Soumis À Me Femme Infidèle - Partie 1
Chapitre 1 : Les soupçons, un string souillé...
Je n'arrivais pas à m'endormir ce soir-là... Où était-elle donc passée ? Je tournais et me retournais dans notre lit, tourmenté par cette idée qui avait germé et faisait son chemin dans mon esprit depuis quelque temps déjà : ma femme était allée baiser ailleurs.
Moi, c'est Samuel, ou Sam pour les amis et intimes, marié à Jessica, ma sublime femme, aussi désirable à mes yeux que le premier jour. Le problème, c'est que ma petite Jess l'était aussi aux yeux des autres hommes. Je l'avais déjà remarqué et à de nombreuses reprises. Cela me remplissait d'une fierté un peu conne et d'une extrême jalousie lorsque je surprenais le regard d'un mec matant le cul parfait ou la généreuse poitrine de mon épouse. Un drôle de sentiment s'invitait également, une sorte de chaleur, une boule au ventre ou dans la poitrine, quelque chose d'inconnu qui pouvait s'apparenter à de la peur, mais pas que... Pour vous la faire simple, voir ma femme être désirée par d'autres hommes m'excitait étrangement. Mais j'avais du mal à me l'avouer.
Jessica et moi avions passé les premières années de notre mariage en nous éclatant sexuellement. Elle avait vraiment un corps de déesse. Des gros seins, généreux. Des fesses bien rebondies. De grands yeux expressifs, souvent soulignés de mascara. Un petite bouche en cur, et sourire malicieux et éclatant. Je l'aimais comme au premier jour.
Mais la routine s'était peu à peu installée dans notre couple, comme dans beaucoup d'histoires de mariage. Cela faisait un moment que nous nous étions conformé à un quotidien simple, banal, tranquille... et rassurant.
En tant que mari, et lorsqu'on est profondément amoureux de son épouse comme c'est mon cas, on ne peut s'empêcher de remarquer les petits et subtils détails qui changent dans le comportement et l'apparence de sa bien-aimée. Et depuis quelque temps, je ne pouvais que constater que Jessica était de plus en plus.
Elle se maquillait et portait du rouge à lèvres un peu plus souvent. Elle avait ressorti ses vêtements les plus courts, ainsi que ceux qui la mettaient le plus en valeur (comprenez : des minis shorts ou de petites jupes frivoles, ainsi que des hauts bien moulants). Et surtout, elle rentrait un peu plus tard que d'habitude...
Bref, pas la peine de vous faire un dessin : j'étais quasiment sûr qu'elle me trompait. Jessica, ma belle, allait voir ailleurs. Ce doute avait envahi mon esprit et s'y était profondément ancré. Je n'arrivais pas à confronter Jessica à mes soupçons, sans doute parce que je voulais peut-être inconsciemment que cela continue, afin entretenir l'étrange excitation que cela me procurait et que je refusais néanmoins d'accepter par pure fierté masculine. Et aussi parce que je n'avais pas de preuve évidente pour mettre mon épouse face à la vérité. Cela devait pourtant arriver bien assez vite. Mon stupide orgueil de mâle allait en prendre un sacré coup.
Lorsque vint ce fameux soir, je me retrouvais à dîner seul. Jessica m'envoya un texto au dernier moment, me prévenant qu'elle allait rentrer tard, prétextant un repas d'affaires très important.
-Sam, mon cur, gros dîner super important ce soir avec les collègues et la direction, ne m'attends pas !
-D'accord mon amour. Tu penses rentrer vers quelle heure ? Passe une bonne soirée, je t'aime
-Merci, hi hi ! Je ne sais pas, ça risque de durer longtemps ! Moi aussi
Je ne me fis aucune illusion quant à ce qu'il se tramait derrière ces sms apparemment innocents : Jess allait se faire sauter ce soir et rentrerait dans la nuit... ou ne rentrerait pas.
J'allais donc me coucher tôt, mais vous vous en doutez : impossible de dormir. J'étais littéralement envahi de tourments. Ma femme, Jessica, ma chère épouse, belle et sublime, était sûrement en train de faire l'amour avec un autre homme. Elle, qui avait été si fidèle pendant toutes ces années, avait finalement cédé aux avances d'un mec.
Jess rentra finalement. Très, très tard. L'ouïe affûtée, je l'entendis passer dans la salle de bains, sûrement pour se changer, puis elle vint enfin me rejoindre au lit. Pensant sûrement que j'étais en train de dormir (les yeux fermés, je faisais simplement semblant), Jess déposa un rapide baiser sur ma joue, puis se glissa dans les draps à mes côtés.
Attentif à tous les détails, je ne pus m'empêcher de remarquer qu'elle dégageait une forte odeur de transpiration. Ou était-ce une odeur de sexe... ? Premier coup dur. J'attendis un long moment, pour être sûr qu'elle fut complètement endormie, avant de me glisser furtivement hors du lit. Je fonçai alors dans la salle de bains.
J'ouvris le panier à linge pour entreprendre une discrète fouille de ses vêtements. Je n'eus pas à chercher longtemps. L'objet de ma petite enquête nocturne était posé tout en haut du tas de vêtements sales : le string que Jessica avait porté aujourd'hui. Tout fébrile, je ramassai la petite culotte. Il s'agissait d'un string noir, en dentelle, avec un petit ruban rose sur le devant. C'était un string que j'adorais la voir porter, et Jessica le savait. L'avait-elle mis pour satisfaire quelqu'un d'autre ? J'allais bientôt le découvrir.
