émissions cochonnes de l'histoire de la télé.
Ce matin-là, elle recevait un extra-terrestre. Il semblait calé sur trois de ses nombreux appendices, ou tentacules? Monique ne les considérait pas comme des tentacules, car cela lui rappelait une pieuvre gluante, ce que les extraterrestres n'étaient pas.
Tout sauf des pieuvres. Des baudruches, des ballons en caoutchouc, mais avec des protubérances, des bulbes, qui pouvaient grossir, grandir, ou bien disparaître! Pas de visage, pas d'yeux, pas de bouche.
On les comprenait quand ils nous parlaient sans savoir d'où cela provenait.
La caractéristique la plus visible, c'était leurs appendices. Ou tentacules. Ils semblaient pousser selon les besoins, et prendre la forme désirée, suivant l'usage qui les faisait apparaître. Ils pouvaient courber, saisir, souffler, sucer, vibrer, envelopper, pincer ou tout autre mouvement, puis disparaître dans le corps une fois leur tâche terminée.
La présentatrice était assise dans un fauteuil, vêtue d'une robe rouge, très sexy mais professionnelle, montrant beaucoup de peau, mais tout en restant très classe. Les premières questions étaient anodines.
La présentatrice posait les questions qu'on lui avait préparées à l'avance. La créature dictait ses réponses dans l'esprit d'un comédien, qui répétait mot à mot pour le public. Elle posa ensuite la question:
"Qu'est-ce qui vous étonne le plus chez les humains?"
La transformation de l'expression du visage de la présentatrice a été instantanée. Stupéfaction, un bref instant.
Puis la luxure. Le désir brutal, de la bestialité.
Elle s'est dressée d'un bond pour ôter ses vêtements.
De rage, elle a arraché sa robe rouge lorsque sa fermeture éclair s'est coincée.
Prise de frénésie, elle a ôté ses sous-vêtements pour s’exhiber, magnifiquement impudique, aux téléspectateurs du monde entier.
Les caméras zoomaient en gros plan, les techniciens étaient tous devenus complètement cinglés.
Devant les yeux incrédules de millions de gens, elle s'est assise sur la table devant son invité, en relevant et en écartant ses jambes magnifiques pour s'offrir à l'Être Suprême, quémandant ses faveurs comme une chatte en chaleur.
Les caméras montraient chaque détail, les opérateurs étant clairement sous l'influence de l'entité.
Un appendice supplémentaire a poussé sur le corps de l'extraterrestre et s'est enfoncé directement dans la chatte béante de la jeune femme. Elle a hurlé, un cri bestial, mélange d'extase et de concupiscence, d'empressement et de soumission.
Les caméras ont saisi le mouvement brutal de l'appendice s'enfonçant dans sa vulve, tandis que deux volutes se développaient sur les côtés de l'appendice pour écarter les lèvres de sa chatte, révélant ainsi son clitoris trempé de cyprine.
On pouvait voir en gros plan le tentacule se vriller pour explorer chaque recoin du vagin, tandis que la jeune femme suppliait, gémissait et haletait, prise d'une ivresse sexuelle insupportable.
Tandis que la chatte était remplie, étirée, farcie puissamment mais maladroitement, un autre tentacule s'étira du corps de la créature pour capturer son sein. En atteignant la sublime poitrine, l'appendice se déforma en une sorte de bol, qui moula le mamelon parfaitement en se mit à le masser en émettant une sorte de vibration. À l'intérieur du bol, le téton subissait une forte succion qui fit pousser un râle de plaisir à la jeune femme. De la même manière, un autre appendice s'est formé et a saisi son autre sein pour lui faire subir le même traitement.
Les caméras filmaient la scène en gros plan et en haute définition, et chez eux, les téléspectateurs se branlaient furieusement devant le porno le plus érotique de tous les temps.
Puis, avec l'appendice enfoncé profondément dans sa chatte, l'extraterrestre la souleva du fauteuil et la maintint dans les airs, la gardant perchée debout sur le bras étranger planté dans son corps.
Ses hurlements de plaisir se transformèrent en cris d'angoisse, déchirée par la douleur.
La créature a réagi immédiatement avec de nouveaux appendices pour supporter son poids sous ses jambes et son fessier.
Les seins massés par la vibration, les tétons sucés, un pieu ferme enfoncé dans sa chatte, son corps trempé de sueur tremblait sans cesse sous la violence des orgasmes qui se succédaient.
Monique se massait vigoureusement la chatte en regardant le spectacle à l'écran. C'était lubrique, puissant, sensuel.
