Les Maux D'Amour - 1
Chacun son histoire à propos de la première fois.
Pour certains, le souvenir est doux et romantique, pour d'autres c'est burlesque, ou bizarre, et pour certains c'est désastreux.
Mon histoire est tout cela en même temps. J'ignore ce que je serais aujourd'hui sans cette rencontre qui a bouleversé ma vie, un soir d'automne, lors de ma deuxième année d'université.
J'avais ce malaise familier d'anxiété que je ressens quand je suis au milieu de la foule. Agoraphobe, Geek, Toqué sont les trois adjectifs qui me qualifient. J'ai combattu mon mal-être en baissant les yeux et en évitant le contact avec le monde.
La fête battait son plein dans le dortoir. Je m'occupais du fût de bière et tous les assoiffés se pressaient autour de moi.
Pas un seul visage familier dans cette foule. Tous étaient des invités de mes colocataires et de leurs cercles d'amis.
Normalement, je ne me mêle pas de ce genre de manifestation. Je préfère la quiétude bienfaisante de la bibliothèque.
Mais la pensée que des inconnus puissent toucher mes affaires m'était insupportable, alors je me suis porté volontaire.
Je pouvais garder un il sur mon domaine et boire à volonté de la bière gratuite.
Des brodequins de combat en cuir noir sont apparus dans mon champ de vision, un cataclysme au milieu des tennis, des sandales ou des claquettes. Mes yeux remontèrent le long des jambes gainées de nylon sombre jusqu'à un kilt en tartan noir et vert, puis un sweatshirt noir, jusqu'à un visage émacié encadré de cheveux noirs comme du jais, et enfin le vert éclatant de ses yeux soulignés par le mascara. Ce regard profond m'hypnotisait, mais j'ai soudain vu ses lèvres bouger.
J'ai fixé mon attention et j'ai entendu: "Tu vas rester longtemps à me fixer comme un crétin ou tu me sers une bière?"
Elle me méprisait de toute sa morgue, en fille sûre de son charme. J'ai grommelé une vague excuse et lui servis une bière.
Elle s'est fendue d'un petit sourire en coin et a disparu dans la foule, me laissant décontenancé.
Je continuais de servir mon poison, l'esprit occupé par ces yeux verts, le cur battant la chamade.
Plus tard, les brodequins noirs et les yeux verts réapparurent, à la recherche de bière. Les mains vides, et l'approvisionnement en gobelets de plastique était épuisé: "Désolé, plus de gobelet, qu'est-ce que t'as fait du tien?"
Elle se renfrogna: "Je l'ai posé pour passer un texto et un mec a pissé dedans!"
Désignant un verre à moitié plein sur l'étagère derrière moi, elle demanda: "Et celui-là, à qui est-ce?"
"À moi" Je l'ai attrapé, je l'ai rempli et je lui ai tendu avec un sourire.
Elle l'a vidé en trois lampées et me l'a rendu avec ce commentaire pour tout remerciement:
"Je m'appelle Max!"
"Thomas, enchanté!"
Un tatouage de veuve noire décorait l'intérieur de son poignet gauche et un autre tatouage, des vignes vierges se tordant en étouffant une horloge disloquée, ornait son biceps droit.
J'ai compté au moins neuf piercings sur son visage, ses oreilles, ses sourcils, son nez.
Elle était pulpeuse, malgré le sweatshirt qui masquait ses formes. À première vue, elle paraissait fragile, mais javais remarqué ses muscles saillir lorsqu'elle avait tendu le bras pour attr le gobelet.
Elle faisait le tour de la pièce en cueillant mes livres au hasard, en les parcourant avant de les replacer n'importe comment, dans n'importe quel ordre, au mauvais endroit et mal orienté.
"Max, c'est un drôle de nom pour une fille!" je tentais maladroitement une conversation.
"Abréviation pour Maxine" expliqua-t-elle sans lever les yeux de mon bouquin de Physique.
J'ai regardé son corps. Elle avait de jolies jambes. Sur sa cuisse gauche, je distinguais le bas d'un tatouage et je me demandais ce que ça pouvait être. Quand j'ai levé les yeux, elle me dévisageait d'un il froid.
Tentant de masquer mon embarras, j'ai lancé une boutade: "Tu viens de la réunion des jeunes républicains?"
"Église ..
Je portais un t-shirt et un jeans mais je savais ce qu'elle voulait dire. Mon langage corporel détonnait. J'ai hoché la tête:
"La fête c'est mes colocataires, leurs amis, et les amis de leurs amis ... Tu connais quelqu'un ici?"
Elle secoua négativement la tête: "Je suis allée voir un film, en rentrant j'ai entendu la musique, j'ai décidé de m'incruster."
Nous avons discuté pendant que je continuais à verser des bières. Elle se spécialisait en sociologie.
J'étudiais l'ingénierie de l'informatique décisionnelle. Elle ne s'est pas enfuie après que je lui ai dit cela.
La musique était encore plus forte et les assoiffés plus nombreux, obligeant Maxine à se rapprocher pour me crier une conversation unilatérale dans l'oreille pendant que je vidais le fût.
Pour être honnête, je ne me souviens pas trop de ce qu'elle m'a dit mais je me souviens clairement de son souffle dans mon cou et de son sein qui se frottait contre mon bras pendant que je servais.
Finalement, le fût s'est asséché et j'avais une trique d'enfer. Je devais repousser les ivrognes assoiffés, mais toutes mes tentatives étaient vouées à l'échec à cause de mon érection qui m'empêchait de les jeter dehors.
À la fin, cest Max qui les a virés à coups de poings et à coups de pieds en les injuriant.
J'ai scotché une pancarte sur la porte, je l'ai fermée en la verrouillant.
J'ai bredouillé des remerciements, honteux que ce soit une fille qui fasse le sale boulot.
"Tu dois être plus énergique et ne pas te laisser marcher dessus. La seule chose qu'une foule comprend, c'est la force!"
On aurait dit qu'elle était déçue de moi d'une certaine manière. Je hochais la tête silencieusement, profondément déprimé.
