Toute Les Femmes S'Appellent Marie : Au Sauna
Le jour dit, je retrouve Marie dans la ville où elle habite durant la semaine. La maline a été repérer létablissement dans la semaine et sest renseignée. Avant daller au sauna, je lui propose de dîner dans un petit restaurant. Marie est inquiète. Va-t-elle rencontrer des personnes connues ? Comment faut-il se tenir ? Quelle tenue mettre ?
Je la rassure. Le monde libertin est tout de même très confidentiel. Si par hasard elle rencontrait quelquun de connu, il faut savoir quil ou elle, se trouve là pour la même raison que nous et nira pas crier sur les toits cette rencontre. Au contraire, cela peut être une bonne surprise ! Elle pourrait découvrir quune connaissance peut être plus intéressante que prévu. Ensuite, elle doit rester naturelle et décontractée. Enfin pour la tenue, peu importe, puisque de toutes façons, on se déshabille.
Sur place on trouve dans chaque casier personnel du vestiaire, serviette, pagne pour les hommes, ou paréo pour les dames.
« Rien dautre ?
Il y a aussi des capotes. Je te rappelle quil sagit dun sauna libertin, donc la nudité est la règle ou le but, au moins dans le jacuzzi, le hammam ou le sauna. En général, ceux qui sont en maillot, ce qui nest pas interdit, sont les plus gênés mais cest rare, je ne lai vu quune fois et peu de temps. Tout le monde vient là aussi pour sexhiber »
Un peu rassurée mais stressée tout de même, il est un peu plus de vingt et une heures lorsque nous rejoignons létablissement à pied. Javais choisi le restaurant à côté pour ce côté pratique.
Je sonne pour quon nous ouvre. Marie est surprise car nous entrons dans un sex-shop. Létablissement a en effet deux activités. Elle avait vu le site sur Internet mais navais pas pensé à cette organisation. Je paye lentrée, le patron nous donne un bracelet avec une clé et une petite poche dans laquelle on glisse préservatif et gel si besoin. Je guide alors ma cavalière vers la partie sauna.
Derrière la porte de séparation, un comptoir ou lon peut trouver des rafraîchissements. En face, une glace qui est en fait sans tain et permet depuis le fumoir qui se trouve derrière, de voir ceux qui entrent. Le sauna se trouve au sous-sol. On descend lescalier au pied duquel se trouve une douche collective. Plus loin, on entre dans le vestiaire.
Deuxième surprise pour Marie, ce vestiaire est mixte, sans aucune séparation entre les hommes et les femmes. Même si celles-ci ne se trouvent pas directement sur le passage, il ny a pas dintimité pour le déshabillage. Considéré comme couple, nous sommes dans la même zone, à quelques pas lun de lautre et pouvons nous voir. Jaborde la chose en riant de façon à la décontracter et me déshabille rapidement lair de rien, sans trop regarder vers elle. Mon attitude décontractée (en apparence car je la surveille du coin de lil) lencourage à se dévêtir à son tour.
Ayant commencé le premier, je suis rapidement prêt. Je ferme mon casier, attache le bracelet à la cheville, claquettes aux pieds et pagne à la taille je mapproche delle.
« Jai déjà le privilège de te découvrir dis-je en riant, et ce que je vois est particulièrement joli !
Arrête ! Déjà que je ne suis pas très à laise. Ne te fous pas de moi !
Pas du tout ! Au contraire ! Je découvre que tu as de très jolies formes alors que tu es toujours habillée avec des vêtements qui cachent tout !
Jai pas de seins, ni de fesses.
Détrompe-toi ! Tes seins sont moins ronds que chez certaines mais ils sont très jolis et semblent ferme. Ta silhouette est très harmonieuse et franchement tu es vachement plus belle nue ! Si javais sû ! Mais, sil te plaît, mets ton paréo, ou je ne réponds de rien.
Tu vas me sauter dessus ? rigole-t-elle.
Non, mais mon pagne va me trahir !
Quoi ? Tu bandes déjà ? Salaud !
A ton avis ? Allez dépêche ! »
Je laide à attacher le paréo, puis magenouille pour lui passer le bracelet à la cheville.
