Les Vacances 19: Dans Un Cruising Genevois, Ça Finit Par Une Domination

Après une grosse demi journée de travaille sur Geneve, je renvoie Vincent (mon stagiaire) chez lui et je reste sur place. Je lui ai dit que je devais voir des amis mais en réalité je vais faire un petit tour dans un cruising genevois que j’apprécie bien. Même si l’entrée est chère, j’ai toujours pris beaucoup de plaisir à chacune de mes visites là-bas. Et celle la déroge pas à la règle.

Après un petit repérage des lieux mais surtout des autres mecs présents, je tombe sur un mec nu, plutôt poilu, allongé sur une table gynécologique. Pendant qu’il regarde une partouze sur l’écran, je m’approche de lui et joue avec ses tétons. Ca chauffe très rapidement et je commence par le sucer un moment, sous le regard d’un voyeur d’au moins 60 ans.

Il me rend la pareille avant de coiffer ma tige d’un préservatif pour que je le sodomise. Alors que je vais et viens dans ses entrailles, un nouveau voyeur vient nous rejoindre. Il suce le mec que j’encule avant de monter sur lui en 69. Alors que nous nous éclatons en trio, un couple de mecs rentre pour jouer à côté de nous. Il commence par se branler mutuellement, un des deux s’agenouille pour sucer l’autre avant de se faire prendre.

A part le petit mec du couple nous jouissons les uns après les autres. C’est celui que je baise qui ouvre la danse en giclant sur son ventre tout en se faisant branler par son compagnon de 69. Ce dernier se vide à son tour sur le ventre du mec avant de me sucer jusqu’à ce que je jouisse. Je lâche ma première giclée dans sa bouche puis il me fait, à mon tour, arroser le bidon poilu.

Après m’avoir nettoyer, il lèche le ventre recouvert de nos 3 spermes et les partage avec le mec à 4 pattes qui continuent de se faire martelé le cul. Rapidement nous nous retrouvons qu’à 3, le couple qui nous a rejoint et moi. Celui qui se faisait prendre se met à genoux bouche ouverte, je m’installe à côté de lui dans la même position et nous masturbons, à 4 mains, l’énorme tige de son homme sous le regard du premier voyeur qui est revenu.



Le mec agenouillé à côté de moi, nettoies mon visage puis le sien mais il avale tout seul, l’énorme quantité de sperme de son compagnon de baise. Pendant qu’ils se roulent une pelle, j’att mes habits et disparais à mon tour. Je passe vite aux toilettes bien me rincer le visage avant de sortir prendre l’air et fumer une cigarette pour rechargé les batteries. L’après midi de baise a bien commencé mais ne va pas s’arrêter là.

Je tourne pendant un moment dans le quartier chaud de Geneve, je m’achète une bouteille d’eau et je retourne au cruising. Je montre mon ticket d’entrée au mec à la caisse, il me reconnait tout de suite et après lui avoir redonner ma veste, ma sacoche et ma béquille, je retourne dans le labyrinthe du sexe. Même si le premier étage est plus rempli qu’à mon premier passage, je descends directement.

Là aussi, il y a plus de monde. J’ai envie de sentir une belle bite entre mes lèvres alors je rentre dans une cabine qui a deux glory holes. Je m’installe sur la banquette, je sors ma queue et mes yeux passent de l’écran qui montre un homme en train de fister un autre, aux trous ouverts dans les parois qui m’entoure. Je caresse lentement mon sexe qui est en demi molle.

Je ne patiente pas très longtemps pour qu’une tige apparaisse à travers un des trous. Je la cajole d’abord avec mes mains et rapidement je lèche le gland. Ensuite je le prends en bouche et fais tournoyer mal langue autour. Puis j’avale de plus en plus cette bite qui continue de grossir dans ma bouche. Ce membre est bien large mais pas très long ce qui me permet dans prendre une grande partie en bouche.

