Le Peintre Et Sa Muse Chapitre 7

Chapitre7
A l’atelier rencontre inattendue
(Ecrit par le relieur
et Jeanne sa coauteure)

François nous raconte cet épisode.


Voilà déjà quelques jours qu’Annie est passée à l’atelier (chapitre 5) et j’ai commencé à peindre le nu que m’a commandé Bernard, son homme.
Elle a bien téléphoné plusieurs fois mais je n’ai pas répondu, j’avais du travail.
Il faut bien gagner sa croûte et puis il faut bien la faire languir et voir combien elle est éprise !

J’ai travaillé à partir des photos prises pendant la visite d’Annie.
D’ailleurs c’est Bernard qui a choisi la photo et bien sûr la plus érotique pour ne pas dire la plus pornographique.

Annie, assise sur une chaise, cuisses écartées, poitrine arrogante, et vulve ouverte et humide, montrant bien les petites lèvres et le bouton d’amour.

Mais aujourd’hui je travaille avec Ousmane mon modèle africain.
Pose académique, Ousmane est assis sur un tabouret, les jambes repliées, les pieds posés à la même hauteur que les fesses, et les mains croisées sur les pieds et tête baisée.
Et je suis en train de le peindre de profil.

Soudain la porte de l’atelier s’ouvre brutalement et Annie entre comme une furie.
- C’est comme ça que tu réponds à mes coups de fil ?
- Bonjour ma chérie ! Pas de bon poil ?
- Ne cherche pas à détourner la conversation.
- D’abord j’étais absent pour mon travail.
- Et les messages sur ton portable, tu ne les reçois pas par hasard ?
Tu te fous de moi, on baise comme des dingues et Monsieur d’un seul coup arrête tout.
Ne répond plus au téléphone.
Juste bonne à baiser et après je largue la nana.

J’essaye de la prendre dans mes bras mais Annie se détourne et soudain, derrière mon chevalet, elle aperçoit Ousmane, debout qui essaye de quitter discrètement l’atelier.

Je vois le regard d’Annie se poser sur Ousmane, bel homme de couleur, grand, jeune très musclé, la peau noire brillant sous la lumière il se tient de profil, la meilleure pose pour mettre un phallus en évidence.


Et quel phallus ! Il est terriblement long, il pend joliment entre ses cuisses.
Annie se fige. Ousmane se tourne vers elle et lui fait son plus beau sourire.
- Bonjour madame Annie, comment allez-vous ?
- Bon bon bonjour (Annie en bafouille).

Il est vrai que Ousmane est plutôt gâté par la nature, encore qu’à cet instant le sexe est au repos.
Voilà le moment que je cherchais.
J’ai une idée derrière la tête et je compte bien la mettre en application.
Disons plutôt que l’idée est de Bernard.
Et j’en profite pour prendre Annie par la taille et je l’entraîne vers Ousmane.

- Tu peux faire la bise à mon modèle au lieu de râler.

Nous approchons d’Ousmane qui est planté devant son tabouret, et au moment où Ousmane se penche pour l’embrasser, son sexe touche la main d’Annie, à cet instant je la sens comme électrisée, et je dis à Ousmane :
- Au lieu de partir tu pourrais aider Annie à prendre quelques poses dont j’ai besoin, elle est un super modèle.
- J’ai vu le tableau il est presque terminé, vous êtes très excitante Annie.

Soudain Annie réalise qu’ Ousmane l’a vue dans une position très peu académique.

- Allez Annie passe derrière le paravent et reviens avec la tenue qui est dans le paquet sur la chaise.
J’y ai mis un soutien-gorge bien sûr à la taille d’Annie mais avec des bonnets fendus et juste un petit nœud pour les tenir momentanément clos.
Un porte-jarretelles en dentelle noire, une petite culotte fendue elle aussi, des bas et escarpins sont aussi à sa disposition.
Quand Annie sort de derrière le paravent, Ousmane ne peut s’empêcher de siffler.
- Tu es superbe ma chérie j’ai fait le bon choix on va pouvoir travailler.
Ousmane occupes-toi d’elle pour bien la mettre en valeur pendant que je prends des photos pour Bernard.
- Comment pour Bernard ? demande-t-elle.

Le premier tableau c’est pour ta chambre et le deuxième, je vais l’offrir à Bernard en remerciement.

Il va l’accrocher dans son atelier, d’ailleurs il m’a promis de ne pas le regarder avant que je ne le lui apporte, et que l’on ira toi et moi l’accrocher dans son atelier.

Ousmane, tu fais poser Annie comme tu en as envie.

