Les Fantasmes De Damien (7): Sophie Et Le Neveu

Ce soir nous sommes invités à un anniversaire dans ma belle famille. C’est une soirée dans une salle pour les 70 ans de l’oncle de Damien. Je ne suis pas trop fan de ce genre de fête et encore moins dans la famille de mon homme mais cette fois on va faire qu’un court passage. Demain, dimanche, il travaille et le réveil est déjà réglé sur 4h du matin. Même si je dois couper ma nuit, au moins je pourrai finir la soirée tranquillement à la maison.

Je veux recevoir aucune critique alors je reste 1 heure dans la salle demain. Évidement je me lave, mais aussi me rase les aisselles, les jambes et tout le pubis. Je demande à Damien d’avoir le corps lisse alors je me dois d’en faire autant. Alors que mon homme rentre dans la douche, je recouvre mon corps de crème hydratante. Malgré mes mouvements sensuels et mes signaux de désirs, Damien me saute pas dessus. Du coup je le laisse finir de se préparer.

Après avoir choisi une parure de lingerie blanche, j’enfile des collants couleur chaire. Je me décide sur une jupe plissée grise, qui m’arrive à mi cuisses, avec un chemisier plus clair. Je laisse ouvert quelques boutons de mon haut, sans dévoiler ma poitrine mais les curieux la devineront bien. Pour gagner quelques centimètres je porte des talons aiguilles noirs, qui me font un joli galbe. Une fois tous les deux prêts nous partons avec deux états d’esprit très différents.

La soirée est beaucoup moins « paillarde » que je le pensais. La musique est sympa, les buffets sont très bons et tout le monde est joyeux. Je vais au bar, me chercher une coupe de champagne et une bière pour mon homme. Sur le chemin du retour, je me fais alpaguer par la sœur de ma belle-mère. Je cherche du regard Damien pour qu’il vienne à ma rescousse mais il parle avec quelqu’un et me tourne le dos.

J’écoute qu’à moitié ce qu’elle me dit, d’abord parce que ça ne m’intéresse pas mais aussi car je me demande qui est le beau jeune homme avec qui mon mari discute.

Il porte un jean noir moulant qui met bien son entrejambe en valeur et une chemise blanche qui tire à cause de sa musculature, il a l’air de bien apprécier le sport et il le lui rend bien.

J’interromps la tante de Damien pour lui demander qui est ce beau mal, qui se détache bien de tous les autres. Elle me regarde avec un air étonné et me dit en rigolant:
« Tu reconnais pas Aurélien, ton neveu? C’est vrai qu’il a beaucoup changé depuis son départ pour ses études mais, en fin de compte, on le reconnaît bien! »
Je suis halluciné que le jeune et chétif adolescent qui venait passer des heures à discuter avec son oncle ressemble à ça maintenant.

J’abandonne la vieille tante et vais rejoindre les deux hommes. Je pose ma main sur le bras d’Aurélien et pendant que nous nous nous faisons la bise, j’en profite pour tâter son biceps. Impressionnée par ses muscles, je ne peux m’en pêcher de passer ma main sur son torse bosselé et dire:
« Eh ben! Je t’aurai jamais reconnu! Tu as bien fait de muscler tout ça! »
Je suis plus qu’étonné d’entendre Aurélien me répondre, avec le regard plongé dans mon décolleté:
« Moi aussi j’aimerai toucher tes pectoraux! »

Damien ricane et reprend la discussion comme si de rien était. Mes yeux devient, régulièrement, vers le beau et séduisant corps de notre neveu mais je sens aussi son regard se poser sur moi. Après une bonne demi heure debout, nous nous asseyons tous les 3 à la même table et continuons à parler de la famille mais aussi sport, politique...

Vers 22 heures, Damien veut rentrer pour ne pas se coucher trop tard. Il était convenu que nous rentrions ensemble mais je dis à mon homme:
« Si Aurélien est d’accord de me faire danser, je resterai bien encore un peu. Je trouverai quelqu’un qui me ramènera. »
Un peu déçu de rentrer seul, il essaye de me faire changer d’avis puis décide de me laisser la voiture et rentrer à pied.

