Collection Anne Ma Muse. Février Sur La Côte (8/13)

Dans cette collection qui m’est dédiée, vous me connaissez, je suis Anne, la muse de Chris71.

Je suis en vacances au soleil en février chez Josyane mon amie divorcée comme moi.
Je me trouve entraînée dans un tourbillon que j’étais loin d’imaginer quand je suis montée dans le camion de Gaston le chauffeur de notre société à qui j’ai fait une fellation à Avignon.
Le cap d’Agde, c’est là qu’elle habite maintenant, le cap d’Agde, lieu des plages naturistes et des soirées libertines.
Soirée où elle m’entraîne au Copacabana, restaurant qui s’avère être la porte d’entrée à un club libertin.

Mes retrouvailles avec Joël, le jeune garçon qui m’a accosté et offert un café à Montélimar, m’enlèvent mon libre arbitre.
Je l’avais vu nu sur la plage naturiste ou malgré ma pudeur, j’avais aimé me mettre dans la même tenue devant des dizaines de personnes.
Dans ce restaurant, je pensais le retrouver en pantalon, ignorant le genre de lieu que c'était, là où mon amie m’entraînait.

Sa musculature irréprochable, principalement ses abdos magnifiquement découpés, surtout quand je les compare avec ceux de Pierre mon homme de 70 ans partageant certains moments de ma vie qui depuis bien longtemps regarde sa queue dans un miroir.
Sa queue à lui, je l'ai vue sur la plage, elle me fait fantasmer depuis que je l’ai vu.
Là, point de pantalon mais un étui pénien en cuir qui, lorsque je le vois battre quand il se déplace entre nous pour assurer son service, me fait mouiller.

La première stupeur passée, Josyane hilare du bon coup qu’elle vient de me jouer, s’assoit avec moi à la table que Joël a réussi à nous avoir malgré la foule des grands jours pour la réouverture d’une nouvelle saison de luxure et de liberté.
C’est la soirée des surprises quand Noël mon neveu et Lucie son amie pour qui il a bravé les foudres d’Épiphanie ma belle-sœur guadeloupéenne femme de mon frère Jacques, nous font voir leur présence avant de dîner avec nous.

Rapidement Lucie et Josyane semblent sympathiser, je sais que la petite aime les femmes et comme j’ai gouté à ses charmes pendant les vacances de Noël à Noël, ou avec Pierre, j’ai commencé à me dévergonder.

Le repas terminé, Josyane ayant payé nous nous déplaçons vers le rideau rouge déjà franchi par de nombreux clients attaquant la deuxième partie de la soirée.
Je comprends pourquoi ce double système, restaurant et boîte à partouze quand un bon nombre des couples se forment au gré des conversations de table en table.

J’avais peur que Joël ne m’échappe une nouvelle fois au profit d’une belle rousse mangeant seule à une table voisine.
C’était mal connaître Noël qui semble apprendre rapidement le libertinage en s’arrangeant avec Joël pour qu’il apporte un collier et deux laisses.
Les boîtes échangistes sont loin d’être ma tartine de pain mais c’est en connaissance de cause qu’attachée par le cou je suis entraînée par les garçons vers ce rideau.
Lumière rouge tamisée, dans un premier temps, mes yeux finissent par s’habi.

- Suis-nous, tu vas faire tout ce que nous te demanderons ?
Anne, c'est terminé, tu es ma chose, tu es notre chose.
Dans notre club, les femmes savent que lorsqu’elles franchissent ce rideau, ayant accepté un collier et une laisse, elles sont entièrement dévouées à leur maître.
Toi Anne, je sais que c’est mon amie Josyane qui t’a amené ici sans te prévenir de ce que tu allais découvrir.
Il te reste une chance de revenir en arrière, soit tu détaches ton collier et tu fais demi-tour, soit ce que j’espère tu fais un pas en avant et ce pas sera celui qui nous permettra de te demander tous ce que l’on voudra de toi.

Je suis à la croisée des chemins, un pas en avant et ma vie va être une nouvelle fois chamboulée.
D’autres se seraient sauvées surtout à mon âge, mais j’ai trop envie que Joël fasse de moi sa salope pour faire marche arrière.

- C’est bien, j’espérais que tu ferais le bon choix, toute la soirée, j’ai soufflé le chaud et le froid me servant de la rouquine pour que tu acceptes d’être notre chose, passé cette porte, vous allez vous déshabiller, moi s’est vite fait.

Il ôte son étui pénien, je tends ma main en avant, j’ai juste le temps de l’effleurer, la laisse qu’il tire me rappelle à l’ordre.
C’est la première fois que je suis à la merci d’un homme, je dois dire que j’apprécie, surtout quand je vois la verge que je convoite.
La verge, deux verges quand nous plaçons nos affaires dans un vestiaire aussi grand que ceux qui se trouvent dans les piscines.

- Ici, c’est moderne, depuis cette année, les vols et les fraudeurs aux bars étant légion, ce bracelet va vous servir à fermer et ouvrir ce placard.
Quand vous voulez consommer, vous le présentez au barmaid qui vous servira et qui enregistrera en le connectant à l’ordinateur du bar.
Votre addition sera directement enregistrée.
À la sortie, votre carte de crédit sera débitée en espérant que vous aurez passé une bonne soirée.
Viens, excuse Noël, je voulais que notre amie sache où elle met les pieds, mais je voulais que ce soit une femme consentante qui sera notre esclave toute cette soirée.
- Anne, tu consommes ce que tu veux, vous aussi mes amis, je vous ai offert le repas, je vous offre ce lieu de plaisir.
- Lucie, suis-moi, je crois que mon amie a envie de se retrouver seule avec ses mâles, n’ayez crainte, on se reverra, Noël après ta copine je compte bien goûter à ce beau morceau qui pend entre tes jambes.