Max s'est assise en tailleur sur mon lit, sirotant ce qui lui restait de bière, me regardant m'agiter dans la pièce pour ramasser les ordures.
L'exercice m'a fait du bien et j'ai pu me redresser et arranger mon érection dans une position moins gênante.
Je suis arrivé à ma bibliothèque et j'ai pu enfin réorganiser mes livres dans le bon ordre.
L'envie de les toucher sept fois m'a presque submergé, mais j'ai lutté avec succès. Seuls les dingues font des choses comme ça.
Quand je l'ai regardée, son visage exprimait l'incertitude.
"Quoi?"
Ses yeux se plissèrent pensivement. Finalement, elle m'a demandé: "Est-ce que t'es gay?"
"Non" J'avais l'habitude qu'on me pose ce genre de question.
"J'espérais que tu ne le sois pas." Elle tapota le lit à côté d'elle. "Viens ici, faire une pause."
Je me suis assis à côté d'elle sur le lit, le dos contre le mur. J'ai essayé d'avoir l'air détendu, mais je doute d'avoir réussi.
Chaque nerf dans mon corps vibrait, j'étais tendu comme l'élastique d'un string. Max ne semblait pas s'en rendre compte.
Elle frottait une tache sur sa jupe avant de se tourner et de me dévisager. J'ai commencé à dépérir sous son regard.
"Quoi?" J'ai de nouveau demandé, craignant qu'elle n'ait remarqué que le lobe de mon oreille droite était plus grand que le gauche.
Elle secoua la tête, les sourcils froncés: "Tu n'es pas comme les autres gars, n'est-ce pas?"
"Non, je suppose que non."
Elle hocha la tête, se pencha vers moi, et elle m'embrassa fort sur la bouche en me plaquant contre le mur.
Une fois remis du choc initial, j'ai commencé à lui rendre maladroitement son baiser, mais j'avais toujours un temps de retard.
Sa langue se frayait un chemin entre mes lèvres, si vivante et si électrisante. J'osais une tentative.
Je posais ma main hardiment sur son épaule. Aussitôt, sa main frotta vigoureusement mon entrejambe.
Elle s'arrêta de m'embrasser et regarda mon entrejambe, sa main serrée sur ma longueur. Ses mains dégrafèrent mon jeans, les tirant jusqu'à mi-cuisse jusqu'à ce que je sois exposé, fièrement dressé devant elle. Max murmura: "Putain de barreau!"
Avant que je puisse parler, elle me prenait en bouche. Dehors, les gars frappaient à la porte, secouaient la poignée en réclamant de la bière. Les cris, les coups continuèrent pendant plusieurs minutes jusqu'à ce que les ivrognes s'en aillent.
À part les battements de mon cur, le doux bruit humide de sa bouche qui suçait ma bite restait le seul bruit audible.
Les sensations que me procuraient sa langue était trop forte et tout mon corps se tendit.
Je me suis épanché avec un gémissement, provoquant un gémissement sourd de Max. Elle continua sa succion pendant un instant supplémentaire, les sensations s'intensifiant, provocant davantage de frissons au plus profond de mon corps.
Finalement, elle m'a laissé quitter sa bouche. Elle s'est redressée contre le mur pour s'essuyer les commissures des lèvres.
Je suis resté étendu là, émerveillé, béat, vulnérable et vaincu.
Le sentiment de gêne a progressivement pris le dessus, allongé nu devant une fille avec ma bite flasque et mouillée de salive.
Embarrassé, j'ai commencé à remonter mon pantalon mais sa main m'a arrêté.
"Non, reste comme ça, tu me plaît
Ta toute première pipe?"
Je hochais la tête béatement et elle me sourit: "Je présumais bien. Qu'en as-tu pensé?"
J'ai essayé de traduire mes sensations avec des mots mais mon vocabulaire m'a abandonné: "C'était incroyable, je ..."
Comment décrire ce tourbillon d'émotions différentes? Je haussais les épaules en secouant la tête.
Elle a avancé ses fesses jusqu'au bord du lit: "Agenouille-toi sur le sol devant moi."
Max a soulevé sa jupe, révélant lentement la chair pâle de ses cuisses, au-dessus de ses bas, le tatouage du serpent qui rampait sur sa hanche gauche et se dirigeait vers son ventre, ainsi que sa culotte en coton noir.
Elle a tiré mon visage vers son entrejambe et je l'ai regardée: "Embrasse-moi là!" commanda-t-elle.
J'ai pressé mes lèvres contre le tissu sec. Max bougea et j'ai sentis la chair mollir sous la culotte.
Sa fragrance a empli mon nez et m'a enivré. J'ai pressé ma bouche entrouverte et ses hanches se sont inclinées légèrement pour me faciliter l'accès. Sans hésiter, j'ai léché et sucé le coton qui est passé de humide à mouillé et j'ai ensuite pu la goûter légèrement.
Je mâchouillais énergiquement sa culotte jusqu'à ce qu'elle repousse ma tête d'une main.
Ses yeux verts, soulignés par un eye-liner noir, me fixaient intensément. Je ne pourrais pas dire si elle était contente ou en colère mais j'ai vu sa surprise. Elle m'a retenu éloigné un moment, mais je devenais de plus en plus désespéré de la goûter à nouveau.
Finalement, ses yeux se rétrécirent et, de sa main libre, elle repoussa sa culotte le long de ses cuisses, me laissant le travail de lui retirer. La main qui tenait ma tête éloignée se détendit et elle me lâcha.
Je me suis penché et j'ai doucement embrassé sa cuisse. Elle avait le goût d'une pluie d'automne, et la douce odeur de feuilles en décomposition. Je suis remonté plus haut, embrassant et léchant la chair tendre. Maintenant je pouvais vraiment humer son arôme.
Je me suis arrêté et, pour la première fois de ma vie, j'ai regardé de près un sexe féminin.
Un duvet noir encadrait sa fente luisante. Le clitoris gonflé pointait le bout de son nez.
Je pouvais sentir sa chaleur sur mon visage et me blottir dedans.
Ma langue sépara ses grandes lèvres, puis plongea à l'intérieur dans son nectar.
Un gémissement rauque a rempli mes oreilles et mon âme est tombée dans son giron, se noyant joyeusement dans sa chaleur humide.