- « On prendra un douche après, - il faut que je débande un peu - pour linstant, je te fais visiter. »
Un simple rideau de perle sépare le vestiaire de lentrée vers les salles. A gauche, un passage vers celle du jacuzzi. Un grand bassin deau bouillonnante avec une plage autour et des transats. Dans leau, plusieurs hommes et deux couples. Un distributeur de café nous permet de regarder négligemment ce qui se passe, sans en avoir lair. Je décide de nous y tremper plus tard et pour linstant, de terminer le tour du propriétaire. Nous poursuivons la visite. Une salle avec un immense matelas, lieu parfois dexhibition. Des rideaux ajourés permettent un semblant dintimité. A gauche et à droite de cette estrade, un couloir avec dans chacun, des cabines dont quasiment toute la surface est prise par une sorte de plancher assez haut une hauteur calculée - recouvert dun matelas plastique.
Les cabines ont des portes dont on peut fermer le verrou pour ne pas être dérangé. Au fond du couloir, en revanche, une alcôve un peu plus grande qui elle na pas de porte. Là, les occupants sexhibent comme dans la grande salle et parfois sont rejoints par dautres partenaires louverture de la pièce invitant à la pluralité et léchange.
Nous revenons vers lentrée et je remarque au passage les coups dil vers ma cavalière qui a lair au goût de certains. En effet, les couples qui fréquentent ce genre dendroit sont généralement libertins et donc une ouverture est toujours possible et les amateurs à l'affût. Personne cependant ne tente quoi que ce soit pour linstant.
Je termine la visite de cette partie en désignant le sauna dans lequel il doit y avoir du monde car des serviettes sont présentes sur les patères.
Devant la porte du hammam, jenlève mon pagne pour laccrocher au porte-manteau. Elle se rend compte quil faut quelle se mette nue devant les autres. Je lis la panique dans ses yeux. Cest le moment redouté ! Je lencourage et le lui conseille fortement, car après le passage dans le hammam, elle va avoir son paréo et la serviette trempés.
Les gens respectent, surtout lorsquil y a un paréo et donc une femme. Pour les hommes il arrive parfois quil y est des échanges, mais cest rare.
Nous entrons rapidement. Marie reste presque collée contre moi, ce qui nest pas pour me déplaire. On sassoit sur la banquette carrelée, à mi-chemin entre la partie éclairée et la partie plus obscure.
« Finalement tu profites de ça pour me voir à poil ! » Dit-elle en chuchotant penchée vers moi.
« Cela fait partie du plaisir de lendroit, voir et être vu et puis je dois dire que tu es superbe !
Je te plais un peu ?
Il faudrait être difficile !
Ça texcite ?
Oui ! Je peux te caresser la jambe ?
Oui, jai envie et moi, je peux aussi ?
Cà ne se refuse pas. Tu as la peau douce en plus dans le hammam, ça glisse ! »
Nous nous caressons un moment en silence, une main entre le genou et le haut de la cuisse. Je sens assez vite que mon sexe se redresse peu à peu. La coquine remonte de plus en plus et sen approche.
Pendant ce temps deux ou trois hommes sont entrés et assis en face de nous, regardent. Cela ne semble pas gêner ma cavalière qui na pas retiré sa main.
Deux hommes entrent et se dirigent directement vers le fond, sasseyant plus loin dans lombre. Tout en continuant nos caresses, nous pouvons les observer. Ils se caressent et sembrassent. Marie se penche vers moi et me chuchote :
« Je croyais être choquée de voir deux hommes ensemble, mais je ne sais pas si cest ta main, ou de les regarder, mais ça me plais.
Oui jaime bien, mais ta main et ton corps y sont pour beaucoup, Je peux ?
Ne te gênes pas fait-elle en écartant sensiblement ses jambes, moi aussi je suis excitée ! »
Pour linstant, seules nos mains sont en contact étroit avec nos sexes. Nous sommes serrés lun contre lautre. Alors que mes doigts sagitent à lentrée de sa chatte, je sens Marie se raidir.
« Je tai fais mal ?
Non, non ! Quelquun me touche les fesses de lautre côté !
