Ça C'Est Passé Simplement 10

Jeudi 5 mars 1987
Tous les chefs d’agence de la nouvelle région sud ouest, étions convoqués ce jour, à Limoges, pour une réunion d’information à 9,00 h. J’arrivais vers 8,00 h, connaissant tout le monde, je voulais saluer tous mes anciens collaborateurs, femmes et hommes.
Entre autres, revoir Mireille, après sa … disons, fuite de Poitiers. Une réorganisation des bureaux avait fait que Mireille avait pris du galon et un bureau, seule. Tout le monde semblait contents de me revoir, et la seule réflexion vint de Mireille qui dit : « Tu est arrivé hier ? Et tu n’as pas demandé à ce qu’on te réserve une chambre »
Moi : « Non, je n’avais pas l’intention de me retrouver avec les collègues et parler de boulot toute la soirée, alors que l’on ne va faire que ça aujourd’hui. »
Elle : « Ah oui, le Lion d’or, tu as raison, bon courage pour la réunion, mais tu aurais pu me le dire ! »
Donc 9,00 h début, 10,30 h pause café, 11,00 h reprise jusqu’à 12,30 h. Puis déjeuner et reprise à 14,30 h, jusqu’à 16,00 h pause et discussion par groupes jusqu’à 18,30 h, fin des réjouissances. Chacun est libre. Pour ma part, je file à mon hôtel. Me gare dans le parking arrière, le coffre contre la haie. Je réintègre ma chambre prends connaissances des messages envoyés et 19,30 h je suis installé au restaurant à m’offrir un apéritif, bien mérité, avant de diner, quand j’entendis un bruit de talons annonçant l’arrivée de Mireille
Elle : « Je peux »
Un peu surpris de la voir devant moi. Evidemment j’acceptais. Elle était vêtue d’une robe blouse, on appelait, aussi, ces robes des sahariennes, qui, me semblait, ne cachait pas une certaine rondeur au niveau du ventre : « Oui bien sur, mais, … »
Elle : « Oui, comme tu vois je suis enceinte, ça commence à se voir. »
Moi : « OH, … »
Elle : « Ne t’inquiètes pas, tu n’y est pour rien, (et riante) … tu es soulagé, ... »
Moi : « Je n’ai rien vue ce matin, …félicitations, … je t’offre un apéritif »
Elle : « Oui, …pourquoi pas.

Tu aurais quand même pu me prévenir, que tu venais, j’ai du faire une de ces gymnastique pour me libérer, …»
Moi : « Oh, … dis donc ; la dernière fois tu m’as laissé une carte, de mémoire : Je t’embrasse, adieu »
Elle : « C’est presque complet, mais, … »
Moi : « Déjà, après le pot de départ, tu avais disparu »
Elle : « Tu raison, mais je suis revenu chaque fois, … il faut comprendre …»
Moi : « D’accord, mais c’est un peu compliqué, tu ne trouves pas ? Tant qu’on y est tu pourrais diner avec moi ? » Après avoir accepté ma proposition, fort intéressée, elle reprit sa conversation intime.
Elle : « Quand je suis arrivé à la société, t’étais le chef, et déjà reconnu comme tel. Avec les gars des travaux les rapports étaient bons. Pour nous Béa, Annick et moi, nous étions la standardiste, la secrétaire, … tu étais courtois, poli, … nous étions, je dirais … transparentes. D’un coté c’était bien d’un autre un peu frustrant. Puis tu es parti au Chili, je crois, puis t’es revenu et on te voyait le lundi et des fois le vendredi, entre temps absent. Puis un soir, par hasard, on s’est retrouvé à Royan. J’avais toujours eu l’impression que tu voyais la comptable pas la femme, ce soir là, j’ai voulu voir si tu voyais la femme et aussi m’amuser à … disons, te piéger, te draguer. Le résultat n’a pas été ce qui était prévu, mais ça a été merveilleux et stressant.
