Emile Et Bea 3. Soumise
Nota : Emile et Bea explorent de nouveaux horizons et se laissent aller à des pulsions jusquici refoulées.
Emile sent Bea excitée en diable mais encore réticente à soffrir à ce bel inconnu. Il se rappelle pourtant combien elle lui avait confié son violent désir de rencontre charnelle avec un bellâtre velu. Il se souvient aussi de son envie dêtre soumise. Il comprend toutefois combien elle est pour linstant bloquée par sa totale méconnaissance de lidentité de ce nouvel acteur et du risque potentiel quil représente. Il la maintient en position offerte et la caresse activement pour faire baisser son angoisse. Il la sent se détendre, se gonfler encore de désir sans être prête à se laisser toucher par le bucheron. Sans vergogne, il profite de la situation. Il se place derrière elle, lape goulument sa rondelle de sa langue détrempée qui peu à peu la pénètre avec fougue. Le bûcheron savoure la scène tout en branlant son sexe avec entrain. Bea aime que son regard plein de désir contemple ses formes attrayantes et séchauffe encore dêtre ainsi convoitée. Ny tenant plus Emile entre sa queue dans le cul de sa partenaire et sagite violemment. Bea, peu coutumière de cette pratique, ressent positivement cet outrage grâce au surcroit dexcitation que lui procure la présence intéressée du troisième partenaire. Il faut avouer que son regard est sans équivoque possible. Bientôt les deux amants exultent. Ils entendent en écho la jouissance du nouvel arrivant qui éparpille sa semence dans leau de la rivière. Lorsque les compères seffondrent au sol vaincus, le bucheron sallonge auprès deux le flanc scellé à celui de Bea qui ne le repousse pas. Ils restent ainsi quelques minutes absolument immobiles jusquà ce que les mains de la coquine ne se posent sur leurs deux sexes et celles de ses amants sur ses cuisses. Autant le vit dEmile est court et trapu ; autant celui du bucheron est long et fin. Désireuse de les voir tous deux prêts à laction, elle les caresse doucement et les sent se dresser peu à peu alors que les mains inquisitrices lui remontent jusquà laine.
Emile la redresse vivement en la tenant sous les aisselles, sa queue lui laboure au passage le haut des fesses et le creux des reins. Il la tient le dos contre lui, les mains écrasant ses seins, obus proéminents et fermes, qui le fascinent. Le bucheron est occupé à fouiller dans sa sacoche de travail doù il extrait de longues cordes de calibre modeste. Les deux hommes échangent un sourire pervers. Elle rêve bondage et soumission ; elle va être servie ! Le bucheron explique à Bea dune voix grave : « Maintenant, tu vas te comporter comme la bonne salope que tu es et nous obéir en tout point. Tu ne pourras rien nous refuser même si cela te paraît insupportable. Nous serons tes maîtres et saurons te réduire à létat desclave sexuelle lascive prête à tout pour nous servir. Compris ? » Sans attendre de réponse, il lui lie les mains à une corde quil lance par-dessus une haute branche. Il tire dessus jusquà ce que ses pieds quittent le sol et la fixe. Puis il se saisit dune longue branche robuste et de cordelettes. Avec Emile, ils lui lient les pieds dessus de telle façon que ses jambes soient totalement écartées dévoilant son cul et plus largement son entrejambe glabre, fendu dun sexe court aux grandes lèvres quasi invisibles. Lorsquils la lâchent, elle commence à tourner lentement sur elle-même, privée de contact à la terre. Les deux hommes se munissent alors de badines souples et ils commencent à accélérer sa rotation en lui frappant sans force excessive ses seins magnifiquement denses malgré leur volume, son ventre et ses cuisses. Elle pousse des petits cris qui évoquent aussi bien la jouissance que la douleur et des traces rosâtres simpriment sur sa peau laiteuse. Après quelques minutes, ses bourreaux sintéressent à ses cuisses, ses larges fesses rebondies et son dos à la taille bien marquée; et son sens de rotation change.
Lorsquelle se réveille enfin, elle est étendue nue sur le sol, sans corde, sans bucheron dans le fondement ni dEmile dans la vulve. Elle est sur le flanc comme si un secouriste lavait disposée en position latérale de sécurité. Sa robe est posée à côté delle comme une invite, toutefois, lorsquelle lenfile, Emile loblige à en ressortir ses superbes seins entre deux bretelles tendues à lextrême. Les deux hommes se sont rhabillés et la contemplent avec un empressement suspect. Le bucheron laide à se rechausser en caressant ses mollets. Il la prend par la main et lamène dans une cabane en bois toute proche : un local qui sert habituellement à stocker des outils mais qui est, elle, équipée dun grand lit confortable. Il lui dit : « Voici ton lieu de soumission. Nous sommes tes maîtres. Tous les mercredis matin tu viendras nous retrouver ici en robe courte ou en nuisette, sans aucun sous-vêtement et te plieras à tous nos caprices. En hiver tu seras totalement nue sous ton manteau. Avant de venir tu enduiras ton cul de lubrifiant de façon à ce que nous puissions entrer en toi sans crier gare.
