Soumis À Ma Femme Infidèle - Partie 4

Chapitre 5 : La rencontre

Nous y étions. La rencontre avec l'amant de ma femme approchait, inéluctable. Je ne sais pas si nous faisions une connerie en invitant cet homme chez nous... J'étais à moitié angoissé, à moitié excité. Inviter Manuel ici, dans notre maison, pour que je le rencontre, et pour qu'il finisse par passer la soirée avec Jessica (ou pour le dire autrement, à la baiser dans notre chambre), ça me troublait pas mal. Comment allais-je supporter ça ? En avais-je seulement le cran ? Il fallait une bonne dose de courage (et aussi de vice) pour endurer ça... Mais Jess avait su trouver les bons mots pour me rassurer. Elle aussi se posait beaucoup de questions, et appréhendait un peu la venue de Manuel. Moins que moi, cependant... Normal, la garce savait qu'elle allait se faire sauter quoiqu'il arrive !
Avec Jess, nous avions convenu d'un petit plan pour la soirée. Je devais tout d'abord accueillir Manuel pour prendre un apéritif avec lui dans le salon, en tête à tête, histoire de faire tous deux connaissance. Pour que j'en apprenne plus sur le type qui se tapait ma femme, pendant que Jess se préparerait. Nous devions ensuite dîner tous les trois ensemble. Puis, lorsque nous finirions le dessert, je devais me résigner à « aller faire un tour », pendant que Jess et son amant… vous voyez quoi... s'éclateraient tous les deux au lit.
Bref, la soirée s'annonçait prometteuse. J'étais assis sur le lit de notre chambre pendant que Jessica se maquillait. Elle était de plus en plus excitée. La sonnette de la porte d'entrée résonna vers 20h. Ce fut comme un électrochoc.
-C'est lui ! s'écria inutilement Jess.
-Oui, je pense bien... Je vais lui ouvrir. Tu nous rejoindras dans le salon quand tu auras fini ?
-Oui !
On aurait que c'était Noël en avance pour elle. Moi, j'étais ment moins à la fête... J'allais subir l'humiliation de recevoir chez moi l'enfoiré qui baisait mon épouse.
-Mon cœur, je t'aime très fort !
Elle s'approcha de moi et déposa un rapide baiser sur mes lèvres.


-Moi aussi, chérie. À tout de suite.
J'allai donc ouvrir la porte, avec une grosse boule au ventre. J'étais plutôt stressé, mais curieux. A quoi ressemblait donc le type qui baisait ma charmante femme?
Manuel s’avéra être un mec très, très séduisant. Plutôt costaud, large d'épaules, il avait effectivement un charme très animal, très « mâle », comme l'avait laissé entendre Jessica. Vêtu d'un pantalon noir et d'une chemise blanche à peine ouverte pour laisser entrevoir son torse musclé, il me serra la main d'une poignée ferme et avec le sourire.
-Salut. Manuel, ou Manu, pour les intimes.
-Bonsoir. Samuel, le mari de Jess. Enchanté. Je t'en prie, entre donc.
-Merci. Tout le plaisir est pour moi.
Il entra d'un pas déterminé.
-Le salon est par là, je crois ?
-Euh...oui. (Putain, comment connaissait-il déjà l'endroit ? Serait-il déjà venu ? Jess m'avait-elle menti en me disant qu'ils ne l'avaient fait qu'au club, chez lui ou dans sa voiture?) ...Vas-y, assieds toi sur le canapé. Je te sers un verre ?
Il s'installa confortablement, prenant de suite ses aises.
-Oui, ce que tu prendras. Je crois savoir qu'on partage déjà beaucoup de choses...
Première pique. L'enfoiré me mettait à l'épreuve. Je servis deux verres de vin rouge et vins m'asseoir sur le canapé. Manuel accepta le verre en souriant. Je n'arrivais pas à être aussi détendu que lui. Putain, j'étais quand même chez moi et ce connard était beaucoup plus décontracté que moi !
