Ça C'Est Passé Simplement 10
Jeudi 5 mars 1987
Tous les chefs dagence de la nouvelle région sud ouest, étions convoqués ce jour, à Limoges, pour une réunion dinformation à 9,00 h. Jarrivais vers 8,00 h, connaissant tout le monde, je voulais saluer tous mes anciens collaborateurs, femmes et hommes.
Entre autres, revoir Mireille, après sa
disons, fuite de Poitiers. Une réorganisation des bureaux avait fait que Mireille avait pris du galon et un bureau, seule. Tout le monde semblait contents de me revoir, et la seule réflexion vint de Mireille qui dit : « Tu est arrivé hier ? Et tu nas pas demandé à ce quon te réserve une chambre »
Moi : « Non, je navais pas lintention de me retrouver avec les collègues et parler de boulot toute la soirée, alors que lon ne va faire que ça aujourdhui. »
Elle : « Ah oui, le Lion dor, tu as raison, bon courage pour la réunion, mais tu aurais pu me le dire ! »
Donc 9,00 h début, 10,30 h pause café, 11,00 h reprise jusquà 12,30 h. Puis déjeuner et reprise à 14,30 h, jusquà 16,00 h pause et discussion par groupes jusquà 18,30 h, fin des réjouissances. Chacun est libre. Pour ma part, je file à mon hôtel. Me gare dans le parking arrière, le coffre contre la haie. Je réintègre ma chambre prends connaissances des messages envoyés et 19,30 h je suis installé au restaurant à moffrir un apéritif, bien mérité, avant de diner, quand jentendis un bruit de talons annonçant larrivée de Mireille
Elle : « Je peux »
Un peu surpris de la voir devant moi. Evidemment jacceptais. Elle était vêtue dune robe blouse, on appelait, aussi, ces robes des sahariennes, qui, me semblait, ne cachait pas une certaine rondeur au niveau du ventre : « Oui bien sur, mais,
»
Elle : « Oui, comme tu vois je suis enceinte, ça commence à se voir. »
Moi : « OH,
»
Elle : « Ne tinquiètes pas, tu ny est pour rien, (et riante)
tu es soulagé, ... »
Moi : « Je nai rien vue ce matin,
félicitations,
je toffre un apéritif »
Elle : « Oui,
pourquoi pas.
Moi : « Oh,
dis donc ; la dernière fois tu mas laissé une carte, de mémoire : Je tembrasse, adieu »
Elle : « Cest presque complet, mais,
»
Moi : « Déjà, après le pot de départ, tu avais disparu »
Elle : « Tu raison, mais je suis revenu chaque fois,
il faut comprendre
»
Moi : « Daccord, mais cest un peu compliqué, tu ne trouves pas ? Tant quon y est tu pourrais diner avec moi ? » Après avoir accepté ma proposition, fort intéressée, elle reprit sa conversation intime.
Elle : « Quand je suis arrivé à la société, tétais le chef, et déjà reconnu comme tel. Avec les gars des travaux les rapports étaient bons. Pour nous Béa, Annick et moi, nous étions la standardiste, la secrétaire,
tu étais courtois, poli,
nous étions, je dirais
transparentes. Dun coté cétait bien dun autre un peu frustrant. Puis tu es parti au Chili, je crois, puis tes revenu et on te voyait le lundi et des fois le vendredi, entre temps absent. Puis un soir, par hasard, on sest retrouvé à Royan. Javais toujours eu limpression que tu voyais la comptable pas la femme, ce soir là, jai voulu voir si tu voyais la femme et aussi mamuser à
disons, te piéger, te draguer. Le résultat na pas été ce qui était prévu, mais ça a été merveilleux et stressant.
