Profonde Dans La Forêt...
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Profonde dans la Forêt...
Edmond et Bénédicte cheminaient sans un mot sur le sentier qui s'enfonçait dans la forêt profonde où l'on entendait le coucou, par moments, Bénédicte se retournait et jetait un regard interrogatif à son mari, elle n'osait plus rien dire, ne voulant pas le fâcher encore plus, ils avaient eu des mots à propos d'un diner en ville pendant lequel elle s'était mal comportée, ayant un peu trop e sur les bulles, elle lui avait fait honte...
Alors Edmond avait décidé de lui donner une bonne leçon de honte avec petite punition corporelle et avait choisit ce chemin de promeneurs en forêt, avisant un le tronc d'un chêne sur le côté, il le lui désigna en sortant quelques liens de son sac à dos, Bénédicte eu un regard apeuré...
- Oh non...!? Pas ici...! ? Il y a des gens qui passent...! Implora t'elle en pleurnichant
- Cet endroit est à la hauteur de votre faute de comportement... lui répondit Edmond en lui prenant fermement les mains
- Mais qu'allez-vous me faire...!!!? lui demande t'elle en essayant de lui échapper
- Obéissez... Reconnaissez votre faute... Et je serai clément... répond t'il en lui liant les mains derrière le tronc
- Ho non...! Pitié...! Pas la fessé... Pas ici...! Implore t'elle encore
- Non... Pas de fessé... Les Verges... répond t'il en lui troussant sa jupe aux hanches et baissant sa culotte aux genoux
- Mais vous êtes fou Edmond...!!! Je le dirai à Mère... lui cingle t'elle au visage
- Belle Maman n'en aura que faire... Votre Père le lui a déjà fait... L'idée vient de lui... argue t'il en coupant quelques badines d'ajonc
- Vous êtes un salaud Edmond...! Vous me paierez cela un jour...! Et Père aussi...! éructe-elle
- Ma foi... Si je dois vous payer pour cela, je vous appellerai "Ma Putain".
- Essayez un peu pour voir...! Il en sera finit de ces "choses" que vous me demandez au lit...!
- Ho...!? Quel dommage... C'est si peu souvent... Mais gratuit, je dois le reconnaître...
Ayant finit de lier les badines entre elles pour former la verge punitive, Edmond lui assène d'un geste sec une première volée sur le derrière, Bénédicte surprise par ce coup sans avertissement pousse un petit crie, elle essaye de se défaire de ses liens mais sans succès, la deuxième volée lui cingle les fesses avec plus de force, elle crie encore et colle son bassin au tronc d'arbre, pensant échapper à la douleur du fouettage...
Edmond, tout en la fouettant, regarde son épouse qui s'agite et son postérieur blanchâtre qui prend des couleurs, la situation lui plait et il se surprend à développer une certaine érection sous la braguette, aurai t'il une âme pervertie de bourreau vicieux, de ce genre d'homme dépravé qui prend du plaisir à faire mal et ajouterai une copulation sauvage à son acte rédempteur, il essai de repousser hors de son esprit cette pensée charnelle...
Bénédicte gémie maintenant à chaque volée de la verge, sa croupe en est rouge vif, Edmond s'approche d'elle et tente d'obtenir une demande d'excuses pour sa faute en lui caressant les blessures de la paume d'une main, tout en lui parlant, ses doigts passent en la raie de Bénédicte qui le traite de pourceau, alors il recommence à lui flageller le derrière, excité par la vue de son anus qu'il a aperçu et son sexe durcit dans le pantalon...
Affairé qu'il est à battre son épouse, il ne s'est pas rendu compte qu'ils étaient observés, ce n'est qu'entre deux volées de badines qu'il entend une voix lui demander ce qu'a fait son épouse pour mériter cela, surprit, il se retourne et aperçoit deux hommes derrière des branchages, des chasseurs apparemment, depuis combien de temps sont ils là à le regarder faire, il ne le sait, ont-ils vus la bosse qui déforme sa braguette, ça non plus.
Bénédicte, qui a entendu parler un des hommes, tourne la tête pour les voir, elle panique en remuant du derrière pour échapper aux regards et crie à son mari de la détacher mais celui-ci est comme tétanisé par l'apparition des chasseurs et ne réagit pas, les deux gars demandent à s'approcher et comme il ne refuse pas, les voilà maintenant auprès de lui à regarder la croupe de Bénédicte en commentant graveleusement la scène...
- Bin dis donc Marcel...! Elle est bien rougie de la croupe la mignonne... dis l'un
- Ha ça René... Et même une belle croupe à monter dedans en plus... ajoute l'autre
- Messieurs... Je veux bien que vous me regardiez faire mais avec respect pour mon épouse... s'insurge Edmond
- Bah ça... C'est sure que tu la respecte toi... A montrer ses miches au bord du ch'min... dit le René
- C'est mon problème... Je l'éduque et la punis comme je le souhaite... rétorque Edmond
- Ah Ouééééé... Surtout que ça te durcit le manche vicelard... Tu prend ton pied mon cochon... rigole Marcel
- Est-ce que tu l'as assez punis ta bonne femme...? On pourrai t'aider...? propose le René
- Ah non...!!! pas ça...!!! Pitié... !!! hurle Bénédicte
- Gueule pas comme ça la Bourgeoise...! Tu vas faire fuir le gibier... chuchote le Marcel
- Ecoute ma Chérie... Ses Messieurs semble de bonne compagnie... Finissons ta punition avec eux... admet Edmond
- Bin voilà une idée qu'elle est bonne... J'men vais punir la p'tite dame avec popol... dit le René en sortant sa bite déjà bandée
- Sacré diou... J'passerai après toi... J'aime pas fouetter les dames... je préfère fourrer... acquiesce le Marcel en sortant la sienne
- En douceur Messieurs... En douceur s'il vous plait... mon épouse n'est pas une traînée de bas fonds... Proteste Edmond
- Ouééééé... Mais n'empêche que tu montre son cul à tous le monde sur l'bord du ch'min.