Lentement, léchant, suçant et embrassant tendrement, j'ai exploré chaque recoin de sa vulve, libérant son jus qui arrosait ma bouche et mon menton.
Des sons graves et primitifs emplissaient la pièce avant d'être étouffés par la pression soudaine de ses cuisses sur ma tête.
J'ai poussé ma langue dans son orifice et je l'ai secouée. Elle a tremblé et pantelé sous moi. Ses cuisses enserraient mon visage, chaque crispation étant plus puissante que la précédente, pressant mon cerveau jusqu'à ce que le monde s'assombrisse.
Quand je repris mes esprits, Max me tirait par les cheveux et me secouait douloureusement la tête.
Des soubresauts agitaient ses hanches et elle me regardait comme si j'avais gagné le marathon.
Son visage était rouge et la sueur perlait sur son front.
Souriante, elle me bousculait joyeusement dans une étrange manifestation de joie et d'affection.
J'essuyais mon visage et je réalisais que mon érection était revenue.
Max regarda l'horloge et sauta du lit: "Merde! Mon couvre-feu est dans dix minutes!"
Je n'en croyais pas mes oreilles: "Tu loges au couvent?" J'ai rigolé. Elle me lança un regard haineux en lissant sa jupe.
Pour la calmer, j'ai proposé de la raccompagner.
Nous nous sommes précipités à travers le campus pour aller au dortoir réservé aux filles sages. Également connu sous le nom de Couvent de Marie ou, plus grossièrement, la Chapelle des Vierges, c'est le seul dortoir à avoir un couvre-feu.
Le favori des parents protecteurs qui veulent soustraire leurs filles aux convoitises des jeunes mâles en rut, et plus généralement les protéger contre tous les maux de la vie d'université.
Nous sommes arrivés devant la porte d'entrée pile à l'heure selon la grande horloge de l'entrée.
Max déposa un léger baiser sur mes lèvres avant de disparaître à l'intérieur. Je marchais sur un nuage en rentrant chez moi.
J'avais oublié de noter son numéro et je ne connaissais pas son nom de famille. Je ne suis qu'un sombre crétin!
Toute la semaine, je me suis promené autour du couvent, dévisageant les filles que je croisais.
En allant ou en revenant de mes cours, ou simplement en me promenant lorsque j'avais un moment de libre.
J'espérais rencontrer Max, je ne pouvais pas me faire à l'idée de ne plus la revoir. Je n'étais pas amoureux, j'étais fou d'elle.
J'avais trouvé sa culotte pelotonnée sous mes draps de lit et je la trimbalais avec moi comme si j'étais le prince charmant dans une version perverse de Cendrillon. Pas une seule fois je ne l'ai aperçue.
Deux semaines plus tard, j'avais perdu tout espoir de la revoir.
Je révisais mes notes dans ma chambre lorsque j'ai entendu une voix: "Hep!" Sur le pas de ma porte, deux yeux verts brillaient.
Un jeans déchiré, un sweat-shirt trop large, une mèche de cheveux noir sur l'il, elle me souriait: "Je dérange?"
"Non, pas du tout" dis-je en rangeant rapidement tout mon fatras. Elle vint s'assoir à côté de moi, au bord du lit.
"L'autre nuit ..." Elle marqua un temps d'arrêt en me jetant un regard froid et dur. "Tu n'en as parlé à personne, n'est-ce pas?"
J'ai juré que non. "Bien, ne le dis à personne, tu m'entends, à personne, sinon je te ferai du mal!"
"Je te le jure, je ne dirai rien, à personne!" Je me décomposais sous son regard. Elle commençait à me faire peur.
"OK je te crois." Elle me regarda un long moment puis dit: "Ôte tout tes vêtements."
"Quoi?"
"Enlève tout ça. Je veux te voir nu."
"Pourquoi?" J'ai demandé sans réfléchir.
Max se leva, inclina la tête et me regarda avec curiosité: "T'es puceau?"
La bouche ouverte je ne parvenais plus à avaler ma salive. J'ai évité son regard. Puis j'ai haussé les épaules, vaincu.
"Je n'ai jamais
Enfin ..."
"Quoi? Embrasser une fille? Sentir sa langue sur ta langue? Toucher le cul d'une fille?"
Je fixais le sol. Je ne pouvais pas la regarder dans les yeux.
"Quoi d'autre?" Elle me torturait, moqueuse.
"Tu sais, ce que tu m'as fait..." je bafouillais.
"Tu veux dire sucer ta bite dressée dans ma bouche et que tu éjacules ton sperme dans ma gorge. C'est une fellation!"
"Ouais. Ça
Et puis ce que je t'ai fait..."
"Ah, tu veux dire un cunnilingus, quand tu m'as mangé la chatte!"
"Mangé le chat?"
Max secoua la tête: "Pas le chat, tu as léché ma chatte. CHATTE!" Elle me montrait du doigt son entrejambe.
"D'accord."
"As-tu aimé lécher ma chatte?"
"Ouais, ah ouais!"
"Dis-le."
"J'ai aimé te lécher."
"Je veux que tu dises le mot que je t'ai appris." Elle me torturait, ravie par mon mal-être. "Dis, ma chatte."
"Chatte" dis-je doucement, en fronçant les sourcils. Toute ma vie, on m'avait appris à ne pas dire de mots grossiers.
Elle riait de mon embarras: "Tu es vraiment vierge, à plus d'un titre." Son rire accentuait ma gêne. Je me sentais ridicule.
"Au moins, je sais que tu es pur. Dis-moi, Thomas, est-ce que tu te préserves pour le mariage? As-tu juré devant Dieu de rester pur et chaste jusqu'à ta nuit de noces?" elle se marrait carrément en se foutant de moi.
"Non, ça ne te regarde pas, mais non!" dis-je, sur la défensive.
"Tu crois en Dieu, Thomas?"
"Non, et toi?"
Max renifla: "Pas de temps à perdre avec ces balivernes!" Elle dégrafa son jean et l'abaissa sur ses jambes.
