La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1284)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) (suite de l'épisode N°1273) -
Quelques jours plus tard, le seigneur de Charnay arriva milieu daprès-midi. Le Seigneur dEvans laccueillit sur le perron du Château.
- Mon ami, soyez le bienvenu, mais vous êtes seul ? Où est donc votre épouse ?
- Elle est restée au château, voyez-vous, nous avons des soumises rebelles et elle soccupe de leur cas.
- Pour avoir été plusieurs fois reçu chez vous, jai trouvé vos soumises plutôt dociles et respectueuses !
- Ou sont donc les jeunes mariés ? Jai hâte de faire la connaissance de la mariée, cette Chloris que je ne connais pas.
- Vous la connaissez, cher ami, vous souvenez-vous de Kate ?
- Oui la soumise dAntonin, une paysanne dailleurs, pour un Duc de noble souche ! Ce nest pas très sérieux.
- Certes ! Elle était de condition modeste, mais elle a une noblesse de cur, hors du commun
- Si Vous le dites
Au même moment Antonin et Chloris rentrèrent de leur promenade à cheval.
- Les voilà, justement !
Les deux nobles les rejoignirent et après les salutations dusages, le Seigneur dEvans appela pour faire monter les affaires du seigneur de Charnay dans sa chambre. Celui-ci regardait Chloris dune étrange façon qui la mis mal à laise.
- Je vous prie de mexcuser, je vais aller dans ma chambre me préparer pour la soirée.
- Sire, jaimerais Vous parler en privé, sollicita Antonin au Seigneur dEvans.
- Oui daccord
. (il appela) Lucie aux pieds !...Va montrer à Messire de Charnay, sa chambre.
- Bien Maître. Messire si vous voulez bien me suivre.
Le Seigneur dEvans et Antonin se rendirent dans le petit salon privé.
- Que se passe-t-il, Antonin ?
- Je nai pas aimé la façon dont ce seigneur a regardé ma femme.
- Oui, je lai remarqué aussi, tu es mon meilleur ami, aussi je vais te dire la vérité.
- Quoi ? Ma femme, ma Chloris mais elle est désormais Duchesse ! Et dun rang supérieur au sien, que je sache. Je vais lui apprendre le respect à cet individu.
- Antonin, je ten prie calme-toi. Je pense quaprès la soirée et le repas, il changera davis.
- Il vaudrait mieux pour lui. Une paysanne
nimporte quoi et pourquoi pas une boniche ! râla Antonin en colère.
Au même moment, Lucie montrait la chambre au seigneur de Charnay. Elle ouvrit la porte et entra à sa suite et se cogna contre un petit tabouret quelle navait pas vu. Ce qui fit tomber le vase de cristal qui se trouvait dessus.
- Espèce de maladroite, regarde ce que tu as fait.
- Je...je vous présente mes excuses, je ne lavais pas vu. Je vais nettoyer tout de suite.
- Bien sûr que tu vas nettoyer salope et être punie.
Lucie ne répondit rien mais au fond delle-même, ne pensais pas mériter une punition. Mais cétait un ami et invité du Maître et elle voulait faire honneur à Son éducation et ne pas Le mécontenter. Lucie ramassa donc les morceaux de cristal brisés, en silence et en se mettant à 4 pattes.
- Maintenant, lèche la chienne.
La belle sexécuta en prenant garde à ne pas se blesser à des petits morceaux oubliés.
- Mieux que ça, mets-y plus dentrain.
- Mais Messire, je risque de me couper avec des petits morceaux de cristal.
- La belle affaire, et tu vas commencer par mappeler Maître. Tu nes quune sale chienne soumise, une petite paysanne bonne à contenter les nobles et rien dautres.
- Je ne suis pas votre soumise. Jappartiens au Seigneur dEvans et Il est le seul que je nomme Maître.
- Petite effrontée continue à nettoyer, tu vas voir à qui tu as à faire, dit-il en ôtant sa ceinture et en la giflant.
Le méchant seigneur commença à frapper Lucie, sans ménagement, qui courageusement retenait ses cris et gémissements tant quelle put.
- Je te ferai craquer salope et tu finiras par obéir et pliera devant moi. Jen ai dressé plus dune, des petites chienne comme toi et à coups de ceinture
Lucie ne disait rien. Il frappait encore et encore. Mais paradoxalement, elle aimait cela car son excitation était bien présente mais après des dizaines de coups, Lucie criait de douleurs et quelques gouttes de sang perlaient sur son dos. Le seigneur de Charnay stoppa et lattrapa par la chevelure pour bien la tenir et se plaça derrière elle. Puis il baissa rapidement ses chausses. Sa verge était dressée dexcitation et il la pénétra sans la moindre préparation à grands coups de reins virils, puissants et profonds en lui tirant une grosse touffe de cheveux en arrière pour mieux la faire se cambrer. Bien quhabituée à être prise ainsi et étant dans un état second, elle hurla sur le coup mais paradoxalement comme elle aimait être prise ainsi, sauvagement, dans une saillie animale, elle sentit son excitation monter. Puis il la sodomisa un bon moment par le cul et repris ensuite sa chatte puis de nouveau son cul passant de lun à lautre sans distinction tout en lui fessant fortement son cul arrondi par des volées de fessées qui claquaient bruyamment. Et une fois quil leut bien besogné, il finit par jouir dans sa bouche en longs jets épais et saccadés dans un flot de sperme tout en lui maintenant la tête par une gorge profonde et gicler au fond de la gorge de la belle. Quand enfin, Le seigneur de Charnay la laissa partir, sous des insultes humiliantes quil vociférait comme un forcené, Lucie rejoignit les autres soumises dans leur chambre qui virent tout de suite à son allure que quelque chose nallait pas. Lucie demanda :
- Ou est Kate ?
