La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1283)
Camélia au Château - (suite de l'épisode précédent N°1282) -
Javais laissé échapper quelques gouttes de Son précieux sperme sur le beau parquet ciré
Je le voyais marcher dans son bureau sur le parquet sans un bruit comme s'il réfléchissait à ce qui allait se passer ou bien à la sanction qu'il allait administrer. Je restais tête baissée, honteuse davoir fauté et par la même de ne pas avoir satisfait le Maître qu'il est. C'est ainsi que le silence commençait à sinstaller et à se faire sentir. En effet, je ressentais ce silence comme lourd, pesant et oppressant pour moi en attendant un geste, un signe, un mot ou une parole venant de Lui ou bien venant tout simplement briser ce silence. Cest à ce moment qu'il s'arrêta de marcher et resta immobile au milieu de la pièce, les bras croisés et me dit dun ton froid et autoritaire :
- Commence déjà par nettoyer mon multi-centenaire parquet ciré que tu as sali la chienne. Je veux qu'il ne reste plus une seule trace de Ma noble semence sur ce parquet qui a été foulé par dillustres personnages comme, par exemple, le fameux Marquis de Sade en son temps. Sinon gare à toi, la petite chienne en devenir. Je te conseille très vivement de tappliquer et tactiver à nettoyer Mon parquet avec ta langue de chienne. Si tu ne tactives pas assez vite à faire disparaître la tâche qui est présente, je me chargerais Moi-même de cuire ta croupe pour réveiller ta motivation à Me satisfaire plus rapidement et activement. J'ose espérer avoir été clair, salope, tu sais à quel point je déteste me répéter. Maintenant va lécher et garde Mon sperme en bouche, dit-il d'un ton sec.
Cest alors que Monsieur le Marquis profita de ce moment pour sassoir sur un des nombreux et confortables fauteuils en cuir qui composaient Son bureau, lui permettant ainsi de pouvoir profiter dune autre vue sur mon corps, de pouvoir profiter d'une très bonne vue sur toutes les parcelles de lanatomie de Sa nouvelle chienne que jétais.
Le Noble pouvait grâce à cela profiter et observer ma chute de reins, ma croupe généreuse, mes genoux et mes cuisses ouvertes et Il se délectait du spectacle qui soffrait devant Lui. Pendant ce temps, je mactivais à finir de nettoyer les dernières traces de la noble semence du Châtelain en faisant bien attention de ne pas avaler celle-ci. Après avoir fini de nettoyer, jattendais donc la bouche pleine de son noble nectar, la chatte trempée de mouille très excitée par cette situation car tous les sens en émoi attendant le moindre ordre ou geste de Sa part. Lattente ne me dérangeait pas, bien au contraire, je dirais même que cette situation mexcitait et me faisait mouiller encore plus. Être à Ses pieds et à Ses ordres ainsi que d'attendre ses Exigences mexcitait énormément et faisait encore plus ressortir la chienne en chaleur et lubrique que je suis. Trempée ça cest sûre je létais et je ne pouvais pas le cacher, ma cyprine coulant le long de mes cuisses. Jétais dans un bien-être intérieur total, je me sentais vraiment à ma place soumise au Noble Châtelain, la bouche remplie de Son sperme attendant Son ordre pour pouvoir avaler. Cest ainsi qu'au bout dun long moment de silence, je lentendis :
- Bien la chienne, tu peux venir me rejoindre mais attention, je ne veux pas que tu viennes Me rejoindre à quatre pattes mais à genoux les bras pliés, les mains tendus vers lavant la bouche ouverte rempli de Mon noble nectar. Jai envie de te voir déambuler et évoluer dans une nouvelle démarche pour pouvoir voir ton corps évoluer à Mes pieds sous un autre angle, comme par exemple voir tes seins de salope ballotter.