Annie se laisse faire, Ousmane demande à Annie de poser un pied sur le tabouret qu’il occupait juste avant et il tire un peu de chaque côté de la culotte fendue afin de mettre en évidence la vulve. Puis il se place derrière et prend la main d’Annie et la referme sur son pénis maintenant à demi bandé.
Si on avait mis un tisonnier rougi à blanc, Annie n’aurait pas eu plus chaud, je l’ai vue rougir immédiatement, et la main se serrer sur la tige d’ébène et commencer à la masturber.
Ma jolie maîtresse est en manque.
Moi pendant ce temps je photographie à tout va.
La queue d’Ousmane est maintenant tendue dans toute sa splendeur ; e vois Ousmane qui murmure à l’oreille de ma belle, Annie se lève et Ousmane prend sa place et Annie s’agenouille entre ses jambes et elle s’accroche à deux mains à ce sexe offert, et de suite Annie baisse la tête pour lécher la barre de chocolat.
Elle fait glisser sa langue le long de la hampe jusqu’aux couilles puis revient vers le gland plus pâle qu’elle n’ose pas encore emboucher.
Il semble tellement impressionnant, elle essaye d’en mettre une partie entre ses lèvres, je la vois qui l’aspire comme pour déjà en extraire la crème.
Puis elle fait tourner sa langue sur ce sexe circoncis, je sais que depuis qu’elle l’a découvert, la première fois qu’elle est venue à l’atelier, elle rêve de l’avoir tout à elle.
Mais Ousmane me regarde l’air interrogateur il veut savoir s'il doit aller plus loin.
Je lui réponds :
« Allez changez !!!!! »
Ousmane relève Annie, et il la met dos à lui, et la fait se reculer vers lui.
Annie a compris la manœuvre, elle s’empare de la tige noire entre ses jambes et la tenant bien dans l’axe de sa chatte, elle s’empale entièrement et elle pousse une longue plainte de douleur, mais qui rapidement se transforme en miaulement de chatte en chaleur, en plainte de plaisir.


Ousmane se contente de tenir Annie par les hanches et de lui imprimer le rythme.
Je continue de prendre des clichés à tout va, gros plans sur cette chatte écartelée.
Ses grandes lèvres entourent bien cette hampe de chair.
Voyant cela Ousmane att les deux cotés de la culotte fendue et d’un coup sec il déchire le léger sous vêtement.
Annie passe ses mains derrière sa tête pour caresser la chevelure crépue de son pourfendeur qui maintenant lui délace les rubans du soutien gorge et entre deux doigts pince les tétons si sensibles d’Annie.
Il les étire, les fait rouler, les pince.
Les tétons sont durs épais, pas trop longs.
Annie est au paroxysme de son plaisir, je vois cela à son visage et à l’acharnement dont elle fait preuve pour s’enconner jusqu’aux couilles.

C’est le moment que choisit Ousmane pour changer de position ce qui fait un peu retomber la pression.
Il soulève Annie par les cuisses et l’emmène vers la banquette de pose.
Il la positionne en levrette et aussitôt il recommence à la buriner.
Là plus de photos car je ne peux plus résister.
Je me déshabille en quatrième vitesse, mon sexe me fait mal d’avoir été compressé dans mon pantalon.

Je passe devant le duo et prenant la tête d’Annie je frotte mon gland sur ses lèvres.
Annie ouvre les yeux et comprend qu’elle a maintenant deux hommes à sa disposition, elle embouche ma queue jusqu’à la racine.

Ousmane et moi n’avons même pas à bouger Annie fait tout le travail, quand elle avance sur ma queue elle laisse le gland d’Ousmane au bord de sa grotte, et quand elle me tête le gland, elle a celui d’Ousmane contre sa matrice.

Annie est déchaînée maintenant elle est un puit de jouissance dans lequel on va bientôt déverser notre sève.
Et au moment où, en criant nous jouissons, je lève les yeux j’aperçois Bernard derrière la vitre de la porte de l’atelier. Il entre, me fait signe que c’était parfait, comme il m’en avait exprimé le désir.

Annie s’est écroulée sur le côté.

Epilogue :

Ousmane est parti se changer, j’ai pris Annie dans mes bras j’ai dit à Bernard : « Suis moi ».
Et je suis monté jusqu’à ma chambre, j’ai couché Annie, je l’ai recouverte d’un drap et d’une couverture, elle a regardé Bernard et elle lui a dit : « Merci ». Ils se sont endormis côte à côte, nus sous le drap fin.
Je les ai laissés en haut.
J’ai regagné l’atelier et remis mes vêtements, Ousmane était déjà parti.
Je me suis mis à mon ordinateur et j’ai classé les photos du jour. Je les garderai pour les ressortir une autre fois, en d'autres circonstances.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!