Collection Anne Ma Muse. Février Sur La Côte (5/13)
Dans cette collection qui mest dédiée, vous me connaissez, je suis Anne, la muse de Chris71.
Gaston, chauffeur de ma société de transports, en route vers la Grèce pour faire une livraison de vin de ma région de Bourgogne Franche-Comté, ma conduit jusquà Avignon.
Cest à la sortie de lautoroute que Josyane, mon amie, ma récupérée pour me conduire chez elle au cap dAgde où elle habite.
Cest à la suite de son divorce avec Serge, que tous appelaient Johnny étant fan de lidole au point de lui consacrer une pièce dans l'appartement où ils habitaient, qu'elle est venue vivre au cap dAgde, à quelques mètres de la plage.
Première nuit, première sortie de Josyane qui en femme libre ramène un homme qui la fait jouir au point de mempêcher de dormir.
En me levant, elle mapprend que Claude son amant dun soir est déjà reparti prendre un avion pour retrouver sa femme à Paris !
Cest une caractéristique de Josyane, elle se fiche des convenances pourvu que son amant soit sexuellement à la hauteur.
À entendre ces "ouiiis" de plaisir, il la été.
Pour moi, la vie et le sexe entrent dans des créneaux plus normaux.
Jévite de toucher aux hommes mariés.
Bien sûr, jai sucé Georges dans son camion, ce fut bon et rapide.
Mais les principes, quelques fois, il faut savoir les dépasser pour vivre des moments dexception pour nos vieux jours où nos corps nous réduirons à devenir plus sobre.
Je connais bien le problème, Pierre mon copain et amant à 70 ans, les pannes sont assez fréquentes.
Jai du mal à me libérer dès mon arrivée à cause de nombreux préjugés venus de ma jeunesse comme un excès de pudeur.
Mais je suis curieuse de découvrir les murs de mon amie qui vit nue chez elle.
Chez elle, mais aussi sur la plage où nous nous rendons pour bronzer pendant ces jours de très beau temps, en ce mois de février.
Le dérèglement climatique se fait de plus en plus ressentir partout sur notre territoire.
On se croirait dans le Sahara, moins vingt la nuit, plus vingt le jour.
Ce jour ici, jignore combien mais assez pour prendre un magnifique coup de soleil sur mes fesses qui comme ses fesses à elle, sont maintenant libres de toute entrave.
La plage où je viens de mallonger sur ma serviette est naturiste.
Bien sûr jaurais dû men douter connaissant mon amie et la ville où elle réside.
Le cap dAgde est réputé pour ça.
Libertinage et nudité sont les deux mamelles de ce coin de France.
Libertinage et nudité sont les deux principes de Josyane allant même jusquà des plaisirs lesbiens où elle souhaiterait mentraîner.
Je résiste sentant au fond de moi que je suis profondément hétéro.
Suite à mon propre divorce cest Pierre mon ami qui a mes faveurs alors que comme je viens de le dire, il a 70 ans et quavec lâge son corps lui fait défaut de temps en temps.
Est-ce pour cela et pour pouvoir profiter de moments comme celui dans le camion, et si javais été plus intelligente avec Joël, que nous avons toujours gardé nos propres logements nous retrouvant principalement les week-ends ?
Joël, le simple fait de sa pensée fait de moi une cochonne, je sens que je mouille.
Contrairement à Josyane, sur lautoroute à Montélimar, je suis sûre que ce jeune homme qui a semblé sintéresser à ma personne lorsque jai changé de vêtements ayant trop chaud dans ceux mis le matin, aurait trouvé le moyen de sisoler même pour un court instant et senvoyer en lair.
Comme une conne, le temps de conduite de Gaston ma semblé plus important et je lai rejoint pour quil soit à lheure avec son chargement pour lembarquement.
Son téléphone, au temps des portables que tout un chacun, surtout les jeunes possèdent, jai même oublié de les échanger.
Alors là sur cette serviette sur cette plage, la tête dans mes bras repliés quand jentends une voix dhomme parler à Josyane mon sang se glace malgré la chaleur.
Je lève la tête, elle est à quelques centimètres de mes yeux et mesure au bas mot 25 centimètres au repos.
C'est la verge dun garçon qui, étant dans le soleil, mest à ce moment inconnu.
Il bouge et là je reconnais Joël, mon fantasme de lautoroute.
- Mais on se connaît, lautoroute, les vêtements, le café, la terrasse.
- Et ta 4L qui passe non loin de moi me laissant pleine de regret.
- Vous pouvez mexpliquer, je suis larguée, Anne tu connais Joël notre jeune ami !
- Nous nous sommes rencontrés sur une aire dautoroute à Montélimar, tu mas dit que tu allais à Avignon, jignorais que ta destination finale cétait le cap.
Cette conversation est énorme pour moi étant assise mes jambes entre mes bras, me repliant comme un uf, toujours cette pudeur qui me coince.
Et dire que je viens de fantasmer sur lui.
La verge de celui que je regrettais davoir quitté sans espoir de lendemain est là à portée de ma main.
De main, est-ce le lieu, il est surtout à portée de ma bouche.
À mon âge, est-ce sa longueur, cest moi qui suis intimidée et qui rougit.
- Anne tu es toute rouge.
- Cest le soleil Josyane.
