Soumis À Ma Femme Infidèle - Partie 2

Chapitre 2 : Petites confidences

Le lendemain de la découverte de l'adultère de mon épouse, je me réveillais avec une érection matinale plus importante que d'habitude. Les événements de la veille (la découverte du string de Jessica, et surtout de son sexe, tous deux trempés du sperme de son amant) m'avaient diablement secoué. Cette étrange sensation d'excitation avait sûrement fait son chemin dans mon cerveau pendant toute la nuit pour produire une gaule aussi immense.
Je tournai la tête : Jessica n'était plus là. Elle était sans doute déjà partie au travail. Étrange... Nous avions toujours l'habitude de nous lever ensemble et de prendre tranquillement le petit déjeuner. C'était peut-être aussi bien comme ça. Je n'avais pas la force de me confronter à Jess dès ce matin-là.
J'arrivai en retard à mon boulot, encore tout secoué par cette nuit de crise, lorsque je reçus cet énigmatique sms de ma femme.
-Samuel, mon cœur, il faut qu'on parle ce soir. Je t'aime
Je sentis mon cœur faire d'immenses bonds dans ma poitrine. Que voulait-elle me dire ? Me confesser sa liaison ? Pourquoi maintenant ? En tout cas, elle continuai à me dire qu'elle m'aimait, pour le moment du moins.
-D'accord, chérie, j'espère qu'il n'y a rien de grave. Je rentrerai plus tôt, je t'aime aussi.
La journée passa à une allure horriblement lente. Mille questions se bousculaient dans ma tête. Qu'allait-elle me dire ? Avouer sa liaison ? Me quitter ? Partir avec un autre ? Avec cet autre homme qui s'était permis le luxe d'éjaculer en elle ? Et surtout, de qui s'agissait-il putain ?
Bref, je finis par rentrer un peu plus tôt du travail. J'attendis ma femme sur le canapé du salon. Elle ne mit pas longtemps à arriver. Jessica rentra dans la maison, plus belle et sexy que jamais. Maintenant que je savais qu'un autre homme l'avait possédé, je n'avais jamais eu autant l'envie de lui faire l'amour. Ou plutôt, de la baiser sauvagement.


-Salut, mon cœur.
-Bonsoir, chérie. Viens t'asseoir.
Jess s’exécuta, posa ses mains sur mes genoux, et m'embrassa. Elle était vêtue d'une jolie robe noire, qui découvrait ses superbes jambes et moulait avantageusement sa poitrine. Dire que la veille, elle me trompait et recevait le sperme d'un autre en elle... Je sentis naître un début d'érection, tandis qu'un petit silence inhabituel s'installa entre nous. Je finis par le briser, tant j'étais sur des braises.
-Il faut qu'on discute, Jess.
-Je crois bien, Sam...
-Vas-y la première. De quoi voulais-tu parler ?
Elle se dandina légèrement, un peu mal à l'aise... Sa gêne n'en était que plus désirable.
-Euh... Je ne sais pas vraiment comment te dire ça, Sam. Mais saches avant tout que je t'aime, et que je ne veux absolument pas te quitter. Même si je comprendrais que tu veuilles rompre...
Je décidai d'aller droit au but.
-Il s'est passé quelque chose de grave, Jess ? Dis-moi tout.
-Eh bien... (elle soupira) Oh, je ne sais vraiment pas comment te dire ça Sam... Tu vois un peu, non ? Alors autant que ça sorte directement... J'ai une liaison.
« Bien sûr que tu as une liaison, petite pouffiasse » ne pouvais-je m'empêcher de penser. Je décidai de prendre ma petite revanche, de la faire boire le calice jusqu'à la lie en ne lui facilitant pas les choses. Je marquai un temps avant de parler, dans un murmure.
-Une liaison ? Comment ça Jess ? Qu'est-ce que tu veux dire ?
-Arrête Sam, tu sais très bien ce que je veux dire... Je vois un autre homme. Mais ça ne m'empêche pas de continuer à t'aimer.
-...Explique-toi Jess.
-Eh bien, tu sais, on a peut-être perdu un peu le lien charnel, mais je t'aime toujours profondément (ces paroles me rassurèrent sur ses intentions). Mais j'ai rencontré quelqu'un d'autre, et même s'il y a quelque chose de fort avec lui, ça ne sera jamais comme l'amour que j'ai pour toi.