-Santé ! À toi, et à ta femme...
-Santé. À la tienne.
Nous trinquâmes. Je bus le vin par petites gorgées. J'avais encore du mal à réaliser que je buvais un verre en compagnie de l'homme qui baisait ma femme ! Un homme dont j'avais, faut-il le rappeler, goûté et avalé le sperme dans la chatte de Jess... Putain... J'avais dégusté le foutre de ce type sans même le connaître. Jessica lui avait-elle raconté cette « expérience » ? J'espérais que non.
-Tu sais, Sam.
.. Je peux t'appeler Sam ? Il faut pas que tu soies mal à l'aise. J'ai déjà connu ce genre de situation dans le passé.
-Comment ça ?
-Eh bien, on va dire que j'ai déjà fréquenté des femmes mariées. C'est un peu ma spécialité. C'est peut-être ce qui m'attire, aussi !
-C'est vrai ? Mais... Leurs maris, ils étaient au courant ?
-Presque toujours oui.
-Et... Tu les rencontrais ?
-Ça arrivait, oui. Plus souvent que tu ne l'imagines ! Ça allait même parfois un peu plus loin... ajouta-t-il avec un faux air mystérieux.
Je ne relevais pas l'allusion.
-Tu sais, l'adultère est assez commun, finalement. C'est généralement mal perçu, car cela peut avoir de mauvaises conséquences, mais parfois, cela peut aussi sauver un mariage. Ou lui donner un autre sens. Presque toutes les épouses qui trompaient leurs maris avec moi m'ont toujours été reconnaissantes. Elles et leurs hommes avaient donné un nouveau souffle à leur histoire. Les mecs aussi m'ont dit merci, à leur façon...
Il sirota son verre, tandis que je restais songeur.
-En tout cas, tu as bien de la chance, Sam ! Jessica, c'est vraiment une superbe femme.
-Eh bien, merci...
-J'imagine qu'elle t'a raconté un peu comment ça c'était passé, entre elle et moi...
Manuel tâtonnait le terrain, pour voir si j'étais au courant de tout. Bien sûr que je ne savais pas tout, mais par pur orgueil de mari, je fis semblant.
-Oui, on a eu une longue conversation à ce sujet.
-Elle t'est très reconnaissante d'être aussi... compréhensif, tu sais. On parle pas mal par texto.
-J'avais un peu remarqué.
Manuel sortit son téléphone de sa poche. Je le voyais faire défiler les sms qu'ils s'envoyaient avec Jess. La liste était longue, et me troubla quelque peu...
-Tiens, mates un peu ça.
Son ton avait changé, il était un peu plus dominateur. Il tendit l'écran du téléphone vers moi. Mon cœur s'arrêta. C'était un selfie de Jessica. Elle avait relevé sa nuisette au-dessus de sa généreuse poitrine, laissant découvrir ses magnifiques et gros seins.
Derrière elle, on distinguait le lit de notre chambre, dans lequel je me vis moi-même, dormant toujours. La légende ne fit que me troubler davantage.
« Petit selfie matinal, avant que mon mari ne se réveille. Juste pour toi. Jess »
La salope avait fait un selfie sexy pour l'envoyer à son amant juste sous mon nez ! Je sentais le regard de Manuel : il devait scruter mon visage pour recueillir mes réactions. J'étais bouleversé, mais je tentais de garder la face. Je pensais y arriver lorsque Manuel enfonça le clou :
-J'en reçois plein des comme ça...
L'enfoiré. Et la salope. Ils se faisaient vraiment plaisir, tous les deux. J'étais sous le choc. Je devais être blême, car Manuel ne prit pas la peine de me montrer d'autres photos dénudées de ma belle. En parlant de la louve... Jessica apparut sur le seuil du salon, superbe et divine dans sa petite robe en cuir.
-Salut, les garçons...