- On vous voit ce soir pour la réouverture.
- Es-tu de service ?
- Mes vacances finies, je suis redescendu pour une nouvelle année, je vous placerai dans mon secteur de service.
- Cest vrai que tu es un garçon du Nord.
Es-tu partante Anne ?
Tu verras la cuisine de son restaurant est parfaite et le cadre est magnifique.
- 22 heures comme dhabitude, je vous attends.
Jai limpression quelle fait un clin dil à Joël et quil comprend ce quelle veut lui dire, mais pourquoi se méfier de ses amis.
Il est 18 heures quand nous levons le camp.
Je pourrais remettre le peu daffaires que javais en arrivant, mais comme nous voulons faire une promenade le long de la plage les pieds dans leau sans pour autant nous baigner alors je reste nue.
Il est vrai que la nudité que je craignais sapprivoise au fil du temps.
Tout le long de cette promenade, allongés près de leau, des corps dans toutes les positions se sont présentés à nous.
Au début, comme certains vieux libidineux, je les regardais, je comparais mes seins avec ceux des femmes que je croisais.
Souvent à mon avantage même avec la différence dâge.
Jen étais même arrivée à leur donner des noms.
« Poires, oreilles de cocker, petit mais gentil avec de grosses fraises, pommes bien sûr, plutôt pamplemousse genre les miens. »
Les bites aussi, mais là, je marrêtais vite car toutes finissaient par faire 25 centimètres comme celle de Joël que je vais retrouver ce soir mais hélas recouverte dun pantalon.
Nous remontons la plage vers la rue de limmeuble de Josyane, jai bien dit cinquante mètres, mais cinquante mètres de pur délice, je finis par être fière de notre nudité.
Cest dans lascenseur quune question me vient.
- Dis-moi, dans quel genre de restaurant Joël travaille-t-il ?
- Surprise, si je te le disais, ça gâcherait le plaisir.
- Tu mintrigues, jai vu que vous vous faisiez un clin dil.
- Tu as mal vu, certainement un grain de sable avec le vent.
Jaurais pu lui faire remarquer quen plus du soleil, la mer était dhuile, pas la moindre brise sur leau, mais jaime les surprises et comme en prime cest Joël qui va nous servir, je suis aux anges.
- Et dis-moi, 22 heures pour un restaurant, cest tard.
- Sur la côte on est à lheure espagnole pour les repas.
Nous irons prendre lapéro à deux pas vers 20 heures, ça nous fera patienter.
À lheure dite, je suis pomponnée comme elle.
Nous avons partagé la salle de bains, la nudité mest devenue familière.
Cest Josyane qui va dans le placard où jai sorti mes affaires de ma valise, mais elle amène sa touche personnelle.
Nous étions ensemble quand elle a préparé les siennes, porte jarretelle mais sans culotte, vais-je réussir à sortir la chatte à lair sous lune des minis que jai apportée ?
Nous sommes de taille identique, elle me passe des bas noirs résilles avec là aussi un porte-jarretelle de même couleur.
Si à Besançon, je sortais sans culotte quen penserait Pierre, sera-t-il vieux jeux et me prendra-t-il pour une salope ?
Comme deux surs, nous prenons le chemin dun bar à vins que connaît mon amie.
- Josyane, tu nous manquais que deviens-tu ?
Tu nous as amené une amie, elle est nouvelle ici.
Doù es-tu ?
Sympa ses copains, ils me tutoient directement, je fais la connaissance de Nicolas, petit et un peu rondouillard.
Carl avec son amie Sylviane, lui très grand le crâne rasé, elle comme lui, la quarantaine avec des seins plus développés que les miens.
Comme nous elle est en mini ce qui lui va bien, surtout quelle a un chemisier blanc qui fait apparaître ses aréoles brunes.
Il y a aussi trois autres garçons, Christophe, Luc et Adrien.
Trois garçons bien mis de leur personne avec qui jaurais plaisir à batifoler.
Je deviens aussi folle que mon amie, Joël nous mattend.
- Vous tombez bien mes amies, Nicolas veut nous emmener chez lui, seule avec cinq mecs, je commençais à prendre peur.
- Tu sais te défendre Sylviane, hélas nous sommes simplement venus prendre un verre avant daller manger au « Copacabana ».
- Tu as eu des places, ça fait huit jours pour leur réouverture que cest blindé, même en février et même des habitués, on sest fait jeter.
- Carl, toi qui dis tout connaître du cap, il suffit davoir les bons amis.
- Bien les garçons, jespérais du renfort avec Josyane et Anne, partons chez Nicolas, la petite Sylviane va assurer.
- Vous savez, mon amie Anne est encore là demain, venez à la maison, nous lui offrirons une dernière soirée.
- Si vous allez au « Copacabana », dieu sait à quelle heure vous allez rentrer, il va vous falloir récupérer, je moccupe de la bouffe et des boissons, nous apporterons tout.
Il lève sa coupe de champagne, dans le temps où nous sommes avec eux, jen ai bu trois.
- Bonne soirée les filles.
Cest en prononçant ces mots que je remarque Nicolas faire un clin dil à Josyane qui lui rend.
Pas de sable, pas de vent dans ce bar, dans quel piège Josyane membarque-t-elle ?...
Merci Anne pour ton travail
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