Collection Zone Rouge. La Machination (1/1)
Si lauteur Chris71 ma proposé de classer mon histoire dans sa « collection zone rouge » cest quaprès lui avoir conté ma vie, il lui a été impossible de trouver une autre « Collection ».
Impossible, « cocu » je lai été, « candaulisme » une autre la été, « soumis » je le suis depuis ma naissance, « tabou », mon histoire y touche, « blond », incontestablement.
Et surtout, je suis « fou de cul », cest pour cela que, d'un commun accord, nous la classons dans la « COLLECTION ZONE ROUGE ».
Ce sera à vous de nous dire si notre choix a été le bon.
Quand je lui ai raconté mon histoire, jai été un peu confus dans mes explications.
Comment résumer une grande partie de sa vie et surtout pendant cette vie, ce que jai subi, pardon accepté de subir en quelques lignes ?
Chris71 comme il me la promis, menvoie la première mouture de mon histoire, non de ma vie.
La naissance de Christophe, cest moi, pourrait être le début de mon histoire.
Cest normal, quand maman Agathe a écarté ses cuisses pour accoucher, jétais là sans être là !
Quand jai pointé mon joli petit nez regardant péter les anges, ma vie était déjà tracée.
Bien sûr, jai bien un géniteur fournisseur de sperme à maman, mais toute ma vie il sest bien caché.
Comme de nombreux pères, maman ma toujours dit quil avait fui le jour où il avait su quelle mattendait.
Ma naissance jusquà mon mariage avec Corinne jeune femme blonde de 25 ans, étant la masseuse de maman a été étrange.
Elle venait tous les jours et sisolait dans la chambre de maman où elle avait fait installer une table de massage.
« Collection Blonde » car les deux femmes étaient « blondes », mais à ce moment de mon histoire, cela était hors du sujet.
Même si étant dans le complexe ddipe, jusquà lâge de 18 ans où jai été intéressé par les femmes, ce sont toujours des blondes que je regardais.
Tiens en passant, Chris71 aurait pu classer mon histoire dans sa « collection puceau », mais comme Corinne était loin de lêtre, nous avons renoncé.
Une nouvelle fois, je mavance à ce moment je lignore encore.
Allez, lançons-nous, au plus loin de ma mémoire, maman ma toujours caché si elle avait des hommes dans sa vie pourtant, elle sortait tous les samedis soir.
Au début, une jeune étudiante venait me garder, elle me couchait à 9 heures tapantes.
Quand je me réveillais, elle était partie et maman était dans notre cuisine en peignoir à me préparer mon chocolat chaud avec ma tartine beurrée.
Une mère parfaite pour le petit garçon que jétais.
Oui, il y a bien eu un soir, plutôt une nuit où jai eu envie de faire pipi.
Jétais propre, même la nuit depuis quelques semaines, je devais avoir au moins sept à huit ans.
Bon, je vais être franc, est-ce labsence de père, jai fait pipi dans mes draps, passé sept ans.
Cette nuit-là, jai vu de la lumière sous la porte de la chambre de maman et des bruits indéfinis me parvenant inconnus à cette époque.
Cest pour cela que lorigine de ces bruits je les avais oubliés ainsi que mon âge exact dans ces années-là.
Javais 12 ans quand jai demandé puérilement à maman ce quelle faisait quand elle sortait le samedi.
À partir de là son comportement a changé.
Elle était toujours aussi belle, mais devenait de plus en plus suspicieuse.
Cest le jour de mon anniversaire le douzième donc, quelle ma dit que jétais assez grand pour me garder tout seul.
Elle me donnait un livre après mavoir couché, javais le droit de lire une heure.
Javais un peu peur, mais jétais fière quelle me fasse confiance.
Ces samedis, elle était toujours élégante, suivant les saisons, ses tenues étaient plus ou moins légères.
Mais, même lhiver, son chemisier quand elle se penchait, me montrait sa vallée profonde, jétais amoureux des seins maternels.
Il paraît quun grand nombre de garçons le sont et ça me paraissait normal, sans me poser plus de questions.
Cest à lâge de 14 ans quun soir dans un livre choisi à la bibliothèque que jai découvert des passages un peu chauds.
Ce soir-là, jai bandé pour la première fois en étant réveillé.
Encore mieux, dans la nuit, mon cerveau a revu les images que je métais faite pendant que je lisais et jai éjaculé dans mon pyjama et mes draps.