Moi : « Ainsi c’était ça, tu voulais me piéger. Bravo tu m’as bien piégé, pour moi sans regret »
Elle : « Pour cela oui, mais je ne me suis par rendu compte que je m’étais piégé moi aussi, toute seule »
Moi : « Pourquoi, t’avais eu ce que voulais à savoir que tu n’étais pas transparente, … bien au contraire » (rire)
Elle : « Pour ne plus être transparente, je ne me sentais plus transparente, c’est vrai, j’avais couché avec toi. Ce qui, au départ, n’était pas prévu dans mon programme, ça devait être disons un flirt, … un peu poussé peut-être, … mais pas plus. Après je me suis traité de tous les noms, en me jurant que cette aventure serait sans lendemain, … Je n’aurais pas du me laisser aller à faire ce que j’ai fait, … mais en fait je ne pensais qu’à ça et j’espérais que l’on se reverrait, ce qui d’ailleurs ne faisait que m’énerver… J’ai voulu me prouver que ce n’était qu’un accident, une passade, une envie soudaine qui passerait et j’étais certaine, … je me le prouverais .
.. C’est d’ailleurs pour ça que j’ai organisé la nécessité de ma présence à Poitiers. J’étais bien certaine de maitriser la situation. Tout c’est bien passé jusqu’au moment où me prenant la main tu m’as conduite sur la piste. Là, j’ai eu un choc, j’ai compris que, je ne sais pourquoi, je serais à toi… que je n’attendais que ça … en fait, sans la moindre honte, j’étais devenue la « femelle » qui t’attendait pour s’offrir à toi, …tu connais la suite, … quand tu es dans les parages, je ne suis que désir, … qu’attente … un regard, … une caresse, …».
Pendant ce dialogue, un peu fou, j’avais mis ma main sur la sienne et son escarpin était venu côtoyer mon mocassin
Moi : « Mais pourquoi disparaître ? »
Elle : « Je ne voulais pas être là quand tu es parti, … j’étais triste et je me suis juré que c’était fini et bien fini, … que je ne me laisserais plus aller, … puis il y a eu cette réunion et, … j’espérais que tu me retrouverais, … je t’attendais,… je te désirais, … j’avais envie de toi, …je voulais m’offrir à toi, …»
Moi : « Même question »
Elle : « Arrêtes de poser des questions, … toute honte bue, …je viens te relancer maintenant, … je me conduis comme une salope,… et le qualificatif est faible, … je suis complétement folle,… mais j’ai envie de toi, … je te veux, … et dans mon état, je ne sais pourquoi, … j’ai encore plus envie de toi, … j’ai envie de me coucher et de m’ouvrir à toi, …j’ai envie que tu me prennes, … je sens ta place en moi, … tu veux une anecdote, …»
Moi : « Oui, bien sur »
Elle : « Pour la grande réunion je voulais m’acheter une robe un peu plus seyante. Quand j’étais au magasin après plusieurs essais, la vendeuse me propose le tailleur que tu connais, il était nettement au dessus de mon prix, … j’allais le dire à la vendeuse, quand je t’ai imaginé, … me regardant, … j’étais paralysée, … et je l’ai acheté,… simplement en espérant que tu me verrais … que tu aurais envie de moi, car moi, … je deviens, quand tu es là, je deviens irresponsable, …»
Moi : « OK, tu avais bien fait de l’acheter, tu était parfaite, … J’ai adoré être piégé par toi, tu restes cette nuit, … je viens avec toi chercher ton bagage »
Ce n’était même pas une question, de ma part, c’était une constatation, une affirmation, elle ne dit rien, c’était dans l’ordre des choses.

Nous partîmes à sa voiture, qui était garée à coté de la mienne. Avant qu’elle n’ouvre son coffre je l’attrapais et la prenant dans mes bras, je l’embrassais, elle se colla à moi et ainsi collé l’un à l’autre nos lèvres se retrouvèrent et nos langues reprirent leurs caresses humides, mais passionnées.
Moi : « Déboutonnes ta robe » sans hésiter elle se recula et défit quelques boutons, au bon endroit, sous sa ceinture. Elle avait deviné ce que je voulais faire. Ainsi en passant pas l’ouverture pratiquée, je pouvais atteindre son intimité, ce qui fut d’autant plus facile qu’arrivée à son entrejambe qu’elle écarta légèrement les cuisses. Et comme elle était nue, son minou fut facilement recouvert de ma main et cela entraina un : « OH, … oui, … c’est bon, … profites, … oui je suis à toi, … j’étais si inquiète, … caresses moi un petit peu, … que je sache que tu es là, … » Et pour aider, elle avait avancé son bassin et ouvert le compas de ses jambes.