Moi : « Ainsi cétait ça, tu voulais me piéger. Bravo tu mas bien piégé, pour moi sans regret »
Elle : « Pour cela oui, mais je ne me suis par rendu compte que je métais piégé moi aussi, toute seule »
Moi : « Pourquoi, tavais eu ce que voulais à savoir que tu nétais pas transparente,
bien au contraire » (rire)
Elle : « Pour ne plus être transparente, je ne me sentais plus transparente, cest vrai, javais couché avec toi. Ce qui, au départ, nétait pas prévu dans mon programme, ça devait être disons un flirt,
un peu poussé peut-être,
mais pas plus. Après je me suis traité de tous les noms, en me jurant que cette aventure serait sans lendemain,
Je naurais pas du me laisser aller à faire ce que jai fait,
mais en fait je ne pensais quà ça et jespérais que lon se reverrait, ce qui dailleurs ne faisait que ménerver
Jai voulu me prouver que ce nétait quun accident, une passade, une envie soudaine qui passerait et jétais certaine,
je me le prouverais .
Pendant ce dialogue, un peu fou, javais mis ma main sur la sienne et son escarpin était venu côtoyer mon mocassin
Moi : « Mais pourquoi disparaître ? »
Elle : « Je ne voulais pas être là quand tu es parti,
jétais triste et je me suis juré que cétait fini et bien fini,
que je ne me laisserais plus aller,
puis il y a eu cette réunion et,
jespérais que tu me retrouverais,
je tattendais,
je te désirais,
javais envie de toi,
je voulais moffrir à toi,
»
Moi : « Même question »
Elle : « Arrêtes de poser des questions,
toute honte bue,
je viens te relancer maintenant,
je me conduis comme une salope,
et le qualificatif est faible,
je suis complétement folle,
mais jai envie de toi,
je te veux,
et dans mon état, je ne sais pourquoi,
jai encore plus envie de toi,
jai envie de me coucher et de mouvrir à toi,
jai envie que tu me prennes,
je sens ta place en moi,
tu veux une anecdote,
»
Moi : « Oui, bien sur »
Elle : « Pour la grande réunion je voulais macheter une robe un peu plus seyante. Quand jétais au magasin après plusieurs essais, la vendeuse me propose le tailleur que tu connais, il était nettement au dessus de mon prix,
jallais le dire à la vendeuse, quand je tai imaginé,
me regardant,
jétais paralysée,
et je lai acheté,
simplement en espérant que tu me verrais
que tu aurais envie de moi, car moi,
je deviens, quand tu es là, je deviens irresponsable,
»
Moi : « OK, tu avais bien fait de lacheter, tu était parfaite,
Jai adoré être piégé par toi, tu restes cette nuit,
je viens avec toi chercher ton bagage »
Ce nétait même pas une question, de ma part, cétait une constatation, une affirmation, elle ne dit rien, cétait dans lordre des choses.
Nous partîmes à sa voiture, qui était garée à coté de la mienne. Avant quelle nouvre son coffre je lattrapais et la prenant dans mes bras, je lembrassais, elle se colla à moi et ainsi collé lun à lautre nos lèvres se retrouvèrent et nos langues reprirent leurs caresses humides, mais passionnées.
Moi : « Déboutonnes ta robe » sans hésiter elle se recula et défit quelques boutons, au bon endroit, sous sa ceinture. Elle avait deviné ce que je voulais faire. Ainsi en passant pas louverture pratiquée, je pouvais atteindre son intimité, ce qui fut dautant plus facile quarrivée à son entrejambe quelle écarta légèrement les cuisses. Et comme elle était nue, son minou fut facilement recouvert de ma main et cela entraina un : « OH,
oui,
cest bon,
profites,
oui je suis à toi,
jétais si inquiète,
caresses moi un petit peu,
que je sache que tu es là,
» Et pour aider, elle avait avancé son bassin et ouvert le compas de ses jambes.