Je sais. Cest un homme qui est là depuis un moment, il tente sa chance.
Quest ce que je dois faire ?
Ce que tu veux. Soit tu le laisses faire et il va prendre ça pour un encouragement, soit tu repousses sa main. Si tu veux, tu le regardes, ou pas.
Je
Je ne sais pas. Jai pas trop envie
pour linstant. Je ne suis pas rassurée, cest trop tôt !
Alors, gentiment tu écartes sa main.
Il ne dira rien ?
Non, ici, comme je tai dis, rien ne doit être imposé. »
Elle tourne la tête, doit sourire à lhomme, lui fait non de la tête. Lhomme retire sa main, se lève et sort. Ceux qui mataient à proximité le suivent, voyant que la femme ne veut pas samuser.
Lépisode a un peu refroidit nos ardeurs. En face de nous, les deux hommes, indifférents à ce qui se passe autour deux, continuent leur jeu. Lun sest penché et suce maintenant son partenaire.
« Cest génial ! Dit Marie. Je naurais jamais pensé voir ça en direct ! » Elle paraît fascinée par le spectacle qui nous est offert. Elle a inconsciemment pris ma bite à pleine main et me caresse tout en regardant fixement les deux hommes. Je laisse faire un moment tout en continuant à la caresser puis jinterviens.
On pourrait peut-être sortir. Cà fait un moment quon est là, il ne faut pas rester trop longtemps. »
Ma remarque fait sortir Marie de sa bulle. Remarque alors sa main sur ma queue. Elle me sourit et nous sortons de latmosphère embuée.
Lair frais nous fait du bien et sous lil goguenard de quelques hommes à la vue de mon érection, nous nous rhabillons. Je propose, avant daller au jacuzzi, de prendre une douche. Les douches aussi sont communes, ce qui me procure à nouveau le plaisir de voir le corps de Marie de près en pleine lumière. Nous commençons à nous savonner chacun de notre côté et comme nous discutons, sans réfléchir, je savonne le dos de ma cavalière, qui se laisse faire en riant. Mieux même, elle se retourne, moffrant sa poitrine et tout son côté face et me savonne à son tour.
La toilette vire peu à peu à un échange de caresses, qui continuent pendant le rinçage. Un homme est entré sans que nous y prêtions attention, puis Marie se soulève sur la pointe des pieds, me prend la tête et membrasse à pleine bouche, enlacée tout contre moi. Bien évidemment je réponds à son baiser, je lenlace et ma queue se manifeste entre nous. Je me rends compte que cest notre premier baiser, alors que nous connaissons nos corps et nous sommes caressés intimement.
Après un essuyage rapide et commun, nous rejoignons le jacuzzi. Marie nhésite déjà plus à se mettre nue devant les autres en pleine lumière. Nous prenons place sur la banquette dans leau chaude et bouillonnante, serrés lun contre lautre. Il y a du monde ce soir. Trois autres couples et quelques hommes qui barbotent en matant à lautre bout, les deux hommes qui étaient dans le hammam, arrivent à leur tour.
Deux des couples sont ensemble et samusent, manifestement il y a eu échange de partenaires car lhomme le plus âgé est avec la jeune femme et le jeune avec une femme mûre. Je le fais remarquer à Marie qui sen amuse. Elle semble tout à fait épanouie dans ce milieu.
Comme cest le cas, lorsquil y a un peu de monde dans le bain, ça sanime. Le troisième couple, dont la femme était à cheval sur lhomme, décide de passer à létape supérieure. Lhomme se hisse sur le bord, la femme se glisse entre les jambes et entreprend une superbe fellation. La température monte dans le jacuzzi !
« Je peux venir sur toi ? Jai envie. Me glisse Marie.
Bien sûr ma belle ! Tout le plaisir est pour moi ! »
Elle savance dans le bassin puis en reculant, menjambe et sinstalle sur mes jambes, collant son dos contre moi afin de voir le spectacle face à nous. Pour la taquiner, alors que je lenlace, je lui indique que sa position veut dire quelle autorise quelquun à se joindre à nous. Elle va pour se retourner, mais je lui rappelle aussi, quelle nest pas obligée daccepter les demandes et que si elle ne regarde pas fixement les autres ils napprocheront pas.