Son regard alterna entre Manu et moi. La situation devait lui être singulière. Se retrouver avec son amant et son époux dans la même pièce... Jugeait-elle avec ce petit regard coquin quel homme était digne d'elle ? Nous avions tous la réponse à cette question, car nous savions lequel de nous deux allait se la taper dans la soirée...
Je me levai vers elle. Elle s'approcha, déposa un petit baiser sur ma joue, et alla s'asseoir sur les genoux de Manu, un peu gênée. Elle l'embrassa timidement. Mais c'était sans compter sur la volonté virile de Manuel. Sans se gêner, le bâtard posa une main sur un de ses seins, et passa l'autre derrière la tête de ma femme pour l'attirer davantage vers lui. Sans possibilité de faire autrement, Jess lui roula alors une pelle comme je ne l'avais jamais vu faire. L'érection que je traînais depuis que Manu m'avait montré la photo redoubla d'intensité. Je voyais ma femme embrasser langoureusement un autre homme. Le silence était recouvert des petits bruits de succion que faisaient leurs langues emmêlées. Ils commençaient déjà à se chauffer.
Lorsque Jess put relever la tête, elle fit mine de me remarquer avec un petit sourire.
-Oh... On dîne quand, mon cœur ? Tu mets le couvert ?
-Euh... Oui, oui, je m'en occupe.
Je filai tout installer, avec une grosse boule au ventre et une violente érection.

Chapitre 6 : un dîner presque parfait

Jess et Manu vinrent s'asseoir peu après à table, main dans la main, et côte à côte, tandis que je me m'installais face à eux. Le repas fut chargé d'une tension sexuelle permanente, du moins pour mon cas vu l'énorme bosse qui déformait mon futal. C'était sûrement aussi vrai pour ma femme et Manuel. Ce dernier ne cessa de glisser quelques allusions ou sous-entendus pendant tout le temps que nous mangeâmes.
Je me forçai à être de bonne compagnie, encouragé par le regard et le sourire de Jessica. Manuel fit le gros de la discussion, parla de choses diverses, nous complimentant sur notre maison, me flattant sur ma cuisine et le repas que j'avais préparé, et loua surtout les charmes de ma femme...
« Sam, ton repas est parfait, c'est un régal ! Tout comme ta femme d'ailleurs »... « Quelle belle maison... On s'y sent bien, un peu comme dans ton épouse ! »... Les propos étaient de plus en plus explicites. Je vous passe tous les détails. Et Jess ne manquait pas de rire à toutes les piques de Manu, comme si elle approuvait les petites humiliations qu'il me balançait.
-Sam, mon cœur, je reprendrais bien un petit peu de vin s'il te plaît... Tu nous ouvres une autre bouteille ?
Jess avait déjà un peu bu. Quand elle boit, je sais qu'elle est capable de toutes les plus belles cochonneries au lit. Autant vous dire qu'elle comptait autant donner que recevoir ce soir-là. Je me levai et ouvris donc la seconde bouteille. Lorsque je revins m'asseoir, je remarquai que la main de Jess avait glissé sous la table, probablement posée sur les genoux de Manuel, ou autre part...
Certainement sur le sexe de Manu, vu le petit mouvement du bras que faisait ma chérie et l'expression de plaisir évident qui se lisait sur la jolie gueule de Manu... Ma femme était en train de branler ce salaud. Sous la table. En ma présence.
Je me laissai tomber sur ma chaise, abasourdi, et versa le vin d'une main tremblante. Jess me remercia, et porta de sa main valide le verre à ses lèvres tout en ne me quittant pas du regard. Elle continuait à branler Manu. Ce dernier plissait légèrement les yeux, souriant d'une bouche entrouverte, tentant peut-être de se contrôler.
-Je... Je ressers quelqu'un ? articulai-je, en désignant le plat.
-Mec, je crois que je vais passer directement au dessert, dit Manu, d'une voix rauque et essoufflée.