Moi : « Tu tétais préparée,
»
Elle : « Oui,
jespérais,
tu le sais,
jattendais,
je sais ce que tu veux,
ce que tu aimes,
inconsciemment je le fais,
mais tais-toi,
rentres,
jai envie de toi,
si tu continues, tu vas me faire jouir,
ça mexcite de faire ça ici, , je suis à toi,
, on devrait aller dans ta chambre pour être tranquille,
je te veux,
arrêtes je sens ta place,
»
Puis se détachant de moi, elle ouvrit son coffre et se pencha pour prendre son sac, mettant volontairement ou involontairement son joli cul en valeur. Je ne pus résister à lui bien caresser en lui disant : « Ton joli cul est toujours aussi bandant »
Elle : « Tu le veux,
fais moi bien lamour,
tu lauras,
jaime que tu dises quil te plait,
jaime que tu me prennes par là,
comme je sais que nous aimons,
je me prépare toujours,
»
Pendant que je glissais la main sous sa jupe et remontais vers son joli cul « Ecartes les cuisses que je caresses ton joli cul et ton petit trou,
Ne bouges pas
»
Sans hésitation elle écarta légèrement les cuisses et jatteignis sa chatte, qui semblait shumidifier encore plus.
Cela fait je métais arrêté, pensant que déjà chaude, je lavais encore bien chauffée et quelle serait à point et surtout libérée, quand nous serions dans la chambre.
Nous nous sommes rendu dans ma chambre et à peine arrivée, on reprit une partie de lèche museau, accompagnée dun corps à corps, où elle reprit sa danse du diable. Je la poussais sur le lit et entreprit de déboutonner sa robe en commençant par le bas, alors quelle déboutonnait le haut. A peine entièrement dénudée, écartant largement les cuisses dit : « Viens
regardes, cest à toi,
je suis à toi,
je suis toute chaude,
oui, viens,
je tattends,
» Effectivement je plongeais entre ses cuisses pour me saouler de son odeur, et gouter à son jus de plaisir. Ses grosses lèvres étaient gonflées de désir et elles semblaient souvrir accueillantes à mes lèvres et à ma langue, qui léchait son sillon, et sa petite musique se mit rapidement en route. « Oui,
prends moi avec ta langue, tes doigts,
je veux te sentir rentrer,
ouiiii, comme ça,
oui, baises moi avec tes doigts,
» Cétait ce que je faisais. Mais pour ajouter à son plaisir, pendant que ma langue soccupait activement de sa chatte javais humidifié mes doigts et jentrepris de caresser, denfoncer, de pénétrer doucement sa rosette et : « Ouiiii,
jaime que tu me prennes des deux cotés,
OOOHHHH,
cest bon,
continues,
» et pour accen la pénétration elle se cambra légèrement avec : « Oui, .., cest bon,
, continues,
» Javais une trique importante et il était temps quelle prenne la place de ma langue et de mes doigts, mais quand jenvisageais cette possibilité, Mireille manifesta son désaccord en me disant dans un souffle excité : « Non,
tu me prendras plus tard,
finis moi comme ça,
, cest si bon,
, ne tinquiètes pas,
, tu auras tout ce que tu veux,
mais ne tarrêtes pas,
je sens que ça vient,
, OUIIII, ça vient,
, je vais jouir,
continues, JE JUOUIIIIIIS,
. OOOOHHH,
OUIIII,
OOOOHHHH,
, OUIIII,
continues,
. OUIIIII ,
. » Ses cuisses sétaient refermées sur ma tête, elle sétait cambrée en pleine jouissance et elle coulait généreusement. Puis elle se décontracta et saplatit sur le lit, le souffle court, essoufflée. Elle mit quelques minutes à retrouver ses esprits, et se retournant vers moi, « Cétait bon,
tu sais comment me faire jouir,
me rendre heureuse, et me satisfaire
tes un amour,
je vais moccuper de toi,
comme tu aimes, .. » Sans hésiter elle glissa vers le pied du lit et voyant ma trique : « OOOHH, cest du sérieux, ... je men occupe,
» et me prenant en main, ou plutôt entre le bout de ses doigts, elle commença à grands coups de langue à me lécher le gland, puis la tige, avant de me faire passer dans lanneau de ses lèvres pour enfin mavaler complètement et me pomper avec énergie. Mais jétais tellement sous pression quil ne fallut pas de nombreux aller et retour pour que je la prévienne que jallais tout lâcher dans sa bouche. A peine prévenue elle ne fit quaugmenter le rythme et ce qui devait arriver arriva, je lâchais tout. En avalant la première giclée, elle émit un grognement de plaisir, mais ne cessa pas, pour autant, de pomper, ce qui entraina une deuxième giclée, plus petite, mais qui me soulagea dautant. Elle remonta et se collant sur moi : « Jaime toujours autant te sucer,
