Paul, Le Mari Candauliste D'Éva 2
À rapprocher des histoires déjà parues :
- Mon premier voyage de femme libre,
- Paul, le mari candauliste d'Éva.
Yassine, lecteur assidu de mes récits est attiré par le candaulisme. Il a souvent été l'heureux élu choisi pour donner du plaisir aux femmes devant leur mari.
Voici le message qu'il m'a écrit : "Le plaisir candauliste démultiplie le plaisir ; le regard de lautre rend les jouissances, orgasmes beaucoup plus forts.
Cette relation avec le mari présent a quelque chose dunique, dincroyablement sexuel. La présence du mari change tout. Le Plaisir est UNIQUE, empreint de DOULEUR, dEXCITATION ET DE BONHEUR."
Yassine a accompagné son message de quelques conseils d'écriture, qui selon lui, devrait accroitre le plaisir de la lecture.
J'en ai parlé avec Yassine et avec Paul, mon mari. Cette collaboration m'a permis d'écrire ce nouveau récit. J'attends beaucoup vos commentaires.
Comme pour l'histoire "Paul, le mari candauliste d'Éva", j'écris ce récit où le narrateur est Paul.
Paul
Si vous avez lu les aventures d'Éva, vous nous connaissez. Je suis marié avec Éva depuis un peu plus de trente ans. Jai toujours adoré, adulé ma femme. Son corps, ses courbes, ses fesses, ont été lobjet de mes désirs et de mes fantasmes les plus fous.
Mon plus grand plaisir, cétait de la savoir épanouie. Épanouie dans sa vie de femme, mais aussi et surtout sexuellement. Je lui ai confié que je comprenais ses besoins sexuels et je savais quune femme pouvait avoir beaucoup plus de jouissances quun seul homme ne pouvait lui donner.
Je précisais que pour son épanouissement, jétais prêt, par amour, à lui laisser une totale liberté. La seule condition, cest que je ne voulais pas être cocu. Cela signifie pour moi quelle ne devait rien me cacher. Quelle pouvait avoir des amants, et que je lencourageais dans ce sens, mais quelle devait tout me dire, quon devait tout partager.
Je lui ai expliqué ce qu'était le candaulisme. Elle a été tentée par lexpérience.
Au début, elle avait beaucoup de réticences car Éva avait peur dêtre jugée comme étant une salope qui trompe son mari. Elle avait peur également de mes réactions. Cest facile de se dire candauliste, cest parfois difficile dassumer pour lhomme face à des amants très performants et très bien montés.
Suite à l'escapade parisienne d'Éva, nous avons eu la visite de plusieurs amants que vous connaissez : Jeff et Gérard notamment. Mais Jeff et Gérard ont dû quitter notre délicieuse région. Éva et moi-même avions la nostalgie des soirées magiques pendant lesquelles elle jouissait comme une démente et moi qui prenait beaucoup de plaisir à la voir s'envoler dans de multiples jouissances.
De mon côté, il me restait toutes les images et vidéos qui me rappelaient tous ces moments, mais je sentais bien qu'il manquait quelque chose à Éva ; aussi, j'ai décidé de repartir à la quête d'un nouvel amant. Tous les candaulistes le savent, cette recherche est délicate. C'est finalement un lecteur assidu des aventures d'Éva qui a retenu mon attention.
Après quelques échanges de mails nous avons décidé de nous rencontrer Yassine et moi. Aussitôt le courant est passé entre nous. Yassine, bel homme brun de quarante ans était sain. J'ai apprécié son éducation et sa vision de l'amant régulier. Il était respectueux et recherchait en priorité le plaisir de sa maîtresse avant le sien.
Les photos d'Éva que j'avais apportées correspondaient tout à fait à l'image qu'il s'était fait d'elle et il avait hâte de la rencontrer.
Nous convînmes qu'il viendrait chez nous samedi prochain.
Tout excité, je rentrais à la maison avec plein d'idées dans la tête. J'avertis Éva que j'avais trouvé un nouvel ami. Éva était dubitative. Elle attendait de voir avant d'enclencher une nouvelle relation
Samedi.
Nous attendions Yassine avec impatience. Éva avait choisi une robe rouge fermée par un zip total sur le dos très décolleté.
J'avais préparé des petites choses à grignoter et du champagne au frais.
Nous entendîmes une voiture arriver à l'heure convenue. Yassine était à l'heure. J'ouvris la porte et attendîmes mon ami en tenant Éva par la taille.
Yassine s'approcha. Il était vêtu d'une simple chemise blanche et d'un pantalon en toile noir. Il présenta un bouquet à Éva avant de s'approcher pour l'embrasser.
Je ne pouvais m'empêcher de fixer Éva pour observer ses réactions. Elle avait rougi. Voilà ce qui était de bon augure.