"Veux-tu me lécher, Thomas?" Elle a baissé sa culotte. "Ma chatte est toute mouillée et si désireuse... Tu veux la manger, Thomas?" Elle m'a tendu sa main. Deux de ses doigts brillaient de sa mouille. J'en salivais d'avance. J'ai hoché la tête.
"Alors enlève tes putains de frusques!" Elle ne souriait plus. Sa voix était menaçante.
Je me levais pour enlever ma chemise et mon jeans. Après un moment d'hésitation, j'ai viré mon boxer. Max regardait mes pieds.
J'ai compris et j'ai retiré mes chaussettes. Je me tenais au milieu de la chambre, entièrement nu et à demi excité.
Max tournait autour de moi en marchant lentement, comme pour inspecter mon corps. J'ai prié pour qu'elle ne remarque pas mes lobes d'oreilles ou ma cage thoracique un peu asymétrique. Elle s'est arrêtée devant moi et a regardé ma queue.
"Putain, t'es incroyable! L'autre soir, je me demandais si j'avais eu la berlue! Tu connais sa taille?"
Comme la plupart des gars, j'avais mesuré mon pénis. J'avais fait des recherches, mais j'étais embarrassé de l'admettre.
J'ai simplement dit: "Plus grand que la moyenne, je suppose."
Elle soupira en s'asseyant au bord du lit: "Viens ici, à genoux!" commanda-t-elle.
Max s'est allongée en écartant les jambes: "Je ne peux pas avoir de petit ami!" me dit-elle. Je m'en foutais.
J'ai enfoui ma tête entre ses jambes et je l'ai bue. Quand elle a finit par me repousser, presque une demi-heure s'était écoulée.
J'ai eu un mal fou à me remettre debout. Mes genoux n'étaient que douleurs. Mes articulations étaient raides.
Je me suis frotté la nuque pour atténuer le problème et j'ai voulu m'allonger à côté d'elle.
Elle était allongée là, épuisée, repue. Ses seins rebondis se soulevaient, son piercing à son mamelon jouait avec la lumière.
Le tatouage d'un serpent enroulé autour d'une pomme recouvrait sa hanche gauche, le haut de son ventre.
Elle m'a fait signe de rester debout devant elle: "Masturbe-toi sur moi" dit-elle en fermant les yeux.
Sa voix était fatiguée et pendant un bref instant elle a eut l'air maladive. Jai hésité, elle a reprit avec force:
"Thomas, je veux que tu te branles jusquà ce que ton sperme jaillisse sur moi!"
Je me tenais au-dessus d'elle et je me masturbais pendant que Max caressait son corps du bout des doigts.
Elle avait les yeux fermés et la bouche ouverte, m'invitant à décharger dedans. Je la regardais enfoncer son doigt dans sa chatte.
De sa main libre, elle a saisi mes bourses, et a tiré dessus pour me rapprocher de sa bouche jusqu'à ce que le gland touche ses lèvres.
Elle l'embrassait et le suçait en marmonnant: "Je ne peux pas avoir de petit ami!"
J'ai continué à me branler, mon orgasme approchait. Sa langue touchait le dessous du gland, le frein si sensible, en envoyant des petites décharges électriques directement dans mon sexe, et dans mes bourses. J'ai grogné lorsque la digue s'est rompue.
Le premier jet lui a traversé le visage, touchant le nez, le front, les cheveux.
Elle m'a mis dans sa bouche et elle a avalé tout le reste. Quand j'ai fini, mes genoux étaient si faibles que j'ai failli tomber.
"Je ne peux pas avoir de petit ami" me répéta-t-elle alors que je nettoyais son visage avec une serviette.
Max était si fatiguée qu'elle s'est roulée dans les couvertures et s'est endormie immédiatement.
Je la regardais dormir un moment avant de m'habiller et de retourner étudier.
J'ai touché chaque élément du bureau exactement sept fois dans le bon ordre avant de pouvoir reprendre mon travail.
Je l'ai laissée dormir deux heure avant de la réveiller en douceur.
"Max, il faut que tu rentres avant le couvre-feu" dis-je doucement.
Elle marmonna un truc inaudible et m'attira contre elle, son ventre pressé contre mon érection grandissante.
Nous restâmes allongés quelques minutes, elle me caressait tendrement les cheveux.
Puis elle m'a regardé fixement dans les yeux: "Je ne peux pas avoir de petit ami!"
"Je sais! Allez, viens, je vais te raccompagner chez toi." Cette fois, j'ai pris son numéro de téléphone.
Le lendemain soir, nous étions assis à la terrasse d'un café. Je ne fréquente pas ce genre d'établissement, mais Max a réussi à me faire sortir de ma chambre. Avant de boire, j'ai tapoté subrepticement l'anse de ma tasse le nombre correct de fois.
"Comment se fait-il que tu n'aies pas de petite amie?"
La question m'a pris au dépourvu. Je cherchais une excuse plausible puis j'ai pensé que je pouvais lui dire la vérité:
"J'ai un trouble d'anxiété qui rend difficile pour moi de rencontrer des gens, surtout des filles."
Elle fronça les sourcils: "Tu n'as eu aucun problème pour me parler la première nuit."
"C'est en partie à cause de la bière, mais surtout parce que tu m'as parlé la première. Tu as brisé la glace et tu m'as fait la conversation. Si tu y repenses, je me suis juste contenté de répondre à tes questions."
Elle haussa les épaules: "Pourquoi ne pas rencontrer des filles dans des soirées ou dans des bars?"
Je tordais une paille entre mes doigts, la torsadant en nuds.
"Agoraphobe. La foule me rendent anxieux, je veux dire, vraiment angoissé. Ici, je suis assis dos à la salle, pour voir un minimum de gens. Je ne peux pas assister à des événements sportifs. Je ne peux pas entrer dans un bus s'il est bondé, je dois attendre le prochain qui me mettra en retard. Les amphis saturés de monde me donnent la gerbe."
La paille a finalement claqué entre mes doigts lors de la quarante-troisième torsion.
Il y a un nom pour ce que j'ai: Trouble Obsessionnel Compulsif. Pourquoi je n'ai pas avoué à Max que j'ai des TOC?