Moi : « Tu t’étais préparée, … »
Elle : « Oui, … j’espérais, … tu le sais, … j’attendais, … je sais ce que tu veux, … ce que tu aimes, …inconsciemment je le fais, … … mais tais-toi, … rentres, … j’ai envie de toi, … si tu continues, tu vas me faire jouir, … ça m’excite de faire ça ici, , je suis à toi,…, on devrait aller dans ta chambre pour être tranquille, …je te veux, … arrêtes je sens ta place, …»
Puis se détachant de moi, elle ouvrit son coffre et se pencha pour prendre son sac, mettant volontairement ou involontairement son joli cul en valeur. Je ne pus résister à lui bien caresser en lui disant : « Ton joli cul est toujours aussi bandant »
Elle : « Tu le veux, … fais moi bien l’amour, … tu l’auras, … j’aime que tu dises qu’il te plait, … j’aime que tu me prennes par là,… comme je sais que nous aimons, … je me prépare toujours, …»
Pendant que je glissais la main sous sa jupe et remontais vers son joli cul « Ecartes les cuisses que je caresses ton joli cul et ton petit trou, … Ne bouges pas …»
Sans hésitation elle écarta légèrement les cuisses et j’atteignis sa chatte, qui semblait s’humidifier encore plus.
Je plongeais mon majeur dans sa chatte pour l’humidifier et je remonter vers son petit trou que j’enfonçais légèrement : « Arrêtes, … tu vas me faire jouir, … je te veux complétement, … tu ne vas pas, … OOOHHH, … arrêtes, pas ici, … ne recommences pas, … je ne vais pas résister, …on va dans ta chambre, … tu auras tout, … »
Cela fait je m’étais arrêté, pensant que déjà chaude, je l’avais encore bien chauffée et qu’elle serait à point et surtout libérée, quand nous serions dans la chambre.
Nous nous sommes rendu dans ma chambre et à peine arrivée, on reprit une partie de lèche museau, accompagnée d’un corps à corps, où elle reprit sa danse du diable. Je la poussais sur le lit et entreprit de déboutonner sa robe en commençant par le bas, alors qu’elle déboutonnait le haut. A peine entièrement dénudée, écartant largement les cuisses dit : « Viens … regardes, c’est à toi, … je suis à toi, … je suis toute chaude, … oui, viens,… je t’attends, …» Effectivement je plongeais entre ses cuisses pour me saouler de son odeur, et gouter à son jus de plaisir. Ses grosses lèvres étaient gonflées de désir et elles semblaient s’ouvrir accueillantes à mes lèvres et à ma langue, qui léchait son sillon, et sa petite musique se mit rapidement en route. « Oui, … prends moi avec ta langue, tes doigts, … je veux te sentir rentrer, … ouiiii, comme ça, … oui, baises moi avec tes doigts,… » C’était ce que je faisais. Mais pour ajouter à son plaisir, pendant que ma langue s’occupait activement de sa chatte j’avais humidifié mes doigts et j’entrepris de caresser, d’enfoncer, de pénétrer doucement sa rosette et : « Ouiiii, … j’aime que tu me prennes des deux cotés, … OOOHHHH, … c’est bon, … continues, … » et pour accen la pénétration elle se cambra légèrement avec : « Oui, .., c’est bon, …, continues, … » J’avais une trique importante et il était temps qu’elle prenne la place de ma langue et de mes doigts, mais quand j’envisageais cette possibilité, Mireille manifesta son désaccord en me disant dans un souffle excité : « Non, … tu me prendras plus tard, … finis moi comme ça, …, c’est si bon, …, ne t’inquiètes pas, …, tu auras tout ce que tu veux, … mais ne t’arrêtes pas, … je sens que ça vient, …, OUIIII, ça vient, …, je vais jouir, … continues, JE JUOUIIIIIIS, …. OOOOHHH, … OUIIII, … OOOOHHHH, …, OUIIII, … continues, …. OUIIIII ,…. » Ses cuisses s’étaient refermées sur ma tête, elle s’était cambrée en pleine jouissance et elle coulait généreusement. Puis elle se décontracta et s’aplatit sur le lit, le souffle court, essoufflée. Elle mit quelques minutes