Je me redressais pour me mettre en position à genoux. Puis, je tendais mes mains vers lavant, les bras repliés vers le ventre et la bouche ouverte. Je progressais agenouillée pour le rejoindre du mieux que je le pouvais pour Le satisfaire. Ma démarche devait paraître bien maladroite et dodelinant au premier abord, ma poitrine ballotant de chaque côté. Je gardais le regard baissé car en présence dun Maître, toute soumise doit garder les yeux baissés et je dois bien avouer que jaurais bien eu du mal à soutenir Son regard tant celui-ci est Dominant. Arrivée proche de Son fauteuil, Monsieur le Marquis me prit le menton entre Ses larges mains :
- Bien, la chienne, tu peux avaler et tu me présenteras ta bouche grande ouverte une fois que tu auras avalé toute Ma noble semence, dit-il de Sa voix si charismatique. Une fois ceci fait, Il reprit la parole. Mets-toi à quatre pattes, salope. Tu n'as pas oublié que je te dois une punition car comme tu le sais déjà tout affront mérite une punition et pour Moi laisser échapper même la moindre goutte de Ma noble semence EST un affront... Ne bouge pas et peu importe les circonstances, je reviens, me dit-il dun ton sec n'acceptant aucune réplique.
Il se dirigea vers la porte de Son bureau, louvrit et la claqua en sortant. J'entendis Ses pas s'éloigner dans le couloir. Je restais ainsi à quatre pattes, immobile et sans bruit au milieu de Son bureau attendant un retour qui nallait sans nul doute pas tarder à venir. Cest ainsi que perdue dans mes pensées réfléchissant à la sanction qui allait se dérouler et à la déception que javais pu Lui causer. Quand tout d'un coup, j'entendis des bruits de pas qui se rapprochèrent et la porte qui souvrit comme elle sétait fermée il y avait quelques minutes seulement auparavant. Monsieur le Marquis contourna les fauteuils pour venir se placer devant moi.
- Bien ma chienne. Le temps de ta sanction est venu, Ma salope. Cest Moi-même qui fixerait la sanction pour ta faute. Comme tu es une soumise novice, tu nauras que 10 coups de cravache. Tu nas pas le droit de bouger sinon je recommence à zéro. Tu comptes et me remercies entre chaque coup, si tu oublies ou tu te trompes lorsque tu comptes les coups à haute et intelligible voix, je recommence à zéro, dit-il dun ton calme.
Le Châtelain se saisit alors de la cravache qu'il avait posée sur un fauteuil et fouetta l'air pour la tester et se faire la main avec celle-ci. Puis il se déplaça pour se mettre à la diagonale plutôt qu'en face de moi pour administrer la sanction. Un long silence durant un instant où rien ne se passa puis le premier coup tomba sur ma croupe qui se mit à rougir instantanément sous leffet cuisant et je me mis à compter en retenant un cri de douleur :
- Un, merci Maître, dis-je dune voix claire laquelle je souhaitais qu'elle paraisse assurée
Deux, merci Maître
trois, merci Maître
quatre, merci Maître
cinq, merci Maître
A ce moment-là, je ne pus mempêcher pendant un bref instant davoir un moment de sursaut des jambes. Mouvement qui bien que court rapide et involontaire navait sûrement pas échappé à Monsieur le Marquis que j'entendis me dire :
- On recommence à zéro, me dit-il dun ton très posé et calme.
C'est ainsi que les coups de cravache recommencent et que je comptais cette fois-ci en me promettant dêtre plus vigilante, plus concentrée et de ne pas faiblir pour faire honneur à léducation du Maître de renom qu'il est. Alors que les coups senchaînaient, je comptais à haute et intelligible voix sans faiblir, ni bouger jusquau dixième coup... Il me tendit alors Sa main, que je venais embrasser avec une sincère gratitude, sur le bout des doigts en signe dadoration et de soumission ainsi que pour remercier le Maître et de prendre de Son temps pour éduquer la chienne soumise que je suis.
- Bien maintenant que la sanction est passée. Reprenons là où nous en étions, dit-il dune voix posée. Je vis alors une bosse se former dans Son pantalon. Il est pour moi temps de tester par Moi-même cette bouche qui ma lair si accueillante. Oui tu las bien compris Ma salope, je veux posséder ta bouche qui comme le reste de ton corps ne tappartient plus.
