L'Amende Méritée

Roxane revenait de la salle de sport en voiture. Elle était pressée de retrouver Paul à la maison qui lui avait certainement préparé un bon dîner et qui, coquin, aimait bien s'occuper d'elle lorsqu'elle rentrait déchargée de tout le stress accumulé. Elle connaissait le chemin par cœur et celui-ci n'étant pas long, cinq minute tout au plus, elle prenait quelques libertés avec le code de la route. Ce stop, elle le connaissait par coeur et à cette heure il y a avait peu de circulation. Pas la peine de s'arrêter. Pas de chance, ce soir là, un motard de la gendarmerie était là... il lui intima l'ordre de s'arrêter.

- Vos papiers Mademoiselle !
- Voici.

- Roxane, joli prénom, il vous va bien... mais vous savez que c'est 135 euros et 4 points... sortez de la voiture.
- Oui, bien sûr... mais..
- Mais quoi ? Les mains sur le capot, jambes écartées s'il vous plaît.

Roxane s'exécuta, et il effectua une palpation plus ou moins réglementaire, en s'attardant bien sur ses fesses, puis passant la main entre ses jambes.

« Mais quel gros pervers ! » se dit-elle. En même temps, elle ne pouvait pas trop discuter car payer 135 euros en cette fin de mois alors qu'elle était déjà à découvert allait être compliqué.

- Si vous payez maintenant, c'est 90 euros, sinon, vous recevrez une amende 135 euros.
- C'est que je ne peux pas payer maintenant et 135 euros, c'est bien trop pour mon budget.
- Ce n'est pas mon problème
- Il n'y a pas moyen de s'arranger ?
- Si, peut-être... je peux fermer les yeux, mais il va falloir être gentille
- Gentille ?
- Oui gentille. Pour qu'on s'arrange, venez demain sans faute à 9h00 à la gendarmerie et demandez à voir le Lieutenant X...
- Si à 9h15 vous n'êtes pas là, je notifie l'amende aux services. A vous de voir. Bonne soirée Mademoiselle.

Roxane rentra chez elle et resta toute troublée lors de la soirée à tel point qu'elle ne put répondre aux avances de Paul qui se coucha frustré ce soir là de pas avoir baisé sa petite femme adorée.

« J'imagine le genre de service qu'il va me demander, ce gros pervers.. » se dit-elle en pensant à ses mains qui lui avaient palpé les fesses et le sexe. Elle passa une mauvaise nuit à côté de Paul qui se masturba en pensant qu'elle dormait...

Le lendemain matin fut morne et sans enthousiasme. Paul faisait la gueule et partit au travail en l'embrassant rapidement. Elle avait appelé son chef pour prendre sa matinée. Elle avait mis une petite robe noire qui laissait deviner ses formes. Elle se rendit à pieds à la gendarmerie, à la fois curieuse et fébrile, et demanda à voir le Lieutenant X...

On la fit patienter dans une salle d'attente. Au bout de cinq minute, le Lieutenant X... vint la chercher. Il était plutôt beau gosse, environ 40 ans, 1m80, brun, les yeux bleux. Finalement il y avait pire. Et l'uniforme, Roxane trouvait ça plutôt attirant.

« Suivez-moi Mademoiselle. »

Il parlait d'un ton sec et autoritaire. Ils parcoururent un dédale de couloirs pour finalement arriver devant une porte qu'il ouvra.

« Entrez »

Roxane découvrit une pièce relativement petite, les murs nus, peint d'un vert administratif assez répugnant, équipée d'un bureau et d'une chaise. Elle réalisa que la porte avait été capitonnée pour être insonorisée...

« Je vois que vous avez le sens du devoir », dit-il. « Je m'engage donc à ne pas signaler votre infraction. Néanmoins, conviendrez que vous méritez une punition. »

Il alla derrière le bureau.

« Venez devant ce bureau et tendez vos mains »

Roxane s'exécuta et il lui mit une paire de menotte qui ajusta à ses poignets et ferma à l'aide d'une clé qu'il remit dans le tiroir.

« Maintenant appuyez votre buste sur le bureau » et il baissa son pantalon et sa culotte »

Il sortit une trique du tiroir, un bâton de bambou, probablement et vint derrière elle, légèrement sur le côté gauche. Quand le premier coup lui cingla les fesses, elle ne put qu'émettre un cri aigu, tant la douleur la cinglait. Le second coup lui produisit une véritable décharge qui alla des fesses jusqu'au buste. Il ne disait rien. Il asséna un troisième coup qui fut encore plus terrible. Jusqu'où irait-il ? Au quatrième, elle s'écria « Pitié, arrêtez, je ferai ce que vous voulez mais arrêtez ça ». Il lui en mit un cinquième qui la fit gémir de douleur. Ce type est un cinglé pensa-t-elle.

« J'ai pitié de vous, nous allons passer à la seconde phase ». Il la fit mettre debout, la déshabilla entièrement et se mit à tourner autour d'elle en la matant sous toute les coutures. Il s'arrêta longuement derrière elle et caressa ses fesses toutes rouges et endolories. Elle se sentait sans défense, à la merci de cette homme autoritaire.

Il lui ordonna de nouveau de mettre son buste sur le bureau, les fesses offertes et lui écarta les jambes. Il prit la trique et se mit à lui caresser le sexe avec. Roxane sentait des frissons d'excitation et de peur. Qu'allait-il faire de cet engin de qui l'avait fait tant souffrir. Puis il la posa sur le bureau, bien en évidence en face de son visage.

Elle sentit un doigt , puis deux pénétrer son vagin, caresser ses lèvres. Elle mouillait. L'excitation prenait le dessus. Et pourtant elle avait honte de se laisser faire. Elle se sentait salope... salope et excitée.

« Tu aimes ça, vilaine salope ! »

L'excitation la fit se cambrer de plus en plus, elle lui offrait son intimité pour qu'il fasse d'elle ce qu'il voulait, ce gros salaud. Elle sentit sa bite entrer en elle d'un coup sec. Il commença à la besogner doucement. A entrer et sortir de son vagin, à s'attarder sur son petit bouton qui était gonflé de désir.

« Il me baise bien ce con » pensa-t-elle.

« Tu aimes ça petite chienne » dit-il alors que Roxane gémissait sous l'effet du sexe gonflé du gendarme.

Puis il accéléra le mouvement en la prenant bien par les hanches dans une prise ferme et virile. L'excitation montait en eux. Il râlait
de plaisir tout en la pilonnant alors qu'elle émettait des petits cris stridents. Un coup de hanche et l'orgasme la transperça de part en part, son corps tremblait. Mais lui n'en avait pas assez. Il sortit de son vagin et se mit à lui élargir l'anus avec un doigt, puis deux, puis trois, dans un mouvement pénétrant et circulaire. Il allait l'enculer. Il lui lubrifia l'anus avec sa mouille et la pénétra sévèrement. Sa bite lui déchirait le cul, mais c'était bon de se sentir possédée par un homme viril et autoritaire. Il ne mit pas beaucoup de temps à éjaculer, une certaine jouissance la prit de se sentir remplie par le foutre de cet homme viril et autoritaire.

« Rhabillez-vous. Vous pouvez partir. Et que je ne vous y reprenne plus »

Il détacha les menottes, Roxane se rhabilla, sortit et rentra chez elle, soulagée et se sentant vraiment salope d'avoir aimé ce moment. Elle prit une douche et se caressa le sexe sous le jet d'eau. Assise dans le bac, les jambes écartées, un doigte entre les lèvres, elle eut son second orgasme de la journée en pensant à la bite puissante du gendarme.