Et c'était volcanique. Monique souhaitait être dans la position de la fille, au bout d'un appendice extra-terrestre.
Baisée. Suppliante, gémissante, geignante et oui, peut-être même s'évanouir de plaisir.
La présentatrice ne s'était pas évanouie. Peut-être l'aurait-elle préféré. Mais la jouissance avait submergé tout autre sentiment.
L'extraterrestre la tournait et la retournait, révélant les détails de son anatomie en gros plan tout en dictant mentalement au comédien toute une litanie de détails graveleux sur la jeune femme, qui expliquait aux téléspectateurs quelle salope c'était!
Elle n'a même pas réagi lorsqu'un nouvel appendice s'est vrillé dans sa raie culière, lui flattant l'anus, puis s'est glissé furtivement à l'intérieur. Ce n'est qu'après, quand la spirale a commencé à s'épaissir, se durcir, que les cris de plaisir stridents et interminables se sont fait entendre. Bientôt, la hampe dans son cul avait atteint l'épaisseur du poignet d'un homme. Couplé à l'appendice évoluant dans sa chatte distendue, elle avait la sensation que la succession d'orgasmes ressemblait à un bombardement.
L'inconnu a continué à explorer ses orifices pendant plusieurs minutes, la tenant parfois parallèle au sol, parfois verticale, parfois sous un autre angle. C'est pendant ces manipulations qu'un liquide blanc commença à s'écouler de la chatte farcie.
La créature avait-elle joui? Comme un humain? Est-ce qu'elle allait avoir un bébé extraterrestre?
Quelles étaient les règles pour les rapports inter-ethniques?
Doucement, le visiteur déposa la jeune femme épuisée sur le sol, ses appendices se retirant lentement de son corps.
Se hissant au-dessus d'elle, il a soudainement projeté un flot de liquide blanc sur son corps, comme un film de boules en accéléré. Mais ce n'était pas du liquide séminal d'extraterrestre.
C’était simplement ce que les extraterrestres avaient assimilé en étudiant la sexualité humaine, dans les pornos sur Internet.
D'abord, tu la baises, puis tu lui balances ton foutre sur la gueule.
Ils ne faisaient que reproduire ce qu'ils avaient vu sans le comprendre.
Leur imitation de sperme était un mélange d'eau salée, blanchie et rendue visqueuse avec quelques enzymes ajoutées.
Très peu probable de créer des bébés multiethniques.
L'étranger a disparu à ce moment-là, laissant la jeune femme comme une poubelle sur le sol de son studio, sa chevelure en désordre, son corps maculé de faux sperme, sa peau marquée et en sueur après la baise absolue qu'elle avait reçue.
Personne ne l'a revue après ça. Certains ont dit qu'elle avait quitté le pays. D'autres pensent qu'elle s'est suicidée après avoir été humiliée en direct à la télévision. Il est possible qu'elle soit devenue l'esclave sexuelle des extraterrestres. Monique s'en fichait.
Elle avait son propre visiteur à servir.
Monique remarqua un mouvement sous le porche, et son exaltation augmenta puis retomba en réalisant que ce n'était pas son invité.
Au lieu de cela, c’était l’un des premiers spectateurs, ces hommes surgis d'on ne sait où, venus assister à ses ébats.
Celui-ci la dévisageait, sa main dans la poche, caressant déjà sa queue de haut en bas, attendant l'événement principal.
Un autre le rejoignit, expliquant au premier comment il aimerait la baiser.
Elle sourit en dansant lascivement, comme une strip-teaseuse, caressant ses seins et tortillant son cul pour appâter l'auditoire.
Cela ne la dérangeait pas qu'ils la regardent, tant qu'ils restaient de ce côté de la fenêtre.
Peut-être espéraient-ils la baiser si le visiteur ne venait pas. Ce n'était guère probable, cependant.
Qui oserait défier une créature qui possède autant de pouvoir en lui prenant sa femelle?
Elle allait recommencer son spectacle pour les hommes qui s’agglutinaient devant sa fenêtre quand elle sentit ses membres être immobilisés, comme prise dans un étau.
Quatre appendices de l’extraterrestre, flexibles et extensibles, avaient saisi ses poignets et ses chevilles, et la maintenaient captive.
Bien qu'elle attendait sa visite, elle a sursauté en poussant un cri d'effroi.
Le contact sur sa peau était si … tellement … indéniablement inhumain, son instinct lui dictait de fuir.
C'est probablement en ressentant cela que la créature la saisissait toujours par surprise en l'immobilisant fermement.