Je fais coulisser mes lèvres sur toute la longueur de cette belle queue, ma langue s’attarde sur son gland circoncis et son frein. Bien que tout le reste de son corps soit de l’autre côté de la plaque de contre plaqué, je le sens s’agiter de plus en plus. Cela fait seulement quelques minutes qu’il est dans ma bouche que je sens déjà ses veines gonfler.


Je sens un peu de liquide couler sur ma langue ce qui me donne un aperçu de son gout. Ca m’excite énormément, je me déchaîne encore plus sur sa bite jusqu’à ce qu’il explose entre mes lèvres. 4 beaux jets s’écrasent sur mon palet et son sperme rempli ma bouche. Je prends beaucoup de plaisir à l’avaler tout en continuant à le sucer.

L’homme recule doucement, quand sa tige quitte mes lèvres j’ai juste le temps de lui donner un petit coup de langue sur le méat avant de le voir disparaitre derrière le trou. Je lèche mes lèvres et retourne m’assoir sur le petit banc face à l’écran. Je prends quelques secondes à me rendre qu’il y a déjà une autre tige dans le trou d’en face.

Je m’agenouille devant cette nouvelle queue, qui est encore complètement molle, je commence par le caresser. Ce sexe se dresse rapidement entre mes doigts. En la voyant se durcir si rapidement, je la gobe pour la prendre entièrement en bouche avant que ça ne soit plus possible. Le sexe grossit tellement que je suis obligé de le recracher. Je le caresse pour bien le décalotter avant d’à nouveau avaler son gland.

Je prends beaucoup de plaisir à m’occuper de cette queue qui est très réactive à mes caresses. Je suis tellement excité que je sors ma queue pour me branler en même temps que je le suce. Quelques minutes après, j’entends taper de l’autre côté de la paroi puis la bite disparait lentement. Une bouche se pose contre le trou dans le mur et me demande de le rejoindre dans un cabine. Vu comme je suis excité, j’accepte tout de suite.

Je me rhabille, sors de la cabine en même temps que le mec que je suçais. Je suis étonné de découvrir que c’est le voyeur d’une bonne soixante d’année de la partouze de tout à l’heure. Comme il a fait que nous mater sans sortir son sexe, je ne l’imaginais monter comme ça. Il att fermement ma main et m’entraine dans une cabine sans aucun écran.

La pièce est assez sombre, uniquement éclairée par une petite lumière rouge.
Même si mes yeux ne sont pas encore habitué à l’obscurité, je vois qu’il y a rien d’autre qu’un matelas bien surélevé. L’homme ferme la porte à clé derrière nous, m’attire contre lui. Comme je suis plus grand que lui, il met sa main derrière ma tête et m’attire vers sa bouche pour que nous nous embrassions langoureusement.

Quand nos lèvres se décollent, il maintient, vigoureusement, mes cheveux dans sa main pour me garder prêt de lui. Avec une voix grave et sèche, il me demande:
« Tu aimes être pris en main fermement? »
Sans même réfléchir je lui réponds que oui, alors que d’habitude je suis plutôt dominateur. Il relâche mes cheveux me donne une claque plutôt gentille et m’ordonne:
« A genoux! »

Une fois que mon visage est au niveau de son entrejambe, je reçois de nouvelles claques. Elles sont de plus en plus fortes mais ça reste raisonnable. Il att, de nouveau, le derrière de ma tête pour la soulever et me faire le regarder droit dans les yeux. Toujours sur le même ton, il me dicte:
« Tu vas faire exactement ce que je vais de dire. Rien de plus, rien de moi. »
Je fais oui de la tête alors il continue:
« Ouvre, uniquement, ma ceinture et donne la moi. »

Je défais son ceinturon puis tire dessus pour faire passer la lanière de cuire dans chacun des passants. Quand je lui la tends, il me gratifie d’une caresse sur la joue.
Il se penche sur mon dos et me fesse, à travers mon jean, avec le cuir de sa ceinture. Même si je ressens presque rien je pousse quelques gémissements qui le motive à y allait plus fort. Que c’est bon!