- Aaaaaahhh...!!! Edmond...!!!? Fais quelque chose...!!! Il me viole...!!! crie Bénédicte qui vient de se faire emmancher profondément
- Mon amour... cela fait partie de ta honte... comme celle que tu m'as faite l'autre jour... C'est bientôt finit... rassure Edmond
Marcel regarde la scène avec de la bave aux lèvres tout en se flattant la queue, de son autre main, il claque les fesses d'Edmond et commence à lui les tripoter intimement, si intimement d'ailleurs qu'il lui passe des doigts dans la raie pour lui toucher l'anus, Edmond serre les fesses par réflexe mais le gars insiste en lui demandant si il y a déjà goutté, Edmond voit le sexe bandé du gars, un engin plus gros que le sien, il craint le pire...
Sans attendre une réponse de sa part Marcel lui ouvre et baisse le pantalon pour lui entrer une main derrière dans le caleçon, de suite il lui retouche l'anus en lui disant qu'il devrai se laisser faire, que ça fait mal quand on résiste alors que ça glisse tout seul si on se détend, il illustre son propos en crachant sur ses doigts pour lui humidifier la rondelle et Edmond ne sait plus quoi dire de peur de l'énerver et que ça finisse par une bagarre...
Tout en changeant d'orifice avec Bénédicte, René demande à son copain comment je suis, l'autre lui répond que je suis surement puceau du p'tit trou vu que son doigt a du mal à entrer et il lui retourne la question pour celui de la Bourgeoise, René répond qu'elle a dû déjà le faire car ça rentre presque tout seul tellement elle est mouillée, elle pousse même, précise t'il, n'empêche qu'Edmond l'entend brailler quand le morceau lui entre dans le cul...
Marcel a une délicate attention qui surprend Edmond, l'homme lui saisit et branle le dard puis se courbe en avant pour le prendre en bouche, sans cesser de lui doigter l'orifice, sans doute est-il de ces hommes qui aiment faire les deux sexes se dit Edmond qui commence à apprécier la double caresse, son épouse écarquille les yeux d'incompréhension en le voyant se laisser faire de la sorte, lui, si irréprochable hétérosexuellement.
Marcel se redresse après avoir pompé la bite d'Edmond en lui préparant la petite porte, il le fait se courber en avant contre un arbre et se salive le gland avant de le poser contre son anus, tout en lui disant de "pousser" comme sa femme, il commence à lui enfoncer la boule de chair dans la rondelle, Edmond a mal au trou et quand il pousse, la chose lui passe le sphincter d'un seul coup, il hurle, la tige s'enfonce en lui remplissant le rectum...
Son épouse semble atterrée, elle regarde son mari se faire sodomiser alors qu'elle l'est aussi, point commun à tous deux, ils se font enculer sauvagement et bien que son éducation l'ai tenue éloignée de ce genre de pratique, même en pensées, elle ruisselle de l'entre jambe, y prenant maintenant du plaisir malgré la première douleur occasionnée, elle se dit que son mari aussi doit avoir mal au cul, bien fait pour lui, pense t'elle...
Edmond sent son cul déchiré, déformé, élargis, fouillé profondément, le gars derrière lui le tient aux hanches et lui burine le cul comme à une vulgaire prostituée, il a honte de se laisser faire et honte de commencer à y prendre du plaisir, Marcel lui a conseillé de se masturber, ça aide, alors il s'astique la queue et effectivement, ça va bien avec ce qu'il ressent dans le cul, René propose d'échanger, Marcel accepte en vantant l'étroitesse du puceau...
René vient donner sa bite à sucer à Edmond pendant que son copain enfile Bénédicte, elle regarde son mari pratiquer une fellation, jamais elle n'aurait imaginée le voir faire cela un jour, lui qui a déjà du mal à lui faire "minette", tout ce bouscule en son esprit, éducation, religion, dépravation, elle se sent aussi prostituée à des inconnus, avec en plus un époux devenu homosexuel en un après midi, un sodomite, un suceur de verge...
Enfin, les deux chasseurs finissent par en arriver à leur conclusion en se vidant les testicules dans les rectums, Bénédicte à jouis malgré elle, du moins essaye t'elle de se le faire croire, restant encore accrochée à quelques valeurs bourgeoises mais elle a pissée sous elle de plaisir, le plaisir d'être sodomisée par des inconnus devant son mari qui, lui aussi, à déchargé sa semence dans l'herbe en se masturbant et étant enculé...
Les deux gars referment leur pantalon en les remerciant pour ce bon moment, une punition bien donnée disent-ils car le Bourgeois méritait aussi une leçon pour avoir exposé ainsi sa femme sur l'bord du ch'min, et pis une bite dans l'cul n'a jamais tué personne, entre Bourgeois et Prolos, on a une chose en commun tous les jours, c'est d'avoir le cigare au bord des lèvres... Hahahaha... la dessus, ils sont partit en les invitant à passer à la ferme quand ils voudrait, boire une bolée de cidre...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!