Chapitre 4 Soiree Chez Annie Et Bernard

Chapitre 4
SOIREE CHEZ ANNIE ET BERNARD




Le lendemain matin, alors que je range mon atelier où flotte encore le parfum d'Annie, le téléphone sonne.
Je décroche. C'est elle.
" Bonjour mon merveilleux amant merci pour ces moments de plaisir.
Toute la nuit, chez moi, j'ai rêvé et je crois même que dans mon sommeil je me suis masturbée et j’ai jouie car ce matin le drap était une vrai mare".
J'en suis fier. Et elle poursuit la conversation en me proposant de venir dîner à la maison ce soir avec Bernard son homme.
Elle lui a fait cette proposition en argumentant qu'elle voudrait bien discuter avec moi au sujet d'un nouveau tableau à peindre.
Je ne puis que lui dire tout mon plaisir de la retrouver.
Et c'est là qu'elle me confie quelque chose d'intime à quoi je ne m'attendais pas :
-
"Tu sais, Bernard a 70 ans il n'est plus très performant, bien que nous fassions encore l'amour.
Mais quand je pense à ton sexe, à ta vigueur, à ton endurance, je t'avoue que j'ai besoin de toi. Je n'ai pas dit à Bernard ce que nous avons fait hier mais je lui ai néanmoins avoué que tu étais un bel homme qui me plaisait. -
Bernard connaît un peu ses faiblesses, et il m'a avoué qu'il te trouvait for sympathique et que si je devais avoir une envie sexuelle, il comprendrait que je la satisfasse avec toi."
Cette révélation m'a laissé pantois mais dans mon pantalon mon sexe s'est durci, je m'imaginais déjà prendre Annie devant son homme.
Elle me redit au téléphone toute la gêne qu'elle avait eu de me confier cela et je la rassurais en lui promettant de venir ce soir vers 20H.

Il est 20 heures, j'entre en voiture dans leur cour. J'en sors et je marche vers l'entrée.
Je sonne.
Elle ouvre.
Super elle a mis une robe courte mais fermée jusqu' au cou.
Dommage ! Néanmoins elle est bien moulante.
Moi je porte un pantalon blanc, chemise blanche ouverte sur deux boutons et un blazer bleu marine style marin un peu comme à la période où j’étais peintre de la marine, et j’ai complété par des chaussures bateau.



On se fait la bise et je lui offre le bouquet que j'avais en mains.
Nous allons dans le séjour où Bernard nous attend.
Je lui offre la bouteille de champagne qu'il met au réfrigérateur.
Je retire ma veste.
Nous prenons place, elle en face de nous et nous bavardons.
Bernard verse l'apéritif, et Annie offre les toasts, l’ambiance est détendue et je devine sous sa robe très moulante, ses formes de femme mûre, surtout ses seins en forme de poire, très denses avec les tétons qui pointent.

Même avec son col roulé, elle est très excitante.
L’apéritif se passe et vient le moment de passer à table.

Nous rejoignons la salle à manger pour un dîner avec des chandelles, de la belle vaisselle en argent, de succulents plats qui sont accompagnés d'un Cornas blanc et d'un Saint-Émilion rouge.

Je remarque que Bernard est un homme qui apprécie le bon vin.
Et courtois comme je suis, je propose à Annie de l'aider à débarrasser la table et je profite du passage en cuisine pour la palper, l'embrasser.
Elle se défend mais je sens bien que cela l'excite.

Le café nous le prenons dans le salon où elle allume une lumière tamisée très intimiste.
Nous sommes dans une agréable pénombre et c’est tout naturellement que Bernard ouvre une bouteille de fine champagne.
Nous bavardons de tout et de rien. Des séjours à Collioure, de voyages faits ou envie de faire.

Puis la conversation porte vers la possibilité d’acheter un nouveau tableau.
Annie souvent croise et décroise les jambes.
Autant la robe est bien fermée au niveau du cou, autant elle est courte et ses mollets nus et même ses cuisses qui sont fermes me sont bien exposés.

Je vois aussi qu'elle me provoque parfois lorsque elle passe négligemment une main sur un sein pour
bien me montrer sa forme, une forme que je connais bien mais que je redécouvre toujours avec autant de plaisir et même d'excitation.


On plaisante on bavarde et on boit. Et Annie prend la parole, s'adressant à son homme et regardant le niveau de la bouteille de fine champagne :
- "Bernard, as-tu vu ce que vous avez bu,
Il n'est pas raisonnable que François rentre en voiture".
- "Ah oui, c'est vrai, le temps a passé, on a abusé je le reconnais."

