Une Nuit En Tunisie
UNE NUIT EN TUNISIE
Javais 23 ans, nous étions à la fin des années 70. Jétais parti en Tunisie en bateau et un ami devait my rejoindre quelques jours plus tard pour voyager ensemble à travers le pays. Le bateau avait pris du retard et nous sommes arrivés passé minuit au port de Tunis. Javais fait la connaissance pendant la traversée dun homme dune cinquantaine dannée ; Max, un ancien militaire qui connaissait le pays. A notre arrivée tardive, il me proposa de chercher un hôtel ensemble car nous navions rien réservé ni lun ni lautre. Il parlait larabe et connaissait la ville, je décidais de men remettre à son choix. Nous avons trouvé un petit hôtel non loin du port, un hôtel très basique mais propre. Mais il ne restait quune chambre, Max me proposa de la partager, dailleurs ce ne serait que pour une nuit, me dit-il. Cela ne me dérangeait pas.
Arrivé dans la chambre, je vis quil ny avait quun seul grand lit, mais aucun de nous ne fit de remarque. Mon compagnon composa tout dabord sur le téléphone posé sur la table de nuit un numéro et échangea quelques mots avec son correspondant dans un mélange de français et darabe .Puis il éteignit lunique ampoule et se déshabilla rapidement, se mettant complètement nu. Il est vrai quil faisait une chaleur étouffante malgré la fenêtre ouverte. Pendant que je me déshabillais lentement, il alla dans la salle de bain. Je me retrouvai en slip, hésitant à aller plus loin devant un inconnu, mais ayant aussi très envie dêtre nu dans cette chaleur moite. Il revint. Dans la demi-obscurité de la chambre, je regardai ce corps dhomme mûr ; il était plus petit que moi mais trapu, une large poitrine aux poils blancs, des cuisses musclées et ce qui me troublait le plus, des fesses rondes et bien marquées. Il alla vers le lit et mon regard était fasciné par son sexe lourd au-dessus de grosses couilles poilues. Il sallongea sur le lit en repoussant le drap de dessus. Jenlevais mon slip et allais me coucher à mon tour dans ce lit, avec un léger trouble dans le bas ventre.
Je navais pas une grande expérience mais javais fait lamour avec quelques filles sans avoir jamais eu de liaison régulière. Ado encore au lycée (pas mixte à cette époque) javais été attiré par quelques garçons et avec mon meilleur ami nous nous étions masturbés mutuellement et nous nous étions fait des fellations et des 69 pour calmer nos ardeurs de jeunes mâles en nous disant que cétait en attendant de pouvoir avoir des filles. Puis ensuite, à luniversité, javais oublié ces plaisirs masculins.
Mais dans cette chaude et moite nuit dété, la vue dans la pénombre de ce corps poilu dhomme mûr avec un peu de ventre mavait troublé. Je me couchais. Max semblait dormir, mais je vis que sa main caressait doucement son sexe. Il était couché sur le côté et me tournait le dos, mais il recula vers moi et ses fesses vinrent toucher mon bas-ventre. Jeus une brusque érection. Il commença à se frotter à ma pine érigée avec de petits mouvements du bassin en gémissant doucement. Puis, en poussant un long soupir il se tourna vers moi ouvrit les bras et menlaça. Il ne pouvait ignorer létat dans lequel jétais. Je suis assez bien membré et pourvu dune queue épaisse. Je répondis à son étreinte, mon jeune corps à la peau douce et peu poilue se frottait au sien. Je me mis à lui caresser les tétons, il gémit, puis ma main descendit vers son sexe. Il navait quune légère érection, mais ses couilles roulant sous mes doigts mexcitaient. Brusquement, il me roula une pelle bien baveuse en enfonçant sa langue bien profond. Je navais jamais embrassé ou été embrassé ainsi par un homme. Je voyais vers où nous allions en venir mais je ne savais pas encore si je voulais être actif ou passif. De toute façon que je le baise ou quil me baise, ce serait pour moi un dépucelage. Je métais déjà demandé si, quand je ferai vraiment lamour à fond avec un homme (car je savais que cela arriverait un jour), je serais passif ou actif. Les deux « positions » mattiraient également.