- Dans sa chambre, pourquoi?
Lucie ne répondit pas et quitta la pièce pour aller jusqu'à la chambre et frappa à la porte.
- Que veux- tu, Lucie?
- Monsieur le Duc, je vous présente mes excuses, je souhaiterais voir Kate
heu pardon, je veux dire Chloris
un moment, sil vous plait.
- Bon entre, je vais la chercher.
Chloris arriva peu de temps après et à la mine de Lucie, elle questionna :
- Lucie, ça ne va pas ?, Tu as un souci ?
- Je suis désolée de te déranger mais pourrais-tu regarder mon dos, je pense avoir des zébrures.
- Bien sûr, allonge-toi sur la couche, je vais regarder.
Lucie sallongea sur le ventre et très délicatement Chloris releva la fine chemise que Lucie avais mise pour cacher son dos.
- Lucie quest ce qui sest passé ? Tu saignes. Antonin viens vite, pourrais-tu aller dans mes affaires chercher des petits linges propres quon se sert pour soigner les plaies
- Le seigneur de Charnay ma puni et il a eu la main lourde, cest tout.
- Comment ça, cest tout ?, dit Antonin qui revenait, cest contraire à léthique du Seigneur dEvans.
- Antonin à raison, il faut le Lui dire.
- Non, sil vous plaît, cest un ami du Maître et je ne veux pas me plaindre, ce nest pas grave.
- Comme tu voudras, mais je pense que cest une erreur.
Chloris soigna Lucie, si bien que les marques étaient bien atténuées.
- Le soir venu, le repas fut agréable même si le seigneur de Charnay fit des allusions déplaisantes à Chloris relatives à son ancienne condition.
- Dites-moi, comment une fille telle que vous, a-t-elle fait pour séduire un Duc et se prétendre ainsi de la noblesse ?
Chloris très digne et polie, répondit non sans un soupçon dironie dans la voix.
- Je ne lai pas séduit Messire, il ma choisi et nous nous aimons sincèrement.
Le Seigneur dEvans sentant quun certain malaise allait poindre, préféra détourner la conversation sur un sujet moins délicat. A la fin de la soirée le Seigneur dEvans dit au seigneur de Charnay :
- Afin de parfaire mon hospitalité, il est de tradition que mes invités puissent jouir de mes soumises.
- Je vous remercie. Je veux Lucie (il trouvait que les zébrures de sa ceinture nétaient pas assez marquées) et Chloris.
- Chloris ne mappartiens plus. De plus, elle vient de se marier et il est normal quelle soit lexclusivité de son époux, répondit le Seigneur dEvans qui commençait à se poser de sérieuses questions sur celui qui fut, jadis, son ami.
- Si Vous y tenez, alors celle-là, dit il désignant une jeune soumise du nom de Sophie qui était en train de nettoyer la table du repas.
- Très bien, je vous les envoie dés leur travail terminé. Bonne nuit à demain.
- Bonne nuit.
Cette nuit-là, Lucie et Sophie passèrent une nuit excitante par moment mais également horrible pour dautres moments. En effet, elles furent frappées pour un rien, attachées, souillées tout en étant humiliées malsainement. Et même si certains de ces traitements leur plaisaient en temps normal, cette nuit-là, cétait à la limite de lacceptable
La grosse différence entre ce que leur faisait subir cet énergumène et dordinaire le Seigneur dEvans était le fait que Ce dernier quand Il les humiliait, Il les considérait sincèrement et les protégeait plus que tout et que la violence gratuite ne faisait jamais partie de Son mode de fonctionnement. Alors que ce seigneur de Charnay (sans majuscule à seigneur) fonctionnait à linverse, il violentait gratuitement par pur sadisme pervers et navait aucune considération, cétait même le contraire à lévidence, il avait une sorte de haine envers la gente féminine et un machisme malsain et prononcé
Le lendemain le seigneur de Charnay partit pour rentrer chez lui avec une idée perverse et diabolique dans la tête
Les semaines et mois passèrent le plus normalement du monde au Château quand un jour Ronan alla voir son père.
- Père, Clémence et Sophie ne sont pas encore rentrées et le soir tombe, je suis très inquiet.
- Je sais, jai envoyé Messire Léon à leur recherche avec quelques-uns de Mes chevaliers.
- Demain matin si on na pas de nouvelles, je ferais prévenir Alix, la Comtesse de Maisondieu, et Louis-Etienne.
Le lendemain nayant pas de nouvelles, Ronan partit pour le manoir des Maisondieu les mettre au courant. Ronan leur annonça la nouvelle et leur proposa de venir séjourner au Château le temps des recherches, ce qu'ils acceptèrent et tous reprirent le chemin en direction du Château. En réalité Sophie et Clémence n'étaient pas très loin de là. Elles avaient été enlevées par le seigneur de Charnay, qui en fait jalousait le Seigneur d'Evans et lui enviait Ses soumises au point de les napper. Voilà pourquoi il avait été, également, aussi désagréable et irrespectueux lors de sa dernière venue. Après des jours de recherches par un heureux hasard, Valentin avait appris au village où elles se trouvaient grâce à une servante dudit village qui revenait de chez le seigneur de Charnay avait été très intriguée dy voir les deux soumises quelle savait appartenir au Seigneur dEvans. Alors elle en avait immédiatement averti Messire Léon et le Seigneur d'Evans...
(A suivre
)
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