Au matin, maman était là dans sa cuisine et a vu le massacre sur mon pyjama.
Elle ma pris dans ses bras et ma donné le plus gros baiser jamais donné, moi qui pensais avoir fait pipi au lit, jen ai été très étonné.
Ces sorties du samedi ont continué, javais 18 ans quand pour la première fois le matin quand je suis allé dans la cuisine, elle brillait par son absence.
Elle est arrivée vers onze heures, pimpante, seul le chignon dans ses cheveux avait lair davoir été remis en place.
À partir de ce jour, ses retards devenaient de plus en plus fréquents.
Elle faisait sa vie, mais voulait que la mienne soit consacrée à mes études.
Je connaissais son métier, elle était juge au tribunal de notre ville le restant de la semaine.
Je voulais embrasser la même carrière et je lai réalisée.
Il était rare que je sorte étudiant le maximum du temps et bien sûr une fois que jétais seul, pendant mes soirées je me masturbais.
Tout ceci a duré jusquà mon mariage avec Corinne, je remplissais de nombreux mouchoirs en papier que je jetais dans les toilettes.
Ma seule distraction pendant tout ce temps, cétait le jogging que je faisais tous les dimanches après-midi avec maman dans le parc de notre ville.
Je dois reconnaître quil marrivait fréquemment de la laisser prendre un peu davance pour regarder ses fesses.
Son cul, ses seins, elle me fascinait, mais je respectais les conventions et loin de moi lidée de me tromper et de rentrer dans sa chambre ou dans notre salle de bains lorsquelle y était.
Il est vrai quà ce moment de ma vie, je connaissais le complexe ddipe.
Un jour, javais 24 ans quand elle ma annoncé quune masseuse à domicile viendrait tous les soirs lui prodiguer les soins que son médecin lui avait prescrits.
De plus en plus souvent, Corinne était là et même le dimanche, nous allions courir avec elle.
Des fesses et des seins de maman, je passais aux fesses et seins de Corinne.
Jabandonnais mon complexe ddipe pour des pensées tout à fait normales pour un garçon de mon âge.
Quand elle arrivait, maman nous préparait un café, elle avait déjà sa blouse et ses seins débordait de partout.
Cheveux blonds, seins comme des obus, jai fait un transfert de ma génitrice vers cette jeune femme.
Un jour, jétais seul à la maison, maman était toujours absente retenue au tribunal.
Corinne est arrivée comme tous les jours.
Je dis Corinne, alors quà ce moment de notre vie, elle restait la masseuse à domicile de maman.
Je lui ai offert un café, jaurais dû trouver bizarre quil soit prêt, maman, le buvant fraichement broyé et très chaud.
Je passe les détails, avant quelle décide de partir vers dautres clients, je venais de rouler ma première pelle à une fille.
Je voulais lemmener visiter ma chambre, mais elle voulait être vierge au mariage.
Du moins cest ce que je croyais, car elle me lavait dit .
Le lendemain, maman a refait le coup, une audience layant retardée et mon cur ayant fait tilt, jai demandé Corinne en mariage.
Coup de foudre réciproque, cest là aussi ce que je croyais.
Maman, mayant couvé toute ma vie, jai été enchanté quelle applaudisse à notre décision de mariage.
Cest fait, nous sommes passés à la mairie à 15 heures, nous étions tous les trois, avec deux témoins fournis par la mairie.
Repas et retour à la maison pour notre nuit de noces.
Nous avions discuté et alors que jespérais prendre mon indépendance, il a été décidé que nous habiterions toujours chez maman, ce soir-là, je devais apprendre et comprendre pourquoi.
Ceci dès que nous avons été seuls, maman est venue prendre ma femme dans ses bras.
- Christophe, nous avons une confidence à te faire, Corinne ta fait croire quelle taimait, en réalité cest de moi quelle est folle.
Nous voulions habiter ensemble, mais nous avions peur des cancans, en officialisant, tépousant nous réglons notre problème.
Corinne et moi allons nous retirer dans ma chambre.
Jai été sidéré, je pensais mémanciper, je me retrouvais les mains liées.
Maman, Corinne étaient des gouines.
Avec Chris71 nous avons hésité à placer cette histoire dans sa « collection lesbienne ».
Maman, une lesbienne, Corinne aussi, jai eu du mal à ladmettre.
« Collection cocu », je le suis avant davoir consommé mon mariage.
Dès quelles se sont isolées dans leur nid damours, jai compris les bruits de ma jeunesse, maman se gouinait avec des femmes et voilà pourquoi elle sortait et rentrait seule.