Il mit fin à notre long baiser et me murmura à loreille : -oh mais tu aimes ça les hommes, mon petit, javais peur que tu me repousses ! Quelle chance jai ! Tu vas me donner du plaisir, hein, dit-il en me caressant la queue, ta belle bite est prête ! Jallais donc être lactif et décharger ce désir qui menvahissait dans ces belles fesses dhomme mûr que je commençai à caresser.
Cest à ce moment que le téléphone sonna. Max poussa un long soupir et tendit le bras pour décrocher le combiné. Il eut une courte conversation en arabe où il semblait plus écouter que parler. Moi, me disant que sa conversation ne durerait pas longtemps, je métais mis à lui lécher les tétons et à lui caresser doucement les couilles. II raccrocha. Changement de programme, me dit-il. On déménage. On va finir la nuit chez un ami. Ça sera plus confortable et puis
tu ne le regretteras pas me dit-il.
Nous nous sommes donc rhabillés, nous avons quitté lhôtel et pris un taxi qui nous emmena jusquà une villa assez loin du centre. Max toqua discrètement à la porte qui souvrit aussitôt. Un homme de haute taille nous fit rapidement entrer comme sil ne voulait pas que quelquun nous remarque. Mais dehors le quartier était désert et dedans on nentendait aucun bruit. Nous traversâmes une cour et il nous fit entrer dans ce qui avait lair dun petit appartement à part du reste de la maison. Lhomme était grand, lair sévère, dominateur, la cinquantaine et il était vêtu dune djellaba grise. Je ne sais pas pourquoi mais jeus limpression que dessous il devait y avoir un corps nu et musclé. Il parlait juste quelques mots de français. Il ouvrit la porte dune vaste chambre où il y avait deux lits. Puis il sortit.
Max commença à se dévêtir et me dit den faire autant.
-Choisis un deux lits me dit-il. Ici officiellement cest chacun son lit
pour dormir. Mais la nuit nest pas finie et nous avons de choses à partager avec mon vieil ami. Allonge-toi me dit-il, mais ne tendors pas, je reviens.
Il était nu et son corps me donnait envie de le posséder, de le monter et de le saillir. Mais il quitta la pièce en refermant la porte. A peine était-il sorti que jeus limpression dentendre, venant de derrière la porte, des soupirs et des gémissements.
-Il te trouve très beau me dit le français, il dit quil ny a rien de plus beau que le corps dun tout jeune homme.
Je mis une main devant mon sexe mais le grand homme mûr vint sasseoir sur mon lit et posa une main autoritaire sur ma poitrine et commença à la caresser, puis il descendit vers mon ventre et sans toucher à mon sexe se mit à me pétrir les cuisses avec force et douceur. Jétais fasciné, comme soumis à une force impérieuse. Je désirais que cet homme fasse de moi ce quil avait envie pour satisfaire ses désirs. Je me mis à gémir doucement. Il poussa un soupir et me fit signe de me retourner. Il poussa un petit cri et je compris que cétait la vue de mes fesses blanches, bien dessinées et élastiques qui provoquait sa réaction. Dailleurs il se mit à les caresser, à les pétrir. Il me prit par la taille, me fit lever les reins, me faisant ainsi offrir ma croupe à son regard. Des deux mains, il écarta les globes jumeaux de mes fesses. Mon petit trou secret devait soffrir bien en vue à son regard. Il se mit à murmurer des choses en arabe dune voix excitée. Max sétait placé devant moi, il se pencha et me dit :
-Il a vraiment très envie de toi. Tu sais, il avait commencé à menculer debout derrière la porte mais il sest arrêté et ma dit quil voulait dabord jouir de toi. Et quand je lui ai dit que tu étais puceau du cul, je nai pas pu le retenir. Alors je crois que tu vas passer à la casserole.