Peut-être parce que je suis conscient de ma folie. Toqué = cinglé. Ma principale obsession, ce sont les chiffres.
Je compte tout, tout le temps, combien de tours il faut pour casser une paille ou combien de pas je fais pour aller en classe.
Ma contrainte c'est de toucher les choses sept fois pour que tout se passe bien. L'anxiété en plus du TOC n'était pas grand-chose.
"As-tu des attaques de panique, vraiment?" J'ai hoché la tête. "As-tu déjà essayé des médicaments?"
J'ai mâché ma lèvre inférieure. Le sujet était délicat. J'avais honte à cause des médicaments prescrits.
Lorsque les gens savaient, ils se comportaient différemment avec moi. Mais Max n'était pas les autres.
"Oui, mais je ne les aime pas. Ils diminuent l'anxiété, mais ils ont des inconvénients. Certains m'ont fait sentir comme un zombie, ou juste un peu brumeux, tandis que d'autres ont des effets secondaires indésirables ..."
"Tel que?"
Je me dandinais sur mon siège. Je détestais cela mais le regard perçant de Max ne me lâchait pas.
"Un médicament en particulier m'a donné une érection qui m'a duré très longtemps."
"Mon dieu! Ça a l'air amusant!" dit-elle malicieusement "Avec toute cette viande que tu trimballes ..!"
"Ce n'était pas amusant. J'avais seize ans et j'avais suffisamment d'érections, tout seul. Quand j'ai pris ce médicament, j'étais dur tout le temps et non seulement c'était embarrassant, mais c'était aussi très douloureux."
"Est-ce qu'il te reste des pilules?" elle m'a demandé, la voix chargée d'espoir.
"Non, j'ai tout jeté il y a longtemps." Max fit la moue, dépitée.
Nous avons bu notre café en silence jusqu'à ce que Max déclare: "Tu es une putain d'énigme!"
Je ne parvenais pas à savoir si c'était une insulte. "Tu es puceau, tu peux à peine sortir en public, et encore moins parler aux femmes, mais tu as une bite! N'importe qu'elle fille ait pour te mettre dans son lit! Je ne connais personne d'aussi doué que toi pour manger la chatte! Personne n'est aussi compétent que toi! Qui t'a appris?"
Je haussais les épaules car je n'étais pas capable de répondre à toutes ses questions.
"J'aime bien regarder des vidéos" ai-je admis." En fait, c'est le seul type de porno que j'aime. J'aime voir une femme exulter!"
Ce n'était pourtant pas la stricte vérité. La réalité, c'est que j'ai toujours le sentiment que quelque chose de grave va arriver si la femme n'a pas d'orgasme. Regarder une vidéo pour la première fois me chagrine toujours, car je ne sais pas s'ils vont montrer la femme ayant un orgasme.
"Qu'est-ce que tu ressens, qu'est-ce qui se passe dans ta tête quand tu lèches ma chatte?"
"C'est comme si j'étais dans une sorte de transe et que plus rien d'autre n'existait au monde. Plus de conscience. Comme un alcoolique qui perd la mémoire quand il est ivre."
Max hocha la tête: "Essaye de me décrire ce que ça te fait de me lécher?"
J'ai réfléchi longtemps avant de dire: "C'est un peu comme manger une pêche trop mûre. Tu sais, fin août, lorsqu'on va cueillir les pêches parfaitement mûres. La chair tendre et le jus sucré bave sur le menton. On ne peut pas s'arrêter de la boire et la chair est douce sur la langue. Cest à peu près ce que je peux décrire."
Max me regarda finir mon café. Il était froid mais je ne pouvais pas le laisser inachevé. Finalement, elle a dit:
"Je reviens dans un instant" et elle est allée aux toilettes. Une minute plus tard, elle était de retour et elle a déposé une boule de tissu vert dans ma main avant de se rasseoir. "Sens-la!" dit-elle "Sens à quel point je suis mouillée à cause de toi!"
Je l'ai raccompagnée jusque chez elle. Elle était plongée dans ses pensées et je n'osais rien dire.
Sous le porche, j'ai essayé de lui rendre sa culotte, mais elle a refusé en fourrant sa langue dans ma bouche, sa main tâtant légèrement ma bite semi-rigide. Sans un mot, elle est entrée.
J'arrivais chez moi quand j'ai reçu ce message de Max: "C'est malin, à cause de toi, je me masturbe maintenant!"
J'ai ri et renvoyé: "J'espère que ta colocataire n'y verra pas d'inconvénient!"
Arrivé chez moi, j'ai reçu ce message: "Maintenant tais-toi, j'essaye de se concentrer!"
Au cours des semaines qui ont suivi, nous nous sommes vus de manière quelque peu aléatoire.
Max passait sans prévenir, je ne pouvais jamais prédire quand elle viendrait.
Je pouvais la voir trois ou quatre soirs consécutifs, puis rester une semaine sans nouvelles avant quelle ne réapparaisse.
Nos rencontres étaient brèves et concises, composées de sexe oral et de branlettes. Max décidait toujours pour tout.
Un soir, elle est entrée dans ma chambre et elle a fermé la porte. J'allais lui parler, mais elle m'a fait un signe impérieux de la main.
Ses cheveux arboraient une mèche violette sur le côté droit. Max déboutonna son imperméable et le laissa tomber au sol.
Bien sûr, elle était nue en dessous. Ses poils pubiens avaient une traînée violette. Elle s'est agenouillée, cuisses écartées.
Je regardais, hébété, sa main pénétrer sa chatte. Je pouvais entendre le barbotage de ses doigts s'agitant dans son sexe.
Je pouvais voir sa chair luisante de cyprine quand elle séparait ses grandes lèvres. Je pouvais sentir son odeur.
Elle pinçait et tirait sans pitié sur ses mamelons, les rendant rouges et gonflés. Pendant qu'elle s'est masturbée, elle ne m'a pas quitté des yeux. Dès qu'elle a joui, elle s'est rhabillée et elle est partie sans un mot.
Sa visite suivante, elle m'a appris à lui faire plaisir, juste avec mes doigts.