Je la laissai mariner un peu, avant de reprendre la parole.
Bien que je fus déjà au courant de sa liaison, ses aveux m'avaient tout de même bien sonné.
-Jess... Laisse-moi le temps de bien comprendre. Tu couches avec un autre homme, et tu veux toujours qu'on reste ensemble parce que tu m'aimes ? Tu veux deux hommes à la fois ?
-Oh, mon cœur, je ne sais pas... C'est compliqué, je suis un peu perdue... Mais je dirais que dans le fond, c'est un peu l'idée... Tu dois être en colère contre moi, non ?
-Je ne sais pas... C'est difficile à avaler comme nouvelle.
Jess prit le temps avant de répondre, d'une voix basse.
-Est-ce vraiment une nouvelle pour toi ?
Son ton hésitant avait quelque peu changé. Elle avait légèrement baissé la tête, me fixant intensément du regard, comme si elle lisait en moi. Je sentais que le vent allait tourner...
-Euh... Comment ça ? Qu'est-ce que tu veux dire ?
-Je veux dire, mon cœur... Que tu t'en doutais déjà, non ? Que tu le savais, même ?
Je commençai à bafouiller, un peu pris au dépourvu.
-Euh, je ne sais pas Jess... Tu avais l'air ailleurs, ces derniers temps... Changée. Et tu rentrais parfois un peu plus tard...
-Comme hier soir, Sam ?
-Quoi ? Euh... Oui, comme hier soir oui.
-Comment sais-tu que je suis rentrée tard ?
-Je t'ai entendu...
-Tu ne dormais pas ?
-Je somnolai, on va dire...
Les choses tournaient au vinaigre.
-Arrête, Sam. Je sais que tu sais.
Je restai silencieux, tandis que Jess prenait un ton plus étrange, plus ferme.
-Tu savais pour ma liaison avant que je te l'avoue. Tu sais comment je le sais, mon cœur ?
Elle n'avait pas besoin d'aller plus loin. Je sus d’avance ce qu'elle allait me dire...
-Je t'ai vu, Sam, me souffla-t-elle... Je t'ai vu hier soir. Je t'ai entendu quitter la chambre pour aller dans la salle de bains... et je suis venu t'espionner en cachette. La porte était entrouverte. J'ai tout vu, mon cœur.
J'étais bel et bien grillé ! Putain, la garce m'avait surpris dans mon délire nocturne.
.. Comment j'allais me sortir de ce bourbier ?
-Je t'ai vu te masturber et sentir mon string. Et jouir dedans. A ce moment-là, je suis revenue au lit, presque choquée de t'avoir vu comme ça. Puis tu m'a rejoins, et tu as inspecté mon sexe avec ton téléphone. Tu cherchais des traces de sperme, c'est ça ? Si tu avais éclairé mon visage à cet instant, tu aurais vu que je souriais.
-Jessica...
La grosse boule au ventre que je sentais depuis tout à l'heure se transforma en chaleur puis descendit vers mon entrejambe. Jessica me racontait sa version de la nuit passée sur un ton calme et ferme, d'une voix douce qui m'hypnotisait et m'excitait grandement.
-Chut... Tu n'as pas besoin de parler, mon cœur. Je suis contente de ce qu'il s'est passé hier soir. Ça a été un choc de te voir te branler en respirant mon string et le sperme d'un autre homme, mais je crois finalement comprendre que le fait que je couche ailleurs t'excite, n'est-ce pas ?
Je gardai le silence, mais mes yeux parlèrent sans doute pour moi.
-Tu sais, je crois qu'après tout, je m'en suis toujours douté. Que tu avais cette fascination dans tes yeux lorsque des mecs me mataient.
-Tu le fréquentes depuis longtemps ? la coupai-je, préférant changer de sujet.
-Depuis un petit moment...
-Et vous ne vous protégez pas ? Putain Jess, c'est important là.
-On a arrêté. Il est clean, et tu sais que je fais toujours attention à ne pas tomber enceinte.
Nous nous fixâmes pendant un long moment, d'un regard de compréhension mutuel mêlé d'une tension charnelle certaine, jusqu'à ce que la sonnerie sms de son portable résonna soudain. Elle le saisit.
