Collection Anne Ma Muse. Février Sur La Côte (12/13)
La lambada, cest ainsi que Simon un garçon amené par Nicolas, lun des nombreux copains de Josyane mon amie chez qui je suis venue passer quelques jours en février afin de profiter des premiers rayons, mentraîne dans une danse enflammée.
Enflammés car nous sommes dénudés, sa verge touche mes fesses qui me brûlent encore à cause de cette sacrée verrière restée sans protection, mais le verre ayant dû faire loupe.
Toute la bande en plus du champagne a apporté des dizaines de pizzas en tous genres.
Le pizzaïolo a dû recevoir cette commande lui assurant la meilleure vente de lannée, surtout en février, bien quici au cap dAgde ce genre de fête doit être légion.
Josyane continue au whisky.
Une nouvelle fois, je lui rappelle quelle doit me conduire, quand Simon bandant intégralement sans aucune gêne devant tout le monde mentraîne sur la terrasse.
Il me plaque contre la rambarde, les flics vont intervenir car il se plaque derrière moi, je tourne la tête pour lui demander daller moins vite, mais il me prend les lèvres et ma langue tout naturellement vient chercher la sienne.
Je sais que jaime le sexe, mais moins de 10 minutes entre le moment où Simon ma prise dans ses bras pour danser la lambada, je me trouve encore plus chienne que mon amie quand il entre en moi.
- Salut.
Des personnes passent sur la promenade dans ce début de nuit, cest Simon qui les salue sans pour autant se détacher de moi.
Il a raison, javais chaud au soleil, jai chaud de sa queue de bon calibre qui me pilonne de plus en plus fort.
Je sens cette bonne boule monter en moi, je crois quentrée chez moi, le sexe de tous ces libertins va certainement me manquer.
Il explose, et sous nous un couple enlacé éclate de rire, ils ont compris que je viens de me faire baiser et davoir un orgasme.
Jai mon compte, jarrive à rejoindre Josyane, les couples sont de plus en plus formés, les canapés sont investis par des couples qui commencent à copuler comme je viens de le faire sur la terrasse.
- Josyane, il faut rentrer, demain debout à 7 heures pour partir pour Avignon.
- Sans problème, va dans la chambre, dans mon sac tu prends les clefs je finis avec ton neveu et Nicolas et je rentre.
À côté de ce trio, les deux garçons la baisant en double pénétration, son verre de whisky est vide.
Quand jarrive à sortir de la salle et rejoindre la chambre où Lucie se trouve elle aussi prise en double pénétration dans le lit de ses parents.
Je sens que demain matin ça va être la merde.
Habillée et rentrée, je prends une douche et je me couche cassée par trop de soleil en si peu de temps et que dire des parties de sexe que jai pratiquées à grande échelle.
Mon téléphone sonne à 7 heures comme prévu, quand jarrête la sonnerie, un appel.
- Anne, cest Joël, je suis passé chez Lucie et Noël après mon travail, jespérais ty voir.
Josyane vient de mattr par le bras avant de sécrouler définitivement, elle est dans lincapacité de conduire !
Cest fichu, je vais devoir rentrer autrement.
- Dans cinq minutes, je serai au bas de chez Josyane avec ma voiture, je temmène à Avignon récupérer ton camion et ton camionneur.
- Tu me sauves, as-tu bu ?
- Jamais quand je travaille, pas la moindre goutte dalcool, dans ma voiture, jai un alcootest électronique, je vais te faire voir que je suis à zéro, jarrive.
Comme prévu alors que je viens de sortir, Joël arrive avec sa vieille voiture.
Vieille mais en état.
- Monte, tu seras à lheure si la circulation est fluide.
Je dépose ma valise sur le siège arrière.
Cest la première fois que je monte dans une telle uvre dart.
Elle nest pas loin dêtre aussi vieille que moi.
Joël membrasse comme un vieux pote, je suis un peu déçue mais je comprends aussi que son travail très spécial doit lobliger à prendre quelques précautions, si une de ses clientes passait par là !
- Accroche-toi, on démarre.
Collés au siège, les pneus crissent sur la route, faisant se retourner quelques personnes allant certainement à leur travail.
- Tu sais, mon moteur est un peu gonflé, jai des potes qui le prennent en main chaque fois que je monte en vacances.
Ils la désossent entièrement, cette année ils ont travaillé sur les échappements.
Nous récupérons lautoroute, la voiture fait un bruit denfer, jai limpression, soit quelle va se désintégrer soit exploser.
Nous tenons la distance avec des voitures plus modernes.
Jignore comment il arrive à la maintenir sur la route.
Jai le temps de voir lendroit où mon foulard a failli causer un accident.