Placée comme elle est, devant moi, ses jambes sont largement ouvertes. Captivée par les couples qui sébattent, elle se laisse aller, aussi je glisse une main vers sa fente et lautre sur ses petits seins. Là, cest une découverte ! A peine ai-je commencé à caresser lun de ses tétons, quelle se penche en arrière, ouvre encore plus ses jambes et pose sa tête sur mon épaule. En quelques instants, elle soupire et tournant sa bouche vers la mienne, étouffe son spasme dans un baiser.
« Eh bien dis-donc ! Fais-je lorsquelle reprend ses esprits. Si tu pars toujours aussi vite quand on soccupe de tes seins, quest-ce que ça doit donner quand on les suce ?
Oh alors là cest immédiat !
Eh bien comme ça je pourrai te faire jouir à la demande.
Salaud ! Tu vas me crever à ce rythme !
Enfin, si tu veux quun vieux te baise.
Ouiii ! Je veux que tu me baises ! Tu te rends compte, depuis le temps quon se connaît sans jamais penser être ensemble ? On se retrouve en trois jours, sans rien préméditer, en train de se branler à poil tous les deux dans un sauna libertin. On ne parle pas damour juste de baiser, dailleurs, tu ne las toujours pas fait, quest-ce quon attend ?
Tu ne veux pas continuer à regarder ?
Pour le moment, on va baiser. Jai envie ! »
Nous sortons de leau, personne nest étonné de la gaule que jai. Ils doivent être tous dans le même état, entre les deux couples collés les uns aux autres, celui qui se fait sucer à la vue de tous et les deux hommes qui eux aussi samusent ensemble, le spectacle est excitant.
Sans remettre nos serviettes, Marie plaque juste son paréo devant elle laissant à ma vue son dos et ses fesses coquines, nous filons vers les cabines. Un homme nous suit mais je ne le laisse pas entrer, lui disant que pour linstant nous préférons être seuls.
Une fois enfermés, on grimpe sur le matelas en skaï, et reprenons nos jeux. Marie est une sacrée coquine. Contrairement aux femmes en général, elle nest pas passive et nattend pas les initiatives de son partenaire. Elle « joue » en permanence, cherche ce qui plaît, parle, bouge. Le sexe avec elle est gai et surtout pas monotone.
« Le cadre nest pas très romantique, dis-je
Cest un baisodrome. Cà tombe bien javais envie de baiser !
Toi au moins, tu dis ce que tu penses !
Cà te choque ? Jappelle un chat un chat ! Franchement je suis très contente dêtre ici, avec toi.
Avec moi ? Cest trop dhonneur !
Pas du tout ! Tu es un sacré numéro ! et je sens que tu dois être un bon amant vicieux. Je regrette de navoir pas essayé avant avec toi.
Je nétais pas venu ici pour cela mais moi aussi, je regrette de ne pas avoir essayé avant. Surtout de navoir pas compris que sous tes habits amples, il y avait un si joli corps, en plus, très réactif !
Nen fais pas trop tout de même ! Je sais comment je suis.
Je tassure ! A poil tu es canon ! nous rions de ma sortie - Pas seulement parce que tu es nue, mais parce que tes formes sont harmonieuses, tes petits seins très mignons et sensibles. Ton cul attire les caresses. Tes jambes galbées sont très belles. Cà je le savais ! Ton ticket de métro met bien en valeur ta chatte. Viens ici dailleurs, que je te bouffe la chatte ! Jadore lécher et je crois que je vais me régaler !
Oh là ! Tu vas me faire rougir ! Eh bien toi aussi jaime te voir à poil ! Jaime ta bite rasé, elle est belle et de bonnes dimensions ! Il me tarde dy goûter moi aussi et de la sentir en moi. Tu sais ce que jaime ? Cest me faire baiser en levrette. Jespère que tu vas aussi menculer !
Pour la levrette jadore aussi ! Mais dis-donc toi, tu es toujours aussi directe quand tu parles de cul !