Mon mari m’embrasse tendrement et passe les 20 minutes suivantes à saluer tout le monde.
Aurélien et moi sommes déjà sur la piste de danse. Je ne sais pas s’il le fait exprès ou pas mais ses mouvements font que sa main effleure régulièrement un de mes seins, mon ventre plat et même mes fesses. S’il le fait exprès, il reste très discret, même quand il écrase ma poitrine contre son torse musclé. Je ne sais pas depuis combien de temps nous virevoltons sur la piste de danse mais après un slow un peu trop serré, je décolle mon corps du sien.

Nous retournons à notre table pour nous désaltérer mais j’ai trop chaud alors je sors prendre l’air et surtout calmer mes pensées qui sont de plus en plus salaces. Aurélien m’accompagne pour fumer une cigarette, ça va pas m’aider à me calmer. Alors qu’il tire sur sa clope avec en bruit de fond la musique de la salle, je brise le silence en lui disant:
« Tu sais, je fais aussi du sport. Je cours assez régulièrement. »

Il recule un peu et m’observe de bas en haut. Il revient près de moi et pose ses mains sur mes jambes. En même temps qu’il me demande si je l’autorise, ses mains remontent doucement le long des mes cuisses à la recherche de mes muscles. Je me rends très bien compte que ses mouvements sont plus érotiques que techniques mais je le laisse faire.

Ses mains atteignent mon entrejambe et un de ses doigts s’aventure sur le tissu qui recouvre ma vulve qui commence à s’ouvrir et s’humidifier. Trop proche de l’entrée et ayant pas du tout l’envie de me faire surprendre, je me dégage et dis à mon neveu par alliance que je vais chercher une veste dans la voiture. Une fois penchée sur la banquette arrière à la recherche de monmanteau, je sens quelque chose de dure frotter mon cul. Je n’avais même pas remarqué qu’Aurélien m’avait suivi.

Je me redresse et me retourne, il se colle à moi son torse écrase ma poitrine et sa bouche se rapproche dangereusement de la mienne. Quand nos lèvres s’entremêlent, je me laisse faire mais c’est moi qui prends l’initiative de l’envahir avec ma langue.
Notre baiser est langoureux et de plus en plus chaud. J’ouvre les boutons de son pantalon et plonge ma main directement dans son caleçon.

Pendant que je caresse, de quelques allers retours, sa tige, il ouvre mon chemiser et sort mes seins de mon soutien gorge. Alors qu’il me bouffe la poitrine et me fait encore plus mouiller, je plonge encore plus ma main pour lui malaxer les couilles. Je sens sa tige encore plus grossir et durcir, comme son oncle à l’époque. Je remonte sur sa queue pour le décalotter puis le branler, je l’entends gémir entre mes seins.

Son visage remonte vers le mien et il me dit à l’oreille:
« J’ai très envie de toi et depuis des années! »
Je lui demande s’il a des préservatifs, mais comme ni lui ni moi en avons je lui réponds:
« Pas de capotes, pas de baise! »
Ses lèvres me dévorent la peau du cou, une de ses mains remonte ma jupe et la maintient alors que l’autre s’approche de mon entrejambe, je les retire immédiatement.

A la place, je m’agenouille puis dégage bien mes seins de ma brassière, je sors entièrement son costume 3 pièces et crache dessus en le branlant. Je mets aussi de la salive au milieu de ma poitrine pour y glisser sa tige. Je referme mes seins autour de son sexe et je commence à monter et descendre pour lui faire une petit branlette espagnole.

Après une dizaine d’allers retours, je me redresse et avant qu’il se recolle à moi, je lui répète:
« Pas de capotes, pas de baise! »
J’arrange mes habits mais aussi ma coiffure et je reprends la direction de la salle sans oublier de prendre ma veste. Il court vers moi tout débrailler et quand il se remet à m’expliquer à quel point il a envie de moi, je lui dis simplement:
« Rhabilles toi si tu veux pas faire un scandal dans la famille. »

Une fois de retour à table, il me chuchote à l’oreille
« Tu es encore plus coquine que dans mes fantasmes! »
Je lui souris mais je sens quand même que je rougis et il ajoute:
« Tu sais ça fait un moment que je n’ai pas eu de copine et là tu viens de réveiller le feu qui dormait en moi.
 »
Je suis flattée qu’à 45 ans je puisse plaire à ce point à un jeune homme mais il faut absolument, qu’il se calme.

