Le Chagrin De Ghislaine.
Apprenant par un pur hasard que mon cousin séjournait depuis un bon mois à lhôpital, jai décidé daller lui rendre une petite visite malgré mon antipathie pour ce genre dendroit. Après être passé par le bureau dadmission pour minformer du numéro de la chambre, jai gravi les trois étages qui allé me mener jusquà devant la porte du malade.
Jai toqué sur cette dernière attendant patiemment quon mautorise à entrer. Ce fut une voix dune femme qui le fit. Que je reconnu comme étant celle de sa femme, Ghislaine. Après les saluts dusages je me suis minstallé debout en appui contre la fenêtre. Nous nous sommes bien sûr attarder sur le sujet qui le tenait cloué sur ce lit avant de passer à autre chose. À de chose plus gaie. Ma cousine comme à son habitude se faisait discrète dans son coin. Prenant très peu la parole.
Elle navait pas trop changé. Hormis ses cheveux couleur sel. Son visage toujours aussi bien maquillé que dans mes souvenirs, était agréable à regarder, malgré ses rides qui ma fois lui allaient bien. Ses lèvres étaient recouverte dun rouge vif, mais sans excès.
Ses yeux bleus sous les verres de ses lunettes étaient mis en valeur par un léger rimmel et ses rides naissantes gommées par un fond de teint discret. Elle était vêtue dune jupe grise droite, assez classique, qui descendait jusquà la limite des genoux mais qui avait tendance à remonter seule lorsquelle bougeait sur sa chaise.
Un peu plus tard alors que mon cousin était occupé de dîner sous les yeux ravis de son épouse, jen ai profité pour détailler à ma guise sa moitié. Attardant mon regard sur ses petites chaussures vernies noires. Jai remarqué avec enchantement quun fin bracelet doré ornait sa cheville tendres et effilés.
De mon propre avis, ces petits bijoux exaltent discrètement lérotisme et la sensualité de celles quils habillent.
Une envie de caresser ses chevilles, de les embrasser sempara de moi.
Comme souvent dans ces instants magnifiques, il arrive quon se fasse prendre en flagrant délit, par lintéresser.
Mais alors que jallais prendre congé, je constatais que Ghislaine avait sorti deux gros sacs de linge de la salle deau.
- Tu veux un coup de main ?
- Si cela ne te dérange pas.
- Jimagine que tu nas toujours pas de permis ?
- Non. Dailleurs je nen ai pas besoin. Je suis heureuse dêtre un piéton si tu veux savoir.
- Tu veux que je te dépose ?
- Ce nest pas de refus
Et ce fut sur ses paroles que nous quittions la chambre. Une fois confortablement assis derrière le volant, je me suis renseigné auprès de Ghislaine pour savoir où elle demeurait.
- Roule ! Je vais te guider. Me fit-elle.
Elle habitait dans un immeuble située au milieu de la ville, au bout dune ruelle prolongée par un étroit chemin. Arrivée devant sa cage descalier, jai assisté pour laider à monter ses paquets. Après sêtre excusé, elle ma devancé dans les escaliers. Sa jupe moulait ses grosses fesses bien dodues, bien cambrée. Un trouble insidieux sest emparé de moi. Deux étages plus haut, nous sommes arrivés sur son palier. Après avoir tourné sa clé deux fois, elle ouvrit la porte.
Lentrée donnait directement dans une pièce commune, à la fois cuisine et salle de séjour. Ghislaine après mavoir débarrassé des sacs, minvita à minstaller dans le salon.
- Je toffre un verre ? Fit-elle.
Il se faisait tard, et jétais attendu chez moi. Mais je sentais quelle avait un grand besoin de parler à quelquun. Alors jai accepté de prendre ce fameux verre avec elle.
Pour cela je me suis installé dans un des deux fauteuils alors quelle sest affairée de soccuper de lapéro. Elle est revenue chargé dun plateau copieusement garni. Je lui fis un peu de place sur la table basse, encombrée de poupée.
- Ces les poupées de ma petite-fille. Que je garde la semaine. Cela me fait du bien.
- Je te comprends. Répliquais-je.
- Je toffre quoi ? Me fit-elle.
- Oh ! Ce que tu veux.
- Une coupe de champagne, cela te dit.
- Pourquoi pas.
- Alors sois gentil, ouvre la, fit-elle en me tendant la bouteille. Jadore le champagne mais je suis incapable de le déboucher. Javais bien ton cousin pour le faire mais depuis
Elle se tue dun coup, allant sasseoir sur le fauteuil disposé juste à quelques centimètres du mien. Jai respecté quelques instants son silence avant de prendre la parole, essayant de détendre latmosphère. Discutant de choses et dautres. De ces choses sans importance qui nourrissent la plupart des conversations. Elle mexpliquait combien ses journées étaient éprouvantes.
