Max (4): Et La Main De La Domina
Comme je vous lai promis me revoilà pour vous raconter une nouvelle aventure. Cette fois je monte le degré dun niveau car je vais vous raconter le moment où jai vraiment réaliser quune bonne chienne dort en moi.
Effectivement, depuis un certain temps jai envie daller un peu plus loin dans le côté hard du sexe. Même comme je suis seul, je prends un malin plaisir à mexciter en me triturant les tétons. Jaime les pincer, tirer dessus
jaime aussi y accrocher des pinces à linges et tirer dessus pour faire encore plus bander mes tétines.
En solitaire je prends souvent mon pied en me sodomisant avec différents objets. Soit je me tourne vers des légumes comme la carottes, la courgette, le concombre
ou sur les manches de marteaux et les aérosols. Mon préféré reste les poteaux de mon lit chez mes parents en forme de plug (voir Max 1). Depuis quelques temps jaime me donner encore plus de plaisir en me torturant la poitrine, soit avec des objets ou simplement mes doigts.
Un soir, je suis en train de me donner du plaisir, en solitaire, le plus hard possible. Je prends bien mon pied et finit par marroser le ventre sans même me caresser. Mon cul rempli et mes tétons traumatisés suffisent à me faire jouir. Pourtant jai envie de plus. Je feuilleté un magasine SM que je me suis acheté et je sens ma queue durcir en mimaginant à la place des soumis.
Les dernières pages sont consacrées aux petites annonces. Même si je sais très bien que je ny trouverai pas mon bonheur je les lis. Une mintrigue plus particulièrement, elle dit simplement:
« DOMINA mûre aime initier. »
Il y a aussi un numéro de téléphone.
Même si jai peur que ça soit une arnaque je ne peux mempêcher de composer le numéro. Pendant que ça sonne je me dis que cette annonce à été écrite pour moi. Après le bonjour de politesse je mets un petit moment à réussir à enchaîner:
« Je vous appelle
à propos de lannonce.
La voix de la femme est très douce et son vocabulaire témoigne dune certaine éducation.
Elle me demande en premier de me décrire, ensuite elle minterroge sur mes pratiques actuelles. Je lui explique que je couche avec des femmes mais aussi avec des hommes. Quavec ses derniers jadore me sentir femme et salope. Je lui avoue aussi la découverte, récente, de mes tétons comme zones très érogènes. Elle ponctue régulièrement mes phrases par des « très bien ».
Ensuite elle veut savoir pourquoi je me suis décidé à appeler ce numéro et ce que jespère trouver. Je lui explique que les mots Domina et initiation me parlent beaucoup. Que depuis un moment jai envie de faire lamour de façon plus brutal, jai envie de réveiller la salope qui dort en moi. Elle me répond quelle pense que je serai plus attirer par ce genre de rapport avec un homme mais me propose quand même une rencontre chez elle pour parler des différentes possibilités.
Avant de me rendre chez elle le jour convenu, je me rase bien pour être assez lisse et sous la douche je me fais un lavement. Même si nous avons convenu de juste discuter je préfère être prêt au cas où. Je mhabille avec un pantalon et une chemise, comme elle me la demandé et je me rends à ladresse quelle ma donné dans le 17ieme arrondissement de Paris.
Je me retrouve devant un immeuble bourgeois, je comprends encore mieux pourquoi elle a insister sur la discrétion. Je sonne à sa porte à midi pile comme convenu. Cest une petite femme brune dune cinquantaine dannée habillé dun tailleur noir plutôt stricte. On se sert la main et elle me fait rentrer chez elle. Nous nous installons dans un salon qui ressemble à une galerie dart vu le nombre de tableaux accrochés aux murs.
Alors que nous buvons un thé, elle entame la discussion. Elle a 52 et est divorcée depuis quelques années. Daprès mon estimation elle doit faire 1m60 pour une cinquantaine de kilos. Elle mexplique quelle est Domina depuis une bonne dizaine dannées.
Elle en profite pour me donner ses pratiques, le problème cest que jai envie de tout tester. Aussi bien les pinces mais aussi luro, les fessées, être attaché en laisse ou à des chaines, mexhiber
. mais ce qui me fait le plus bander cest quand elle parle de fist. Par contre elle me précise bien quil y aura uniquement des vrais rapports sexuels que si elle le décide.
Nous fixons notre premier essai pour dans deux jours. Avant de repartir de chez elle, Maitresse mexplique quelle veut que je me sois fait un lavement et que je sois totalement épilé « aussi bien le pubis que la tige et les couilles mais également les fesses et la raie ». Pas de soucis cest une habitude que jai pris il ya déjà un moment.
Exactement 48 heures après la première fois, je sonne à la porte de ma première Maitresse, préparé comme elle me la demandé. Cette fois elle est dans une tout autre tenue que la fois précédente. Ses cheveux sont attachés, elle porte un soutien gorge qui ne fait que maintenir les seins sans les cacher. Une guêpière met encore plus ses formes en valeur. Elle porte un string fendu sur le devant et est plus grande de quelques centimètres grâce a des talons aiguilles.