Certaines fois elle ramenait du travail chez nous et ce devait être lors dune de ses fois que me levant je les avais entendues.
En plus de leurs ébats qui semblaient fougueux, il était fréquent le matin que lune ou lautre, se présente en tenue un peu négligée.
Je vivais cette frustration en continuant à remplir mes mouchoirs.
Puceau et cocu par ma mère, un soir, elle mattendait afin de regarder la suite dune série à la télé.
Les deux jeunes femmes étaient assises côte à côte lair sérieux.
Maman a pris la parole.
- Christophe, merci de têtre sacrifié pour moi, nous concevons limmense sacrifice que tu conçois pour cacher notre amour.
Après de nombreuses discussions, Corinne et moi avons un autre service à te demander !
Je vais le dire rapidement pour avoir la force de le faire, je voudrais que tu fasses un à Corinne.
Jai la chance de tavoir eu, la seule fois ou jai gouté au sexe dun homme, voulant voir si mes penchants pour les femmes étaient les bonnes.
Si lacte ma dégoûté à vie de recommencer papillonnant de sexes féminins en sexe féminins, jai connu bien des femmes chez elles ou de rare fois ici sans jamais te faire de mal mon amour.
- Agathe va au but, sinon, cest moi qui lui demande.
- Cest dur, Corinne pour une mère de demander à son fils de te faire un , car tu es en mal de grossesse.
Cest encore lui qui va se sacrifier pour nous deux.
Le sacrifice, je lai fait, pour maman et aussi pour Corinne que malgré sa tromperie jaime encore.
Cest dans ma chambre que jai emmené Corinne, que je lai dénudée comme jaurais dû le faire le soir de nos noces.
Jai parlé de la « collection candaulisme », cest maman qui lest , car chaque fois que je prends Corinne sur mon lit, elle est présente sans que jaie la force de lui dire de nous laisser.
Ce que maman ignore au fil de nos coïts jusquau moment où Corinne nous annonce que nous allons être parents, cest que jai senti ma femme retenir ses cris de plaisir sous ma verge.
Maman est une lesbienne profonde, Corinne à ce quelle cache lest beaucoup moins.
Neuf mois et Jules rejoint notre trio insolite.
Corinne a repris le chemin de la maison, Jules repue du lait bien gras de sa maman est couché et dort.
Je demande aux deux femmes une réunion de famille dans le salon.
La dernière fois cétait maman qui avait pris la parole, ce coup-ci cest moi.
- Maman, jai su meffacer quand tu mas demandé de cacher tes amours saphiques avec Corinne.
Jai accepté de lui faire lamour pour quelle e, mais ce que nous tavons cachée quand nous faisions lamour cest le plaisir quelle y prenait.
Reconnaît le, ma chérie.
Dune petite voix, Corinne avoue.
- Oui, Christophe.
- À la clinique quand nous avons été seules sans toi, nous avons convenu quil lui était impossible de tabandonner, mais aussi dabandonner nos relations.
- Je vais partir, vous me brisez le cur, les s.
- Hors de question, je te lai dit, ta relation avec elle lui est nécessaire, voire vitale, elle taime comme une folle.
Tu aurais été une autre que ma mère, nous taurions proposé de faire un trio dans ton grand lit, mais le très peu pour moi.
Contrairement à ce que jai su accepter le soir de mes noces, jai une morale.
Voilà ce que nous avons décidé.
Cest à mon tour davoir du mal à parler au moment crucial de ma vie.
- Agathe, je taime et je laime, cest moi qui irai vers lun ou vers lautre selon nos envies, toujours en harmonie.
Je partagerai ta couche, comme je partagerai la sienne, mon cur.
Son cur a accepté, ça fait deux ans que cela dure, elle est heureuse, je suis heureux et maman lest aussi.
Quand nous faisons notre jogging ensemble nul autre que nous connaissons le secret de notre famille.
Oh ! si !
Nous sommes conscients que le petit garçon que nous promenons dans les allées de notre parc va grandir.
Un jour, il pourra se lever la nuit pour faire pipi et entendre des cris de jouissance dans ma chambre ou dans celle de sa grand-mère.
Il se posera des questions quil faudra bien lui expliquer pour quil grandisse sereinement, mais nous avons encore un peu de temps.
Voilà pourquoi, sur ce point de fin, cest là « collection Zone rouge » que nous choisissons.
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