Alors quelle me parlait je navais que dyeux pour ses jambes. À seulement quelques centimètres de mes genoux. Les mêmes que je prenais plaisir à reluquer quand jétais plus jeune. Il marrivait même quand je venais en compagnie de mon père voir un match de foot avec mon cousin, de mabsenter quelques instants pour me réfugier dans la salle de bains. Une fois la porte verrouillait je mempressais de fouiller dans le panier de linge sale. Ma première cible les collants. Où je fourrais mon nez là-même où les pieds avait séjourné pendant la journée.
Puis elle se mit a éclaté en sanglots. Alors que jemplissais de nouveau les coupes. Des larmes ont coulé sur son visage comme lauraient fait des gouttes de pluie. Gêné, jai laissé passer la crise. Je pense quelle en avait un grand besoin.
Pour prendre une contenance, jai pris la poupée Barbie en tenue de soirée qui traînait sur un bord de la table basse.
Me prenant au jeu, jai fait disparaître mon index sous la belle robe blanche de la poupée. Lisant sa petite culotte que je devinais être au toucher, en nylon. Et tout ça sous les yeux captive de ma cousine. Comme je laurai fait sans aucun doute avec une partenaire, jai tiré la culotte vers le bas. La laissant choir à ses chevilles. Avant denfuit le doigt sous la robe. Massant énergiquement la fourche malléable, alors que la culotte tomba à mes pieds. Il régnait dans la pièce un silence minéral.
Après mêtre assuré dun coup dil, quelle mépiait toujours, jai fait glissé mon doigt le long de la cuisse rigide jusquà son petit pied nu. Puis je me suis penché, pour attr la petite culotte. Comme je laurais fait avec celle dune grande poupée vivante, je lai porté à mes narines toujours sous les yeux éberlués de ma cousine. De plus en plus médusée. À ce laissé aller. Écartant sans en prendre conscience ses jambes. Tout en haut des cuisses blanches, le triangle de nylon transparent moulait étroitement son pubis proéminent. Aplatie par la culotte du collant. La toison formait une tache sombre.
Déconcerté par un tel spectacle, jen ai lâché le petit bout de tissu de mes doigts sous les yeux témoins de ma cousine.
Envoûtée par mon geste, elle se mit à gémir, et à pousser à petits cris. Les yeux fous. Elle était en transe. Étonnante télépathie érotique. Pris au jeu, jai retroussé la robe de soirée de la figurine, pour lui masser la fourche. Contre toute attente, Ghislaine a laissé échapper un gémissement continu. Créant de sa bouche un doublage son à la pauvre poupée. Puis sans un mot, lasse sans doute de se qui se dérouler sous ses yeux, elle a sauté sur ses pieds, et quitta la pièce. Son absence séternisant, je nai pus résisté daller aux nouvelles. Je lai trouvé dans la cuisine devant la fenêtre en train de nouveau pleurer. Je lai alors prise dans mes bras. Elle a posé sa tête sur mon épaule en sanglotant. Dune main, je la serrais contre moi et de lautre, je me suis saisis du rouleau dessuie tout, que je lui ai tendu. Elle ma souri et ma remerciée. Puis sécartant de moi, elle sest mouchée bruyamment. Ça a fait un tel bruit que cela à déclencher le chant de loiseau en jouet posé sur le frigo. On sest regardé et on a éclaté de rire.
- Et moi qui tennui avec mes histoires.
En finissant sa phrase, elle a caressé mes cheveux. Je ne sais pourquoi. Jai ça sur lexcitation. Je me suis saisi de sa main et je lai embrassé. Elle na pas essuyé de la reprendre. Alors, jai sucé ses doigts lun après lautre. Comme je laurais fait avec des bites. Tout en la défiant du regard. Elle a posé ses lèvres sur ma joue. Ma fait une bise. Puis lentement sa bouche à glisser jusquà la mienne. Je lai serré contre moi et nous nous sommes embrassés presque violemment. Quand elle sest écarté ce fut pour me dire :
- Je
je crois que je vais me trouver mal.
Ghislaine sest affaissée sur une chaise toute proche. La tête renversée en arrière, les cuisses largement écarté. Je lai attrapé comme jai pu. Elle a ouvert les yeux. Papillotant des paupières, lair ahuri.
- Cest
cest idiot, balbutia-t-elle. Peux-tu memmené jusquà la chambre.
- Je veux bien ! Mais cest où ?
- Dans le couloir la deuxième à droite.
Je lai déposé sur son lit.
- Tu serais gentil de mamener un verre deau sil te plaît !
À mon retour Ghislaine sétait assise. Sa robe a glissé sur une épaule, dévoilant presque entièrement son soutien-gorge. Et sest retroussée très haut au-dessus des genoux. Je me suis absorbé du spectacle quelle moffrait.