- Mais je suis sûr quil a une très grosse queue. Je suis prêt à me faire sodomiser, mais je suis étroit, il va me faire mal.
- -Rassure-toi, il va tellement te donner envie de te faire baiser, que cest toi qui vas le supplier de tenfoncer son gourdin dans le cul ! Et puis il est dominateur mais ce nest pas une brute.
- A ce moment je ressentis une sensation dhumidité entre mes fesses et comme une caresse râpeuse dans mon petit trou froncé. Ahmed me travaillait lanus avec sa langue. Je navais jamais ressenti un plaisir pareil : un délice.
- -Tout ça mexcite me dit Max, jen peux plus !
- Je tendis les mains et commençait à lui malaxer les couilles puis à masser sa grosse bite en semi-érection. Ahmed sarrêta. Jentendis un bruit de tissu. Puis il mattrapa par les hanches et me retourna. Il navait pas enlevé la galabeya mais lavait remontée sur ses reins et il était bien nu en dessous comme je lavais pressenti. Devant son ventre brun et musclé sélevait un superbe chibre. Moins épais que je lavais fantasmé mais néanmoins dun bon diamètre et surtout plus long que je ne limaginais et bien droit. Tout ça au-dessus de deux grosses belles couilles poilues. Il se leva, sapprocha de moi. Sa matraque au gland humide était devant mon visage. Il me prit par les épaules. Je me redressai, Jouvris la bouche, enpoignai cette superbe verge et je commençais à le sucer goulûment. Cette bite me fascinait, tantôt je lengloutissais jusquau fond de ma gorge, tantôt je la sortais de ma bouche, léchant le gland à grands coups de langue, ou passant ma langue tout du long comme si cétait un sucre dorge géant. Max sétait placé derrière Ahmed. Très excité lui aussi, il lui caressait les fesses, les couilles, le ventre. De temps en temps, les deux hommes se roulaient une profonde pelle. Puis, tandis que je continuais à déguster cette grosse bite juteuse qui memplissait la bouche, Ahmed se mit lui aussi à caresser Max : fesses, queue, couilles, à lui lécher les tétons, les aisselles. La vue de ces deux hommes mûrs, de lâge de mon père, qui auraient pu être de bons pères de famille (qui devait dailleurs lêtre en ce qui concernait notre hôte) en train de sétreindre mexcitait terriblement. Alors de plus en plus en pleine érection, il entama un mouvement de va et vient comme sil me baisait la bouche. Jattendais lexplosion, me demandant si je pourrai prendre son foutre en bouche et même le boire ou si jallais le faire cracher sur mon visage ou mon corps. Mais sans crier gare, lorgasme, un orgasme puissant et torrentiel arriva. De longs jets de foutre jaillirent sur ma langue. Ahmed se mit à râler, longuement, délicieusement, presque sanglotant de plaisir, mais je ne lâchai pas, je lui agrippai les fesses des deux mains et javalai à grands traits son sperme tiède et épais, puis je léchai son gland, sa bite le long de laquelle du foutre continuait à couler quand léjaculation sarrêta. Ahmed se dégagea puis se pencha vers moi et me roula une pelle passionnée tout en menlaçant ; nos langues de cherchaient au-milieu de sa délicieuse semence bien chaude. Max se précipita sur la queue dAhmed et lécha le foutre nacré qui sy trouvait et suça goulûment les dernières gouttes qui sortaient du méat.
- Ahmed murmura à nouveau quelque chose à loreille de Max ; je crus reconnaître des mots comme « Il te nique » « zob ».
-Maintenant, il veut que tu me baises et lui il regarde. Pour toute réponse, je lembrassai à pleine bouche pendant que notre hôte se mettait à poser des baiser fiévreux sur mes épaules, ma poitrine, mes tétons tout en me disant Merci, merci ».