Le mercredi suivant il fait une chaleur terrible. Personne nest encore arrivé lorsquelle atteint la cabane. Elle ôte sa frêle vêture, séquipe comme prévu et sexpose lubrique sur la table ombragée à cette heure. Le bûcheron arrive et lui prodigue une caresse distraite. Il se saisit dune laisse, lattache au collier et sengage sur un sentier en de grandes enjambées. Bea trottine derrière lui aussi vite quelle peut pour éviter dêtre étranglée. Au bout de quelques minutes ils arrivent dans un bruyant chantier de coupe où sactivent une dizaine douvriers. A sa vue ils arrêtent immédiatement de travailler et un silence pesant sinstalle. Les dix regards concupiscents convergent sur sa nudité exposée et elle fait un pas en arrière. La laisse se tend et elle comprend le message. Elle se pose à quatre pattes au sol et attend, toujours liée au bucheron. Quelques instants plus tard la sarabande commence. Son asservissement est total. Les hommes se succèdent sans se dévêtir dans sa bouche sa chatte et son cul. A de petits sexes succèdent de gigantesques bites qui violent sa gorge, remontent dans ses viscères, envahissent son vagin.
Le mercredi suivant, Emile la précédée avec deux amis. Ils ont amené une bouteille de whisky et des verres. Courtoisement ils linvitent à sasseoir et à boire après avoir extrait ses superbes loches de leur gangue de tissu et ceint son cou. Lorsquelle finit son verre, le maître la prie de se coucher nue à plat dos sur la table. Immédiatement les six mains prennent possession de sa bouche, de ses seins et de son sexe. Elle écarte au maximum ses bras et ses cuisses comme pour leur signifier quelle leur est totalement offerte. Quelques caresses ségarent sur ses cuisses ou son ventre. Ses grandes lèvres sont largement écartées comme pour en découvrir lanatomie. Tandis quun doigt se glisse dans son cul, son clitoris commence à être vigoureusement branlé, sa chatte remplie de plus en plus en profondeur de deux puis trois doigts mobiles, alors que ses tétons sont étrillés avec application. Bea sent le plaisir monter en elle. Deux appendices dilatent désormais son cul. Elle se tortille sans cesse en une gestuelle spontanée toujours plus inconvenante. Les caresses saccélèrent et elle se désunit comme pour faciliter encore laccès à ses organes déjà très exposés. Finalement, possédée par cette pieuvre à six bras, elle hurle de bonheur alors que son corps entier vibre de toutes ses terminaisons nerveuses, qui contractent et relâchent à une vitesse folle toute sa musculature. Il lui semble que lintérieur de son corps est en feu. La cyprine détrempe ses cuisses, un filet de bave coule au coin de sa bouche. Cest un tel bonheur que le reste lui paraît amusement. Quand ses amants se dénudent, lun dentre eux se couche sur la table le vit dressé. Elle senfiche sur lui tandis quun autre entre bientôt en son cul. Elle suce ce pauvre Emile resté debout à côté deux. Elle est heureuse de les sentir tous les trois sagiter puis se vider en elle et ressent du bonheur à les entendre jouir en se libérant de leur foutre. De tous ses trous, lorsquils se retirent, coule un filet blanchâtre et gluant. Peu lui importe puisque son corps entier est dilaté, exhibé à tous les habitants de la forêt. Elle conçoit une grande fierté dêtre enfin capable de se laisser aller à son penchant exhibitionniste dans des conditions plus extrêmes quelle ne lavait jamais imaginé.
Et les mercredis succèdent aux mercredis, les outrages aux outrages, au point que ses différents sphincters, lèvres et cols restent à demi irrités semaine après semaines. Il nest de jour sans quelle ressente les outrages à lintérieur de son corps. Sa sexualité de couple lui paraît fade et elle essaie dentrainer son mari sur des chemins qui le choquent. Elle finit par ne plus faire leffort de le solliciter et attend ces moments intenses à la cabane avec envie. Une fois elle y est même venue nue, le corps orné de ses plus beaux bijoux, maquillée plus quà lhabitue, comme si elle voulait confirmer son nouveau statut. Dès quelle pense à ces étranges séances, elle salive et son ventre se tord. Elle pourrait détremper sa petite culotte si elle en mettait encore. Elle nen a plus jamais enfilé depuis le début de cette aventure et sest séparée de tout vêtement trop couvrant. Minijupes, débardeurs très échancrés et vestes courtes portées à même la peau sont devenus la base de son habillement. Elle ne supporte le tissu quà la condition quil lui donne le sentiment de rester nue et exposée aux regards lubriques. Ses tenues mettent superbement en valeur ses seins de rêve et son cul rebondi à damner un évêque. Ces séances de sexe sont devenues sa seule préoccupation et sa raison dexister. Elle se donne toutes les raisons pour ne jamais en manquer une. Il faut dire que ses maitres varient à chaque fois les scénarios pour la satisfaire. Une ou deux fois, elle va leur demander la permission de sabsenter pour une courte période. Elle en supportera difficilement les conséquences et vivra ces moments comme de grands temps de manque. Au gré des mois, le nombre de participants à ces outrages ne cesse de grandir. Toute la forêt et ses alentours bruissent de ses exploits. La rumeur la rend bien plus salope quelle ne lest et cela la ravit. Au village, elle rencontre parfois un de ses partenaires en senorgueillit de son regard lourd posé sur elle, mais personne nose linterpeller sur ses activités du milieu de semaine.
Emile, après de nombreux mois de ces émouvants exercices, a quitté la région. Il repense souvent à Bea qui a su repousser si loin les limites, donner à voir le tréfonds dune âme tourmentée par le sexe, et la entrainé vers des chemins inexplorés. Il na jamais retrouvé de partenaire capable dun si total abandon et rêve souvent encore delle. Pour lui Bea nest pas « une bonne salope » mais un fantastique objet de désir dont le manque le fait souffrir
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