-C'est lui ? demandai-je dans un souffle.
Jess leva les yeux.
-Oui, c'est lui.
Putain. Son amant était en train de lui écrire devant moi, et je ne pouvais rien faire d'autre à part essayer de contenir ma gaule et de cacher le renflement énorme qui déformait la braguette de mon jean.
-Je le connais ? arrivai-je à articuler.

-Non. Et c'est sans doute mieux comme ça.
J’acquiesçai.
-Il savait que j'allais te parler ce soir. Il me demande si ça va et... il demande si je viens.
-Qu... Quoi ?
Jess releva la tête.
-Il veut savoir si je vais chez lui ce soir... Qu'est-ce que je fais, mon cœur ? Je reste... ou j'y vais ?
Ma gorge était sèche. C'était comme si j'hallucinais. Jessica, ma belle épouse, était en train de me demander l'autorisation d'aller rejoindre ce mec et se faire sauter... Je n'arrivais pas à y croire. Cela paraissait si irréel. Je déglutis, et finis enfin par prononcer les mots qui allaient définitivement changer notre couple.
-Oui...Vas-y, soufflai-je.
Les dès étaient joués. Avec ces simples mots, j'envoyai donc ma femme se faire baiser par mon rival inconnu.
Ni une, ni deux, Jess rangea son portable dans son sac à main. Elle se leva aussitôt, et, avant de partir, entoura mon visage de ses mains si douces.
-Je t'aime, Sam.
Elle m'embrassa langoureusement, d'un baiser si long et si passionné que j'eus la certitude que, malgré la présence d'un amant dans sa vie, elle m'aimait toujours et comptait bien m'avoir auprès d'elle.
Avant de franchir la porte, Jess se tourna vers moi, et, avec un regard malicieux, déclara :
-Je reviens dans la nuit, mon cœur.
La soirée allait être longue...

Chapitre 3 : une nuit humide

Après les aveux de Jessica sur sa liaison, j'avais donc sciemment envoyé ma femme rejoindre son amant. Encore une fois, je n'allais pas trouver le sommeil. Je ne pouvais m'empêcher de penser qu'à cette heure-ci, ils étaient en train de le faire. Ils baisaient maintenant. Et maintenant. Et maintenant... Un homme que je ne connaissais pas était dans le corps de ma femme. Je ne savais rien d'autre ce mec, mis à part le fait que son sperme sentait très fort...
Au-dehors, un orage éclatait. Le tonnerre grondait, la pluie tombait sans discontinuer. La nuit était électrique, chargée de tension, et renforçait mes pulsions vicieuses. Je me disais que quelque part, ma femme en profitait aussi. Ses hurlements de plaisir devaient couvrir le bruit du tonnerre, où qu'elle fusse.
Je passai une bonne partie de la nuit à me masturber comme un taré. Je giclais les deux premières fois dans les toilettes, mais, rendu fou par l'infidélité de Jessica, mes jets étaient incontrôlables... J'en foutais donc partout sur la cuvette et le sol. Lassé de nettoyer après chaque passage, je m'affalais sur le canapé en cuir de notre salon, tee shirt relevé, jean et boxer baissés, et repris le fil de mes pensées perverses et de mes branlettes.
Jess me rendait littéralement fou. Je la visualisais dans mon esprit, allongée sur le dos, recevant en elle le sexe d'un autre homme et hurlant son plaisir. Pendant que je me branlais, elle baisait ; Ma bite était complètement cramée à force de m'astiquer. Je m’éjaculais sur le ventre à plusieurs reprises, mais je n'en avais que faire. La pensée que ma femme se faisait sauter ailleurs redressait ma queue encore et encore. J'en étais à la fin de ma sixième branlette lorsque j'entendis la porte d'entrée s'ouvrir. Je me rhabillai en toute hâte, relevant mon froc et rabaissant mon tee shirt sur mon ventre collant de foutre séché.
Je rejoignis mon épouse dans l'entrée et allumai la lumière. Jess m'attendait, appuyée contre la porte, visiblement épuisée. Ses cheveux mouillés par la pluie étaient étalés en vrac sur ses épaules. Une bretelle de sa robe tombait sur son bras. Son mascara avait coulé sous ses yeux, sans doute à cause de la pluie ou de larmes de plaisir. Une mèche de cheveux cachait la moitié de son visage, mais je pouvais parfaitement voir son expression. Jessica me fixait et souriait...