Monique n'était pas certaine de savoir pourquoi les extraterrestres l'avaient choisie pour pratiquer ces expériences, mais elle était presque sûre que cela avait quelque chose à voir avec sa chatte.
Sa chatte était capable de compresser très fort un sexe masculin.
Comme un casse-noisette, ou une pince, sa chatte pouvait comprimer un pénis jusqu'à faire mal à son propriétaire.
Lorsqu'un homme ne restait pas dur suffisamment longtemps, elle s'amusait à le faire souffrir, comme pour le punir.
Et lorsque son orgasme commençait, sa chatte se contractait d'elle-même, comprimant ce qu'il y avait dedans sans qu'elle le veuille.
Beaucoup d’hommes se sont donné du mal pour conquérir Monique et dompter son étrange emprise.
Elle ne comprenait pas comment les extraterrestres ont eu vent de son talent spécial. Mais ils savaient. Et ils l'appréciaient.
La première fois avait été maladroite, sans saveur, comme un qui découvre le sexe et ne sait pas quoi faire.
Probablement, à force de regarder des pornos et de pratiquer, ils arrivaient mieux à assouvir les désirs de leurs partenaires.
Plausiblement, ils ne ressentaient pas les mêmes émois que les femmes qu'ils violaient, mais ils pouvaient lire dans leurs pensées, et ils parvenaient maintenant à peaufiner leur technique et à corriger leurs erreurs.
En même temps, ils choisissaient leurs partenaires pour effec leurs expériences et ils savaient ce qu'elles souhaitaient.
Ils choisissaient et décidaient lesquelles étaient simplement capables de supporter le coït et lesquelles participaient activement.
Sa première fois avec un extraterrestre, elle préparait le dîner dans la cuisine lorsque le visiteur a surgi à côté d'elle.
Elle était restée là, paralysée de peur, tandis que des bras étranges se glissaient sous ses vêtements, explorant son corps avec toute la subtilité d'un débutant. Il progressait à tâtons, semblant analyser ses réactions, comme dans le jeu (chaud, tiède, froid) auquel jouent les s qui cherchent un objet caché. L'apprentissage s'est accéléré lorsque ses appendices ont testés les réactions du mamelon ou de la chatte. Lorsqu'il a réussi le tour de force de masser simultanément le point G et le clitoris, tout en lui léchant l'anus et en lui suçant les tétons, elle a failli s'évanouir de bonheur.
Le plaisir était si intense qu'elle gémissait en écartant les jambes, impudique et offerte à l'exploration éducative des tentacules.
Son orgasme et ses spasmes ont tellement plu à l'extraterrestre qu'il l'avait littéralement arrosée de sperme blanc gluant.
Lors de sa deuxième visite, il savait modeler une approximation grossière d'un pénis humain.
À la cinquième visite, il connaissait plus de moyens créatifs pour la pénétrer que beaucoup d'humains.
Il ne reproduisait plus ce que les hommes pouvaient faire, il inventait, il créait!
C'est à ce moment-là que leurs jeux ont commencé à attirer un large public.
Des hommes qu'elle ne connaissait pas, s'agglutinaient derrière la fenêtre pour les regarder copuler.
Comment avaient-ils su? Peut-être que la créature les avait invités.
Ou peut-être un leurre invisible, comme une explosion de phéromones qui aurait affolé leur libido.
Peu importe, ils ont été attirés, et ils sont venus regarder. Et se masturber, en commentant les exploits des deux partenaires.
Après la première représentation devant un public nombreux, elle avait soigneusement nettoyé sa fenêtre, maîtrisant difficilement les spasmes qui lui tordaient l'estomac. Le cœur au bord des lèvres, elle avait essuyé avec dégoût ses vitres tachées de coulées de sperme gluant, collant et nauséabond.
Maintenant, armée seulement d'un tuyau d'arrosage, elle lavait les traînées de sperme sans aucune émotion.
À présent, maintenue debout intégralement nue, bras et jambes largement écartés, devant un public d'obsédés sexuels, Monique frissonnait d'anticipation. Pas de perte de temps avec les préliminaires, le visiteur est passé directement à l'action.
Il envoya d'abord deux volutes glisser sur les globes de son cul, chacun se ramifiant à l'infini, jusqu'à ce que ses fesses soient recouvertes d'un mince filet.
Ses fesses ont commencé à picoter, comme si chaque millimètre de peau était recouvert de mille petits baisers.