Je me lève pour aller chercher de quoi grignoter, Aurélien m’accompagne; lorsque je vais au bar, il me suit aussi. Même quand je vais parler avec la vieille génération, il se tient à côté de moi. A chaque moment ou nous retrouvons seul, il me fait part de son désir pour moi ou me glisse des mots cochons.

Quand nous retournons sur la piste de danse, il se colle un peu trop à moi alors je lui fait remarquer que nous sommes entourés de sa famille qui est aussi la famille de mon mari.

Même s’il semble pas gêné par la situation, il se décolle un peu de moi. Au bout de quelques minutes, sa bouche se rapproche de mon oreille et après l’avoir discrètement lécher, il me murmure:
« Tu veux pas que l’on retourne sur le parking? »
« Pas de capotes, pas de baise. Par contre, j’en ai à la maison. »
Il saute sur l’occasion et me dit:
« Alors on va chez toi! »

Je souris et le laisse mariner même si, moi aussi, j’ai plein d’envies salaces avec lui. Une demi heure plus tard, quand je sens qu’il est encore plus excité, nous commençons à dire au revoir à tous les invites encore présents. De retour à la maison, je rentre la première et vais discrètement dans ma chambre, Damien dort comme un bébé. Je récupère les préservatifs que nous avons dû acheter à cause d’une infection que j’ai eu et je ressors pour rejoindre Aurélien qui m’attend dans le salon.

Je le retrouve à poil sur notre canapé en train de se caresser la tige bien raide. Son corps de gringalet a bien changé, maintenant c’est un homme musclé et viril. Malgré sa touffe de poil à l’entrejambe que j’apprécie pas tellement, il est très attirant et me fait déjà bien mouiller. Je m’approche de lui et lui tend la boite de capotes qu’il pose à côté de lui. Il met sa main sur ma cuisse et la remonte sous ma jupe pour rapidement atteindre ma culotte.

Il insiste un long moment sur ma chatte à travers le tissu, je me laisse faire avec grand plaisir. Alors que d’une main il s’occupe de son sexe et que de l’autre du mien, j’ouvre mon chemiser pour le retirer. J’enlève aussi mon soutien gorge et après quelques acrobaties j’arrive à faire tomber mon collant. Aurélien s’occupe, avec une immense satisfaction, de retirer ma jupe et ma culotte.

Une fois que nous sommes tous les deux nus, je m’assois sur lui pour frotter ma vulve trempée contre sa tige bien raide. Je fais des petits vas et viens en avant pour que mes lèvres intimes caresse bien le dessous de sa queue en essayant d’insister sur son frein et son gland. Je sens qu’à plusieurs reprises il est sur le point de rentrer mais je lui interdit l’accès.

Après quelques minutes, alors qu’il fait une nouvelle tentatives de pénétration, je le bloque contre moi et lui redis:
« Pas de capotes, pas de baise! »
Il s’empresse de sortir un des emballage de la boite et de l’ouvrir. Je me soulève pour qu’il le déroule sur sa bite et je l’empoigne pour m’assoir d’un coup sec sur lui dans un grand gémissement commun.

J’adore cette position alors j’en profite un maximum. Je prends appuie sur ses épaules et je monte et descends sur lui de plus en rapidement. Le neveu de mon mari se laisse totalement faire. Il en devient même un peu trop inactif à mon goût alors je plaque son visage contre ma poitrine pour qu’il s’occupe de mes seins. Il commence par les lécher l’un après l’autre en se rapprochant à chaque fois un peu plus de mes tétons.