et toi,
»
Force était de lui dire : « Tu es une suceuse merveilleuse, jai toujours beaucoup aimé ta façon de faire »
Elle : « Tu vois, ça valait le coup dattendre,
mais maintenant je pense quon devrait dormir » et elle se retourna, je me callais derrière elle, la main gauche lui tenant un sein et une de mes jambes entre les siennes, la queue coincée dans son entrejambe. Elle ne mit pas longtemps à sendormir, je nétais pas entièrement rassasié. Si la pipe quelle mavait faite avait été une petite merveille, jaurais bien aimé, malgré tout, la sauter, mais bon. En fait je me consolais en pensant quau matin, il serait possible de remettre le couvert, lespoir fait vivre, dans ce cas, il me fit dormir.
Vers le milieu de la nuit, je me réveillais avec deux choses : une forte soif, on navait pourtant pas bu au diner et une belle trique. Je me levais aussi délicatement que possible, mais cela nempêcha pas Mireille de se réveiller avec une voix ensommeillée : « Cest déjà lheure ? » et elle alluma la lumière du chevet.
Moi : « Non, jai soif, je vais prendre un verre deau »
Elle : « Donnes men un aussi »
Buvant son verre deau, Mireille saperçu que je bandais sérieusement et : « Tu mas lair en pleine forme,
tu naurais pas des idées,
cest ça qui ta réveillé ?
»
Elle était assise sur le lit et jétais debout en face delle.
Moi : « Je pense que tu pourrais certainement faire quelque chose ? »
Elle était, enfin, parfaitement réveillée et me regardant en souriant : « Oui,
effectivement,
» et sans hésiter après quelques coups de langues sur le gland, elle me prit goulument en bouche et commença à me pomper après quelques aller et retour, je tenais une forme olympique, même si ce quelle faisait était fort agréable, je voulais sa chatte, je voulais la sauter : « Arrêtes,
»
Elle : « Tu naimes pas ? »
Moi : « Si beaucoup,
mais je veux te faire lamour, .., te baiser,
tu comprends,
te sauter,
et je suis sur que ten as envie,
Elle : « Oui,
jespérais que tu le dirais,
viens,
jattendais ça,
jen ai envie,
»
Elle se retourna et se mettant en levrette, la tête dans loreiller, le cul offert
Elle : « Oui,
viens,
montes moi,
je veux te sentir me monter,
cest à toi,
»
Je me présenter à son intimité, Mireille me guida dans sa chatte que jenfonçais facilement tellement elle était ouverte, prête à être remplie. Je mactivais dans mes va et vient, elle était chaude, elle me voulait, enfin ma queue, il me fallait la satisfaire, quand elle dit :
« Claques mes fesses,
jaime,
» ce que je mempressais de faire, car aussitôt elle réagissait avec une contraction de ses muscles internes, ce qui était très agréable, et approuvait : « oui, comme ça,
encore,
» Cramponné à ses hanches, son joli cul bien en évidence, elle mit ses mains sur ses fesses et les écarta, me montrant sa rosette : « Arrêtes ma chatte,
prends mon cul,
jen ai envie,
OOOHHH oui, encules moi,
oui, baises moi fort,
forces mon cul,
je veux te sentir menculer,
comme on aime ça,
je me suis préparé pour toi,
oui seulement pour toi,
» Je quittais sa chatte et me positionnant vers son petit trou, je commençais à le lui chauffer : « Rentres,
forces moi,
je veux te sentir, me prendre,
» Je forçais un peu lentrée quand elle se détendit et je pus ainsi linvestir complètement à son grand plaisir : « Oui,
ooohhh, oui,
continues,
baises moi,
fort,
très fort,
défonces moi,
jaime quand tu me prends par là,
.jaime sentir ta queue menfoncer par la,
»
Au bout dun moment, je vis sa main droite lâcher loreiller pour aller rejoindre son entrejambe, enfin sa chatte, car elle le disait : « Jaime être prise des deux cotés à la fois » Je préférais quelle se masturbe pendant que je la sautais, car je ne me voyais pas la partager avec un autre type, pour une de nos petites sauteries,
La musique navait pas cessée et quand elle atteignit sa chatte, celle-ci redoubla : « OOOHHHH,
, oui,
, continues,
jaime,
baises moi fort,
, très fort,
, ne tarrêtes pas,
tu vas me faire jouir,
, ouiiiii ,
, cest bon,
, OOOOHHH,
, OOOHHH,
OUIIIII,
plus fort,
OOOOHHH,
, OUIIIII ?