Éva : - Je suis ravi de faire votre connaissance Yassine. Paul m'a beaucoup parlé de vous en bien. Trop je dois dire. Je pensais qu'il exagérait comme à son habitude, mais là, je ne crois pas. Merci de venir passer un moment avec nous.
Yassine : - Ne me remerciez pas ma chère Éva. C'est moi qui suis flatté. J'ai lu tous vos récits et je suis heureux que Paul m'ait invité pour faire connaissance.
Éva (toute rouge) : - Merci. Je ne sais pas quoi dire.
Paul : - Installons-nous pour trinquer.
Je fis sauter le bouchon et servis le champagne.
Santé.
Nous parlâmes, échangeâmes des banalités, puis ce fut Yassine qui prit l'initiative. Il profita qu'Éva soit penchée pour lui flatter ses fesses nues. Éva se retourna et sourit. Elle se mit à genoux et prit la main de Yassine pour l'embrasser et la porter sur son sein gauche. Tandis qu'il appuya ses caresses sur sa poitrine offerte, Éva entreprit de caresser la cuisse de son amant en me regardant. Voyant que je l'encourageais du regard, elle remonta sa main jusqu'à l'entrejambe de Yassine qui gémit
Alors, il attira Éva contre lui pour l'embrasser
.
J'étais trop excité. Je ne pouvais espérer mieux. Quelle chance nous avions tous les trois !
Je me levais, pris la main d'Éva pour la faire se redresser et proposais à Yassine de monter se doucher avant de passer aux choses sérieuses.
Je proposais à ma femme de l'accompagner. Je lui proposais un premier défi.
Paul : - Éva peux-tu accompagner notre ami dans la salle de bains s'il te plait ? Je te propose de le préparer. Tu devras le laver sans utiliser tes mains. A toi de faire preuve d'imagination. Vous me raconterez quand vous reviendrez.
Tandis que Yassine prenait la main que lui tendait Éva, je m'approchais de ma femme par derrière pour la serrer dans mes bras et l'embrasser dans le cou. Ensuite, je descendis le zip de sa robe qui tomba à ses pieds. Nue, Éva passa devant Yassine pour monter l'escalier. Yassine en profita pour lui caresser ses globes.
Je branchais les caméras qui étaient dans la salle de bains. Yassine se déshabilla et entra dans la douche avec Éva. Celle-ci, une fois entièrement savonnée, vint se coller contre Yassine pour le savonner. Elle entama une danse érotique diabolique. Elle frottait son corps du mieux possible. Elle écarta ses cuisses pour venir frotter son entrejambe sur la cuisse ferme de son amant. Elle ondulait au rythme de son plaisir.
J'étais à bloc, à l'étroit dans mon pantalon. Quelle belle salope je pensais. J'étais ravi d'avoir réactivé une relation candauliste avec Éva. Je voyais bien que cela lui avait manqué.
Yassine était en érection et la taille de son sexe était impressionnante. Je sentais Éva frustrée de ne pas pouvoir le toucher, mais elle fit preuve d'initiative. Elle utilisa ses seins pour laver la queue et les couilles de son amant. Elle s'appliquait pour le faire durcir encore davantage. Je la vis cracher sur le gland pour enlever le savon afin de pouvoir le prendre en bouche. Elle jeta un il vers la caméra pour m'exciter.
J'avais retiré mon pantalon et je me caressais devant l'écran, excité de voir ma femme sucer cet homme qu'elle ne connaissait pas il y a encore moins d'une heure. Il fallait que je me calme car la soirée serait longue
.
Éva entama une fellation appliquée et profonde.
Quel bonheur de voir sa femme prendre du plaisir ainsi. Quel pied le candaulisme !!!
Yassine sembla retrouver ses esprits et mit fin aux caresses buccales d'Éva. Il la redressa et se rincèrent. Mon épouse donna un peignoir à son amant et prit une nuisette en dentelles.
De les voir descendre ensemble l'escalier, j'ai cru que j'allais éjaculer, tellement ma queue était gonflée d'excitation.
Nous nous assîmes tous les trois par terre sur des coussins pour grignoter et pour boire surtout, car la tension électrique qui régnait ce soir nous asséchait la gorge.
Éva ne pouvait lâcher le pieu de son amant. Elle le cajolait, le décalottait, l'humidifiait avec ses doigts trempés de sa cyprine.
Yassine n'en pouvait plus.
Yassine : - Alors, ma petite salope, tu la veux ma bite ?
Éva surprise par le langage cru de son amant mit 2 ou 3 secondes à réagir
Éva : - Mouiiiiii
Yassine : - Quoi mouiiii ? Dis-moi que tu as envie de ma bite, de ma grosse bite !!!!
Éva, prise au jeu et excitée : - Oui, je veux ta bite. J'ai envie de ta grosse bite. Viens me la mettre !!!
