Collection Lesbiennes. Pour Échapper À Mon Patron (2/3)
Dans la vie vous prenez des décisions instantanées qui vous propulsent plus loin que vous naviez pensé quand vous avez émis cette énormité.
Cest le cas quand pour repousser les avances de monsieur Damien mon patron, je lui avoue le cur sur la main, que je suis lesbienne et que je vais me marier.
Dans ma précédente place, jai cédé aux avances de mon patron jusquau moment où sa femme la appris et je me suis fait virer.
Cette énormité avancée, il me fait la surprise de vouloir me mettre en avant lors de la fête de fin dannée quil organise avec son épouse.
Il veut que dans sa société les couples homos comme le miens trouvent leur place.
Il veut être à la pointe des idées novatrices prônées par la société qui refuse les discriminations.
Jai beaucoup réfléchi et il faut que je trouve une jeune femme qui accepte de jouer ce rôle pendant cette soirée.
Je me mets en chasse sur Internet de cette perle rare assez bonne actrice pour tenir ce rôle et méviter de retourner à la case départ qui serait le lit de monsieur Damien.
Cest dans un bar où se réunissent des lesbiennes comme me la apprise la patronne quelle me dépanne en appelant une jeune femme qui fréquente occasionnellement son bar.
Madame, comme lappellent ses clientes lappelle et en ce moment elle se trouve en face de moi au fond du bar.
Véritable petite poupée blonde, en la voyant je la baptise dans ma tête boucles dor nom de la jeune héroïne de ma jeunesse avec ses trois ours que maman me lisait.
Je lui exprime ma demande lui expliquant que jai dit à mon patron que je vais me marier avec mon amie lesb
cet été.
- Tu veux mépouser, ne ten fais pas jai compris, tu cherches ce que tu as du mal à dire une lesbienne, une gouine et tu as du mal à prononcer ces mots.
- Cest Madame la patronne qui ma dit que vous naimiez pas que lon vous appelle des gouines, quil fallait dire lesbienne.
- Pour ma part jaime que lon me dise que je suis une gouine, ne te formalise pas.
À ce moment, Giselle sapproche de lappareil à disque oeuvre dart du bar de Madame.
Elle parlait avec une femme la quarantaine, sorte de dominatrice, elle est entièrement recouverte de cuir noir jusquaux bottes et aux gants montant jusquau coude.
Il ne lui manque que la cagoule et la cravache pour ressembler à la femme vue lors de ma quette du milieu lesbien sur une vidéo que jai vite coupée.
Je me voyais mal débarquer à la fête de mon patron au bras de ce genre de femme ayant un mauvais genre.
- Allez les filles venez danser, il faut profiter de la vie.
Elle sest collée à cette femme, dansant dune façon presque honteuse.
- Maryse, elle a raison, jadore danser.
Nous nous levons, qui enlace lautre, je lignorerais toujours, la sensation est étrange, je nai dansé quavec des hommes qui rapidement voulaient me faire sentir leur virilité.
Là cest son ventre plat qui se colle au mien, ses seins, non, nos seins qui se collent les uns aux autres.
Je ne sais pas comment mettre ma tête, je serais obligé de me cambrer, appuyant fortement sur son bassin, pourquoi ne pas le dire, contre sa chatte pour éviter que nos lèvres soient trop proches.
Elle me sauve en posant sa tête sur mon épaule, nous dansons enlacées, ma propre chatte nétant pas insensible au frottement de celle de Susy.
- Je veux bien taider, je vais te dire franchement, tu me plais, même si jai compris que tu es hétéro, mais.
- Je me doutais quil y avait un mais, lequel est-il !
- Je retourne lundi chez mes parents à Orléans.
- Viens te rasoir, tu vas mexpliquer.
Je casse ce moment denchantement, certainement pour éviter de lui donner limpression que je mabandonne.
Des années déducation puritaine comme mont donné mes parents, même si coucher avec son patron nétait pas dans leur éducation, sefface difficilement.
- Jignore si Madame te la dit, javais rencontré une jeune femme ici.
Elle ma quitté me retrouvant à la rue, je suis dans un hôtel jusquà ce que je rentre chez mes parents.
- Il y a une autre solution si tu veux rester à Paris.
Venir vivre chez moi et chercher du travail sur Paris, quelle formation as-tu ?
- Jétais en fac de droit, jai arrêté je narrivais plus à suivre.
Les nuits parisiennes mattiraient trop.
Je vais aller à pôle emploi chez moi pour quil maide.