Monsieur le Marquis défit Son pantalon et sortit Sa noble et imposante verge qu'il présenta devant ma bouche. Jouvris donc ma cavité buccale pour la prendre bien que maladroitement ne sachant quoi, ni comment faire pour prodiguer une fellation, nétant pas habituée à ce genre de pratique... Après un petit instant, le Noble me dit d'un ton contrarié :
- Eh bien quattends-tu ? Tu ne comptes quand même pas me refuser une fellation, me dit-il dun ton fâché. Parle, je ty autorise, je te lordonne, vas-y je técoute, dit-il dune voix forte.
- Je ne sais pas faire, je n'ai jamais fait de fellation dis-je dune voix presque penaude en baissant la tête.
- Et pourquoi donc ? Interrogea le Châtelain.
- Je my suis toujours refusée, dis-je
- Tu ne comptes quand même me refuser une fellation, répéta-t-il dun ton sarcastique
- Non, dis-je dune voix basse
Cest alors que presque susceptible à cet aveu et décidant de me délivrer de mon inexpérience, Monsieur le Marquis décida de maider. Le Noble prit alors ma tête et décida Lui-même d'imprimer les mouvements quil voulait que je fasse avec ma bouche enfournant Sa noble verge déjà fortement dressée. Cest ainsi que pendant quelques instants, j'imprimais les va-et-vient lents par ce rythme imposé sur Sa queue volumineuse. Je sentais Son Vit durcir et doubler de volume allant et venant sans brusquerie
Puis au bout dun moment, le Châtelain accéléra la cadence, empoignant mes cheveux pour mimposer un rythme beaucoup plus rapide. Sa verge allait jusquau fond de ma gorge et reculait pour vite y revenir. Je reprenais de lair comme je le pouvais respirant le plus possible par le nez. Il me baisait littéralement ma bouche de salope. Parfois, Il sortait Sa virile queue et lempoignait de sa main libre pour men donner des coups sur les joues et senfonçait de nouveau dans ma cavité buccale. Ce traitement de cette prise de possession de ma bouche durant un long moment et je commençais à déglutir ma salive péniblement quand soudain je le sentis sur le point déjaculer, alors Sa main appuya sur ma tête pour m'enfoncer Sa bite encore plus profondément dans ma bouche. Quand il me dit :
- Avale, Ma chienne, Ma noble semence, je te l'ordonne et tente cette fois de ne pas me décevoir encore en faisant couler quelques gouttes au sol.
Monsieur le Marquis savait bien que mon stupide orgueil ne pourrait pas s'empêcher de relever cette remarque. C'est pourquoi je mappliquais donc à avaler Son sperme chaud dans le but de Le satisfaire. Après avoir avalé jusquà la moindre goutte et nettoyé toute trace de celui-ci sur Sa noble verge ramolli en passant longuement ma langue avec gourmandise. Le Noble reprit la parole :
- Ne t'inquiète pas salope, tu seras éduquée à lart de la fellation, dit-il avec un sourire carnassier car je ne peux pas avoir dans Mon Cheptel, une chienne qui ne sache pas prodiguer une prise en bouche et ne sache pas donner du plaisir avec celle-ci... Ah mais que vois-je ? Tu nes décidément qu'une chienne en chaleur, tu as encore ta chatte de salope inondée de mouille, comme la bonne femelle que tu es, dit-il dun ton enjoué et ravi.
Le Châtelain rapprocha alors Sa main de mon entrejambe. Il entra Ses doigts et commença à les bouger dans ma chatte trempée et les ressortit remplie des mouille. Cest alors quil les rapprocha de ma bouche et me dit :
- Décidément tu es vraiment en chaleur, salope, nettoie avec ta bouche Mes doigts, je ne veux plus voir une seule trace de ta mouille de salope sur ceux-ci. Inutile de te dire que je veux que tu tappliques.
Je mactivais donc à lécher Ses doigts remplis de ma mouille avec application et je dois bien le dire avec une certaine dévotion grandissante. Je continuais de lui lécher les doigts nayant pas reçu dordre contraire de Sa part pendant plusieurs minutes. Puis Monsieur le Marquis reprit la parole et me dit :
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!