Collection Anne Ma Muse. Février Sur La Côte (4/13)
Vous me connaissez, je suis Anne, la muse de Chris71.
Gaston chauffeur de ma société ma conduit jusquà Avignon où Josyane mattend pour me conduire chez elle au cap dAgde où elle habite.
Cest suite à son divorce avec Serge, mais quelle appelle Johnny étant fan de son idole au point de lui consacrer une pièce dans leur maison, qu'elle s'est installée dans le Sud.
Hier soir Josyane ma quitté, suite à un rendez-vous oublié, lorsquelle mavait proposé de venir profiter des premiers rayons du soleil en ce mois de février.
À Besançon où jhabite et où je travaille nous sortons aussi de lhiver, mais les brouillards de la vallée du Doubs et de la Saône toute proche nous empêchent souvent de le voir à cette époque.
Elle revient dans la nuit avec un "édredon".
Un mec, quoi, je connais cette expression car avec Pierre mon ami, quand il passe la nuit chez moi, me dit aussi quil vient faire lédredon.
Je me replie rapidement dans ma chambre afin déviter que je ne les dérange.
Dun coup je me réveille.
Un instant je cherche où je suis.
Cest vrai, chez Josyane, ah oui, je lai entendue rentrer et séclater avec le jeune garçon quelle a ramené.
Cest drôle lévocation dun garçon, me fait penser à Joël, celui à la 4L rencontré trop rapidement sur lautoroute lors de ma venue.
Jai été un peu bête, non conne, sachons dire le mot juste, davoir oublié déchanger avec lui nos portables.
Je suis à deux doigts de me caresser à son évocation quand jentends du bruit venant de lappartement.
Quelle heure peut-il être, le volet roulant laisse passer de légers rayons de soleil, jai dormi comme un bébé.
11 heures 45, moi qui chez moi suis debout au plus tard à 7 heures.
Il faut dire quici aucun bruit, comparé à chez moi ou les voitures passent sous mes fenêtres.
Je me lève, vais dans la salle deau, la porte de communication est fermée.
Je fais ma toilette surtout les dents, mon hygiène buccale est primordiale pour moi.
Je vais pour changer ma petite culotte, mais quand hier ma copine sest mise nue, je me suis senti un peu arriérer à garder mon bout de tissu.
Mais comme les relations lesbiennes, la pudeur qui nous est inculquée est dure à sen défaire même si par chance, mes parents mont épargné leurs bondieuseries.
- Bonjour Anne, déjà réveillée !
- Cest à toi quil faut dire ça, après la nuit que tu as passée !
- Tu nous as entendus !
- Ah ! oui, oui, oui oui, ouiiii !
- Cest faux, quand je jouis, ah ! oui, oui, oui, ouiiii !
Trois fois, oui avant le oui en trémolo.
- Je tassure cétait quatre ouis avant le cinquième qui ta vidé les poumons.
- Tu as peut-être raison, ça veut dire que mon amant ma porté sur les sommets de notre plaisir.
Tu comprends pourquoi je tai laissé seule devant la télé, cest si rare quil passe dans le coin.
- Il dort encore !
- Je suis debout car il a pris le taxi que je lui ai appelé, il a son avion pour Paris à 13 heures, il rentre chez lui où sa femme lattend.
- Inutile de men dire plus, encore un de ces jeunes hommes dont tu aimes tentourer.
Josyane éclate de rire, ça fait tressauter ses poumons, que marrive-t-il, je regarde de plus en plus ses attributs féminins.
Peut-être la peur de la soixantaine arrivant et que les miens contrairement à maintenant ont tendance à perdre leur fermeté.
- Tu te trompes, Claude à ton âge, il va sur ses 60 ans et porte encore beau, cest un adepte des salles de sport.
- Il est culturiste à ses heures perdues, il était à Montpellier pour un concours quil a gagné en catégorie vétéran.
Jaurais dû te réveiller pour voir ses muscles saillants et son bronzage à faire pâlir les habitués du cap.
Ma copine a le chic de se trouver des mecs sortant de lordinaire.
- Es-tu sûre de ce que tu dis, jai entendu parler de ces hommes ou ces femmes qui se bourrent de produits asséchant leurs muscles et asséchant aussi leurs organes ?
- Des « fasts » pourquoi crois-tu ces fadaises, si cétait vrai, aurais-je crié oui, quatre fois ?
- Dommage quil soit parti, jaurais bien voulu voir de près un tel homme.
- Tu vois, jaurais dû te réveiller, veux-tu que je te donne son numéro de portable ?
Tu lappelles, il voyage souvent pour ses concours mais aussi étant chef dentreprise.
Regarde le cadeau quil ma apporté, un magnifique déshabillé, il est dans le textile.
- Je me disais bien que quelque chose clochait ce matin.
Tu mas fait la leçon quici on vivait nue.
Jai fait un effort à enlever ma petite culotte et cest toi que je retrouve couverte de ce voile qui dun autre côté met tes formes en valeur.
- Quand tu dis cela, ton il sallume.
