Le Peintre Et Sa Muse Chapitre 6

Le peintre et sa muse
Chapitre 6

Annie vient s’assurer de l’avancement du tableau

(Comme les 5 chapitres précédents et ceux qui viendront après, il est écrit en collaboration de Jeanne ma coauteur)




Dans la journée, François téléphone à ses hôtes de la veille pour les remercier de la soirée, et c’est Bernard qui répond.
B- Allo ?
F- C’est François, bonjour Bernard, je voudrais vous remercier pour la soirée.
B- De rien, Annie t’apprécie beaucoup, et moi je l’aime et je veux qu’elle soit heureuse, même si
ça passe par toi.
Je ne te demanderai que deux choses ; premièrement, ne pas la décevoir ni la rendre malheureuse, et deuxièmement me permettre parfois de participer ou d’assister à vos amours ;
à ces conditions tu peux venir chez nous comme tu veux tu es le bienvenu.
F- Merci Bernard tu es un homme très compréhensif.
B- Je ne peux pas te passer Annie elle est partie en ville et je ne sais pas à quelle heure elle va revenir, maintenant je vais aller accrocher ton tableau, bonne journée, et au sujet du deuxième tableau….
F- C’est vrai Bernard, nous n’en avons pas discuté.
B- J’aurai une demande spéciale à te faire.
F- Je t’écoute
B- J’aimerai un nu d’Annie je sais qu’elle sera peut être réticente mais je sais que tu sauras la convaincre.
F- Ne te fait pas de souci pour ça, bonne journée, à bientôt.
Et je raccroche.


Il est 10h, j’attends Lydia mon modèle et elle est en retard,
alors je m’attelle à un autre travail quand j’entends la porte de la cour qui s’ouvre.

Enfin elle arrive avec bientôt 20 minutes de retard ! Et quand la porte de l’atelier s’ouvre,
sans regarder je me mets à l’engueuler.
Pas un mot.
Quand deux mains se posent sur mes yeux et une voix me murmure : « C’est comme
cela que l’on accueille son amante de la nuit ? ».


F- Annie ma chérie, je te manquais déjà, moi tu me manques tout le temps !».
A- Je passais en ville et j’ai voulu te voir, te toucher, t’embrasser et pourquoi pas un peu plus.

F- Je viens juste d’avoir Bernard au téléphone, je voulais te remercier pour la délicieuse soirée.
A- Il ne t’a rien dit ?
F- Non il m’a juste demandé deux petites choses.
A- Ah ! Et lesquelles ?

F- C’est entre hommes
A- Si c’est tout ton accueil, autant que je m’en aille !
F- Mon amour est bien susceptible ce matin.
A- Non, mais je suis désireuse de savoir ce qu’il a pu te dire, après ce qui s’est passé !
F- Et bien il m’a demandé de prendre soin de toi !....
A- Et ?
F- De lui peindre un deuxième
tableau.
A- Cela je le sais et je vais choisir le sujet !
F- Et bien non, Bernard a déjà choisi le tableau qui lui ferait plaisir.
A- Et on peut le voir ?
F- Tu tombes bien j’ai besoin de toi.
A- Hein ?
F- Et oui tu es le sujet du tableau ! Bernard veut un nu de toi.

A- Il n’en est pas question, et puis tu m’as dit que tu ne couchais jamais avec tes modèles.
F- C’est fait j’ai déjà couché avec mon modèle, je n’ai plus qu’à le peindre.

A- Où Bernard va-t-il accrocher ce tableau ?
F- Dans son abri de jardin je suppose pour profiter de toi.

La porte de l’atelier s’ouvre et entre Lydia Comme à son habitude court vêtue,
Jupe écossaise rouge, corsage transparent heureusement pour circuler en ville elle porte toujours un châle.
Combien de fois ne l’ai-je pas peinte vêtue seulement de ce châle négligemment jeté sur les épaules.
Lydia et une belle brune à la peau basanée avec aucune marque de maillot elle me dit toujours que tout doit avoir la même couleur, celle du caramel.

C’est un modèle très académique. Mais pas bon caractère, moi non plus d’ailleurs alors on s’accorde.