Les minutes qui suivirent se gravèrent à jamais dans ma mémoire. Sans se faire prier, Jess se mit à genoux devant Manu et entreprit de lui retirer son futal et son boxer. Le froc baissé sur ses chevilles, Manuel se leva, tout heureux de pouvoir profiter enfin de ce qui lui était promis. Quand à moi, je me décalai légèrement sur ma chaise afin de profiter de l'incroyable spectacle qui allait s'offrir à moi.
Jess ne m'avait pas menti : le sexe de Manuel était vraiment très gros, très épais. Le salaud bandait comme un âne. Ses couilles, très grosses aussi, pendaient lourdement. Il n'était pas épilé, ce qui rajoutait un côté sauvage à sa carrure déjà imposante. Jess le branla pendant de longues minutes, le fixant intensément, décidée à lui donner beaucoup de plaisir.
Lorsque Manuel posa une main sur la tête de ma femme pour lui intimer l'ordre de le sucer, Jess n'hésita pas une seconde. Elle prit en bouche le sexe de Manu pour lui offrir une pipe d'enfer.
-Oh putain... Vas-y ma belle... Suce-moi...
Manuel posa ses deux mains sur la tête de Jessica pour faire pénétrer son gros sexe jusqu'au fond de la gorge de la petite pute qui me servait de femme. Manu agrippa les cheveux de Jess, l'empêchant de se dégager, lui fourrant sa queue dans le gosier. Jessica s'étouffait, de la salive lui coulait sur le joues et sous le menton, mais elle n'en avait apparemment rien à foutre. Tant que la bite de Manu lui baisait sa jolie petite bouche, cela suffisait à son bon plaisir.
-Regarde ta femme me sucer... J'ai ma queue dans sa bouche... C'est con que tu puisses pas en profiter.
J'hallucinais. Manuel prenait l'ascendant, décidé à en profiter à fond et à me rabaisser devant mon épouse. Jessica joua le jeu avec un acte à la fois cruel et frustrant pour moi. Elle se positionna sous Manuel, qui la dominait de toute sa hauteur, pour recevoir ses grosses boules dans sa bouche. Tout en le branlant d'une main et en ne le quittant pas des yeux, elle goba entièrement ses couilles. Putain de salope. C'était ma caresse préférée, et Jessica le savait très bien. Elle était en train de faire une des choses que j'aimais le plus à un autre homme.
Jess me jeta un regard de défi, avec les burnes de Manuel dans sa bouche. Un regard intense et provocateur, qui pouvait signifier : « Regarde chéri, regarde bien. Je fais ta caresse préférée à un autre mec. J'ai ses couilles dans ma bouche... Ma petite bouche dont tu ne profiteras jamais plus... » Sans m'en rendre compte, j'avais glissé ma main sous mon boxer pour m'astiquer le manche.
Elle me fit un petit signe du doigt, me signifiant d'approcher. Je m'exécutai bien malgré moi et me mit à genoux, à hauteur de ma femme. Jess en profita pour enlever sa bouche des couilles de de Manu et me prit par surprise en me roulant une belle pelle. Dégoûté, mais complètement soumis, je me laissai faire, et goûtai ainsi la peau des bourses de Manu via la petite bouche de pute de ma femme. Je sentis les lèvres sucrées de Jess, mêlées au goût très salé des parties génitales de Manuel.
Jess me repoussa ensuite d'une main, sans ménagement.
-Mon cœur... Mes lèvres ont le goût de sa bite?
Puis elle se remit au travail, suçant longuement et intensément les couilles et la bite de Manu, à 50 cm de moi. Toujours à genoux, je n'osai pas lever les yeux vers ce dernier. L'enfoiré devait jubiler. Jess venait de me faire goûter ses couilles sous ses yeux. Son emprise sur nous deux était totale. Je passai une main tremblante sur mes lèvres, tentant d'effacer les arômes amers de mon rival.
Manuel se faisait sucer. Mon épouse le suçait. Et moi je me branlais. Juste devant eux. Telle était la scène surréaliste qui se déroulait dans la cuisine de notre maison.