Je suis de plus en plus excité mais je suis frustrée, comme Damien dort à seulement quelques mètres de nous, je peux pas gémir à ma guise. Ca devient de plus en plus dur de me retenir de crier surtout qu’il me mordille les tétines et j’adore ça. Je plonge une main entre nos deux corps en sueur et viens l’agiter contre mon clito jusqu’à me faire jouir. Je m’en mords les lèvres pour être sûre de ne pas hurler.

Pour pouvoir mes gémissements, je suis obligée de changer de position alors que j’adore qu’une belle bite, comme celle d’Aurélien, me ramone de cette façon. Je fais encore quelques allers retours et me soulève pour le faire quitter ma grotte. J’allais me mettre en levrette quand il m’att par la taille et m’allonge sur le dos. Il écarte mes jambes le plus possibles et rentre doucement son gland en moi.

Alors que même pas la moitié de sa queue bien dure, contrairement à celle de son oncle, n’est que moitié en moi, il se retire d’un coup sec. La tête de sa bite sépare de nouveau mes lèvres intimes et ouvre mon con. Il me pénètre pas plus que la première fois et se retire tout aussi brusquement. A sa troisième incursion, il s’enfonce encore moins et son gros gland se met à s’agiter.

Je ne sais pas pour les autres, mais l’entrée de ma grotte est la plus sensible de mon vagin. Je profite énormément des petits vas et viens de son gros champignon contre mon point G et la paroi autour. J’att un des coussins du canapé et je le pose sur ma tête pour pouvoir gémir à ma guise. Même si mes cris sont mis en sourdine grâce au coussin, quand le neveu de Damien s’enfonce d’un coup sec en moi et vient taper mon col, je suis obliger de mordre le tissu pour ne pas hurler.

Il me baise de plus en plus brutalement, malgré son jeune âge il est plutôt doué et me rappelle la fougue d’Abdallah. D’une main il maintient ma jambe gauche bien ouverte alors que l’autre se ballade de ma poitrine à mon clito. Sous ses coups de rein je sens mon deuxième orgasme pointer le bout de son nez quand il s’immobilise. Il ne bouge pas pendant un temps qui me semble interminable.

J’enlève le coussin pour lui demander ce qu’il se passe mais quand j’ouvre la bouche, il pose son index dessus et me dit:
« Ecoute, j se suis sûr d’avoir entendu du bruit. »
Je me concentre pour essayer d’entendre les ronflements de mon mari mais un trop grand silence règne. Comme il se passe rien et qu’au pire Damien réalisera enfin son fantasme de me voir dans les bras d’un autre, je mets mes mains sur son dos pour lui faire reprendre ses mouvements.

Bien qu’il se remet à me limer de plus en plus vigoureusement, je vois à son visage qu’il reste un peu stressé. Pour lui faire oublier tout ça, je le fais se pencher vers moi et alors qu’il rentre et sort de mon con, je gobe ses lèvres. Ma langue rentre dans sa bouche à la recherche de la sienne pendant que mes doigts montent et descendent sur son dos. Quand mes ongles se mêlent aux caresses je sens qu’il en à la chaire de poule.

Ses coups de boutoir me font remonter vers le septième ciel à toute vitesse. Plus je sens le plaisir m’envahir plus ma langue accélère le rythme de notre danse et plus mes ongles s’enfoncent dans son dos. Il devient de plus en plus animal, comme je peux plus utiliser le coussin pour mon plaisir, je colle encore plus mes lèvres contre les siennes. J’adore qu’il rentre aussi loin en moi et qu’il me titille autant le col. Je sens un feu d’artifice éclater dans mon corps, mes mains descendent sur ses fesses pour encore plus le planter dans ma grotte.

Ses vas et viens sont plus lents et délicats ce qui me permet de reprendre mes esprits. Comme je sens qu’il approche du point de non retour, je le fais se retirer et me retourne pour m‘installer à 4 pattes sur le canapé. Mes bras prennent appuie sur l’accoudoir et ma tête vient se poser entre eux. J’écarte mes cuisses et me cambre au maximum pour bien faire ressortir ma croupe. Il commence par malaxer mon cul alors que sa queue cherche à tâtons l’entrée de ma grotte.