Yassine : - Où veux-tu que je te la mette ?
Éva : - Où tu veux, mais maintenant. J'ai envie de la sentir en moi. Je veux que tu me bourres !!!!!
Et moi, là, au milieu de ce dialogue irréel je jubilais de voir et d'entendre ma femme se comporter comme une salope en chaleur. Je minstallais dans un fauteuil et, ma queue sortie, je me masturbais en les regardant baiser.
Yassine demanda à Éva de se mettre à quatre pattes. Elle ne se fit pas prier. Elle écarta bien les cuisses. Si bien que je pouvais distinguer sa vulve toute ouverte et détrempée.
Éva dit en me regardant : - Regarde comment je vais me faire baiser par ton ami. Regarde sa queue comme elle est grosse.
Les paroles d'Éva excitèrent Yassine qui se positionna rapidement derrière elle.
Yassine : - Dis-moi ce que tu veux.
Éva : - Je veux que tu me baises à fond. Regarde comme je suis trempée pour toi. Vas y montre-moi que tu es un homme, pas une tarlouze !!!!
Oh la salope. Je ne me rappelais pas l'avoir vue si déchaînée. Un pur bonheur.
Je savais qu'Eva était excitée de savoir que je la regardais et elle en jouait. Elle m'avait avoué que de crier des mots crus et vulgaires l'aidait à se lâcher et à prendre davantage de plaisir.
Je me pris au jeu.
- Vas-y Yass, défonce-la cette salope. Fais-la crier. Qu'elle appelle sa mère. Montre lui qui est le maître et qu'elle est ta soumise.
Yassine la pénétra d'un coup. Je sentis Éva qui accusait la pénétration brutale et profonde.
Éva : - Oh mon salaud, tu me défonces avec ta grosse queue. Regarde Paul comment il me la met.
Yassine resta immobile quelques secondes. Ses doigts flattaient le clitoris d'Éva qui commençait à onduler sous les caresses de son amant.
Yassine sentant qu'Éva était prête commença à aller et venir dans son fourreau trempé. Je pouvais voir son sexe, recouvert de la cyprine de ma femme, entrer et sortir, générant des bruits de pénétration très humides.
Éva commença à perdre pied et à s'agiter. Je voyais son cul branler son amant. C'est elle qui donnait le rythme. Yassine la laissa faire puis, lui mit quelques claques sur les fesses pour calmer son ardeur et reprendre la main.
Je le vis la pilonner. Éva n'en pouvait plus. Elle secouait sa tête dans tous les sens en criant. Des mots s'entrechoquaient sans véritable lien entre eux. Je percevais des "Putain
m'élargis la chatte
PD
Enculé de ta mère
Non
Pitié." Éva gémissait. Je me régalais à voir ses gros seins ballotter sous les assauts de son amant. Trop, c'était trop. Je n'en pouvais plus et ne pus m'empêcher d'éjaculer.
Et Yassine continuait ses coups de boutoir jusqu'à ce qu'Éva se cambre et crie puissamment sa jouissance, longue, progressive et explosive.
Yassine n'y résista pas. Il jouit aussitôt. Je le vis se cambrer, ses mains agrippées aux larges hanches de ma femme et criant lui aussi pendant qu'il inondait son vagin.
Nous restâmes ainsi tous les trois repus. Yassine sortit du ventre d'Éva qui roula sur la côté, et sourit en me voyant la queue pleine de sperme à la main.
Elle s'approcha de moi pour m'embrasser et pour lécher mon gland. Elle embrassa à pleine bouche son amant qui s'était approché et descendit jusqu'à sa queue encore dressée pour boire le sperme restant mélangé à sa cyprine.
Waouuuu. Nous avions besoin de reprendre nos esprits. J'allais chercher un peu d'eau fraîche. Quand je revins, je vis Éva à quatre pattes en train de sucer Yassine. Incroyable. Elle était insatiable. Comment faisait-elle !!!!
Je m'approchais d'eux. Éva lâcha la bite de son amant, et en me regardant bien dans les yeux, elle me dit : -Elle n'est pas belle ? Elle n'est pas grosse ? Moi, je ne m'en lasse pas. Et toi ? Qu'en penses-tu ?
Me voyant hésiter, elle ajouta en me tendant sa queue : - Viens la goûter avec moi. Suce cette bite. Lèche-la.
Et j'obéis à ma chérie. Yassine était aux anges de voir la femme et son mari le prendre en bouche et lui donner du plaisir. Sa queue avait retrouvé toute sa vigueur. Elle était bien plus grosse que la mienne, mais n'en prenais pas ombrage, au contraire, j'étais trop content pour mon Éva. Et puis, je bandais aussi.