Voudrais-tu que nous allions nous recoucher un petit moment bien que nous serions folles de rester allongées alors que dehors le soleil que tu es venue chercher resplendi ?
Josyane me donne une échappatoire, jétais à deux doigts de lui dire oui sans les trémolos.
Mais je suis de mauvaise foi, jai déjà eu des rapports lesbiens avec Lucie lamie de Noël mon neveu à Noël dernier.
Est-ce le fait quelle était plus jeune et que les jeunettes mattirent contrairement à ma vieille copine même si elle se tient aussi bien que moi.
Noël et Lucie, je suis partie si vite voir le soleil quà aucun moment lidée de les prévenir ne mest venue en tête.
Il est vrai que les jeunes habitent à Sète et que les parents de Lucie propriétaires dune clinique esthétique ont un appartement dans un immeuble du cap dAgde.
Ce que jai accepté avec Lucie, dans un moment dégarement, pourquoi le reproduire avec Josyane ?
Quand jai baisé avec Lucie, jignorais quelle deviendrait la petite amie de mon neveu.
Neveu qui venait de devenir mon amant.
Josyane est une vieille amie et je craindrais de perdre cette amitié par des rapports sexuels, surtout quelle ma prouvés cette nuit quelle était assez grande pour trouver des hommes et femmes libertins.
- Bien, je vois que tu as choisi, je te propose de rejoindre la plage après avoir mangé un petit morceau, voyons ce que jai à toffrir.
- Oui, tu es mon amie et tu le resteras, je prendrais bien un café avec une part de brioche que je vois sur ton meuble.
- Je lavais sortie pour Claude, il avait amené ses poudres de perlimpinpin qui sont la base de sa nutrition.
- Jai hâte de me retrouver sur la plage et sentir le soleil sur ma peau regarde, je suis comme un cachet daspirine comparé à toi.
Je vais aller passer une robe.
Si tu en as une légère, nous sommes à cinquante mètres de la plage.
Si tu veux, je te prête un paréo que tu attacheras autour de tes seins, jen ai une grande collection.
Cest ainsi que nous reprenons lascenseur.
Moi, dans un paréo multicolore qui cache mon corps comparé à celui de mon amie qui fait passer laréole de ses seins et quand elle est statique, la fente de sa chatte.
Je suis presque gênée pour elle.
Nous arrivons sur la plage et là, très vite, je comprends que je me suis piégée moi-même.
Josyane habite dans une résidence au bord de la plage naturiste du cap.
La plage est loin dêtre pleine comme elle doit lêtre en été, mais en peu de temps, le nombre de sexes mâles ou femelles est impressionnant.
Les verges, dans un premier temps, de tous les genres, jusquà des jaunes, un Asiatique est à deux mètres de nous.
Une place libre, Josyane dépose son sac puis étend une grande serviette.
Je limite un peu anxieuse, hélas, ce que je supputais arrive, elle ôte son paréo montrant sa nudité à tout le monde.
La voir nue chez elle et la voir nue sur cette plage, cest plus impudique.
Je prends mon temps, que faire, limiter.
Mince ma serviette placée, je marrange pour que mon pied mette du sable dessus.
Il y a de lair, je la replis et je mécarte pour que prudemment je la secoue.
Peine perdue, un couple interracial, elle blanche, lui noir, men montre une de celles qui soi-disant fait fantasmer bien des nanas.
Assez tergiversé, je la place à côté de celle de mon amie et je fais le geste fatidique, je dénoue mon paréo.
Pourquoi aurais-je honte de ma poitrine, la femme avec son mari black doit avoir vingt ans de moins que moi.
Ses seins ressemblent à des ufs sur le plat, plongeant vers le sol.
Je massieds.
- Anne, peux-tu me passer de la crème solaire, je vais en faire de même pour toi.
Il serait malheureux quun coup de soleil gâche tes vacances.
Il mest arrivé de mettre de la crème solaire sur le corps de Pierre quand nous passions de longs moments au bord du Doubs.
Là, ce sont les fesses de Josyane que je caresse, évitant de mapprocher trop près du sexe de mon amie.
- Mets-toi sur le ventre, à mon tour de tenduire de crème.
Je mallonge, la tête dans mes bras.
- Oh !
Je sais cest un peu froid sur ton corps qui commence à chauffer.
Ses mains sont au début sur mon dos, puis sur mes épaules, cest bon, comme un massage, ça me décontracte.
Elle redescend, remet de la crème.
Jai failli recommencer à crier, mais jarrive à me retenir.
On dirait quelle évite les fesses pour sattarder sur mes jambes enduisant même ma plante des pieds.
Elle remonte et commence à menduire les fesses.
Jai fait attention, sa main plonge entre mes mappemondes à deux doigts de ma chatte qui commence à mouiller.
Je tourne la tête pour éviter de la regarder.
Elle repart pour mieux revenir.
Je suis à deux doigts de la pâmoison.
- Tiens, tu es là !
Je relève la tête, jai à moins dun mètre de mes yeux une verge dau moins vingt-cinq centimètres
Corrigé par Anne.
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