à retrouver ses esprits, et se retournant vers moi, « C’était bon, … tu sais comment me faire jouir, … me rendre heureuse, et me satisfaire … t’es un amour, …je vais m’occuper de toi, … comme tu aimes, .. » Sans hésiter elle glissa vers le pied du lit et voyant ma trique : « OOOHH, c’est du sérieux, ... je m’en occupe, … » et me prenant en main, ou plutôt entre le bout de ses doigts, elle commença à grands coups de langue à me lécher le gland, puis la tige, avant de me faire passer dans l’anneau de ses lèvres pour enfin m’avaler complètement et me pomper avec énergie. Mais j’étais tellement sous pression qu’il ne fallut pas de nombreux aller et retour pour que je la prévienne que j’allais tout lâcher dans sa bouche. A peine prévenue elle ne fit qu’augmenter le rythme et ce qui devait arriver arriva, je lâchais tout. En avalant la première giclée, elle émit un grognement de plaisir, mais ne cessa pas, pour autant, de pomper, ce qui entraina une deuxième giclée, plus petite, mais qui me soulagea d’autant. Elle remonta et se collant sur moi : « J’aime toujours autant te sucer, … et toi, … »
Force était de lui dire : « Tu es une suceuse merveilleuse, j’ai toujours beaucoup aimé ta façon de faire »
Elle : « Tu vois, ça valait le coup d’attendre, … mais maintenant je pense qu’on devrait dormir » et elle se retourna, je me callais derrière elle, la main gauche lui tenant un sein et une de mes jambes entre les siennes, la queue coincée dans son entrejambe. Elle ne mit pas longtemps à s’endormir, je n’étais pas entièrement rassasié. Si la pipe qu’elle m’avait faite avait été une petite merveille, j’aurais bien aimé, malgré tout, la sauter, mais bon. En fait je me consolais en pensant qu’au matin, il serait possible de remettre le couvert, l’espoir fait vivre, dans ce cas, il me fit dormir.
Vers le milieu de la nuit, je me réveillais avec deux choses : une forte soif, on n’avait pourtant pas bu au diner et une belle trique. Je me levais aussi délicatement que possible, mais cela n’empêcha pas Mireille de se réveiller avec une voix ensommeillée : « C’est déjà l’heure ? » et elle alluma la lumière du chevet.
Moi : « Non, j’ai soif, je vais prendre un verre d’eau »
Elle : « Donnes m’en un aussi »
Buvant son verre d‘eau, Mireille s’aperçu que je bandais sérieusement et : « Tu m’as l’air en pleine forme, … tu n’aurais pas des idées, … c’est ça qui t’a réveillé ? … »
Elle était assise sur le lit et j’étais debout en face d’elle.
Moi : « Je pense que tu pourrais certainement faire quelque chose ? »
Elle était, enfin, parfaitement réveillée et me regardant en souriant : « Oui, … effectivement, … » et sans hésiter après quelques coups de langues sur le gland, elle me prit goulument en bouche et commença à me pomper après quelques aller et retour, je tenais une forme olympique, même si ce qu’elle faisait était fort agréable, je voulais sa chatte, je voulais la sauter : « Arrêtes, … »
Elle : « Tu n’aimes pas ? »
Moi : « Si beaucoup, … mais je veux te faire l’amour, .., te baiser, … tu comprends, … te sauter, … et je suis sur que t’en as envie, …
Elle : « Oui, … j’espérais que tu le dirais, … viens, … j’attendais ça, … j’en ai envie, …»
Elle se retourna et se mettant en levrette, la tête dans l’oreiller, le cul offert
Elle : « Oui, … viens, … montes moi, … je veux te sentir me monter, … c’est à toi, …»
Je me présenter à son intimité, Mireille me guida dans sa chatte que j’enfonçais facilement tellement elle était ouverte, prête à être remplie. Je m’activais dans mes va et vient, elle était chaude, elle me voulait, enfin ma queue, il me fallait la satisfaire, quand elle dit :