Elle me regarde beaucoup plus froidement que 2 jours plus tôt et me dit sèchement de rentrer. Une fois la porte refermée, elle mordonne de me déshabiller. Alors que jenlève mes habits lun après lautre je sens une boule dappréhension dans mon ventre même si elle ma dit que pour notre première fois elle restera « soft ». Quand jenlève mon slip, je sens que mon sexe est recroquevillé, je ne baisse pas les yeux mais ne la regarde pas directement non plus.
Quand je vois Maitresse attr une badine sur un guidon et la glisser entre mes cuisses, mon angoisse augmente.
Elle empoigne fermement mes couilles et tire dessus pour mentrainer dans le salon. Elle sinstalle dans un canapé, je reste debout devant elle. Elle ouvre, en grand ses jambes et, à travers la fente de son string, me dévoile ses lèvres intimes bien pendantes. Alors quelle voit mon regard sur son entrejambe, elle mordonne de me branler. Ca tombe bien cette vue me fait bander.
Elle me regarde faire quelques minutes et me dit:
« A 4 pattes, puceau du cul! »
Une fois que je suis dans la bonne position, Maitresse vient sassoir sur mon dos en amazone et me fait la promener dans son immense appartement. Elle me fait faire un détour par la salle de bain, sans descendre de mon dos elle att un pot de crème et une serviette puis nous retournons dans le salon.
Elle se lève de sur moi et installe la serviette par terre. Elle mordonne de mallonger sur le dos. Elle fait le tour de mon corps et me donne un coup de pied au cul en me rappelant de lui répondre « Oui Maitresse », à chaque fois quelle me donne un ordre. Comme je ne dis rien, jen reçois un nouveau alors quelle me précise que cétait un ordre du coup je lui réponds:
« Oui Maitresse. »
Elle menjambe et vient placer son entrejambe au dessus de mon visage. Elle sagenouille tout doucement et sarrête quand ma bouche et à quelques centimètre de son con. Elle mempoigne une touffe de cheveux et en remontant ma tête elle me dit:
« Lèche moi bien avant que je toffre mon champagne ».
Je lui réponds par un « oui Maitresse », juste avant quelle plaque mes lèvres contre celle de son con, je bande comme un fou.
Je commence par passer ma langue de partout avant de me focaliser sur son clito.
Au bout de quelques minutes, elle relâche lemprise sur mes cheveux et ma tête retombe toute seule sur le sol. Je nai pas le temps de reprendre ma respiration quelle moblige à ouvrir la bouche en grand. Je mexécute après un « Oui Maitresse. » Je contemple son sexe totalement épilé à travers son string à guetter le précieux liquide.
Quelques gouttes jaunâtres perle des pans de la fente de sa culotte, je mapplique à toutes les faire rentrer dans ma bouche. Tout dun coup un jet beaucoup plus puissant sévacue de son entrejambe et bien sécraser directement dans ma gorge. Cest une vraie cascade, malgré le goût amer je mapplique à en avaler le plus possible. Il nempêche quune partie de son précieux liquide coule à la commissure de mes lèvres. Ma bite est tellement tendue que jen ai presque mal, japprécie même cette douleur.
Quand la source se tarie, javale les dernières gorgées que jai entre mes joues alors quelle me gratifie par des petites claques et un:
« Cest bien, tu es une bonne soumise! »
Jaime cette sensation de me sentir rabaisser, avec son urine qui commence à coller à ma peau je me sens encore plus comme son esclave sexuel.
Elle récupère la badine quelle avait posé sur la table basse, et me donne un coup à lextérieur de la cuisse gauche en exigeant que je devais me mettre à 4 pattes. Une fois en position, je reçois un coup sur chaque fesses puis sur lintérieur de mes cuisses pour que je les écarte. Elle repose la badine et vient debout derrière moi.
Sans aucun préliminaire mes couilles sont écrasées par un coup de pied. Je hurle mais plus de surprise que de douleur. Une étrange sensation envahit mon bas ventre, jai limpression davoir le costume 3 pièces en feu pourtant je bande comme un âne. Je sens quelque chose de très froid sétaler sur la raie des fesses parfaitement épilée.
Le contraste entre le chaleur de son coup et de la pièce avec la fraicheur du gel me fait frissonner. Maitresse passe devant moi, sa main droite porte un gant noir opaque recouverte dune crème blanche épaisse. Alors quelle létale sur sa main gantée, elle me précise avec un air sadique:
« Tu veux que je te la rentre dans tes petites fesses? »
Jhésite un court instant et lui répond le « Oui Maitresse », quelle attend. Elle me regarde avec une tête énervée et me signifie que je dois lui demander comme il faut.