Jessica enleva les bretelles de sa petite robe pour la baisser juste sous ses seins. Les tétons de ses magnifiques et gros seins pointaient. Elle gratifia alors Manu d'une très bonne branlette espagnole. Mouillée par la bave de ma femme, la queue de Manu coulissait sans peine entre les gros seins de Jess. Manuel râlait de plaisir. J'étais mort de jalousie. Encore une caresse que j'adorais, et Jess en faisait profiter ce connard.
Jess dût sentir mon désespoir et mon humiliation, car elle profita de ma proximité pour enfoncer le clou. Elle se redressa, et commença à branler Manu énergiquement avec sa main droite. Sa main gauche s'approcha et se positionna juste sous le gland de son amant, paume vers le bas. Je saisis instantanément le message : Jessica voulait que Manu éjacule sur son alliance...
La bague de Jess, notre alliance, symbole de notre union et de notre mariage, allait être souillée par le foutre de cet enfoiré ; Manu avait aussi compris le petit manège de ma femme. L'idée devait l'exciter, car il gémissait de plus en plus, proche de l'orgasme. J'avais envie de crier, d'exprimer mon refus face à cet acte très humiliant pour moi, me dépossédant symboliquement de ma femme. Mais les choses étaient allées beaucoup trop loin, et j'étais avide de voir ça. Je me branlai avec beaucoup d'ardeur.
-Gicle sur ma bague...
Le ton de Jess était déterminé, sans équivoque. Il n'en fallait pas plus à Manu pour décharger. Ses giclées furent puissantes et sa semence alla se répandre d'abord sur la poitrine de Jess. Les coulées suivantes atterrirent sur la main de ma femme, le foutre de son amant dégoulinant sur son alliance.
Jess leva alors deux doigts à ma hauteur, son majeur et son annulaire, avec l'alliance couverte d'un peu de sperme, comme un doigt d'honneur. En un geste de défi adressé à ma personne de mari humilié, elle fourra ses deux doigts dans sa bouche. Elle suça ses doigts un petit moment, semblant se ravir du foutre de Manu. Je la vis déglutir, ce qui ne fit que renforcer ma jalousie : elle avalait rarement mon sperme, mais ne se privait pas pour se régaler avec celui d'un mec qu'elle ne connaissait que depuis quelques semaines...
Manu reprenait son souffle mais ne perdait pas une miette du jeu de regards entre Jess et moi. Lorsque Jess avala son sperme, sa queue se redressa. L'idée que ma femme déguste sa semence juste devant moi le refaisait bander.
-Tu m'excites trop petite cochonne. Je vais te prendre de suite, annonça-t-il d'un ton autoritaire.
Jess lui jeta un regard pour lui signifier son accord, avant de me fixer à nouveau pour m'asséner un petit coup de massue :
-Sam, j'ai trop envie. Manu et moi, on va le faire dans la chambre. Maintenant.
-D...D'accord, chérie.
Sa voix prit un ton plus ferme.
-Que tu restes là ou que tu viennes voir, peu importe, je n'en ai que faire. J'ai envie de lui, là, tout de suite, et je veux que tu restes dans la maison.
-...Pourquoi ?
-Ça m'excite de te savoir pas loin de moi, pendant que je baise avec lui... On va te cocufier, et crois-moi, on va bien le faire.
Sur ce, elle se leva, me laissant complètement interloqué. Elle chuchota quelque chose à l'oreille de Manu puis fila dans la chambre. Manuel me dominait de toute sa hauteur, la queue encore raide, tandis que j'étais toujours à genoux.
-Il en faut du courage pour supporter tout ça, me dit-il avec un petit sourire. Accroche-toi mec, je vais la faire couiner comme une grosse truie ta petite femme...
Il s'éclipsa tandis que j'encaissai le choc. J'en prenais vraiment pour mon grade ce soir-là, et le supplice était loin d'être fini...

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!