Mon amie nous quitte emmenant Lucie, qui semble savoir très bien où elle va.
Si Épiphanie savait avec quel genre de jeunes femmes son fils a décidé de passer sa vie, je crois qu’elle irait se noyer sur la première plage non loin de chez elle.

- Noël, tu me fais confiance pour notre amie, je connais par où nous allons commencer après cette salle où il y a un bar où nous pourrons nous désaltérer tout à l’heure.
Salut, Yvette, heureux que tu fasses une nouvelle saison, tes seins sont toujours aussi beaux.
- Merci Joël, ceux de ton esclave sont très beaux eux aussi.

J’ai l’impression que l’on parle de moi comme d’un morceau de barbaque, mais cette situation me plait, je suis peut-être née pour être une soumise.
Çà doit être pour cela que je reste avec Pierre, je suis une femme routinière, quand je regarde de prêt mon parcours depuis quelques mois.
Noël venant derrière moi pendant ses vacances de fin d’année, me faisant sentir quelle belle verge toute neuve il me proposait m’a ouvert au plaisir que j’espère ils vont m’apporter.

Joël fait signe à Noël, ils détachent leurs laisses.

- Anne passe derrière ce mur, tu vas tout de suite comprendre ce que l’on attend de toi.

Je fais ce qui m’est demandé, la pièce où j’entre se compose de murs, des trous dans ces murs, une femme est là, elle a une verge dans la bouche et en masturbe une autre.
Sur l’un des murs quatre bites dépassent, aucune faisant vingt-cinq centimètres ou caramel, comme celle de Noël, ils m’ont enlevé les laisses mais pas le collier, je sais que je reste leur chose.
Un peu déçue espérant m’occuper de celle de Joël, je m’agenouille sur le coussin qui est mis à notre disposition et comme ma voisine, j’en prends une en bouche.
Ai-je été trop brusque où l’homme au bout de cette verge a-t-il été surpris, mais rapidement elle ressort entièrement commençant à bander.
Je vois ma voisine qui en plus d’en avoir une dans la bouche en masturbe une d’une main alerte.
J’en ai deux à mes côtés, au début j’ai du mal à synchroniser mes gestes, mais rapidement ces trois verges inconnues augmentent de taille s’étant entièrement développées, elles semblent apprécier.
Sucer sans savoir qui me propose ces verges, l’on m’aurait dit ça avant de partir en vacances chercher le soleil, il aurait fallu me pincer pour que je le crois.
Pourtant je sens que la branlette que pratique ma main droite est vouée au succès quand je sens qu’elle va éjaculer.
Je m’attends à recevoir du sperme sur ma main, mais c’est celle qui est dans ma bouche qui prend les deux autres de vitesses.
De grands jets bien épais coulent dans ma bouche, vite rattrapés par la deuxième main qui est aussi efficace que l’autre.
Trois verges, d’un coup, j’ai fait jouir trois verges d’un coup.
Mes deux maîtres doivent avoir suivi mes exploits par l’extérieur, car j’ai à peine terminé qu’ils entrent et me rattachent à mes laisses.

- Tu as aimé, notre tour du propriétaire commence bien.
Qu’as-tu apprécié dans ce que nous venons de te faire faire ?
- Ce qui est frustrant et excitant à la fois c’est que jusqu’à la nuit des temps, j’ignorerais à qui appartenaient ces bites que j’ai fait éjaculer.
- Viens, les filles font un numéro sur la scène principale, Noël veut voir Lucie se faire prendre par les mecs qui les ont invités !

Je décris la scène, justement une scène, Lucie couchée dessus, deux hommes s’occupent d’elle pendant qu’un autre prend Josyane en levrette.
Tout autour des personnes sont assises sur des coussins qui se masturbent ou qui se caressent les chattes en les regardant se faire prendre.
Ce que fait Lucie est improbable dans mon esprit, quand je m’approche, je vois les deux hommes faisant partie de la table aux deux femmes prendre ensemble notre amie.
À quelques mètres, je vois nettement les garçons se contorsionner et être ensemble dans sa chatte.
Je sais que les doubles vaginales existent mais de là à en voir une devant mes yeux, j’ai un peu mal pour elle.
Pourtant les cris qu’elle pousse sont bien de plaisir et non de douleur.
Sa chatte doit se remplir de sperme car je vois les deux hommes tendre leur corps en elle.

- Merci Messieurs, ça a été un honneur.

Ils la quittent ainsi que celui qui a dû remplir le vagin de Josyane, mais j’étais tellement concentré sur la copine de Noël que le moment de l’éjaculation m’a échappé.

- Une bouteille de champagne ça nous ravigotera, petit joueur ce mec.

Josyane nous abreuve, elle nous quitte avec Lucie en direction des douches avant d’aller à la recherche de verges qui vont lui permettre de dire oh ! oui, Ouiii comme chez elle.

- Anne, et si nous allions nous occuper un peu de toi.
Noël nous allons faire entrer notre salope dans cette cage, elle veut ma queue et la tienne, elle va les avoir.

Il me tire par ma laisse, chouette je vais enfin avoir la verge de Joël en moi…


Corrigée par Anne.