Toujours penché sur moi il m’ordonne:
« Les mains dans le dos! »
Je sens la lanière de cuire attacher mes mains ensemble et les serrer ferment pour que je ne puisse plus boucher les bras. Avec la partie de la ceinture qui pend, il me donne encore quelques fessées. Puis il se redresse avant de me relever.

Il déboutonne, rapidement, ma chemise et écarte bien les pans pour s’attaquer à mes tétons qui pointent bien.
Il passe et repasse ses index sur chacune de mes tétines pour encore plus les dresser. Une fois qu’elles sont plus proéminentes, il les serre avec deux doigts. Je me remets à gémir, sa main droite abandonne mon sein gauche et je me mange une claque.

Je le regarde avec étonnement, alors il me dit, avec la voix d'un professeur en colère:
« Je t’ai autoriser à gemir?????? »
Pour toute réponse je baisse la tête. Il reprend mes deux tétons entres ses pouces et ses index et commence à les faire tourner de plus en plus fort. Je ressens un plaisant mélange de douleur et bonheur. Je me mords la lèvre pour ne pas gémir, j’ai pas envie de recevoir une nouvelle gifle.

Une fois que mes tétines ont bien rougis, il les relâche et me fait me remettre à genoux. Il ouvre son pantalon et le fait tomber à terre pour se retrouver en slip blanc recouvert de quelques tâches. Je sais pas si c’est du sperme ou de la pisse, peut être même les deux, mais ça m’excite encore plus. Il met sa main derrière ma tête et appuie dessus pour me plaquer contre le tissu de son slip.

Je prends une grande respiration, sa sent le sexe mais aussi l’urine, je dois bien vous avouer que j’ai bien senti ma queue s’agiter dans mon boxer. J’entends sa voix, qui m’excite de plus en plus, me dire:
« Lèche! »
Je sors ma langue pour la passer sur chaque centimètre de tissu maculé. A chaque coup de langue, je sens sa queue grossir un peu plus.

Quand je vois son gland dépasser de l’élastique, je ne peux m’empêcher de le sucer. Sa main empoigne mes cheveux et il plaque ma joue droite contre le matelas. Je le vois baisser son slip, il se branle un peu pour encore plus durcir et commence à me bifler, en me disant (à chaque mot sa queue vient taper ma joue):
« Tu… fais… uniquement… ce… que… je… te… dis…c’est… compris…? »

Je dois dire que c’est compliqué de ne pas gémir en sentant cette bonne bite me gifler la joue. Quand j’ouvre la bouche pour lui directement « Oui, Maitre » il ne me laisse pas parler et enfourne sa tige en m’interdisent de bouger les lèvres et la bouche. Je n’ai pas d’autre choix que de m’exécuter même si j’ai très envie de sucer la queue de ce vieux bien chaud.

Alors qu’il est toujours dans ma bouche, il lâche sa bite et repose ses mains sur mes tétons. Quand ses doigts commencent à les serrer, on entend des coups régulier contre le mur qui nous sépare de la cabine d’à côté, puis des gémissements qui sont de plus en plus fort. Entre ce bruit venant d’à côté et ma bouche pleine, le mec qui s’occupe de moi (dont je connais même pas le prénom) n’entend pas mes petits cris.

Même si je prends beaucoup de plaisir avec ses doigts qui tirent, pincent, tordent… mes tétines, j’ai envie de plus mais j’ai pas le droit de demander. Au bout d’un moment dans cette position, même sans le vouloir, je bouge ma langue. Il ressort immédiatement sa queue de ma bouche. Il s’agenouille pour être à la même hauteur que moi et me regarde sévèrement.