Pourquoi le cacher ? Jai envie, point. Tu sais comme ça ce que je veux et je suis sûre que tu vas me régaler. »
Il est temps de passer aux choses sérieuses, je parcours son corps musclé de la langue et des lèvres. Je sais déjà que Marie est très sensible des seins, aussi jévite ses fraises dardées. Je descends sur son ventre. On ne dirait pas que cette femme a eu deux s ! Son ventre est plat et lui aussi musclé. Je poursuis ma descente et retrouve une toison frisée, bien taillée et douce. Bien sûr les passages au hammam et à la douche ont atténué son parfum intime, mais plus je m'approche de sa fente, plus celui-ci se renforce.
J'atteins enfin son bouton que je taquine du bout de la langue. Comme les seins, il est aussi très sensible et ma cavalière soupire rapidement. Ses mains appuient sur ma tête pour manifester le plaisir qu'elle éprouve à ma caresse. Bien sûr, je me délecte de son suc aux senteurs subtiles.
« Viens ! Prends-moi ! » Supplie-t-elle ». J'att la pochette du préservatif, mais elle me souffle « Je suis clean ! Si tu l'es aussi, prends-moi comme ça, je préfère sentir ta bite directement ! »
Puisqu'elle aime la levrette, je la positionne alors à genoux face à la glace qui orne le fond de la cabine, admirant encore ses courbes gracieuses et fines. Penchée ainsi, sa croupe ressort bien, ses hanches paraissent plus larges. Cette femme est vraiment très bien faite et c'est un régal de la voir ainsi. Je l'invite à regarder notre couple dans la glace. Son visage s'illumine d'un grand sourire. Ses yeux bleus étincelle
- « J'aime ! »
Tout au long de notre coït, sauf dans les derniers instants, Marie reste ainsi à fixer le miroir. Quand la buée le recouvre, ces cabines de sont pas très aérées, elle passe la main pour lenlever.
J'adopte un rythme assez lent pour profiter au maximum de ce moment intense, mais peu à peu, le désir monte dans mes reins. Nous transpirons dans l'étroit volume. Quand je sens mon éjaculation imminente, je vais me retirer pour me finir sur son dos, mais Marie me demande de gicler dans sa chatte. Plutôt, elle crie, car elle aussi part un orgasme intense. Je la re-pénètre alors empaume ses seins pour titiller les tétons hyper sensibles et très vite lâche mon foutre au fond de sa gaine brûlante alors quelle crie son plaisir.
Lintensité de notre orgasme nous submerge et toujours emboîtés, nous nous écroulons sur le matelas, lui aussi chaud et humide. Nous restons ainsi un moment à nous câliner et nous bécoter.
« Tu sais que pour un « vieux », tu te débrouilles plutôt bien ! En plus tu es un sacré vicieux, de mavoir embarquée ici !
Tu le regrettes ? Je te déçois ?
Oh non ! Tes fou ! Je suis surprise, cest tout ! Je navais pas du tout cette image de toi !
Tu nes pas obligée de le chanter sur les toits non plus.
Cà ne risque pas ! Je nai pas envie de me fâcher avec toi, ni darrêter ce genre de pratiques que je viens de découvrir
Tu nas pas envie quon se trouve un partenaire ou un couple pour continuer ?
Tu en as déjà marre de moi ?
Pas du tout, mais si on est venus ici cest aussi pour « coquiner »
Je nai vu personne qui me plaisait pour linstant. Mais si tu veux, on peut y retourner.
Cà te dis que lon samuse avec un autre couple, ou avec un autre mec ? Rien nest obligé. Dans tous les cas on a trouvé comment samuser tous les deux et jai envie quon recommence aussi. On y va ?
Pourquoi pas ! »
Nous quittons la cabine. On constate alors en sortant, que latmosphère était bien chaude. On transpire. Cà doit sentir le fauve là dedans ! Direction la douche.
Cette fois, nouvelles caresses sous leau qui fait du bien. Marie qui veut tout essayer, sagenouille pour me « tailler une pipe sous la douche » spectacle qui plaît beaucoup à un homme, qui se branle en la regardant faire, à genoux sous le jet deau. Il sapproche lorsque je lui fais signe et je guide la main de Marie sur son chibre tendu. Va-t-elle le sucer ?