« Claques mes fesses, … j’aime, … » ce que je m’empressais de faire, car aussitôt elle réagissait avec une contraction de ses muscles internes, ce qui était très agréable, et approuvait : « oui, comme ça, … encore, …» Cramponné à ses hanches, son joli cul bien en évidence, elle mit ses mains sur ses fesses et les écarta, me montrant sa rosette : « Arrêtes ma chatte, …prends mon cul, … j’en ai envie, … OOOHHH oui, encules moi, … oui, baises moi fort, … forces mon cul, … je veux te sentir m’enculer, … comme on aime ça, … je me suis préparé pour toi, … oui seulement pour toi, …» Je quittais sa chatte et me positionnant vers son petit trou, je commençais à le lui chauffer : « Rentres, … forces moi, … je veux te sentir, me prendre, … » Je forçais un peu l’entrée quand elle se détendit et je pus ainsi l’investir complètement à son grand plaisir : « Oui, … ooohhh, oui, … continues, … baises moi, … fort, … très fort, … défonces moi, …j’aime quand tu me prends par là, ….j’aime sentir ta queue m’enfoncer par la, …»
Au bout d’un moment, je vis sa main droite lâcher l’oreiller pour aller rejoindre son entrejambe, enfin sa chatte, car elle le disait : « J’aime être prise des deux cotés à la fois » Je préférais qu’elle se masturbe pendant que je la sautais, car je ne me voyais pas la partager avec un autre type, pour une de nos petites sauteries, … La musique n’avait pas cessée et quand elle atteignit sa chatte, celle-ci redoubla : « OOOHHHH, …, oui, …, continues, … j’aime, … baises moi fort, …, très fort, …, ne t’arrêtes pas, … tu vas me faire jouir, …, ouiiiii , …, c’est bon, …, OOOOHHH, …, OOOHHH, … OUIIIII, … plus fort, … OOOOHHH, …, OUIIIII ? …. je JOUIIIIIS, … encore, …, ne t’arrêtes pas, …. OUIIIIII, … ». À son premier spasme, cramponné à ses hanches et collé à son cul, jouissant très fort moi-même, je me vidais d’un seul coup dans son fondement. Un deuxième spasme me coinça, mais dame nature faisant son effet, je me retirais calmement. Quant à Mireille elle s’écroula sur le lit. Après avoir repris son souffle : « Fait moi mon câlin et après il faut que je dorme, demain je vais avoir une tête ! » Elle se calla contre moi et se rendormit rapidement. Un coup d’œil au réveil il était presque trois heures.
Le matin émergeant péniblement, en fait, je fus réveillé par le bruit de la douche. Sachant qu’elle n’aimait pas être vue au saut du lit, Mireille avait du se lever plus tôt pour pouvoir se préparer. J’attendis donc patiemment qu’elle sorte de la salle de bains. Après ses ablutions, elle sortit enveloppée dans une sortie de bains.
Elle riant : « Enfin réveillé ? »
Je saisis la sortie de bains par les deux cotés et attirais l’ensemble vers moi, jusqu’à l’entrainer sur le lit et en profitais pour me mettre sur elle.
Elle : « Arrêtes, … qu’est-ce que tu fais … ?
Moi : « Je vais te faire l’amour, … »
Elle : « Non, … Es-tu fou, … on n’a pas le temps, … »
Moi : « Mais si, … »
Elle était couchée sur le dos et je m’empressais de m’occuper des ses seins.
Elle : « Oui, … fais doucement, … ils sont très sensibles, … »
En effet, ils m’avaient paru plus gonflés que précédemment, ils devaient, certainement, être plus sensibles, comme elle le disait. Je caressais les aréoles à coups de langue, puis je prenais les tétons qui commençaient à pointer, à durcir, …
Elle : « C’est malin, … ooohhh, … lèches les, … j’aime que tu les lèches, … ooohhh, oui, … têtes moi, … ouiiii, … comme ça, … » Passant de l’un à l’autre je les tétais m’en remplissant la bouche, pouvant apprécier leur souplesse et l’excitation que ça entraînait chez ma partenaire. Tout en m’afférant sur sa poitrine, ma main gauche était descendue vers son intimité que je venais de couvrir de ma main. Elle avait déjà écarté les jambes et m’avait ainsi facilité l’accès.