-Mon cœur... parvint-elle à articuler.
Tandis que je m'approchai d'elle, elle me prit la main, en mimant un geste d'offrande. Elle déposa quelque chose dans le creux de ma paume... Je sus directement de quoi il s'agissait. Lorsque Jess retira sa main, j'ouvris la mienne. C'était un string rouge complètement trempé. Mouille et foutre avaient imbibé ce string qu'elle avait porté pour exciter son amant. Ce qui voulait donc dire que Jess ne portait rien sous sa robe...
Je tombai à genoux devant Jess, envahi par une excitation qui me soumettait entièrement à la merci de ma femme cocufieuse. Elle pouvait faire tout ce qu'elle voulait de moi, j'étais sous son emprise totale. Jess me regardai d'un air que j'avais rarement vu. Un regard intense, presque dur, mais radouci par son sourire le plus coquin... Elle se mordilla la lèvre inférieure tout en écartant les jambes et en relevant sa robe, découvrant à l'air sa petite chatte souillée. Le message était clair.
Rampant sur le sol, j'approchais le visage du sexe de ma femme, qui me murmura d'une voix tendre mais ferme.
-Sens-la, mon cœur... Renifles, vas-y...
Je respirai un grand coup ; toutes les effluves me rentrèrent aussitôt dans les narines. Les odeurs de l'intimité de mon épouse étaient cette fois à peine discernables tant elles étaient écrasées par les fragrances amères du sperme de son amant.
Jess rapprocha son bas-ventre davantage vers moi. Je ne pouvais que constater de plein front l'infidélité de ma femme. Je reçus en pleine face cette vérité en même temps que les effluves fortes du sperme rival. Le sexe de Jessica était complètement souillé, humide, et puait le foutre. Ses cuisses étaient luisantes de sueur. Et j'avais de nouveau la preuve physique et évidente que je n'étais plus le seul dans le corps de ma femme. Du sperme gouttait encore de sa chatte.
Me shootant avec ce parfum comme un en manque, j’entrouvrais la bouche. Si j'osais... Mon Dieu, non... Je me rapprochai dangereusement d'une zone interdite... Mais j'en avais envie. Je sortais ma langue, tendue vers la fente dégoulinante... Je levai la tête, risquant un coup d’œil à Jess. Elle me contemplait, complètement hypnotisée elle aussi. Me sachant dominé, à sa merci totale, elle devait prendre un pied d'enfer à me voir ramper ainsi vers elle. L'expérience devait être très puissante pour elle.
Elle hocha la tête, comme pour m'encourager, et d'une main ferme, me saisit par l'arrière du crâne, en attrapant une touffe de mes cheveux, et plaqua de plein fouet mon visage sur son sexe. Je n'avais pas le choix, et fus ainsi de goûter son intimité... Et celle d'un autre homme.
Je léchai une première fois le vagin de Jess. Sa mouille, si délicieuse d'habitude, était peu reconnaissable, car elle n'était pas seule. Le sperme de ce mec était à l'image de son odeur, très fort, très amer, puissant. J'avalais, pour la toute première fois de ma vie, le sperme d'un homme. Celui de l'amant de ma femme, qui plus est. C'était épais, gluant, repoussant. Mais j'y replongeai la langue, avec plus d'avidité cette fois. Les poils pubiens de Jess se frottaient contre mon nez tandis que je la buvais. Elle remonta une jambe pour mieux écarter les cuisses et la fente de son vagin. Je me positionnai davantage sous elle, afin de recueillir et de goûter au mieux toutes ces nouvelles saveurs. J'y allais à pleine bouche, désormais. Le foutre de ce mec était enivrant. Jess gémissait comme une folle, elle aussi.
-Goûte, mon cœur... Vas-y, oui... C'est tellement bon... Déguste, avale...
Je la léchai comme un dingue, récupérant avec ma langue le jus de sa mouille et la semence de son amant. Je ne connaissais même pas ce mec et pourtant nous étions assez intimes au point que je lèche son sperme dans le vagin de ma belle... J'étais comme avili, rabaissé dans ma fierté de mâle. Mon ego en prenait un sacré coup. Quoi de plus humiliant pour un mari cocu que de lécher la semence rivale de l'amant inconnu ?