- Par prudence nous devrions proposer à François de rester ici pour la nuit, nous pouvons l'héberger."
- "Oui tu as raison mais je te rappelle que la chambre d'amis en est réfection, les peintres n'ont pas terminé."
- "Que faire ? Je n'ose pas proposer que nous partagions notre lit avec François".

Après avoir dit cela, Bernard se tourne vers moi, je fais l'étonné et le dialogue se poursuit entre lui et moi :
- "François, Annie a raison, tu ne dois pas conduire avec l'alcool que tu as bu mais je ne voudrais pas que tu sois gêné si on te propose notre lit.
Il est large, il a deux mètres, on aurait de la place pour nous trois".
- "Je ne voudrais pas r de votre hospitalité, trois dans le même lit ça me gène.
Vous ne voulez pas que je dorme sur le canapé ? Et puis je n'ai pas de pyjama et surtout qu'habituellement je dors nu."
- "Ah non le canapé est trop inconfortable et si Annie propose le grand lit, je n'y vois aucun inconvénient surtout que, rassurez-vous, nous aussi nous dormons nus."

Je remarque qu'Annie a suivi cette conversation avec intérêt, elle m'a même souri comme pour me dire :"Tu vois il est d'accord".
J'accepte
donc et on reboit un petit verre de fine, je n'ai plus de raison de surveiller la quantité d'alcool puisque je ne pars plus.
Mais il se fait tard, Annie propose que, avant de faire dodo, nous nous douchions et elle décrète que c'est à moi de commencer.
Elle m'emmène à l'étage, on passe devant la chambre où nous dormirons, la porte est ouverte et
je vois rapidement le grand lit, une armoire, un miroir.

A côté c'est la salle de bain.
Je veux la caresser mais elle me dit "Plus tard , plus tard".
Je n'insiste pas.
Elle me donne serviette, savon, me montre la douche et en sortant elle me dit "Quand tu as fini, reviens dans le salon."

Et donc je redescends pour les rejoindre. J'ai mis autour de ma taille une serviette de bain.
Je vois Annie et Bernard qui me regardent.
Pour Bernard c'est la première fois qu'il voit ma poitrine, mes bras, mes jambes nues, Annie, elle, elle connaît ! Et c'est au tour de ma chérie de monter alors que nous les hommes nous buvons un ultime verre.
Quand elle revient, je ne peux détacher mes yeux d'elle.
Hier je l'ai vue nue, là elle a revêtu une nuisette blanche, courte et transparente.
Ce vêtement ne cache rien, ni ses gros seins denses ni son sexe lisse et c'est d'un érotisme exquis.
Encore plus excitant que si elle était nue.
Je bande sous ma serviette, c'est fort. Je suis gros.
Je reste sans voix, Bernard semble également agréablement surpris.
- "Bernard, c'est à ton tour de te doucher mais avant cela, merci de ranger le séjour, de faire la vaisselle pour les verres.
Vérifie aussi que toutes les portes et fenêtres soient fermées et puis prépare la table pour le petit déjeuner de demain."
- "Oui, Annie, ce sera fait et ensuite donc je vous rejoindrai, (ajoutant) pour passer une nuit calme et reposante, en tout bien tout honneur."
- "Bien sûr Bernard. Et toi François, viens on va se glisser sous le drap".

Elle me prend par la main, nous montons, entrons dans la chambre.
Je vois le lit ouvert et la lumière est très tamisée.
Annie, sans gêne, devant moi, retire sa nuisette, s'allonge sur le dos dans le lit et me dit "Viens vite embrasse-moi".
Je tombe ma serviette et nu je m'allonge sur elle, on s'embrasse.
Pendant quelques minutes nous nous caressons c'est une sensation superbe, nos deux corps qui bougent, luttent.
Je lui donne des baisers sur les seins, le cou, elle me lèche le visage, ma poitrine, mes bras.
Elle semble aimer les poils et je n’en manque pas.
Je ne suis pas velu comme un ours, non, mais suffisamment pour faire viril.
Nous entendons la douche, Bernard ne va plus tarder alors elle tire le drap sur nos corps.
Elle me demande de m'allonger de côté contre elle, ma poitrine contre son dos, mon sexe contre ses fesses. Dans cette position, elle soulève une jambe et de sa main elle att mon sexe pour le placer sur son sexe.