F- Tu as trente minutes de retard !
L- Ce n’est pas de ma faute, le bus bloqué !

F- Je te présente Annie une amie, je te préviens je ne compte pas la pose d’aujourd’hui.

Tu vas aider Annie à prendre quelques poses, son mari veut un nu d’elle et elle n’a jamais posé.

Lydia n’a aucun mal à comprendre qu’Annie est la maîtresse de François, il suffit de regarder le regard d’Annie sur son amant, et son regard à lui sur Annie comme si elle était déjà nue.

Lydia se fait la réflexion « Tu ne veux pas de moi aujourd’hui, je vais lui faire prendre des poses pas très académiques et tu ne vas pas peindre longtemps !»

L- Annie, pour commencer, il va falloir vous mettre nue, pour cela il y a un paravent derrière vous et sur une chaise il y a un peignoir pour vous couvrir, peignoir que vous retirerez ici.

François préférerait qu’elle le fasse ici dans l’atelier mais il a senti la gêne d’Annie.
Alors il laisse Annie gagner le paravent pour s'y cacher.

Quelques instants, le temps que François mette un grand cahier pour esquisse sur le chevalet, et Annie revient vêtue du peignoir qu’elle serre contre elle en croisant ses bras sur son ventre.

Lydia prend Annie par les épaules et la guide, non pas vers la banquette, mais vers une chaise qu’elle a plantée au milieu de l’atelier, devant un grand drapé.

L- Vous pouvez retirer le peignoir !

Alors Annie apparaît dans toute sa splendeur de femme mûre, avec sa belle poitrine arrogante et un peu lourde, son ventre rond, ses mollets bien galbés et ses fesses rebondies.

Annie est soudain criante d’érotisme, d’autant plus qu’elle a le sexe rasé.

Cette femme à la peau lisse, debout dans cet atelier d'artiste, avec une femme et un homme qui la fixent.
Elle éprouve des frissons sur tout son corps. Cette mature est digne d’un Rubens se dit Lydia.

Alors après avoir posé un linge pour faire disparaître la chaise dessous et après avoir fait asseoir Annie juste les fesses au bord de la chaise face à elle.
Elle lui place le pied droit sur le bord de la chaise et un bras sur le dossier.

Annie se retrouve avec sa poitrine tendue en avant du fait de la pose imposée par Lydia et avec le sexe bien visible au bord du linge, les lèvres roses se détachant
bien du linge blanc.

L- Voilà déjà une première pose, qu’en pensez-vous maître ?
F- Très bien Lydia.

L- On pourrait essayer une autre pose ! (Songeant à assouvir sa vengeance et sa jalousie contre
cette mature qui vient lui prendre son travail et qui en plus a le malheur d’être belle
et épanouie).

F- Merci Lydia, ça ira très bien comme ça ! À lundi prochain et soit à l’heure s’il te plait.

Lydia quitte l’atelier non sans jeter un coup d’œil sur Annie.
Non, elle n’a pas rêvé, la fente d’Annie est en train de baver.
Un long filament translucide, qui brille sous une raie de lumière, est en train de gagner
le plancher de l’atelier, cette mature est à deux doigts de jouir, Lydia jubile, Annie ne tiendra pas très longtemps la pose.

Lydia a quitté l’atelier, et Annie n’a toujours pas bougé, mais sa respiration s’est accélérée, son ventre tremble non pas de froid mais par des spasmes annonciateurs du plaisir de s’exhiber ainsi devant son amant.

François vêtu de son grand tablier de peintre maculé de couleurs diverses se saisit de son appareil photo, et commence à mitrailler Annie.
Entière, buste, fente qui dégouline maintenant.

François est bien à l’étroit dans son pantalon.

Et puis il demande à Annie de mettre son deuxième pied sur la petite table à côté d’elle, et là, jambes écartées, la fente d’Annie bâille entièrement, dévoilant les petites lèvres, le trou sombre de son vagin qui brille sous la lumière et la rosette de son anus qui palpite comme s’il faisait des clins d’œil.

Encore quelques photos, et François ne peut plus tenir, il prend Annie par la main et l’entraîne
vers l’escalier qui mène à son appartement au-dessus de l’atelier.