Je suis tellement humide que c’est ma chatte qui aspire sa bite et non le contraire. Il rentre lentement tout en continuant de caresser mes fesses que je m’applique à encore plus faire ressortir. Je sens que ses doigts veulent se rapprocher de ma raie mais qu’il se ravise à chaque fois. Même si je prends de plus en plus de plaisir à la sodomie, je ne compte pas lui offrir mon cul.

Ses vas et viens se font plus vigoureux, je sens qu’il se rapproche du sommet du plaisir alors je contracte mon périnée pour encore plus l’enserrer en moi et lui donner du bonheur. J’ai l’impression de voir une ombre bouger devant moi, ça doit être le vent ou mon plaisir qui me fait avoir des visions. Je suis coupée dans mes pensées par Aurélien qui s’allonge sur mon dos.

Ses bras entourent mon corps et ses doigts cherchent mon clito pour le malaxer, le pétrir, le pincer, le tirer… Il gémit de plus en plus et me demande:
« Je peux jouir en toi? »
Quelles questions vu qu’il porte une capote! Alors je lui réponds en chuchotant et en gémissant:
« Tais toi et continue de me baiser, tu as une capote! »
Ses bras mes serrent encore plus, ses doigts accentuent leur pression sur mon bouton et sa queue me ramone avec des mouvements secs.

J’ai l’impression de voir, à nouveau, un truc bouger devant moi, j’entends même un bruit venir du couloir. Je sais pas si c’est le fait d’être peut être épié mais une grande chaleur nait dans mon ventre et vient réchauffer chaque partie de mon corps. Je sens aussi ma grotte être prise de convulsion tout comme la bite et les veines du neveu de mon mari. Je le sens nettement se contracter à 5 reprises, en plus d’être un bon baiseur ça à l’air d’être un sacré juteur.

Une fois qu’il s’est vidé, il s’affale encore plus sur mon dos alors je m’allonge sur le canapé. Comme la position est pas la plus agréable et qu’en plus je me demande ce qui a attiré mon intention à plusieurs reprises, je demande à Aurélien de partir. Il ressort lentement sa bite flasque de ma chatte, je sens un flot de cyprine couler sur mes cuisses, je ferme les jambes pour pas trop mouiller le canapé.

Il se relève, retire sa capote bien remplie et y fait un noeud et la pose sur la table basse à côté de nous. Je le presse à se rhabiller et alors que je suis toujours nue et dégoulinante de transpiration et sécrétions, je le raccompagne à la porte. Avant de le quitter avec un petit smack, je retourne chercher le préservatif utilisé pour qu’il le jette à l’extérieur.

Une fois la porte d’entrée fermé à clé, je vais discrètement dans notre chambre à coucher pour vérifier que Damien est toujours endormi. J’ai même pas besoin d’ouvrir la porte que je l’entends ronfler du coup je file dans le salon pour tout arrangé. Une fois que chaque coussin à bien repris sa place, je ramasse mes habits et file à la salle de bain. Sur le chemin mon pied se pose sur quelque chose d’humide.

Une fois à la lumière, ce sur quoi j’ai marché à sécher à cause de la moquette et des different tapis. Impossible de savoir ce que c’est mais je ne peux m’empêcher d’imaginer que c’était une goutte de sperme. Est ce que nous avons réveillé mon mari, qu’il m’a surpris en train de me faire baiser par son neveu, que ça l’a excité jusqu’à le faire jouir et qu’il a fait tomber par terre une goutte de sperme qui à couler de son méat ou de sa main??????

La tête pleine de question, j’enfile ma nuisette et je vais m’allonger à côté de mon mari qui dort ou qui, au moins, fait sembler. Je me rassure en me disant que s’il a jouit il a du approuvé ce que j’ai fait alors je me décontracte pour plonger dans les bras de Morphée. Le lendemain en fin de journée, quand il rentre du travail, il me demande simplement comment c’est fini la soirée et à quelle heure je suis rentrée mais il fait aucune allusion à ce qui aurait pu se passer avec Aurélien et j’aborde pas non plus le sujet, en tout cas pour le moment….

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