Une fois les fesses recouvertes, les volutes jumelles se sont glissées entre ses jambes, encadrant sa chatte, puis s'étendant langoureusement vers son ventre.
Elle observait la progression, fascinée, chaque millimètre carré de peau étant enveloppé par un mince tissu élastique qui frôlait sa chair aussi légèrement qu'un papillon.
Ils progressaient, inexorablement, jusqu'à recouvrir les collines de sa poitrine qui ne demandaient qu'à être conquises.
Monique retint son souffle dans l'attente que ceux-ci commencent à sucer ses mamelons si sensibles.
Cette émotion la renversa quelques instants plus tard lorsque la matière qui recouvrait ses seins se mit à vibrer.
Immédiatement suivit par une intense succion sur ses tétons déjà tendus.
Elle laissa échapper une plainte aiguë, mélange de désir, de plaisir, de surprise et de chaleur.
Les seins maintenant stimulés, les volutes continuaient de progresser, les extrémités comme des boas cherchant une proie.
D'autres appendices ont commencé l'exploration du dos, mais aucune touche n’a été enregistrée, tant les sensations émanant de ses seins vibrants étaient intenses.
Lorsque les reptiles venant de ses seins ont rencontrés ceux venant du dos au niveau de la gorge, ils ont commencé à tisser un collier autour de son cou. Elle n'a pas eu le temps de se soucier de ce phénomène, son esprit était déjà occupé ailleurs.
Plus bas, entre ses cuisses, un tentacule en forme de brosse allait et venait, caressant sa chatte.
La pellicule qui entourait sa chatte écartait les grandes lèvres, laissant les petites lèvres si sensibles recevoir la sollicitation.
Bientôt, cet appendice s'enfonça profondément dans l'orifice de sa chatte, changeant ses poils doux en excroissances plus raides, qui raclaient de manière plus énergique son vagin.
Un autre appendice, en forme de pointe de flèche, s'enfonça vicieusement dans son anus, lubrifiant l'entrée en déposant une matière huileuse sur son passage. Pas plus gros qu'un suppositoire, il s'insérait facilement dans l'étroit conduit.
Elle se sentait comme poignardée par un amant particulièrement adroit, dont le doigt préalablement lubrifié serait venu se fourrer dans ses entrailles.
La créature qui la maintenait bras et jambes écartés la fit basculer en arrière, à l'horizontale, pour bien montrer à l'auditoire haletant la prise de possession des orifices de la jeune femme.
Ce qu'ils ne pouvaient ni voir ni imaginer, c'était les excroissances de chaque appendice qui massaient maintenant la mince paroi intérieure entre sa vulve et son cul, faisant vibrer le faisceau de nerfs.
Monique ressentait les premières chaleurs projetées par des orgasmes électriques sur chaque terminaison nerveuse.
Tandis que Monique entonnait une longue mélopée de volupté, s'efforçant d'accueillir encore plus profondément les tentacules, l'extraterrestre la baisa. Elle aurait perdu toute volonté de résister, si elle l'avait eue.
Elle a perdu la moindre notion de honte pour écarter ses jambes et montrer à ces hommes ses parties les plus intimes, sa chatte palpitante et son cul sexy baisés crûment par l'entité. Maintenant, elle voulait tout leur montrer.
Elle aurait aimé que la porte soit ouverte pour qu'ils puissent regarder de près et voir avec quelle empressement elle se livrait à son tortionnaire, et qu'ils puissent entendre le bruit de son sexe maltraité par ses appendices tremblants.
Elle aurait aimé avoir plus d'orifices à offrir à son visiteur. Plus de possibilités de se donner.
Elle tremblait sous son pouvoir et ne souhaitait rien d'autre que de le servir de toutes les manières possibles.
Puis le collier autour de sa gorge commença à se resserrer.
Avec cette légère pression, elle ne craignait pas pour sa vie, mais elle gênait sa respiration, devenue sifflante.
Ses seins étaient comme un brasier ardent qui diffusaient leur chaleur à travers tout son corps.
Sa chatte et son cul étaient baisés à mort par l'étranger.
Elle eut à peine le temps de penser qu'elle aimerait sucer une bite, que du collier s'échappa un tentacule qui prit la forme d'un sexe d'homme et vint lui caresser les lèvres.
Brièvement, elle se demanda si c'était elle, avec ses fantasmes, qui pilotait la créature ou si c'était le visiteur qui lui dictait ses pensées lascives et perverses.