Elle : « Oui, … je t’attendais là, … caresses moi, … tes doigts, … rentres un peu, … je m’ouvre pour toi, … ouiiiii, … prends moi, … fais moi l’amour, … dis le moi, … viens sur moi, … je suis prête, …»
Effectivement je me mettais sur elle, et prenant les choses en mains, elle m’introduisit dans son intimité, qui était accueillante, chaude, trempée, … pour m’aider à la prendre, prenant appui sur ses jambes elle se cambra, ce qui m’aida à la pénétrer complètement. Puis se laissant aller, elle écarta encore les cuisses pour enfin refermer ses jambes sur mon dos, et ainsi positionnée me permettre de la prendre entièrement. Mes va et vient se firent plus régulier et plus fort : « Ouiii, … prends moi fort, … j’aime te sentir me pénétrer, … remplis moi, … c’est bon, … oui baises moi fort, … OOOHHH, … continues, … je sens que ça vient, … je vais jouir, … OUIIII, … remplis moi, … OOOHHH, … OUIIII, … je JUOIIIIS, … » Un peu avant qu’elle prenne son pied je m’étais vidé, mais j’étais resté en elle, ce qui lui avait fait avoir un deuxième spasme de plaisir. Vue son état, je ne voulais pas rester sur elle et je commençais à rouler sue le coté. Mireille me bloqua : « Restes, restes encore un peu, …j’aime te sentir sur moi, … » Enfin elle me laissa partir, me levant je me dirigeais vers la salle de bains pour prendre une douche. Celle-ci terminée, Mireille n’avait pas bougé.
Moi : « Tu viens prendre le petit déjeuner ? »
Elle : « Vas y, je me prépare et je te rejoints »
Effectivement quelques minutes plus tard, elle me rejoignait : petit déjeuner tranquille, mais il me semblait un peu moins enjoué de sa part, mais agréable. On prit nos sacs et pendant que je réglais la note, elle se dirigea vers sa voiture qui était garée a à coté de la mienne. Quand j’arrivais elle était en train de ranger ses affaires dans son coffre, ce qui laissait apparaître une belle paire de fesses, bien arrondie, bien rebondies. Idée idiote, je passais derrière elle et en profitais pour lui caresser, avec insistance son joli cul. De plus je me collais et me frottais à elle, ce qui enclencha une réaction très positive au niveau de ma braguette, il s’en suivit un genre de réactions en chaine. … Remontant la jupe de sa robe, je découvrais, malgré quelques protestations peu énergiques, ses fesses. Et soudain : « Qu’est-ce que tu fais »
Moi : « Je profite de ce que tu mets en évidence »
Elle : « Arrêtes, …tu ne vas pas commencer, … »
Moi : « C’est pourtant tentant et te connaissant c’est une provocation »
Elle se releva et ce collant contre moi :
Elle : « T’as l’esprit tordu »
Moi : « Je maintiens … c’est volontaire, … tu es quand même, … » et elle me coupa la parole
Elle : « …Quand même une belle salope, … c’est ce que tu voulais dire … mais c’est ce que tu aimes en moi, … la salope qui ne dit jamais non, … qui fait ce que tu veux, … qui s’ouvre à toi, … et qui va, sans honte, jusqu’à te relancer, … qui s’ouvre quand tu le veux, … »
Pour la faire taire, je ne connaissais qu’une seule méthode, lui coller mes lèvres sur les siennes et la serrer très très fort, c’est ce que je fis. Nos lèvres se retrouvèrent, nos langues se caressèrent et son ventre se frotta avec insistance sur la bosse de ma braguette. L’ayant fait taire, je reprenais :
Moi : « Tu aimes te faire passer pour une salope, ça t’excite, comme le fait que je vais te prendre ici, je suis sur que tu mouilles, … »
Elle : « Non, tu exagères, … arrêtes, … »
Moi : « Mais non, tournes toi, … et relèves ta jupe, que je vois ton beau cul, … »
Elle, en se tournant : « Non, … tu ne vas pas, … »
Moi : « Mais si, relèves ta jupe, … penches toi en avant je vais te caresser la chatte et le cul, … je suis sur que t’es toute mouillée, simplement à l’idée de montrer ton joli cul, …»
En soulevant sa jupe : « Non, … s’il te plait, ... pas ici, … »