. je JOUIIIIIS,
encore,
, ne tarrêtes pas,
. OUIIIIII,
». À son premier spasme, cramponné à ses hanches et collé à son cul, jouissant très fort moi-même, je me vidais dun seul coup dans son fondement. Un deuxième spasme me coinça, mais dame nature faisant son effet, je me retirais calmement. Quant à Mireille elle sécroula sur le lit. Après avoir repris son souffle : « Fait moi mon câlin et après il faut que je dorme, demain je vais avoir une tête ! » Elle se calla contre moi et se rendormit rapidement. Un coup dil au réveil il était presque trois heures.
Le matin émergeant péniblement, en fait, je fus réveillé par le bruit de la douche. Sachant quelle naimait pas être vue au saut du lit, Mireille avait du se lever plus tôt pour pouvoir se préparer. Jattendis donc patiemment quelle sorte de la salle de bains. Après ses ablutions, elle sortit enveloppée dans une sortie de bains.
Elle riant : « Enfin réveillé ? »
Je saisis la sortie de bains par les deux cotés et attirais lensemble vers moi, jusquà lentrainer sur le lit et en profitais pour me mettre sur elle.
Elle : « Arrêtes,
quest-ce que tu fais
?
Moi : « Je vais te faire lamour,
»
Elle : « Non,
Es-tu fou,
on na pas le temps,
»
Moi : « Mais si,
»
Elle était couchée sur le dos et je mempressais de moccuper des ses seins.
Elle : « Oui,
fais doucement,
ils sont très sensibles,
»
En effet, ils mavaient paru plus gonflés que précédemment, ils devaient, certainement, être plus sensibles, comme elle le disait. Je caressais les aréoles à coups de langue, puis je prenais les tétons qui commençaient à pointer, à durcir,
Elle : « Cest malin,
ooohhh,
lèches les,
jaime que tu les lèches,
ooohhh, oui,
têtes moi,
ouiiii,
comme ça,
» Passant de lun à lautre je les tétais men remplissant la bouche, pouvant apprécier leur souplesse et lexcitation que ça entraînait chez ma partenaire. Tout en mafférant sur sa poitrine, ma main gauche était descendue vers son intimité que je venais de couvrir de ma main. Elle avait déjà écarté les jambes et mavait ainsi facilité laccès.