- Rien de tout ça, tu viens chez moi, tu maides à embobiner mon patron et cest à Paris que tu tinscris pour trouver un emploi.
- Oh ! merci, dans ma vie, jai toujours eu de la chance, je croyais quelle mavait abandonné, jaccepte, revenir chez mes parents serait reconnaître l'échec de ma vie.
De plus, si nous vivons même chastement chez toi, à la fin dannée, nous montrerons à ton patron un couple car si nous étions restés chacun chez soi, cette approche ne serait pas la même.
- Viens, je temmène dès ce soir, je te prêterais un tee-shirt pour la nuit, demain on ira chercher tes affaires.
- Jespère ne pas te choquer, je suis naturiste, je dors nue et je circule nue dans les maisons où jhabite.
- Nous nous arrangerons, la nudité ne me choque pas.
Nous saluons Madame, Giselle continue à danser avec sa dominatrice, cette dernière la tire par les cheveux en arrière et lui parle presque bouche-à-bouche.
Jai appelé un taxi qui me pose à 15 minutes de chez moi.
- Voilà mes deux pièces, le loyer est supportable, excuse ce bordel, je travaille et je suis très peu ménagère.
- Tu nas quun lit, je vais dormir sur le canapé.
- Depuis ce soir, nous sommes un couple, jai un grand lit, jespérais quun jour un beau gosse viendrait le partager, ce sera une belle gosse.
- Merci Maryse, je peux me déshabiller, cest plus fort que moi, dès que je suis entre quatre mûrs mes vêtements ont envie de senvoler tout seul.
Sans aucune pudeur mal placée, Susy se met nue.
Jessaye de tourner mon regard, mais cest plus fort que moi, je mate.
Ses seins ont de belles fraises, je les avais sentis quand nous avons dansé.
Ce que je découvre, cest sa chatte, autant en tant que brune, je suis rasée chaque mois dans mon institut de beauté.
Elle est simplement proprement taillée sur les bords me montrant un triangle pubien très bien entretenu.
- Viens allons prendre un bain, je veux te faire voir ma détermination à ce que nous arrivions à tromper mon patron comme tu me le propose.
Le bain se passe bien, je suis face à elle, au début leau est claire et je vois nettement le rose de lintérieur de sa chatte dans la position où sont ses jambes comme moi.
Voit-elle ce que je vois, mais nous en restons là, je pense quelle ne veut pas me choquer simplement en me savonnant le dos et messuyant avec la serviette ?
Nous rejoignons mon lit, pardon, notre lit, il faut que je mhabitue à parler pour deux.
La lumière éteinte, dans la nuit, je sens un bras passé le long de mon corps.
Cest dans un demi-sommeil que je sens cette main remonter facilement sur mon corps jusquà mon sein le plus proche.
Mon tee-shirt tire-bouchonné comme chaque nuit car jai tendance à bouger lui laisse la possibilité de se laisser attr.
Sait-elle ce quelle fait, sa respiration est normale, pas lombre dune retenue me montrant quelle aussi est réveillée.
Je me rendors, jaime cette main, mon sein est au chaud.
Quand je me réveille, cest lodeur du café qui me fait ouvrir les yeux.
- Voilà ton petit déjeuner, jai vu que tu navais que du café, je suis descendu chercher des croissants, ils sont tous chauds.
- Merci, revient à mon côté, dis-moi, cette nuit tu dormais où cest volontairement que ta main est venue sur mon sein.
- Tu nas pas aimé !
- Si cest pour cela que je tai laissé faire.
Susy de retour de la boulangerie est de nouveau dans le plus simple appareil.
Elle se couche à mon côté manquant de renverser le plateau.
Nous faisons la dînette mettant des miettes partout.
Quand nous avons fini ayant tout nettoyé, je le pose au sol.
Cest ma main qui empoigne le sein le plus proche alors que nos bouches se rejoigne.
Sa main vient sur ma fourche et commence à me caresser le clitoris.
Je menflamme.
Jignorais quune gouine pouvait donner autant de plaisir à une autre gouine.
Mon mensonge envers mon patron à partir de ce jour devient réalité, je tombe littéralement amoureuse de cette fée du logis.
Je retourne à mon travail le lundi après la veille avoir été chercher ses affaires et clore sa chambre dhôtel.
Susy mapprend tout le Kama-Sutra des amours féminins basé sur la douceur comparé à mon ancien patron et amant qui me prenait comme une bête.
Décembre arrive, les invitations sont lancées et à la date prévue nous arrivons toutes les deux
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