Alors que son fessier était pratiquement dénudé je glissais une main vers son intimité qui ne portait aucune protection, ce qui me laissait à penser qu’une telle option avait été, sinon préparée, peut-être envisagée ou du moins espérée. La chaleur, l’humidité de sa chatte ainsi que l’ouverture, légère mais réelle de ses cuisses qui venait de s’opérait, m’indiquait que je devrais être le bienvenue de m’occuper de son intimité. Alors que ma main prenais possession de sa chatte elle réagit :
Elle : « OOOOHHH, …non, … OOOHHHH, …»
Moi : « Dis que tu aimes que je te caresse la chatte, … je vais prendre ton minou et ton petit trou avec mes doigts, … puis quand tu seras ouverte, je vais te baiser, … d’ailleurs tu n’attends que ça, … ça t’excite, … »
Elle : « Non, … Oui, … arrêtes pas ici,… OOOHHH tu m’excites, … oui rentres, … je suis à toi, … j’aime être ta salope … oui, … oooohhh, … j’aime, … »
Moi : « Dis moi que tu veux que je te prenne, … que je te baise, … »
Elle : « Oui, … prends moi, ... baises moi, … j’en ai tant envie, … ça m’excite que tu me prennes ici, … OOOHHHH, oui, … viens, … »
De plus la respiration s’était accélérée et elle était toute chaude, quant à moi, je bandais dur je décidais de passer à l’action, de baisser tout, pantalon caleçon et sortait ma queue que je positionnais au niveau de sa chatte que je commençais à caresser avec mon gland pour ’humidifier et le préparer à investir ma partenaire qui sentant la chose s’approcher dit : « Non, … tu es fou, … pas ça ici, … on va nous voir, … arrêtes, … »
Alors que je faisais fie des ses faibles protestations je m’enfonçais en elle d’un fort coup de rein.
Elle : « OOOHH, …non, … oui, … viens pends moi, … tu es content, … c’est bon, …oui, … fais moi jouir, … »
Donc je commençais une série de va et vient rapides car non seulement on ne pouvait pas s’éterniser à ce petit jeu et la pression montait sérieusement et elle devenait de plus en plus exigeante : « Ouiiiii, … continues, … dis moi que je suis ta salope, … dis moi que t’aimes me baiser, … OOOHHH, … c’est bon, …, » et je lui claquais les fesses et sa réaction fut rapide ses muscles internes me serrant la queue et : « Salaud, … j’aime, … ne t’arrêtes pas, … ça vient, … continues, … retiens toi, … je vais jouir, … OUIIII, …. OOOHHH , … OUIIIII, … je JUOIIIIIIS, …. OOOHHH, … »
Au premier OOOH, je m’étais vidé, à son deuxième spasme j’étais resté cramponné à ses hanches ne pouvant, avec le traitement de la nuit, rêver que de faire encore illusion. Elle s’était enfin relevée et se collant contre moi : « C’était bon, …j’ai aimé, …à moi, … je veux te gouter, …» et elle s’accroupit et prenant mon sexe dans la main elle commença à me caresser puis se mit à me lécher la hampe, le gland pour enfin me prendre en bouche avec un soupir de satisfaction. La chose commençait à reprendre vie quand elle s’arrêta pour me dire : « j’aime te sucer après l’amour, … j’aime le goût de notre plaisir mélangé, … Je vais te faire jouir, … »
Et elle se mit au travail, et il faut dire elle était très doué à ce jeux de langue et de bouche.
Elle : « J’aime te sentir grossir et devenir dur dans ma bouche, … »
Et bientôt elle avait réussi à me faire bander et se mettant à me pomper avec énergie, je lui délivrais, difficilement, les quelques et dernières gouttes de plaisir qu’il me restait.
Et se redressant et tout sourire avant de se coller à moi et de m’embrasser : « Je crois que tu m’as tout donné, … »
Moi : « Tu es adorable, … tu peux être fière de toi, … »
Elle : « J’ai passé une excellente nuit, … tu m’as comblée, … Toi à Bordeaux, moi ici et dans mon état, je pense que l’on ne se verra pas avant plusieurs mois, … mais grâce à toi, j’ai des souvenirs pour ces mois à venir, … embrasses moi, avant que je dises des bêtises, … et pars rapidement, … »
Un tendre baiser, … et je partais, … un peu triste, ... mais, ...

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!