Annie -"Entre doucement en moi. Oui, pousse, c'est bon.
Mes lèvres s'écartent.
« Tu sens. Je suis trempée. Tu es dur. Oui pousse
encore. Que tu es gros. Tu es bien placé ? Reste ainsi. Reste en moi, ne bouge plus mais passe tes mains, l'une sur moi l'autre sous moi pour tenir mes deux seins."

Et c'est dans cette position, couchés de côté, moi derrière elle et mon sexe en elle, ayant dans chaque main une de ses mamelles, que nous devinons la porte qui s'ouvre.
Bernard entre nu et avance.
Il soulève un peu le drap et se glisse dans le lit.
Il s'allonge face à Annie. Et comme trois complices, Annie engage la conversation, on reparle tous les trois du tableau et de mes expositions.
Bernard doit maintenant être habitué à la pénombre et, tourné vers sa femme, il doit voir mes doigts qui jouent avec ses tétons.
Je les sens qui sont allongés, ils ont durci. Ils doivent être beaux à voir.
D'ailleurs Annie nous dit à voix haute :
"C'est bon François j'aime ce que tu me fais."

Elle ajoute pour son homme :
"François a des doigts de fée et mes tétons sont très excités".
Bernard répond de façon très naturelle :
"Super je suis content que tu aimes".

Moi je n'ose pas trop dire mais cela m'excite et mon gland a encore grossi dans son antre.
Annie se permet même de bouger un petit peu.
Un peu seulement car Bernard ne sais pas encore ce qui se passe plus bas, sous le drap.

Je me sens super bien, au chaud, contre ces fesses rondes.
Et la conversation entre Annie et Bernard se poursuit :
- Annie : "Caresse moi le ventre".
- Bernard : "Oui tu as la peau douce, ce doit être la douche."
- Annie : "C'est super, François s'occupe de mes seins et toi de mon ventre, descends un peu".
- Bernard : "Je tourne autour de ton nombril, tu aimes ?"
- Annie : "Oh oui mais vas plus bas, oui tu sens comme je serre mes jambes.
Non, coquin on ne passe pas".
- Bernard : "S'il te plait, écarte un peu que j'aille sur ton petit bouton."
- Annie : " Tu veux vraiment, tu es sûr ?"
- Bernard : "Oh oui et je sais donc que tu aimes cela.
Tu verras, François qui étire tes tétons avec ses doigts et moi qui tourne autour de ton clito avec
mes doigts, tu aimeras."
- Annie : "Soit".
Je sens Annie qui écarte une jambe, je sens son bas ventre qui bouge sous les caresses de son homme.
Les lèvres qui entourent mon sexe s'étirent et je sens un contact : le doigt de Bernard contre mon pieu de
chair.
C'est rapide, il a compris où je suis, il se retire en disant même un "Oh pardon" et je sens qu'il reste sur le petit bouton et tourne de plus en plus vite.
Il sait que je suis en elle et Annie me dit :"François coulisse en moi, bouge, prends moi, baise moi.
Oui, entre et sors, plus fort, tu es gros, c'est terrible."

Je suis déchaîné, je prends appui avec mes mains sur ses fesses pour bien la baiser.

Bernard, je crois, malaxe ses mamelles et Annie secoue la tête, crie, gémit, hurle. "Donne moi ta queue en main "c'est ce que j'entends qu'elle dit s'adressant à Bernard.

Elle doit être entrain de le masturber.
Et c'est ainsi que nous explosons.
Moi je la remplis de mon sperme.
Bernard lui gicle sur le ventre.
Elle n'arrête pas de jouir.
Annie explose. Puis elle se calme et semble épanouie.
Je n'ai pas compté mais cela n'arrêtait pas, peut être quatre ou cinq fois. Toujours est-il que,
calmés, allongés les trois côte à côte sur le lit, en passant mes mains, je sens sa fente qui coule, un
drap trempée par sa cyprine et un ventre recouvert de sperme.

Nous sombrons dans un doux sommeil réparateur et c'est le lendemain matin qu’avec les beaux rayons du soleil, nous nous réveillons.
Nous nous douchons et de bon appétit nous prenons le petit déjeuner.
Nous sommes bien sûr nus.
Toute gêne a disparu entre nous trois.
Nous nous tutoyons.
Et à mon départ, Bernard me dit "À bientôt".
Je lui réponds avec un large sourire "Au plus vite j'espère".

Annie est déjà retournée dans sa salle de bain.
Dans ma voiture, je repense à cette nuit et des idées coquines trottent dans ma tête quand je pense au grand lit qui a de beaux barreaux en bois, quand je pense au grand miroir , quand je pense au corps endormi d'Annie.



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