La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1282)
Camélia au Château - (suite de l'épisode précédent N°1281)-
Cest pourquoi jouvris donc ma boite mail et commençais à taper mon message adressé au Maître en écrivant, effaçant et réécrivant à plusieurs reprises pour être sûre de ne rien omettre :
Bonjour Maitre Vénéré, Daignez-me lire. Cest avec bonheur et plaisir que je me permets de Vous écrire ce message. Je souhaiterais tout d' abord Vous remercier et Vous exprimer ma très grande reconnaissance de m'avoir permis de Vous rencontrer par cette incroyable surprise et de devenir par la suite une de Vos soumises. Pour ne rien Vous cacher, depuis notre rencontre, rien que de penser à Vous et à Votre noble personne, jen ai mes sens tous émoustillés. Je ne serais pas totalement franche si je ne Vous disais pas le trouble qui mhabite quand je me suis soumise à Vous à lintérieur de Votre bureau, dans la fameuse tour Part Dieu. Même s'il est vrai que vu mon assez grand orgueil, je ne sais pas si Vous lavez encore remarqué, mais je me doute vu Votre très grande connaissance de la psychologie humaine, que cela ne Vous a pas échappé. Sachez, ô Maître vénéré, que je saurais faire taire cet orgueil qui nest pas digne dune soumise car tout orgueil ne peut cohabiter avec la condition d'une soumise. En rentrant de mon rendez-vous avec Votre très noble personne, dans les transports en commun, je nai pu mempêcher de penser à Vous et à la merveilleuse surprise de Vous avoir rencontré. Je nai pu que constater une excitation montante, flagrante mentalement et physiquement générant une humidité assez abondante au niveau de mon entrejambes. Je ne peux pas donc Vous cacher plus longtemps que jen mouille pour Vous, rien que de penser à Vous, comme la chienne que je suis et que Vous voulez faire de moi. Veuillez recevoir Monsieur le Marquis, mes salutations les plus respectueuses et sincères de la part de Votre nouvelle chienne et soumise.
Je relis le mail plusieurs fois et je réfléchis quelques minutes puis ne voyant finalement rien à changer, je décidais de lenvoyer.
Quinze jours passèrent, c'est alors que je reçus un message du Maître et je ne pus mempêcher de réprimer un sourire quand jen découvris son contenu. En effet, celui-ci disait :
La petite chienne en devenir, Rendez-vous jeudi à 16h dans Mon Château. Il est temps que tu sois en Ma Demeure pour Me servir. Je te veux en forme et pas la peine de mettre de soutien-gorge ni de culotte, cela est superflu et ne te servira à rien
C est ainsi que les jours passèrent et javoue que ce fut long dattendre jusquau jeudi, jour du rendez-vous.
- À poil, la chienne. Tu ne penses quand même pas entrer dans la noble Demeure de Monsieur le Marquis en étant habillée ? dit-il d'un ton sec.
- Non mais
je
- Il n'y a pas de mais je
Déshabille-toi et si tu nes pas daccord, tu ferais mieux de repartir tout de suite
Personne ne te retient et ne te retiendra, ici
Malgré mon stress, il était hors de question de repartir car javais trop besoin de me retrouver aux pieds du Maître.
- Ah mon bon Walter ! Mais que me ramènes-tu, là ? Ah voilà ma nouvelle chienne. Quel plaisir de la retrouver. Bien Walter, tu peux nous laisser et je ne veux pas être dérangé sous aucun prétexte.
- Bien Monsieur le Marquis, il sera fait selon Vos exigences, dit-il en quittant la pièce en sinclinant avec un respect évident
Cest alors que je me retrouvais enfin seule avec Lui, attendant à quatre pattes, tête baissée selon Son bon Vouloir. Jattendis comme cela plusieurs minutes dans un total silence, en ayant bien du mal à cacher mon excitation grandissante avec ma mouille qui dégoulinait le long de mes cuisses. Cest à ce moment-là que Monsieur le Marquis décida de se lever :
- Bien Ma chienne, cest aujourd'hui que jai décidé de prendre possession de ton corps car comme tu le sais déjà celui-ci ne tappartient plus, il est Ma propriété absolu, il Mappartient.
Il sortit alors Son membre viril et volumineux de Son pantalon. Jamais je navais vu une telle verge si grosse si épaisse et si longue.
- Je vais te posséder par tes deux trous de chienne en chaleurs pour prendre possession de ce qui Mappartient. Tu nes pas autorisée à jouir pour le moment. Si tu cries ou émets le moindre bruit, tu seras punie, que ce soit clair, je ne veux pas tentendre
Je sentis dun seul coup Sa verge me pénétrer sans préambule et dun coup sec, elle prit possession de ma chatte déjà trempée et avec ses virils coups de reins puissants et profonds, ma chatte dégoulinait littéralement de mouille. Jamais je navais être aussi excitée ni ressentait autant de divines sensations. Le Châtelain accéléra la cadence et jeus toutes les peines du monde à ne pas crier de plaisirs et à némettre aucun bruit. Jétais là, telle une salope bonne à baiser, jambes écartées, ma cyprine dégoulinante et le regard pétillant et si heureuse intérieurement. Je me sentais à ma place, à être utilisée pour Son plaisir. Je sentis que Ses va-et-vient saccéléraient encore plus jusquau fond de ma chatte quand Il décida, tout dun coup, de sortir Son Vit de mon sexe affamé. Ne pouvant mempêcher de pousser un soupir de mécontentement, souhaitant être encore prise ainsi comme une chienne. Je sentis alors deux claques cuire mes fesses.
- Jai dit que je ne voulais entendre aucun bruit, dit-il dun ton dautorité. Reçois Ma noble semence sur ton corps de salope, dit-il, tout en méjaculant sous mes seins, sur le ventre et fais attention de ne pas en faire tomber par terre, la chienne.
Après mavoir éjaculé dessus, Monsieur le Marquis se rapprocha de ma croupe pour linspecter :
- Alors ton cul est vierge de toute pénétration salope ?, sexclama-t-il dun ton enjoué. Bien ce nest pas grave nous allons remédier à ça...
Le Châtelain commença à mettre un doigt, puis deux, puis trois, jusquà atteindre louverture quil voulait de mon anus qui commençait à bien se dilater. Puis, il attrapa un gel lubrifiant et en passait sur Ses doigts pour continuer à faire le passage, à mélargir lanus. Une fois le résultat escompté le Noble enduit Sa noble verge, redevenue droite et gonflée, du même gel lubrifiant et lenfonçait dans mon cul avec des va-et-vient tout dabord en douceur, très doucement afin que Sa queue prenne sa place le plus profond possible et puis enfin de plus en plus vite. Paradoxalement au départ, je ressentais une certaine douleur même si celle-ci était très atténuée grâce à la lubrification puis très vite ladite petite douleur fut remplacée par un bien-être immense ainsi qu'une certaine excitation de mon sexe, je dois bien l'avouer. Je savourais désormais Ses coups de reins dans mon anus et jen étais tellement excitée que je profitais de ce moment le plus intensément possible. Peu de temps après, le Noble jouit dans mon cul sentant Son sperme couler dans mes entrailles. En sortant Son membre de mon anus, Il se rendit compte que quelques gouttes de Sa semence avait coulé sur le sol. Alors Monsieur le Marquis me releva dun coup pour me mettre à quatre pattes sans ménagement. Voyant Son regard insatisfait, je me doutais que la punition ne tardera pas à tomber, javais laissé échapper quelques gouttes de Son précieux sperme sur le beau parquet ciré
(A suivre
)
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