Je pensais que j'étais le gars le plus chanceux du campus. Max était une créature incroyablement sexuelle qui m'apprenait tellement. J'étais étonné du plaisir qu'elle pouvait me procurer avec ses mains et sa bouche.
Plus important encore, elle voulait que je lui fasse plaisir avec ma bouche et mes doigts. Je me suis nourri de ses orgasmes.
Je ne veux pas paraître ingrat mais je désirais plus. Même si j'avais très envie de faire l'amour avec elle, le sujet des rapports sexuels n'a jamais été abordé. J'ai supposé qu'elle ne l'avait jamais suggéré parce que c'était une sorte de ligne qui ne pouvait pas être franchie, si on baisait, je serais son petit ami, et elle ne pourrait pas avoir de petit ami. Je n'ai jamais abordé le sujet parce que je pensais que si nous avions des relations sexuelles, Max tomberait gravement malade et mourrait.
Je sais, cela peut paraître fou, mais je ne peux pas empêcher ce genre de pensées de m'envahir. Une fois que j'ai ça en moi, cela m'obsède, et rend la peur palpable. Donc, pour protéger Max, nous ne pouvions pas avoir de relations sexuelles.
Je n'ai jamais osé lui dire ça. J'aurais aimé, mais je n'ai pas pu.
Un samedi soir, je travaillais dans le laboratoire informatique du campus.
Une poignée d'étudiants étaient réunis dans le laboratoire, ce qui rendait la nuit plutôt calme.
Cest ce que jaime car je peux faire mes devoirs en étant payé.
Max s'est approchée et s'est penchée sur le comptoir: "Tu travailles tard ce soir?" demanda-t-elle à voix basse.
La mèche violette dans ses cheveux était maintenant d'un vert éclatant. Je me demandais si ses poils pubiens concordaient.
"Jusqu'à 2 heures du matin. Désolé."
Elle fronça les sourcils et regarda le laboratoire presque vide avant de demander:
"Je vais te proposer quelque chose. Je veux que tu prennes le temps de réfléchir avant de me répondre. Écoute-moi bien."
"Tu aimes lécher ma chatte." C'était une constatation plus qu'une question mais j'ai quand même hoché la tête.
"Plus d'une demi-douzaine de personnes m'ont déjà léché la chatte, dont deux lesbiennes. C'est mon opinion personnelle mais tu es bien meilleur que tous ceux-là." C'était son opinion, je n'ai pas commenté.
"Quoi qu'il en soit, j'ai passé la soirée d'hier avec plusieurs filles et le sujet principal de la discussion était le sexe. Tu ne le sais peut-être pas mais, lorsque les femmes discutent de sexualité entre elles, cela devient très explicite. J'ai entendu parler ces filles et je me suis aperçue qu'elles n'avaient pas ma chance. Cela m'a rendu un peu triste pour elles. Je ne peux pas te considérer comme mon petit ami, mais jai limpression de t'avoir retiré du marché. Tu devrais rencontrer des filles, mais tu passes trop de temps avec moi."
Mon regard a dû s'obscurcir parce qu'elle a rapidement ajouté: "Ne t'inquiète pas, j'ai toujours envie de passer du temps avec toi et de continuer nos activités ... ludiques!" Je me suis détendu, alors elle a continué:
"Le problème, c'est que tu es antisocial. Comme je suis une paria, c'est peut-être pour cela que nous sommes bien ensemble. Alors, tout cela pose le dilemme. Je veux continuer à te voir, je veux t'aider et je veux aider mes copines. Quelle est la solution?"
Je haussais les épaules car je ne comprenais rien à son monologue. Elle reprit:
"Pour être honnête, j'ai trouvé la solution, cette nuit, pendant que je me masturbais en pensant à toi. J'ai imaginé te placer auprès des filles qui ont besoin d'un bon coup de langue!" Elle s'arrêta et sourit.
Je la regardais pendant très longtemps. Enfin, j'ai demandé:
"Tu veux me placer comme gigolo auprès de tes copines? Et tu leur prendras de l'argent?"
Max secoua la tête avec vigueur: "Non, bien sûr que non, aucun argent ne changera de mains, c'est juste pour rendre service!"
"Juste pour rendre service?"
"Oui, c'est gagnant-gagnant pour tout le monde. Tu fais la connaissance de filles sympa que j'aurais sélectionnées, elles auront le meilleur orgasme de leur vie, ta renommée se propage et tu sais comment me remercier ..!"
"Est-ce que tu penses vraiment que cela va fonctionner?"
Elle sourit et posa sa main sur mon épaule: "Stupide garçon, bien sûr que cela va fonctionner. Maintenant, je veux que tu réfléchisses à ma proposition et que tu me donnes ta réponse demain soir. Passe me prendre à dix-huit heures."
Je restais longtemps à réfléchir avec quel type de sociopathe je m'étais associé.
Je n'ai pas réussi à dormir cette nuit-là. C'était à la fois terrifiant et émoustillant.
Je devrais sortir et aller à la rencontre de nouvelles personnes. D'autre part, je désirais connaître le goût d'autres filles.
Est-ce que chaque femme avait une odeur différente? D'après les pornos que j'avais vu, je savais que les vagins étaient tous différents, mais le goût? Certaines filles seraient-elles rasées? J'ai balancé entre la panique et l'excitation toute la nuit.
Bien sûr, j'ai accepté, puisque c'était ce que Max voulait. Mais j'avais aussi des inquiétudes: "Y a-t-il des règles de base?"
"
?"
"Je sais pas
Aurais-je un droit de refus?"
Max acquiesça: "Bien sûr. Si tu te sens mal à l'aise, ou si l'ambiance est malsaine, tu peux annuler."
Sur le chemin du retour, elle m'a fait traverser un cimetière, prétendant que c'était un raccourci. La lumière déclinait, rendant l'endroit assez lugubre. Là, au beau milieu du cimetière, elle m'a sucé, appuyé contre une énorme pierre tombale.
Quand c'était fini, elle m'a fait coucher par terre et m'a chevauché le visage. L'herbe sèche m'a égratigné la nuque pendant qu'elle se tordait sur moi. Et oui, ses poils pubiens étaient striés de vert.