Annie passe devant, et François a les yeux rivés sur les belles fesses rondes qui dandinent devant lui et aussitôt il pose ses mains sur ces deux rotondités, il bande comme ce n’est pas possible son sexe est de plus en plus à l’étroit dans son pantalon bien qu’il n’ait pas mis de sous vêtement.


Au cours de la montée il retire sa blouse de peintre et ouvre sa braguette afin de libérer le diable qui palpite.

Arrivé en haut de l’escalier François retire son pantalon qui le gêne et se colle aux fesses d’Annie, glissant son sexe turgescent entre les deux globes bien fermes qui tentent d’emprisonner le mandrin tant désiré.

Mais François ne songe qu’à une chose, augmenter son emprise et sa domination sur
cette plantureuse femelle.
Il finira bien par lui faire faire ce qu’il veut.

ainsi il guide Annie vers la chambre décorée de nus parmi lesquels elle découvre le
corps de Lydia, au demeurant joliment peint, aucun des nus n’est érotique, tous
sont esthétiques.
Contrairement à celui que désire certainement Bernard !

Mais pas le temps de s’attarder, Annie se jette sur le grand lit rond, les cuisses
grandes ouvertes.

A- Viens me baiser je n’en peux plus d’attendre !

François retire sa chemise, Annie admire une nouvelle fois ce corps viril poilu comme
elle aime et elle lui crie :
A- Qu’est-ce que tu attends, viens me fourrer ton gros sexe !

François se met à genoux entre les cuisses d’Annie et il se masturbe juste au-dessus du sexe d’Annie.
A- Baise moi, baise moi, salaud je veux ton gros sexe !
F- Demande moi autrement.
A- Viens prend ma fente, écarte mes lèvres.
F- Autrement !
A- Salaud fourre moi ta grosse bite dans le con !

François se penche au-dessus d’Annie, son gland est juste posé sur sa vulve et il le frotte sur le petit bouton, enduisant son sexe du jus brûlant du vagin.

Le clitoris durcit et se dresse.
Annie essaye par des coups de rein de s’empaler, mais à chaque fois François se recule.

Annie n’en peut plus, elle est à deux doigts de jouir ainsi, quand François lui dit :
F- Prends mon sexe et caresse toi avec et ne fais pas semblant de jouir, je sais quand tu jouis car tu gicles comme une fontaine.

Annie passe sa main entre leurs deux corps pour se saisir du sexe de François et elle frotte énergiquement son clitoris enduisant leurs deux sexes de sa cyprine parfumée.

Mais dans l’état d’excitation où elle est, elle sent enfler la lame de fond qui va la foudroyer et la laisser pantelante à la merci de son amant.

Ça monte de plus en plus, ses tétons lui font mal tellement ils sont devenus sensibles et quand François prend un de ses gros bouts en bouche, aspirant avec force cette petite tige ultra sensible, Annie explose.

Ses reins lui font mal, elle est traversée de spasmes incontrôlables et son vagin expulse une quantité énorme de jus qui vient, par des jets successifs, détremper sa main, enduire le sexe et les couilles de François et inonder le dessus de lit.

Et enfin le mandrin tant désiré prend possession de son ventre, la labourant sur toute la profondeur, butant brutalement au fond de son vagin.

Chaque coup de queue qui frappe sa matrice se répercute dans ses seins et jusqu’à son cerveau.
Mon dieu se dit elle François va me transpercer, me clouer comme un vulgaire papillon sur le
lit.
C'est terrible.

Quand François embouche son deuxième téton tendu comme un petit sexe et qu’il le mordille un peu plus fort à la limite de la douleur, Annie entoure ses jambes sur le dos de François pour offrir un meilleur angle de pénétration, pour que le bâton qui lui laboure la fente aille un peu plus loin et qu’elle le sente tout entier dans sa grotte.

