La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1281)
Camélia au Château - (suite de l'épisode 1278)-
- Je veux quelles soient brillantes et applique toi
Alors que je mappliquais à lécher Ses chaussures avec soin comme exigé par Monsieur le Marquis, Celui-ci en profita pour se délecter du spectacle qui soffrait devant lui. Il regardait avec gourmandise le creux de ma courbe de reins dénudée plongeant jusquau sillon au cur de mon fessier arrondi. Il savourait mes larges hanches de femelles remontant du regard jusquà ma chevelure bouclée
Pendant que je lui léchais avec un véritable plaisir, et non sans une certaine excitation, au niveau de mon bas-ventre, excitation qui commençait à se voir, le Noble scrutait mon corps à la loupe. Et Il profita de ce moment pour passer Sa main entre mon entrejambes et en ressortir les doigts trempés de mouille. Cest alors à ce moment sur un ton calme mais empli dautorité, quil me lança :
- Arrête de me lécher les chaussures et relève ta tête un instant
Tu pourras la baisser seulement quand je te le dirais, dit-il de Sa voix remplie de charisme. Mais avant mes doigts sont remplis par ta mouille, alors nettoie et lèche les bien, petite chienne... Je veux que Mes doigts soient propres et quil ne reste plus de traces sur aucune parcelle de Ma main de ta mouille de salope... Tu me présenteras ta mouille dans ta bouche et tu attendras bien entendu Mon accord, avant de lavaler. Gare à toi si tu lavales sans Mon accord car sache quavec Moi, toute désobéissance ou faute grande et petite est sanctionnée. Je suis un Maître exigent, intransigeant et juste. Je ne laisse donc rien passer aux soumises qui sont sous Mon joug car cest comme ça quelles deviennent de très bonnes soumises et quelles sépanouissent ainsi
Bien assez parlé, nettoie Ma main, jai dit, et tout de suite, ordonne-t-il de Sa voix dominante en me tendant ses doigts à ma hauteur.
Alors que je commençais à lécher la moindre parcelle de Ses doigts avec application, je ressentais des petites décharges électriques dexcitation qui me parcouraient un peu partout dans le corps aussi bien au niveau des bras que des jambes ainsi que du dos remontant sur toute mon échine.
- Bien cest bon la chienne tu peux avaler. Maintenant change de position, je veux pouvoir profiter de ton corps dans ta tenue dEve. Alors mets tes mains derrière la tête, garde la tête baissée et ne bouge plus. Reste immobile tant que je laurais décidé et tant que tu nauras pas reçu un ordre contraire de ma part. Jespère ne pas avoir à me répéter, tu sais bien que je déteste ça, clama-t-il dune voix toujours aussi calme et autoritaire.
Cest alors que Monsieur le Marquis commença avec Ses doigts à toucher mon corps et à jouer tel un virtuose sur ma peau en alternant caresses avec Sa main et Ses doigts baladeurs noubliant, bien sûr, aucune partie de mon anatomie. Profitant enfin du corps de Sa nouvelle chienne, le Noble passa Ses doigts inquisiteurs entre mes courbes si bien dessinées et mon corps mince offrant à celui-ci une allure dune bonne morphologie. Ces caresses, je dois bien lavouer, me provoquèrent un certain plaisir et cela me fit même frissonner de bonheur. Le Noble continua encore pendant un bon moment ces douces caresses dans un silence absolu.
- Recommence à nettoyer Mes chaussures, salope et quand je te dirais, tu iras te mettre dans la position que je tindiquerais dos à Mon bureau
Jai envie de tobserver pendant que je travaille à mon bureau. Mais avant cela, nettoie Mes chaussures, je les veux brillantes. Jose espérer mêtre bien fait comprendre...
Cest alors que je mappliquais dans le seul but de satisfaire Monsieur le Marquis, car il est vrai que mon seul plaisir en tant que soumise est de tout faire pour satisfaire le Maître auquel jappartiens désormais et Le décevoir, dès le début de cette nouvelle relation, maurait causé une infinie tristesse, je dois bien le dire. Je commençais donc à lécher Ses magnifiques chaussures en cuir de haute qualité. Cest ainsi que je continuais pendant un long moment, heureuse davoir trouvé enfin la place qui est la mienne et laquelle je me sentais si bien. Et cest en plein dans mes pensées, mes réflexions sur mon nouvel état servile et ma nouvelle place à Ses pieds que le Maître se mit à claquer des doigts de Sa main droite et exigea :
- Bien cela suffit, dit-il de Sa voix impérieuse, va maintenant te placer dos à Moi, jambes écartées comme la salope que tu es, prosternée, bras en avant, mains au sol, tête plaquée sur le côté et le cul bien relevé, ton sexe bien visible à Mon regard... Est-ce que cest bien compris ?... Réponds-moi je tautorise à parler...