Plusieurs semaines se sont écoulées, j'avais des doutes mais Max m'a rasséréné, m'assurant que son projet était en bonne voie.
Elle ne voulait pas être trop provocante et risquer d'effrayer les filles. Elle appâtait les filles avec quelques allusions, et ensuite elle les laissait venir en donnant peu de détails, juste assez pour leur mettre l'eau à la bouche.
Finalement, elle a réussi à en accrocher une. La fille est venue dans sa chambre pour lui poser des questions explicites.
Max m'a raconté leur entrevue un soir. J'étais nu, allongé sur le lit, elle était complètement vêtue et elle frottait son entrejambe contre la mienne: "Samedi soir, nous irons à une petite fête, près de chez moi, et tu feras sa connaissance"
Le plaisir a été immédiatement remplacé par une sensation de malaise dans tout mon corps.
"Détends-toi!" Elle roulait ses hanches en cercles lents et délicieux. "Je serai là pour vous présenter. Vous allez échanger quelques mots, et ensuite tu l'emmèneras dans un endroit tranquille où tu pourras lui lécher la chatte jusqu'à ce qu'elle jouisse."
La sensation causée par le frottement de son pubis contre le mien m'a permis de me détendre peu à peu jusqu'à ce que je durcisse.
Nos corps ont basculé dans le désir. Ses beaux yeux verts me dévisageaient attentivement pendant que mon souffle commençait à me manquer. J'ai voulu lui quitter son jeans mais elle a secoué la tête.
"J'ai besoin de toi, samedi soir. Tu es au régime sec jusque-là."
Elle a enfoui sa tête dans mon cou et elle a continué à me moudre l'appareil génital.
Ses hanches oscillaient contre moi par des poussées vives et rapides, le frottement intense m'amenait au point de rupture.
Mon corps tremblait et je grognais à chaque poussée. Une chaleur soudaine a inondé mes bourses lorsque j'ai basculé.
Max a continué, essayant en vain d'atteindre l'orgasme, puis finit par s'arrêter lorsque je m'assouplissais sous elle.
Elle se leva et toucha la tache humide de son jean, satisfaite. "Je retourne dans ma chambre pour me masturber. Peut-être que cette fois, je vais arriver à rentrer tout mon poing à l'intérieur. À samedi soir."
Avant que je puisse dire un mot, elle était partie. J'ai passé l'heure suivante à toucher sept fois tout les objets sur mon bureau pour assurer la sécurité de Max.
En fin de semaine, j'étais une boule de nerfs et j'avais perdu l'appétit. L'anxiété d'aller dans une fête avec beaucoup de monde et de bruit, pour faire la connaissance d'une fille, la pression d'arriver à la séduire et lui faire perdre la tête, c'était trop pour moi.
Samedi soir, Max m'a trouvé recroquevillé au fond de mon lit.
Elle m'a caressé la tête et m'a parlé doucement, me persuadant de m'asseoir, puis de me lever et de l'accompagner à la soirée.
Elle m'a tenu la main tout au long du chemin, je me cramponnais à elle comme un noyé saisit une bouée de sauvetage.
Sous le porche de la maison, elle a lâché ma main, m'a souri et m'a dit: "Détends-toi. Ça va aller, maintenant."
Il était encore relativement tôt et la fête n'était pas aussi animée que je le craignais.
Max m'a présenté Amanda, une grande femme assez austère. Son chemisier blanc était boutonné jusqu'au col et sa jupe droite descendait sous les genoux. Elle était attrayante malgré l'air grave de son visage. Nous nous sommes serré la main, ce que j'ai trouvé étrangement formel dans les circonstances. Max s'excusa pour aller chercher un verre.
Amanda et moi, nous nous sommes dévisagés un moment avant de nous détendre tous les deux.
Je pouvais deviner la gêne sur son visage et je savais exactement ce qu'elle ressentait.
Max m'a fait un signe depuis l'autre extrémité de la salle, m'incitant à emmener ma conquête vers un lieu plus propice.
J'ai avalé péniblement ma salive et j'ai dit: "Eh bien, ceci est l'introduction la plus ratée que j'ai jamais faite."
Amanda a souri brièvement et son visage s'est adouci.
Je me suis penché vers elle et j'ai demandé: "Peut-être devrions-nous trouver un endroit tranquille pour parler."
Amanda hocha la tête et m'entraîna dans son sillage, à travers la foule et dans l'escalier. Le deuxième étage était désert et elle a trouvé une salle de bain avec un verrou. Amanda s'appuya contre le lavabo, raide et digne. Je levais ma main droite pour qu'elle puisse la voir puis je la posais doucement sur sa hanche. Elle se crispa brièvement puis se détendit ensuite.
"J'arrêterai quand tu le voudras. Dis-moi juste: assez" Elle acquiesça alors que je lui caressais la hanche sur sa jupe en tricot.
Alors qu'elle s'habituait à mon contact, ma main descendit sur sa jambe jusqu'à son genou.
Là, sur le devant de sa cuisse, j'ai ramassé sa jupe entre mes doigts et je l'ai soulevée lentement jusqu'à toucher sa peau.
Je la dévisageais. Elle restait immobile, les yeux fermés, le souffle court, l'air vulnérable et délicate.
Ma paume contre sa peau, d'un mouvement lent mais volontaire, je glissais ma main vers l'intérieur de sa cuisse.
Son corps s'est élevé en harmonie avec ma main jusqu'à ce qu'elle soit sur la pointe des pieds et ne puisse plus se hausser.
Elle se mordillait la lèvre maintenant et quand ma main effleura sa culotte, elle inspira brusquement.
D'un doigt je caressais légèrement son sexe à travers le tissu de coton. Je pouvais la sentir vibrer et enfler sous mon contact, les crêtes et les vallées subtiles de sa chatte devenaient de plus en plus prononcées à chaque instant.
Amanda a rabaissé son corps jusqu'à ce que ses pieds soient à plat sur le sol, appuyant sa chatte dans ma main.
Ma caresse est devenue plus audacieuse et son visage est devenu rouge. Une lueur a commencé à briller en elle, une lumière qui faisait ressortir la beauté de son regard.