Elle : « Oui,
je tattendais là,
caresses moi,
tes doigts,
rentres un peu,
je mouvre pour toi,
ouiiiii,
prends moi,
fais moi lamour,
dis le moi,
viens sur moi,
je suis prête,
»
Effectivement je me mettais sur elle, et prenant les choses en mains, elle mintroduisit dans son intimité, qui était accueillante, chaude, trempée,
pour maider à la prendre, prenant appui sur ses jambes elle se cambra, ce qui maida à la pénétrer complètement. Puis se laissant aller, elle écarta encore les cuisses pour enfin refermer ses jambes sur mon dos, et ainsi positionnée me permettre de la prendre entièrement. Mes va et vient se firent plus régulier et plus fort : « Ouiii,
prends moi fort,
jaime te sentir me pénétrer,
remplis moi,
cest bon,
oui baises moi fort,
OOOHHH,
continues,
je sens que ça vient,
je vais jouir,
OUIIII,
remplis moi,
OOOHHH,
OUIIII,
je JUOIIIIS,
» Un peu avant quelle prenne son pied je métais vidé, mais jétais resté en elle, ce qui lui avait fait avoir un deuxième spasme de plaisir. Vue son état, je ne voulais pas rester sur elle et je commençais à rouler sue le coté. Mireille me bloqua : « Restes, restes encore un peu,
jaime te sentir sur moi,
» Enfin elle me laissa partir, me levant je me dirigeais vers la salle de bains pour prendre une douche. Celle-ci terminée, Mireille navait pas bougé.
Moi : « Tu viens prendre le petit déjeuner ? »
Elle : « Vas y, je me prépare et je te rejoints »
Effectivement quelques minutes plus tard, elle me rejoignait : petit déjeuner tranquille, mais il me semblait un peu moins enjoué de sa part, mais agréable. On prit nos sacs et pendant que je réglais la note, elle se dirigea vers sa voiture qui était garée a à coté de la mienne. Quand jarrivais elle était en train de ranger ses affaires dans son coffre, ce qui laissait apparaître une belle paire de fesses, bien arrondie, bien rebondies. Idée idiote, je passais derrière elle et en profitais pour lui caresser, avec insistance son joli cul. De plus je me collais et me frottais à elle, ce qui enclencha une réaction très positive au niveau de ma braguette, il sen suivit un genre de réactions en chaine.
Remontant la jupe de sa robe, je découvrais, malgré quelques protestations peu énergiques, ses fesses. Et soudain : « Quest-ce que tu fais »
Moi : « Je profite de ce que tu mets en évidence »
Elle : « Arrêtes,
tu ne vas pas commencer,
»
Moi : « Cest pourtant tentant et te connaissant cest une provocation »
Elle se releva et ce collant contre moi :
Elle : « Tas lesprit tordu »
Moi : « Je maintiens
cest volontaire,
tu es quand même,
» et elle me coupa la parole
Elle : «
Quand même une belle salope,
cest ce que tu voulais dire
mais cest ce que tu aimes en moi,
la salope qui ne dit jamais non,
qui fait ce que tu veux,
qui souvre à toi,
et qui va, sans honte, jusquà te relancer,
qui souvre quand tu le veux,
»
Pour la faire taire, je ne connaissais quune seule méthode, lui coller mes lèvres sur les siennes et la serrer très très fort, cest ce que je fis. Nos lèvres se retrouvèrent, nos langues se caressèrent et son ventre se frotta avec insistance sur la bosse de ma braguette. Layant fait taire, je reprenais :
Moi : « Tu aimes te faire passer pour une salope, ça texcite, comme le fait que je vais te prendre ici, je suis sur que tu mouilles,
»
Elle : « Non, tu exagères,
arrêtes,
»
Moi : « Mais non, tournes toi,
et relèves ta jupe, que je vois ton beau cul,
»
Elle, en se tournant : « Non,
tu ne vas pas,
»
Moi : « Mais si, relèves ta jupe,
penches toi en avant je vais te caresser la chatte et le cul,
je suis sur que tes toute mouillée, simplement à lidée de montrer ton joli cul,
»
En soulevant sa jupe : « Non,
sil te plait, ... pas ici,
»