« Pouvez vous me rentrer votre main dans le cul?»
Elle me fait un étrange sourire et reviens derrière moi. Au lieu de sentir ses doigts se poser sur mes fesses je reçois un nouveau coup de pied sur mon costume 3 pièces. Je crie moins mais me remet tout de suite à bander.
Quand elle revient devant moi, je comprends mon erreur et répète ma phrase sans oublier de finir par un Maitresse. Même si je prends du plaisir quand elle explose mes couilles jai peur de trop r. Elle revient derrière moi et je sens rapidement un doigt me sodomiser. Il rentre très facilement, mes entrailles ont lhabitude de recevoir bien plus que ça!
Elle fait tourner son index en écartant le plus possible ma rondelle. Je ne sais pas si elle me sent assez ouvert ou si tout simplement elle le désire mais un deuxième doigt me pénètre. Moins de 10 secondes plus tard un troisième doigt menvahit et à peine une minute plus tard ses 5 doigts en poire me lime. Maitresse les immobilise en moi pendant un moment.
Jai envie quelle les remue mais quand elle les bouge cest pour les enfoncer encore plus en moi. Malgré la pression le reste de sa main passe pas, elle pousse plus pendant quelques instants avant dappuyer de nouveau. Ma rondelle ne cède toujours pas malgré tout les efforts quelle fourni. Elle retire délicatement ses doigts et me demande de me retourner sur le dos.
Maintenant elle y met une pression très progressive, plus je sens sa main senfoncer en moi plus jai peur davoir mal même si elle me fait que du bien. Je me détends complètement et profite de mon cul autant envahi pour la première fois. Elle me demande:
« Maintenant? »
« Oui, Maitresse. »
Je sens sa main totalement me pénétrer alors que mon cul se dilate comme jamais. La sensation est indescriptible, cest inouï.
Elle reste un moment immobile en moi et commence par faire tourner son poignet. Ses doigts commence à sagiter en moi, et martèlent ma paroi interne. Cest tout nouveau pour moi, jai limpression que des petits feux dartifice de bonheur partent de mon anus pour venir exploser un peu partout dans mon corps. Je hurle de bonheur. Quand je me penche pour essayer de voir, je me rends compte que je suis en demi molle. Je suis tellement excité que je pensais bander comme un taureau.
Sa main simmobilise de nouveau, elle ressort tout doucement dentre mes fesses en me disant:
« On va arrêter là pour aujourdhui. »
Je la supplie du regard de continuer avant que ses doigts me quitte complètement. Comme elle ne prend pas le chemin arrière et que jen crève denvie, jose lui demander:
« Maitresse, encore un peu sil vous plait. »
Je rajoute même un dernier « Maitresse », du coup elle me répond:
« Daccord mais tu fais le travail. »
Je prends appuie sur mes mains et commence à descendre mon bassin pour mempaler sur sa main lentement. Elle fait tourner son poignet pour faire rentrer les têtes du métacarpien et mon cul aspire le reste. Elle agite ses doigts pendant quelques minutes, comme tout à lheure jai, une nouvelle fois, des boules de chaleur et de plaisir qui explose dans tout mon corps. Même si je couine de bonheur, je sens sa main me quitter alors que gentiment, elle me dit:
« Il ne faut pas trop abîmer ton petit cul de pucelle. »
Une fois quelle sest complètement retiré, jai limpression que mon trou est béant, je sens de lair rentrer. Un grand manque se crée dans mes entrailles. Maitresse maide à me relever et pendant que nous marchons vers la salle de bain jai limpression de goutter des fesses, comme une femme avec la mouille de sa chatte. Bien que je bande fermement, je ne me suis jamais senti aussi femelle.
Alors que je me lave dans la douche sous le regard de ma nouvelle Maitresse, elle mordonne:
« Branle toi! »
Jempoigne ma tige bien dure qui nattendais que ça et je commence à mastiquer. Après une dizaine daller retour, elle hausse le ton:
« Plus vite je veux te voir gicler. »
Je serre encore plus les doigts autour de ma tige et jaccélère les allers retours sur ma queue. En moins de 30 secondes, un très long jet sort de mon méat suivi de 2 moins fournis. Je me dépêche de nettoyer tout ça. Ma maitresse me donne une grosse fessée en me gratifiant dun:
« Tu es une bonne larve. »
Avant quelle quitte la salle de bain je lui réponds:
« Merci Maitresse. »
Après mêtre lavé et habillé, je sors rejoindre ma Maitresse qui en me ramenant à la porte mexplique les effets secondaires de mon fist et me propose de lappeler si jai un souci. Pour me dire au revoir, elle sort simplement:
« On se reverra. »
Et ferme la porte. Je compte bien la revoir car je pense navoir jamais pris autant de plaisir quaujourdhui même si contrairement à ce quelle ma dit plus tôt, mon cul est loin dêtre vierge
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