Elle se cramponnait maintenant au lavabo, les muscles de ses bras tétanisés. J'ai utilisé tout les trucs que Max m'avait enseigné.
Mes doigts dansaient sur sa chatte, provocant un faible gémissement. La houle de ses hanches a été accentuée lorsque j'ai agacé son clitoris, et j'ai rapidement pénétré sa vulve avec mes doigts. Elle poussa un gémissement plus rauque et bloqua son souffle lorsque l'orgasme l'atteignit. Je vis son beau visage se déformer, comme en proie à une souffrance intérieure.
Quand elle a ouvert les yeux, son sourire et l'éclair dans son regard m'ont fait chaud au cur.
"Merci" murmura-t-elle d'une voix à peine audible. Elle a commencé à lisser sa jupe mais je l'ai saisie et je l'ai appuyée contre le mur opposé au lavabo. "Quoi ..?" commença-t-elle à demander mais elle se tut quand je m'accroupis devant elle.
Je la regardais dans les yeux en soulevant sa jupe. Amanda m'a regardé les yeux écarquillés embrasser sa culotte.
Son arôme m'a rendu instantanément raide, j'ai pressé mon visage contre son sexe. J'ai accroché mes doigts dans la ceinture élastique pour lui retirer sa culotte.
Des poils pubiens blonds et bouclés m'accueillirent. Ses lèvres gonflées m'ont appelé. Je l'ai embrassée et elle a frissonné.
Ma langue sépara facilement ses lèvres humides et je l'ai goûtée. Je plongeais dans le délice jusqu'à ce que le son plaisant de son orgasme atteigne mes oreilles. Je levais les yeux et vis qu'elle observait notre reflet dans le miroir.
Son corps s'est affaissé après la libération intense, ce qui m'a incité à m'arrêter.
Elle souriait, le visage fatigué, mais le regard brillant. Ses lèvres effleurèrent les miennes en remerciement.
Après son départ, je me suis débarbouillé pour aller retrouver Max.
Impossible de la retrouver dans cette foule bruyante et très dense. Soudain, je n'avais plus assez d'air dans cette pièce, ma poitrine m'oppressait, la tête me tournait. Il fallait que je m'échappe de ce piège avant que la panique ne m'envahisse.
J'ai titubé à travers la foule jusqu'à ce que je trouve la porte donnant sur le jardin.
Je me suis assis sur la balustrade, le dos contre la maison, l'air froid de décembre m'isolant de tout ces gens, mis à part quelques fumeurs endurcis. Quand Max m'a trouvé, j'étais transi de froid. Elle récupéra nos manteaux et me raccompagna.
Pas un mot ne fut prononcé dans la chambre, pendant qu'elle me déshabillait et me mettait au lit.
Max éteignit la lumière et après avoir ôté ses vêtements, elle me rejoignit sous les couvertures. Son corps se pressait contre le mien et ses bras m'enveloppèrent dans un câlin protecteur. Petit à petit, mes tremblements se sont calmés.
"Veux-tu en parler?" elle m'a demandé.
"Quoi: Amanda ou la foule?"
"Parle-moi de la foule. Que s'est-il passé?"
"J'étais mal. Oppressé. Il fallait que je sorte de là. Trop de bruit, la foule
Panique!"
Un frisson me parcourut et Max me serra très fort dans ses bras.
"J'ai parlé avec Amanda, elle était comblée. Une fille radieuse. Comme si elle était une toute nouvelle personne."
Je hochais la tête: "Bien. Alors, quelle est la prochaine?"
"Maintenant, on va attendre. Le bouche à oreille. Amanda va en parler à ses copines. Elle ne pourra pas garder ça pour elle."
Je restais allongé, silencieux, me demandant si j'étais capable de le refaire. Avec une autre fille, oui, mais pas à une autre fête.
Max caressait tendrement ma poitrine et mon ventre. "Parle-moi d'Amanda."
Alors, je lui ai tout raconté. La main de Max sur mon entrejambe m'encourageait, sa prise devenait plus ferme au fur et à mesure que je me dressais. Elle m'a pris dans sa bouche pendant que je décrivais le visage d'Amanda quand elle a exulté la première fois et Max a avalé ma semence quand je lui ai raconté comment les cuisses d'Amanda me pressaient la tête.
Max s'allongea et mit ma tête entre ses jambes. Je la taquinais avec mes lèvres, ma langue et mes doigts, ses orgasmes devenaient de plus en plus rapprochés jusqu'à ce qu'ils se fondent en un seul et long orgasme intense.
Fatiguée, elle m'a attiré contre elle et nous avons dormi, blottis dans les bras l'un de l'autre.
Un peu plus tard, j'ai fait un rêve étrange. J'ai rêvé que Max me chevauchait, face à moi. Elle frottait lentement sa fente sur mon gland jusqu'à ce qu'il s'infiltre onctueusement à l'intérieur de son vagin.
Ses hanches ondulaient lentement, ses grognements accompagnaient chaque pénétration. Immobile dans mon rêve, incapable de bouger, j'aurais aimé aider son corps à bouger sur le mien. Max s'est penchée sur moi, soulevant ses fesses jusqu'à ce que le gland seul reste en elle. Son corps a sursauté, sa chatte s'est accrochée à ma verge. Vague après vague, le plaisir m'a terrassé.
Je me suis réveillé avec ma langue enfouie dans sa chatte et ma bite engloutie dans sa bouche. Son corps frissonnait au-dessus de moi, rendant son sexe tyrannique contre ma bouche. Je suis venu rapidement et abondamment, mes doigts s'enfonçant dans ses fesses charnues. Quelques instants plus tard, elle a exulté, ma semence a coulé de sa bouche tandis qu'elle criait sa jouissance.
Elle s'est allongée contre moi et nous avons encore dormi.
Dans la lumière grise de l'aube, je me suis réveillé pour voir Max en train de s'habiller.
"J'ai fait un rêve étonnant" c'était tout ce que je pouvais dire. Elle sourit et m'embrassa doucement sur les lèvres.
Ses doigts jouèrent délicatement avec mon sexe mollasse. "Je sais" et elle est partie.
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