Max grimpa sur le lit où il se mit à 4 pattes, moffrant sa belle croupe. Depuis que javais sucé Ahmed, je navais pas débandé. Mon passif tourna la tête, eut un regard approbateur vers ma bite. Il est vrai que du haut de mes 23 ans, je navais pas le souvenir davoir eu une aussi forte érection.
-Vas-y, dit Max, encule-moi à sec, mon amour ! Il est vrai que son trou, tout comme ma queue, ruisselait de sueur qui suffirai à bien lubrifier ma pénétration. Jappuyai mon gland, poussai. Il eut un petit sursaut. Ma verge, lentement, entama son mouvement de piston. Mon partenaire se mit à vibrer. Sa chatte était bien élastique et enserrait ma queue. Notre partie de jambes en lair commencée à lhôtel allait donc sachever ici et, décidément, mon dépucelage homo se ferait dabord en actif. Il devait y en avoir des bites qui avaient pilonné ces belles fesses et qui y avaient craché leur foutre. Tout en continuant à donner à mon militaire du plaisir à grands coups de reins, jentendis notre hôte qui jusqualors nous avait regardés tout en nous caressant et en nous encourageant et qui sétait enfin mis complètement nu, séclipser puis revenir rapidement. Je sentis alors un liquide huileux entre mes fesses en même temps quune bonne odeur dhuile dolive montait à mes narines. Ahmed avait décidé de ne pas attendre que jai déchargé dans Max avant de minitier au plaisir du passif, il était en train de me lubrifier. Un doigt autoritaire me travailla brutalement le petit trou pour mieux faire pénétrer lhuile. Je neus pas le temps de réfléchir : le gros chibre que je venais à peine de faire jouir de ma bouche me pénétra mécartela. Je poussais un cri qui se transforma en un râle. La douleur et le plaisir se mêlaient de façon indescriptible tandis que mon enculeur entamait son vas et vient en soufflant comme un bûcheron. Cette pénétration me fit bander plus fort, pour le bénéfice de Max qui se mit à gémir de plus belle. Ahmed accorda ses coups de reins aux miens tout en me murmurant sans cesse : mon chéri, mon amour.
Nous arrivâmes à lorgasme et à léjaculation tous ensemble. Je dis tous, car Max qui se branlait pendant que je le défonçais, jouit en même temps quAhmed et moi. A peines nos étreintes dénouées, ce dernier alla lécher mon foutre qui sécoulait des fesses de Max et celui-ci ensuite fit de même, léchant à la sortie de mon trou labondant foutre dAhmed.
Après un peu de repos en fait occupé à nous caresser - et vers laube, Ahmed encula Max. Celui-ci mexpliqua plus tard que cela faisait des années quil venait faire lamour avec notre hôte chaque été. Ahmed avait pris Max de face, jambes écartées et cuisses relevées, ce qui lui permettait de lui rouler quelques pelles. Je les regardais dabord tout en me branlotant doucement quand en regardant le piston de chair de lactif aller et venir dans le trou dilaté du passif, un désir soudain déclencha une superbe érection. Jallais prendre lhuile dolive, lubrifiait rapidement le beau petit trou brun du bel Arabe mûr qui venait de me posséder et jy enfournai ma queue. Surpris, Ahmed voulut résister mais je lui tenais fermement les hanches et il ne voulait pas abandonner le plaisir quil prenait avec notre ami. Alors il sabandonna à mes coups de reins. Il était étroit et je ne tardais pas à décharger en lui. Il mit un peu plus de temps à inonder les fesses de Max.
Ainsi en une nuit jétais devenu simultanément un bi actif-passif ou passif-actif, comme vous voulez, ce que je suis toujours aujourdhui. Je nai jamais oublié cette enchanteresse nuit tunisienne de mon initiation définitive aux plaisirs entre hommes et jai toujours aimé les mûrs, même encore aujourdhui où jen suis un.
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