Tandis que je caressais les fesses de ma belle, je rencontrais d'autres doigts que les miens. Nous nous mîmes à investiguer, fouiller, élargir les orifices de ma salope de femme avec nos doigts trempés d'un mélange de sperme et de cyprine.
Éva, gémissait. Tout en s'occupant du pal de son amant, elle succombait à nos caresses intrusives.
- Allez-y mes cochons. Fouillez-moi. Branlez-moi. Préparez mes trous pour les prochains assauts que j'attends avec impatience.
Excité par les mots crus d'Éva, Yassine s'emballa.
- Ah tu veux que je te baise, que je t'encule, que je te défonce ton cul de salope ?
- Oui
Couina Éva
- Oui quoi ?
- Oui, je veux que tu m'encules. Que tu rentres ta grosse bite, ton énorme bite dans mon cul de salope.
- Regarde bien Paul comment je vais défoncer ta femme. Elle va pleurer. Elle va crier. Elle va appeler sa mère !!!!
Se positionnant aussitôt derrière Éva, il fit entrer d'un coup son gland dans les entrailles de ma femme. Son anneau bien assoupli l'accueillit facilement. Le reste suivit !
Malgré ses bravades, Éva accusa le coup, mais elle ne voulait pas que ce soit le dit.
- Paul, tu vois Yass qui m'encule. Sa grosse queue va me dilater l'anus. Il va m'inonder les entrailles de son sperme. Regarde bien comment il fait. Encourage-le à me défoncer. Touche-lui les couilles. Mets-lui un doigt dans le cul !!!
Nous étions tous les trois en transe. Yassine s'accrocha aux hanches d'Éva et commença à aller et venir dans son étroit fourreau. Je l'encourageais. Je lui serrais les couilles et glissais un doigt entre ses fesses. Aussitôt Yassine se cambra et je sentis ses couilles grossir dans ma main. Sa queue grossit certainement simultanément car j'entendis Éva crier.
- Ah mon salaud. Ton pieu m'écartèle. Tu me tues.
Là encore ses paroles devinrent incompréhensibles : - PD
petite queue
Vas-y
Démonte-moi. Je ne sens rien
Yassine, encore davantage excité par tout cela, redoubla d'énergie, puis il sembla changer de tactique. Il ralentit et sortit sa bite du cul de ma femme et attendit, le gland au bord de son anus. Frustrée, Éva recula d'un coup sec pour s'enculer jusqu'au fond.
- Où vas-tu ? Reviens. Je veux sentir tes grosses couilles contre mes fesses. Paul accompagne-le. Je veux que ce salaud m'enfonce sa bite jusqu'au fond de mon cul.
Yassine laissa faire Éva qui se baisait toute seule, tout en branlant son amant avec les mouvements de ses hanches.
Éva était endiablée. Sa tête partait dans tous les sens. Elle gémissait, elle criait des "oui", des "encore", des "plus fort"
- Ah quelle queue. Elle est bien plus grosse que la tienne. Elle me remplit le fion. Vas-y lâche-moi ta crème.
J'étais fasciné de la voir se comporter ainsi.
La queue à la main en train de me branler, j'étais submergé par les multiples émotions qui venaient envahir mon cerveau.
J'étais amoureux fous de cette femme qui se faisait prendre devant moi. J'étais terriblement excité, comme jamais. J'étais aussi un peu jaloux de voir cet homme donner autant de plaisir à mon épouse avec une queue plus grosse que la mienne.
Cette situation candauliste était fascinante. C'était quelque chose dunique, dincroyablement sensuel et sexuel. Le Plaisir est unique, empreint d'amour, de douleur, dexcitation et de bonheur.
Éva donna le signal de l'apothéose. Un feulement puissant s'éleva et envahit la pièce. Éva se cambra, la chair de poule sur tout son corps, Elle cria un "Ouiiiiiiiiiiiiiiiii" étourdissant qui déclencha nos orgasmes à Yass et moi.
Éva s'écroula et resta un moment sans bouger ce qui provoqua notre inquiétude. Mais non, Éva rouvrit les yeux et nous sourit en murmurant un "Merci mes coquins".
Yassine ne bougeait pas. Sa queue toujours entre les fesses de ma femme. Il s'y sentait bien et je le comprenais.
C'est Éva qui se dégagea et qui vint à nouveau vers nous pour nous lécher et boire.
Nous étions tous les trois souriants. Nous revivions dans nos têtes les instants passés inoubliables.
Nos verres d'eau furent les bienvenus.
Nous montâmes tous les trois finir la nuit dans notre lit conjugal. Éva entre ses hommes.
Je m'endormis avec toutes les images de jouissance et de déchaînement de ma femme dans la tête. Ma queue se redressait. Quel bonheur.
Mon petit doigt me disait qu'Éva reverrait très certainement son nouvel amant qui savait la combler. Je remerciais mon ami Yassine en silence.
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