Il reste un moment silencieux et m’énumère les règles pour la suite:
« A chaque fois que tu bougeras tes lèvres ou ta bouche, tu recevras 5 bifles. A chaque fois que ma bite viendra s’écraser tu devras compter. Si tu oublies une fois, je recommence à zéro. Une fois que j’ai fini tu me remercies par « Merci Maitre ». C’est bien compris? »
« Oui »

Je reçois la plus grosse gifle de l’après midi suivi d’un:
« Oui qui? »
« Oui Maitre. »
Il me félicite et replaque, violemment, ma joue droite contre le matelas. Sa main gauche appuies sur mon front alors que la main droite fait claquer son sexe contre ma joue de libre.

Evidement, je compte 1, 2, 3, 4 et 5 puis j’oublie pas de remercier mon Maitre. Il remet son gland bien gonflé dans ma bouche, fait glisser sa tige jusqu’à cogner ma glotte et retourne s’occuper de mes tétons. Que je bouge ou pas je suis puni plusieurs fois et je pense que pendant cet exercice je reçois près d’une centaine de bifles. Pour vous dire la vérité, à certains moments j’ai fait exprès de bouger la langue ou les lèvres pour à nouveau bien sentir son sexe taper ma joue.

Après avoir suffisamment profiter de ce petit jeu, les voisins ont déjà fini de baiser, ses mains quittent mon torse. Il appuie encore plus fort sur ma tête contre le matelas et ce met à me baiser la bouche violemment. Sa queue rentre tellement en moi, que régulièrement son gland se retrouve dans ma gorge. Il le laisse un moment et se retire soit quand j’ai plus d’air soit quand je risque de vomir.

Je sais pas combien de temps il a violer ma bouche mais heureusement que j’ai bu avant de revenir car sa tige comme le matelas son recouvert de salive. Au bout d’un moment, il me fait me redresser tout en restant dans ma bouche. Une fois que je suis bien droit, il recule jusqu’à ce qu’il ne reste plus que son gland entre mes lèvres. Il reste un moment immobile, sa tige commence à ramollir mais je ne bouche pas.

Il appuie sur le bas de son ventre et me dit:
« Normalement ici on pas le droit à l’uro mais j’ai très envie de te faire goûter à mon champagne alors tu as pas intérêt à en perdre une goutte! »
Alors que je me demande quelle sera ma punition si je rempli pas mission, ma bouche commence à s’inonder.

Heureusement le jet n’est pas puissant alors, moi qui suis habitué à ce genre de pratique, j’ai pas de mal à tout avaler. Le jet s’arrête, nous restons ainsi pendant plusieurs minutes quand il se remet à pisser mais plus fort cette fois-ci. J’ai très envie d’en faire couler par la commissure de mes lèvres pour découvrir ce qu’il me réserve mais je n’en fais rien.

En bon soumis qui veut faire plaisir à son Maitre, j’avale chaque goutte même si son goût est très amère. Je suis totalement sous son emprise. Non seulement il le sait et en profite bien mais en plus j’adore ça. Pour la première fois depuis longtemps, je me laisse complètement dominer par un homme. Je laisse ressortir le côté femelle que j’ai en moi.

Une fois qu’il s’est complètement vidé, il me félicite pour ma prestation en me permettant de le sucer pour bien le refaire durcir. Je fais coulisser mes lèvres tendrement sur sa tige, j’ai envie de lui masser les couilles mais je préfère pas prendre d’initiative. Il reprend rapidement une forme de compétition et sort de ma bouche quand il est assez raide à son goût.

Il met ses mains sous mes aisselles et me soulève. Il s’agenouille pour ouvrir mon pantalon et le baisse en même temps que mon boxer. Ma queue remonte comme un ressort tellement que je bande. Mais il s’en occupe pas, il me dit juste:
« Tu as une belle bite pour une chienne! »
Il ponctue sa phrase par une grosse fessée. Je pousse un petit cri mais uniquement parce que je m’y attendais pas. Du coup j’en reçois 10 autres, évidement je compte et je le remercie à la fin.

Il me tourne face au lit, appuie sur mon dos jusqu’à ce que mon torse soit bien appuyer contre le matelas. Il met une main entre mes jambes et tape sur l’intérieur de mes cuisses jusqu’à ce qu’elle soit écartées comme il le souhaite. Il s’agenouille dernière moi et empoigne chacune des mes couilles dans une main. Il commence par les masser gentiment alors que sa langue vient titiller ma rondelle.