Quand la créature approcha le phallus de ses lèvres, elle commença à lécher respectueusement l'objet. La forme, la taille, le goût, jusque dans le toucher, tout semblait réel. Monique tendait ses lèvres pour happer l'objet de son désir, mais la créature laissait délibérément osciller le pénis devant sa bouche. Hypnotisée par son envie, elle tendait sa langue avec ferveur pour effleurer le gland, jusqu'à ce que la créature ait pitié d'elle et lui offre sa bite à sucer.
Elle goba aussi profondément la bite qu'elle le pouvait et elle eut la surprise de sentir que les sexes, dans son cul et dans sa chatte, s'épaississaient un peu. Elle pompa encore une fois, une autre légère expansion.
Plus elle suçait la bite dans sa bouche, plus les deux autres sexes augmentaient de volume.
Elle craignait, en théorie, de finir divisée en deux, écartelée par deux bites monstrueuses.
Mais c'était tellement bon, incroyablement bon, qu'elle ne pouvait pas se retenir.
Comme chaque fois auparavant, les pénétrations de la créature exacerbaient ses sens, lui faisant perdre tout contrôle.
Elle s'est livrée au plaisir en suçant la bite palpitante avec abandon.
Dans sa chatte et dans son cul, les deux tentacules tumescents dilataient monstrueusement les parois de ses orifices.
Les peaux qui recouvraient les deux monstrueux pénis développèrent de nouvelles soies minuscules qui multiplièrent les sensations dans ses orifices atrocement dilatés.
La sensation de vertige prenait le contrôle de son esprit, elle jouissait sans cesse, hurlante et déchaînée, perdue dans sa volupté.
Elle pleurait presque, le plaisir la suffoquait par vagues si puissantes qu'elle se sentait chuter dans un précipice, se rapprochant de plus en plus de la destruction totale. Elle pouvait difficilement reprendre son souffle, tant le collier autour de son cou était serré.
Sa chatte et son cul débordaient de liquide imitant le sperme humain qui apaisait un peu la brûlure de la pénétration.
L'extraterrestre la rapprocha de la fenêtre, comme un animal exposé en vitrine.
Il la balançait devant les hommes en train de se masturber, la faisant pivoter pour qu'ils puissent la voir sous tous les angles.
Certains pervers se branlaient d'une main en filmant avec leur portable de l'autre main.
Trois énormes bites, une dans la bouche, une dans la chatte et une dans le cul. Les seins maintenus en état d'excitation par la succion sur les tétons et la vibration sur les mamelons, le collier serré autour du cou.
L'extraterrestre promenait la jeune femme sans effort, la tournait et la retournait devant les yeux exorbités des hommes comme pour les défier, pour leur dire:
"Voyez comment je baise votre femelle, comment je la remplis, comment je la contente! Essayez d'en faire autant!"
Il imposait aux humains sa supériorité comme pour leur dire qu'il était désormais inutile de lutter, qu'ils devaient se soumettre dans tous les domaines, même et surtout celui du sexe, car ils n'étaient pas de taille!
Les yeux écarquillés, à bout de souffle, gémissante, les vagues successives de plaisir menaçaient de lui faire perdre connaissance.
Jamais aucune femme n'avait été baisée de cette façon, aussi intense et aussi durable.
Elle savait qu'elle ne pourrait pas en supporter beaucoup plus, sinon elle n'y survivrait pas.
Soudain, les trois pénis se sont retirés de son corps et la peau qui la recouvrait a disparut, de même que le collier autour du cou.
La créature a jeté sa victime au sol, comme un paquet de linge sale, et immédiatement a dégorgé sur elle des litres de sperme blanc, épais et sirupeux.
Elle a distingué à travers sa vision brouillée que les hommes devant sa baie vitrée déchargeaient leur foutre sur ses vitres, les coulures de sperme témoignaient de l'intensité de leurs désirs.
Aussi vite qu'ils étaient venus, ils sont tous repartis. La pétasse baisée par un extraterrestre ne les intéressait plus.
Ses orifices cruellement distendus, ses seins rougis et sensibles, chacun de ses mouvements éveillait en elle des douleurs qui lui dureront encore plusieurs heures, elle en était certaine.
Elle palpa son cou et fut surprise de n'y trouver aucun dommage.
Couverte de sperme coagulant sur son corps, incapable de se tenir debout, tremblante et gémissante, elle regarda par sa fenêtre tachée de sperme, et Monique eut une pensée, avant que l'épuisement ne s'empare d'elle et le sommeil la gagne:
Elle aimait vraiment cette invasion extraterrestre. Et elle attendait impatiemment le prochain Visiteur.

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