Alors que son fessier était pratiquement dénudé je glissais une main vers son intimité qui ne portait aucune protection, ce qui me laissait à penser quune telle option avait été, sinon préparée, peut-être envisagée ou du moins espérée. La chaleur, lhumidité de sa chatte ainsi que louverture, légère mais réelle de ses cuisses qui venait de sopérait, mindiquait que je devrais être le bienvenue de moccuper de son intimité. Alors que ma main prenais possession de sa chatte elle réagit :
Elle : « OOOOHHH,
non,
OOOHHHH,
»
Moi : « Dis que tu aimes que je te caresse la chatte,
je vais prendre ton minou et ton petit trou avec mes doigts,
puis quand tu seras ouverte, je vais te baiser,
dailleurs tu nattends que ça,
ça texcite,
»
Elle : « Non,
Oui,
arrêtes pas ici,
OOOHHH tu mexcites,
oui rentres,
je suis à toi,
jaime être ta salope
oui,
oooohhh,
jaime,
»
Moi : « Dis moi que tu veux que je te prenne,
que je te baise,
»
Elle : « Oui,
prends moi, ... baises moi,
jen ai tant envie,
ça mexcite que tu me prennes ici,
OOOHHHH, oui,
viens,
»
De plus la respiration sétait accélérée et elle était toute chaude, quant à moi, je bandais dur je décidais de passer à laction, de baisser tout, pantalon caleçon et sortait ma queue que je positionnais au niveau de sa chatte que je commençais à caresser avec mon gland pour humidifier et le préparer à investir ma partenaire qui sentant la chose sapprocher dit : « Non,
tu es fou,
pas ça ici,
on va nous voir,
arrêtes,
»
Alors que je faisais fie des ses faibles protestations je menfonçais en elle dun fort coup de rein.
Elle : « OOOHH,
non,
oui,
viens pends moi,
tu es content,
cest bon,
oui,
fais moi jouir,
»
Donc je commençais une série de va et vient rapides car non seulement on ne pouvait pas séterniser à ce petit jeu et la pression montait sérieusement et elle devenait de plus en plus exigeante : « Ouiiiii,
continues,
dis moi que je suis ta salope,
dis moi que taimes me baiser,
OOOHHH,
cest bon,
, » et je lui claquais les fesses et sa réaction fut rapide ses muscles internes me serrant la queue et : « Salaud,
jaime,
ne tarrêtes pas,
ça vient,
continues,
retiens toi,
je vais jouir,
OUIIII,
. OOOHHH ,
OUIIIII,
je JUOIIIIIIS,
. OOOHHH,
»
Au premier OOOH, je métais vidé, à son deuxième spasme jétais resté cramponné à ses hanches ne pouvant, avec le traitement de la nuit, rêver que de faire encore illusion. Elle sétait enfin relevée et se collant contre moi : « Cétait bon,
jai aimé,
à moi,
je veux te gouter,
» et elle saccroupit et prenant mon sexe dans la main elle commença à me caresser puis se mit à me lécher la hampe, le gland pour enfin me prendre en bouche avec un soupir de satisfaction. La chose commençait à reprendre vie quand elle sarrêta pour me dire : « jaime te sucer après lamour,
jaime le goût de notre plaisir mélangé,
Je vais te faire jouir,
»
Et elle se mit au travail, et il faut dire elle était très doué à ce jeux de langue et de bouche.
Elle : « Jaime te sentir grossir et devenir dur dans ma bouche,
»
Et bientôt elle avait réussi à me faire bander et se mettant à me pomper avec énergie, je lui délivrais, difficilement, les quelques et dernières gouttes de plaisir quil me restait.
Et se redressant et tout sourire avant de se coller à moi et de membrasser : « Je crois que tu mas tout donné,
»
Moi : « Tu es adorable,
tu peux être fière de toi,
»
Elle : « Jai passé une excellente nuit,
tu mas comblée,
Toi à Bordeaux, moi ici et dans mon état, je pense que lon ne se verra pas avant plusieurs mois,
mais grâce à toi, jai des souvenirs pour ces mois à venir,
embrasses moi, avant que je dises des bêtises,
et pars rapidement,
»
Un tendre baiser,
et je partais,
un peu triste, ... mais, ...
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