Je suis tellement excité que je suis déjà bien ouvert, il me sodomise rapidement avec sa langue. Plus il la fait rentrer et sortir rapidement en moi plus ses mains se referment sur mes boules. Ca fait un peu mal mais c’est aussi très bon. Je continue à profiter de sa bouche contre et dans mon cul mais aussi de ses mains qui me nt les bourses.

Sa tête se retire d’entre mes fesses et il commence à serrer ses mains l’une contre l’autre pour encore plus écraser mes couilles. La douleur me transcende de bonheur, mais rapidement j’ai de plus en plus mal et me met à crier car je ne supporte plus ce supplice. Il me mord la fesse droite et m’ordonne de me taire. Je fais le plus d’effort possible mais je n’y arrive pas du coup il relâche la pression. Je dois avouer que ça fait du bien de ne plus sentir mes couilles compressées.

« Maintenant ta punition! »
je l’entends ouvrir et dérouler un préservatif et il vient se planter d’un coup sec en moi. Heureusement qu’en me bouffant le cul il avait mis de la salive car on peut dire que je l’ai bien senti passer. D’un autre côté c’est exactement ce que je voulais.

Il me ramone doucement mais de toute sa longueur. Puis il devient de plus en plus sauvage. Il s’allonge sur mon dos et pendant qu’il me donne des petits coups de rein très violent, il empoigne ma bite pour la traire plus que la branler. Quand je sens qu’il s’excite de plus en plus dans mon cul, je lui demande si je peux gémir. Avec sa main de libre il me donne une méchante fessée et me répond:
« Uniquement parce que j’adore baiser ton cul. »

Entre sa queue qui me ramone à fond tout en me titillant la prostate et sa main qui me branle, je ne tarde pas jouir. Mes muscles du périnée se contractent tellement que je sens ses veines gonfler en moi. Il décule violemment, retire sa capote et se branle sur mes fesses et mon dos. Il s’accroupie sur le matelas à côté de moi et att mes cheveux pour que je nettoie sa tige mais en restant en levrette.

Une fois qu’il est bien propre, il m’ordonne de rester comme ça et me donne la suite de ses instructions:
« Je vais devoir rentrer, ma femme m’attend. Je vais laisser la porte ouverte et toi tu vas rester dans cette position de sac à foutre jusqu’à ce qu’un mec vienne te baiser. Tu feras tout ce qu’il te demandera jusqu’à ce qu’il éjacule sur ou en toi. C’est bien compris. »

Evidement je n’ai pas d’autre choix que de lui répondre « Oui Maitre. », puis il ajoute:
« J’ai glisser dans la poche de ton pantalon, mon numéro de portable. Ce soir, mais seulement après 22 heures, je veux que tu m’appelles pour me raconter ce qui c’est passé. »
Encore une fois je lui réponds « Oui Maitre. »

Il se penche à côté de moi, alors que j’ai toujours la tête et le torse contre le matelas, il m’embrasse langoureusement. Puis il me caresse la joue et me dit tendrement:
« Quand je t’ai vu sucer ce mec sur la table gynécologique, j’ai tout de suite senti que tu es une bonne salope et je me suis pas trompé! »
Puis il enchaine plus fermement:
« Par contre tu as le droit de faire jouir qu’un seul mec, pas plus. »

Il me donne une petite claque sur la joue qui n’est pas contre le matelas et se redresse. J’entends la porte s’ouvrir, je ne bouge pas. Il me donne une belle fessée de chaque côté et avant de partir, il rajoute:
« Amuses toi bien et n’oublie pas de m’appeler. »
Je lui réponds un dernier « Oui Maitre » et j’attends en levrette recouvert de son sperme.

Je pense être resté dans cette position, seulement quelques minutes, quand je sens une main venir me peloter le cul, mais ça c’est une autre histoire…

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