- Oui. (Je reçus une gifle en plein visage)
- Oui qui ?, lança Monsieur le Marquis, dun ton sec
- Oui Maître répondis-je, en me reprenant dun ton penaud tout en baissant la tête et me promettant dêtre plus attentive pour éviter de refaire une nouvelle erreur
- Bon, ça ira pour cette fois, mais ne tavise plus à oublier à qui tu tadresses quand tu es autorisée à parler.
Alors que je commençais à me mettre en position, prosternée, jambes écartées, bras allongés sur le sol, tête sur plaquée le côté. Je commençais un peu plus à comprendre, à ressentir mon nouvel état et celui-ci commençait doucement mais sûrement à sancrer en moi, à sinfiltrer dans tout mon être. Et cette nouvelle réalité de mon nouvel état à Ses pieds me rendait tellement heureuse, je me sentais enfin à ma place, cela devenait dans mon esprit dune telle évidence que je ne pouvais pas envisager être ailleurs à ce moment-là. Un bien-être qui sexprima par mon sexe de plus en plus humide. Cest ainsi que souriante, je restais dans cette position sans bouger et sans émettre le moindre mot. Jétais comme épanouie et savourais chaque instant passé en Sa présence, heureuse denfin Lui appartenir et dêtre Sa chienne. Pendant ce temps, je me focalisais sur la position parfaite à tenir et faisait le vide dans ma tête pour tout faire afin de garder plus facilement la position. Mais avec le temps qui passait et le manque dhabitude, les premières douleurs au niveau des jambes et des cuisses se firent sentir. Jentrais donc dans une sorte de bulle mentale pour rendre la position plus supportable et atténuer les douleurs que jespérais moins présentes. Je ne savais pas depuis combien de temps je tenais ainsi prosternée car à vrai dire je pense que javais perdu la notion du temps. En effet, je ne savais plus depuis combien de temps, jétais entrée dans le bureau de Monsieur le Marquis et depuis quIl mavait proposé de devenir Sa soumise, je dois bien avouer que depuis avoir accepté, jen suis fortement troublée, excitée et heureuse.
- Bien, cest bon tu peux revenir vers Moi en te déplaçant à quatre pattes car les chiennes comme toi évoluent en quadrupédie.
Jessayais donc dadopter une démarche féline et sensuelle qui devait paraître maladroite bien que peu habituée à me déplacer à quatre pattes pour rejoindre le Noble vers le fauteuil en cuir.
- Bien tu peux tasseoir sur le fauteuil en cuir. Jai à te parler... Bien, cest fini pour aujourdhui, mais sache que où que tu sois et quoi que tu fasses, tu Mappartiens. Tu peux te rhabiller et partir. Tu recevras Mes prochaines instructions par mail ou par message Skype car je te veux en Ma demeure, dans Mon Château
Je me rhabillais et répartis donc en croisant Sa secrétaire qui me souriait dans son bureau et je ne plus mempêcher de me demander si elle était au courant de ma nouvelle condition et si elle était, elle aussi, soumise ou simplement une employée de Monsieur le Marquis ou les deux à la fois ?... Jeus très vite la réponse quand japerçu à son cou un collier discrètement caché par un foulard mal ajusté et qui laissait paraître une partie dudit collier
Cest sûr cette constatation que je quittais la Tour de la Part Dieu et retournais chez moi par les différents transports en commun. Une fois arrivée dans mon appartement, je pris le temps de me poser et de massoir un instant pour pouvoir me rendre compte de ce qui sétait vraiment passé dans le bureau de Monsieur le Marquis. Je me mis donc à repenser à ma toute nouvelle condition auprès du Noble et me surpris même à sourire toute seule en y repensant et en éprouver un véritable bien-être. Cest ainsi que perdue dans mes pensées, je me rappelais tout dun coup que je n avais pas pensé à le remercier pour le temps quil mavait octroyé à Ses côtés, aujourdhui. C est pourquoi jouvris ma boite mail et commençais donc à taper un message adressé au Maître
(A suivre
)
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