Incapable de me résonner, jai posé le verre deau sur la table de nuit et je me suis saisi de son mollet. Délicatement, je lui ai ôté son escarpin vernis. Immédiatement une odeur chaude de pied a piqué mes narines. Je lui ai massé tendrement la voûte plantaire moite de sueur. Je ne pus me retenir dy poser ma langue dessus. Ce fut une explosion de saveurs sur mes papilles. Jai recueillis la sueur salées qui imbibait le nylon trop longtemps macéré dans sa prison de cuir. Jai encaissé la senteur de la texture râpeuse sur ma langue.
Après avoir déchaussé son second pied, jai empoigné les deux mollets, que jai fait glisser vers le haut. Jusquà ce que ses genoux soient au contact de sa poitrine. Je me suis délecté de ce que javais devant les yeux. Lempiècement étroit du collant sest incrusté entre les bourrelets de la fente. Il y avait aussi une auréole humide qui faisait négliger au centre du nylon. Il men a fallut pas moins pour enfouir mon visage à cet endroit précis. Voracement, jai mâchouillé le tissu souillée. Menivrant de lodeur forte qui son dégager. Un peu aigre, presque écurante. Jai plaqué mes lèvres de lexcroissance de chair qui dardait à travers la texture. Un goût acidulé a envahit mon palais. Alors quelle ondulait des hanches comme pour précipiter son plaisir. La bouche ouverte, les yeux révulsés, elle sest écriée :
- Oh oui !
oh oui !
Tout cela semblait irréel. Le feu se répandait en moi. Il était temps encore de reculer, de fuir. Mais je suis resté là, comme cloué. Me demandant si je devais me laisser tenté ou non. Pendant que je réfléchissais, elle a enfui sa main entre sa peau et le nylon. Ouvrant son sexe avec deux doigts en fourchette, mexhibant lintérieur de son vagin.
- Jen ai besoin. Cela ne sortira pas de la famille.
À peine la phrase achevait, sans attendre elle sétait jetée sur ma braguette. Elle tirait sur les boutons, libéra ma queue.
- Ça fait longtemps que je nen es pas eu une devant mes yeux.
Elle a encerclé ma queue avec sa main. Le contact de ses doigts sur ma chair était doux et chaud. Mais avais-je vraiment envie de ça ? Là était la question, et avant que je trouve la réponse,
Jai alors abaissé le nylon sur ses cuisses. Comme les pointes de ses seins, ses grandes lèvres avaient grossi. Jai approché ma bouche de son sexe. Titillant son petit bijou, je me suis mis à lécher sa chatte ruisselante. Seule ma langue et ma bouche sactivaient sur son corps. Jai risqué un coup de langue entre ses fesses. Une caresse qui ne plaît pas à tout le monde. Ghislaine sest immédiatement réajustée pour me permettre de mieux accéder à son anus.
Malgré les forts effluves qui sen dégageaient, je nai eu aucune sensation de dégoût. Tout au contraire, coups de langue après coups de langue, jai léché sans aucune arrière-pensée. Nhésitant pas à la violé de ma langue. La cochonne semblait bien apprécier ça. Elle na pas mit longtemps à exploser. Maspergeant de sa mouille abondante. Son jus coulait le long de la raie, jusque sur le drap du lit. La bouche entrouverte, elle sest mise à gémir tout en soulevant ses fesses. Elle a laissé échapper un miaulement aigu puis sest recroquevillé le souffle court.
Jai dirigé ma queue juste contre son vagin.
- Oh oui
!
- Je peux ?
- Oui, soufflait-elle, baise-moi.
Mon gland a étiré ses lèvres, avant de sy enfoncer. Lélargissement de son sexe sest fait petit à petit. Une agréable sensation ma arraché un gémissement. Quand mon gland fut bien engagé, dans lorifice humide et doux, elle ma donné un grand coup en avant. Son antre ma aspiré la moitié de ma verge.
- Mais cest
Ouuuiiiii, très bon
. Ça me manquait
Jai sentis des vagues sirupeuses noyé mon sexe. Je me suis branlé dans elle avec frénésie. Alors quelle remuait à grands coups de reins pour sempaler sur mon pénis. Ses parois vaginales comprimaient ma queue. Il na pas fallu trop attendre pour quelle est le souffle coupé. La bouche grande ouverte, sans quaucun son ne sorte. Une salve de plaisir intense vrillait ma queue. Qui a eu pour effet de déclencher le mien. Je me suis laissé aller. Libérant mon foutre qui a giclé au fond de la matrice de ma cousine. Avec une impression de décharger un litre de foutre.
Puis je me suis affalé, épuisé, haletant aux pieds de Ghislaine. Dont lorifice est demeuré béant doù sécoulait mon sperme. Elle na pas pu se lever tout de suite, tant elle était encore toute parcourue par les spasmes du bonheur.
Je me suis rhabillé. Celle-ci, m'a embrassé langoureusement avant de me dire :
- Il ne sait rien passé !
Pour toute réponse je me suis saisi du collant.
- Cadeau !
- Si tu veux !
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