Elle lève son regard vers moi, voit mon accord dans mes yeux et tourne alors son visage vers la queue du voisin en attente. Elle alterne ainsi un moment avant de se relever, se coller contre moi et membrasser. Ses yeux brillent et elle se serre fort contre mon corps. Quand nos lèvres se séparent, leau sest arrêtée et lhomme est parti sans que nous nous en rendions compte.
- « Cest
la première fois que je suce un inconnu ! En plus devant quelquun dautre ! Tu es fou ! Jadore ça, salaud ! Jétais à deux doigts de jouir ! Putain que cest bon !»
Avant de retourner au jacuzzi, qui est généralement le lieu des rencontres avec le hammam et le sauna, je lui propose de monter à létage.
Nous passons rapidement dans les salles de projection homo et hétéro. Il ny a dailleurs personne. Généralement ce sont les visiteurs du sex-shop mais le soir il ny en a pas. Je lui montre ensuite la cabine du « sling », quelle veut immédiatement essayer. Elle fait tomber son paréo, se place dans le siège en cuir suspendu par des chaînes, pose ses jambes sur les étiers et me demande de la prendre ainsi.
Elle se trouve très salope ! Entendant du monde derrière la porte, elle accentue ses gémissements en clignant de lil et en riant. Heureusement pour moi, Marie jouit vite, car je sentais monter le sperme dans mes reins et naurais pas tenu très longtemps. La soirée nest pas finie. Nous quittons lendroit, et nous promettons dy revenir.
La « backroom , ce lieu complètement noir où on ne sait qui vous touche ne lui plaît guère, en revanche, elle veut essayer aussitôt le « glory hole ». La laissant dans une cabine, je fais le tour pour me placer dans celle qui est vis-à-vis et lui présenter ma bite à travers le trou. Au moment dentrer, un homme se trouve dans le couloir, je lui propose de prendre ma place, lui précisant que quelquun de lautre côté attend.
Lhomme y reste quelques minutes et lorsquil sort, je prends sa place et présente ma queue. Une bouche sen saisit aussitôt et me suce goulument. Je me retire difficilement à la limite de jouir. Je contourne les cabines pour retrouver Marie qui sort de la sienne.
« Salaud ! Dit-elle en riant. Tu as envoyé un autre mec à ta place en premier ! Tu croyais que jallais me dégonfler ?
Non. Mais quand je lai vu devant la porte, je me suis dis que cétait une étape de plus dans ton libertinage. Tu nas pas aimé ?
Surprise dabord car il avait une bite plus grosse que toi
et que
celui de la douche, mais elle était plus molle. En plus, il avait plein de poils.
Ça ta excité ?
Au début, pas trop, ensuite, jai pensé que jétais en train de sucer un inconnu, que je ne voyais pas son visage ni son corps. Le seul truc accessible cétait sa bite et ses couilles et que ça me plaisait. Alors là, jai vraiment mouillé.
Je suis sûr que tu tes branlée petite salope !
Oui ! Je suis une petite salope et je me suis branlée. Quand ta bite est apparue, je lai de suite reconnue et alors jai jouis en me branlant.
Félicitations ! Je tadore ! Un baiser scelle notre connivence.
Tu me diras quel homme jai sucé ?
Surement pas, tu vas le croiser sans doute, mais je ne dirais rien.»
Nous passons enfin dans le fumoir à la vitre sans tain. Marie ne fume pas, mais rigole de voir passer les gens sans quils nous voient. Le temps de griller une cigarette, un couple arrive. Quarante cinq, cinquante ans, la femme pas très grande, un peu ronde avec manifestement une belle poitrine, lhomme plutôt musclé la dépasse de deux bonnes têtes. Marie me regarde. Lil brillant, je linterroge :
« On dirait quils te plaisent ces deux.
Oui ! Je les trouve pas mal. Tu crois quils
Sils viennent ici cest quils sont au moins un peu voyeur et exhibitionnistes, coquins surement. Reste à voir. Ça tintéresse ?
Pourquoi pas !
Coquine ! »
Nous discutons un moment avec un couple et un homme qui sont venus fumer, puis redescendons au sous sol.
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