Un moment nous doublons une voiture similaire à celle qui sétait arrêtée pour me rendre mon bout de tissu, mais la mémé qui est au volant est loin dêtre aussi bandante que lhomme à laller.
- Mince lessence, il nétait pas prévu que je fasse cette course, on va sarrêter à la station de Nîmes, ce coup-ci cest toi qui vas moffrir le café.
Jignore le temps quil faut pour rejoindre mon but, mais je comprends mieux quà laller quand jai vu la 4L passer non loin de moi à Montélimar.
Entre la vitesse du camion et malgré celle de Josyane dans sa voiture de sport, nous ne lavons jamais rattrapée.
Jen profite pour faire un tour dans la galerie marchande, je prends conscience que pendant tout mon séjour fait de soleil et de sexe, mon cul sen souvient toujours ainsi que mes seins.
Nous sommes à Nîmes, je vois un magnifique taureau debout sur ses pattes.
Le genre dobjet dont jai horreur que lon moffre, des nids à poussière, mais je suis pressée, je lachète.
La serveuse me fait un paquet cadeau et le met dans un sac blanc avec poignée.
- Et voilà, 10 heures 30, une demi-heure davance.
Joël gare sa fusée derrière un camion entre deux autres camions.
Il se retourne et me prend dans ses bras.
- On a le temps, jai été déçu de ne pas te voir à la soirée hier au soir chez Lucie et ton neveu Noël.
Je te donnerais bien un petit coup de queue avant que tu ne rentres sagement chez toi.
Un coup de queue, que ceux qui ont fait dans une 4L à vingt ans se rendent compte de lexiguïté de lendroit.
Le siège est fixe et cest dans un grand éclat de rire que nous renonçons à aller plus loin.
Joël est tenace, il me veut autant que je le veux.
- Sortons, nous sommes protégés par ces trois camions, regarde leurs rideaux sont tirés.
Il arrive à sortir en passant sur le siège arrière, je nai pas mis de culotte comme ma garce de copine men a donné lhabitude.
Une fois à mon tour sortie, je me baisse et je prends cette verge que javais cru à jamais perdue à laller.
Je commence à avoir lhabitude dêtre prise comme hier sur la terrasse par ces jeunes qui passent par-derrière.
Jai les seins posés sur le capot qui sont bouillants comme lest le moteur de cet engin.
Au moment où il décharge en moi, ayant attendu que je jouisse, je vois que dans le camion de droite, le chauffeur a tiré son rideau et me regarde me faire baiser.
Ma jouissance et les traits de sperme épais qui tapissent ma chatte coïncident avec le coup de trompe que le chauffeur donne depuis son camion.
Je vois le camion de Gaston venir se garer de lautre côté de ce voyeur qui a dû avoir un beau spectacle.
Nous rejoignons Gaston, mais avant, Joël sort de sa poche un mouchoir en papier afin que je puisse messuyer la chatte.
- Cest bien nous sommes tous à lheure, dépêchez de finir vos effusions, avec le mistral qui souffle, ça me ralentit et il faut que je sois aux portes de la Bourgognes Franche-Comté à Maçon afin de faire mes deux heures de pose.
De retour à notre entreprise, jamais plus je ne me plaindrais du retard quils prennent à cause des contraintes de leur métier.
Quelques effusions, nous montons ma valise sur la banquette et je place le taureau et le vin à mes pieds.
Déjà maintenant il memmerde, heureusement cest chez Pierre quil sera.
Joël me fait signe en même temps quil fait la circulation pour que nous reprenions notre route.
Comme à laller, avec le bercement de la cabine et la monotonie du ruban devant nous, je mendors.
C'est le bruit des freins qui me ramène sur terre, là encore nous sommes garés entre deux autres camions.
Je maperçois que la pluie tombe, plutôt un crachin.
Comme à laller, Gaston descend ma valise, je vais jusquà la station un peu frigorifiée.
Je remets mes vêtements de fille du Nord, oubliant de nouveau de mettre une petite culotte.
Quand je reviens il dort dans sa couchette, malgré mon pull jai un peu froid, une heure et demie à attendre avant de repartir.
Il y a assez de place à ses côtés, je me glisse et je fais glisser la couverture sur moi, rapidement comme lui je dors.
Jai limpression dêtre caressée, oui je dis bien caressée, deux doigts sont dans ma fente.
Je me réveille, ma jupe est bouchonnée autour de ma taille, elle va être complètement froissée, mais jécarte mes cuisses.
Une nouvelle fois je reprends pied au moment où une verge entre en moi, je suis vraiment devenue une belle salope.
Gaston profitant certainement de la fellation que je lui ai faite à laller se croit autorisé à me baiser
Eh oui Anne a encore frappé.
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