François sait combien Annie est sensible à l’orée de son antre ; il sort son sexe ne laissant que son gland juste entre les petites lèvres et reste sans bouger, savourant la chaleur du sexe d’Annie et c’est elle qui, d’un coup de rein, s’empale de nouveau, une fois, deux fois et puis c’est le
tsunami qui emporte les deux amants Annie jouit alors que sa cyprine bloquée par le mandrin ne peux pas sortir et la pression monte dans son ventre en feu, et le sperme de son amant
augmente la pression, son vagin se dilate un peu plus elle sent la sève lui tapisser le fond de la chatte et elle crie sa jouissance.

A- Oui ! C’est bon arrose moi mon amour, je jouis !!!!!!!!! Oh oui donne moi
tout !

François finit par s’écrouler sur son amante, foudroyé par le plaisir, il lui semble s’être vidé complètement.

Combien de temps sont-ils restés soudés ainsi, ils n’en savent rien.
C’est Annie qui fait basculer son amant sur le côté en prenant garde de ne pas se désaccoupler elle veut garder le plus longtemps possible dans son ventre ce bâton de chair qui vient
de lui dispenser un plaisir qu’elle n’avait plus ressenti depuis longtemps.

Annie envoûtée reste blottie contre François, elle l’embrasse tendrement sur le front, le nez, les yeux, la bouche. Elle est à lui, il est à elle et avec la bénédiction de Bernard.

La fraîcheur les fait sortir de leur torpeur, un dernier baiser, et ils se lèvent, François donne à Annie un peignoir et ils vont jusqu’à la salle de bain.

Annie propose de prendre la douche ensemble. Ce que François accepte d’emblée pour pouvoir continuer de caresser ce joli corps de femme épanouie, rassasiée de sexe.

Annie est électrisée. Sous les caresses de son amant, pourtant adoucie par le savon, elle tremble de tout son corps.
Et quand François passe sa main entre la fourche de ses jambes, elle se cambre pour
mieux s’offrir une nouvelle fois.
François lui relève une jambe, de nouveau sa vulve est hyper sensible, son clitoris est comme un
détonateur qui met de suite le feu aux poudres alors François redevenu raide, plante entièrement son sexe dans celui d’Annie, qui s’écroule sur François et elle lui mord l’épaule jusqu’au sang pour ne pas hurler son plaisir.
Son vagin masse le tison de chair qui la remplit toute, son jus se mêle à l’eau de la
douche, puis François la laisse seule sous le jet, pour aller chercher les
vêtements d’Annie qui sont restés dans l’atelier.

Derrière le paravent il n’y a qu’une petite robe d’été et des escarpins, alors François réalise qu’Annie n’était pas venue pour seulement parler du tableau !
La coquine, elle était prête à être "baisée".

Il en profite pour passer un coup de fil à Bernard pour lui dire que c’est réglé pour le nu et qu’il est avec Annie et il lui propose qu’il les rejoigne à la Brigantine
pour prendre le repas avec eux. Rendez-vous dans trente minutes.

Il est déjà midi, un coup de fil à la Brigantine pour réserver sa table qui est toujours libre pour lui, et il rejoint la chambre où Annie l’attend assise sur le lit.
F- Tiens voilà ta robe
et tes escarpins, ton sac est resté en bas.
Tandis qu’il passe un pantalon et une chemise en lin, il admire le corps de son amante qui passe élégamment sa petite robe et chausse ses escarpins.

F- Tenue très légère
pour une petite femme sérieuse !
A- C’est juste pour toi.
F- Allez on y va j’ai
retenu une table, Bernard nous rejoint à la Brigantine.

Annie se jette au cou de son amant pour un long baiser.
A- Je t’aime mon amour.
F- Moi aussi je
t’aime, je vais faire quelque chose de toi car tu aimes le sexe ma belle.
A- Oui, François et surtout le tien.

Ils quittent l’appartement et l’atelier pour rejoindre à pied le restaurant qui n’est pas loin.

François tient Annie par la taille pour continuer à sentir la chaleur qu’elle dégage.

Arrivés au restaurant, Bernard les attend au bar.
B- Alors ma chérie, c’était comment cette première séance de pose ?
A- François a bien travaillé déjà et je suis épuisée, je ne savais pas que c’était aussi fatigant
de tenir la pose.
Tout en regardant son amant comme pour le remercier. Un bon apéritif, un excellent repas, rien de tel que pour reprendre des forces.

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