Pris de folie, je me relevai soudain, saisissant ma femme par la taille je l'emportai dans le salon et la jetai sur le canapé. Elle écarta aussitôt les jambes tandis que je baissai mon futal. Ma queue était raide, encore une fois sur le point d'exploser. Je pénétrai Jess brutalement. Sa petite chatte étant toute ouverte et humide, elle m'accueilla avec la plus grande des facilités. Ma bite glissa en elle aussi naturellement que possible. Le mélange de sa mouille, du sperme de son amant et de ma salive donnait un lubrifiant naturel diablement efficace...
Jess ne me quittait toujours pas du regard. Des yeux de braise, brillant d'une lueur perverse que je ne connaissais pas. C'était comme si elle me mettait au défi de la baiser mieux que son amant. Je m'appliquai simplement à la démonter sauvagement, dans un état proche de l'animalité pure. J'avais laissé la lumière éteinte dans le salon. Seule la lumière des éclairs de cette nuit orageuse et électrique illuminaient la pièce à travers les fenêtres, et conféraient à cette sauterie post-adultérine une aura surnaturelle.
Je baisai durement ma Jess, essayant de fourrer ma bite aussi loin que possible dans sa petite chatte de pute. Manœuvre désespérée pour tenter de reconquérir le corps de ma femme, car je savais pertinemment que je n'étais plus le seul à la posséder... Ma femme s'était donnée à un autre. J'avais perdu sa fidélité et l'exclusivité de son corps. Je le sentais aussi physiquement : ma bite qui glissait sur les parois du vagin de Jess était toute engluée du sperme de celui qui était passé avant. Ce foutre était là pour me rappeler que je n'étais plus le seul en ma femme. J'avais conscience que ma bite trempait dans le jus d'un autre mec, mais je m'en foutais, cela m'excitait, et Jess aussi.
-Mon cœur... Baise-moi... J'ai écarté les cuisses pour un autre tout à l'heure... Tu passes après lui...
Je ramonai ma femme pendant un moment de baise extrême et purement bestial, jusqu'à ce que Jess prononce ces mots qui me firent l'effet d'une bombe.
-Baise-moi dans le foutre d'un autre homme...
Je hurlai ma jouissance. Ma queue explosa dans la chatte de Jess. C'était incroyable : je devais être en train de déverser un torrent de sperme dans son vagin. Je sentais palpiter les veines de ma queue, expulsant davantage de semence jusqu'au fond d'elle. Je m'écroulai alors sur elle, plongeant mon visage dans son cou et sa chevelure, cherchant à reprendre mon souffle. Elle m'entoura de ses bras, dans un geste d'infinie tendresse, et déposa plusieurs baisers derrière mon oreille, me chuchotant de doux mots.
-Je t'aime, Samuel... J'ai adoré faire ça. Je t'aime...
-Moi aussi, chérie... Je ferai n'importe quoi pour toi.
-Je sais...
Je relevai la tête vers elle, et nous nous embrassâmes tendrement, mélangeant nos salives, sa mouille, et les quelques dernières traces de sperme de son amant, scellant sans doute un pacte triangulaire entre elle, moi et lui.
A propos de lui... Je me retirai doucement du sexe de ma femme. Ma queue était bien toute gluante de foutre. Le mien et le sien. Le sperme de cet homme que je ne connaissais pas encore, mais dont j'avais volontairement goûté l'intimité...
Jessica avait donc deux spermes en elle : celui de son mari et celui de son amant. Je restai un petit moment à contempler nos deux sexes, prenant conscience de cette troisième présence qui s'était invitée dans notre mariage. Inutile de le nier. L'humiliation d'être cocu devait à jamais habiter mon esprit, tout comme l'existence de cet homme, qui m'avait dépossédé de ma chère épouse. La présence de cet amant était perceptible à nos côtés... Ou plutôt, en nous devrais-je dire. L'expression serait plus exacte, car c'était assurément vrai pour Jessica. Cet « autre » allait vivre au quotidien avec nous, en elle, en moi, nous obséder, nous hanter, comme un fantôme.
Plus rien ne serait comme avant. J'en étais certain : tout aller changer dans nos vies.

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