Je commençai mon inspection, qui fut cependant très courte. A la lumière de la salle de bains, je ne pouvais que constater et avec un certain effroi que le string était complètement trempé. Je sentais l'humidité de la lingerie sous mes doigts. Le fond de la culotte était moite et luisait. Jessica avait sacrément mouillé. Avait-elle simplement mouillé pour quelqu'un ? Ou était-elle allée plus loin...? Mon cur battait de plus en vite, de plus en plus fort.
Je distinguais également d'autres traces, des traînées blanchâtres et gluantes. Se pouvait-il que... Pas possible. Non, je ne rêvais pas.
Dans un élan de folie, et avec une excitation qui montait inexorablement dans mon bas-ventre, mes mains tremblantes portèrent le string à hauteur de mon visage, sous mon nez, pour renifler le fond de la culotte.
Je crus que mon cur cessa de battre. Je n'arrivais pas à y croire. Jessica, ma Jess, m'avait trompé, et en plus elle l'avait bien fait. Je savais que ce sperme n'était pas le mien. Le mien sentait moins fort, et nous n'avions pas fait l'amour depuis l'avant-veille. Jessica avait baisé avec un autre homme, sans capote, et l'avait laissé éjaculer dans sa petite chatte. Putain de garce.
Rendu fou par cette pensée, je me mis à bander instantanément. Mon érection était si violente qu'il fallait que je fasse quelque chose de suite. Je glissai ma main dans mon boxer, laissant échapper ma queue rendue très raide par la situation, et commença à me branler violemment.
L'odeur du string me dégoûtai assurément, mais qu'importe, je me fis violence et y pris une grande inspiration. Tout en me masturbant vigoureusement, le nez plongé dans le string souillé de ma femme, je me shootais avec la mouille de ma belle Jessica mêlée à la semence d'un autre mâle... Le puissant parfum de ce sperme inconnu envahissait mes narines, les fragrances masculines étrangères me rendant ivre mort de jalousie et d'excitation.
Putain, c'était qui ? Quel était le salopard qui sautait ma femme et éjaculait en elle ? Un collègue ? Un ami ? Un proche, que je connaissais peut-être ? Ou un inconnu ? Aurait-elle laissé le premier connard venu gicler dans sa chatte ?
Mon cerveau explosa, dans un orgasme cérébral rendu intense grâce aux parfums intimes du string sali par la semence d'un autre mec. J'amenai aussitôt la petite culotte souillée à hauteur de ma bite, juste sous mon gland, et laissa échapper un torrent de sperme. Mon jus recouvrit entièrement le string et le sperme rival, me donnant brièvement l'impression de reconquérir et de reprendre possession du corps de ma belle, même si je savais pertinemment que c'était faux.
Je restai un long moment, hébété, tenant en main le string de Jessica dégoulinant de foutre... L'orgasme avait été très puissant, et je mis un moment à m'en remettre. Lorsque je finis par reprendre mes esprits, je remis le string dans le panier, me lavai rapidement les mains et je rejoignis ma femme souillée par un autre que moi.
Je me glissai aussi silencieusement que possible auprès de Jess. Et je me rendis compte d'une chose qui me troubla davantage. Putain... Si elle avait baisé avec un autre gars et l'avait laissé éjaculer en elle, sans ensuite se nettoyer, ça voulait dire qu'à ce moment précis, du sperme se trouvait encore dans le vagin de ma femme, et dégoulinait peut-être sur les draps de notre lit conjugal...
D'une main encore tremblante, je me saisis de mon téléphone portable, et baissa doucement les draps, jusqu'à découvrir l'entrejambe de Jess. Elle portait une nuisette et une petite culotte blanche. J'approchai la lumière de mon portable pour éclairer la zone intime (j'avais pris soin de baisser l'intensité lumineuse pour ne pas réveiller Jess), et ce que je vis m'acheva. La culotte laissait transparaître une large trace humide au niveau de la fente de ma femme. J'approchai précautionneusement le nez... Pouah ! La même odeur que celle du string souillé, en plus fort cette fois. Le sexe de Jessica dégageait ces fragrances amères et viriles que j'avais senti quelques instants auparavant. La chatte de Jess était remplie de sperme, et coulait encore...
Plus aucun doute. Et ce foutre n'était pas le mien, ment ; Celui-là sentait beaucoup plus fort et était très enivrant. Jess m'avait cocufié, et dans les règles de l'art. Un autre mec avait bien lâché la sauce tout au fond du vagin de mon épouse. Complètement troublé, et saisi à nouveau d'une érection incontrôlable, je fonçai aux toilettes me masturber une nouvelle fois. Je n'eus pas à le faire longtemps, mon jus ne demandait qu'à sortir et finit brutalement tout au fond des toilettes. Complètement vidé, K.O. debout, je revins dans la chambre conjugale auprès de Jess. Elle avait remonté les draps sur elle et semblait dormir profondément.
Putain. Moi qui la pensait si fidèle... Ma femme s'était-elle lassé de moi pour aller trouver satisfaction ailleurs ? Avait-elle besoin de la queue d'un autre mâle pour combler ses désirs, ses envies, et surtout sa chatte ?
Je m'allongeai, totalement épuisé, en pensant qu'il fallait absolument que Jess et moi-même devions parler en toute franchise le lendemain, et sombrai enfin dans un sommeil tourmenté... Je méritai un peu de repos, vu le choc de cette nuit, et aussi parce que la suite des événements, même si je ne le savais pas encore, allait continuer à mettre mon ego à dure épreuve...
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