Table De Sapin 14
Ce samedi de fin de juillet de lannée 95 était festif pour notre famille. Le frère de ma femme se marié. Pour loccasion nous étions la famille proche et quelques amis assis dans un coin du jardin autour de la table de sapin. Cette fameuse table en sapin que jai adapté à mes fantaisies sexuelles. Que nous avions la veille sorti de la cuisine pour laccoupler à une autre, une à tréteau pour permettre à la vingtaine de convives dêtre confortablement installé.
Le champagne que je buvais était délicieux. Au point de me saisir de la bouteille pour men servir une deuxième coupe. Les bulles frémissaient le long de mon sophage et le plaisir quelles mont procuré se superposé à celui de la vue des cuisses de ma voisine, au prénom de Valérie et copine de la mariée. Dont je nai pas arrêté de poser mon regard.
La mariée, placée de lautre côté de la table semblée heureuse. Comme elle létait la veille au soir. Pendant que je la chevauchais à grands coups de reins. Mon cadeau avant lheure ! À sa droite se tenait la mère de son époux. La fameuse belle-mère qui était aussi la mienne. Collaboratrice de mes débauches libertines. Et cela depuis près de sept ans maintenant. Et je ne pense pas que cela va cesser de sitôt. Tant jaime lui faire subir les pires dépravations. Une manière comme une autre de me venger des offenses de son mari. À son côté Patricia, ma belle-sur. Une bonne partenaire de cul occasionnelle. Dont jai partagé dexcellents moments de jouissance. Cétait curieux, ce sentiment dexcitation que jéprouvais à cet instant alors que la situation du moment de sapprêter pas. Je nai pas pu précisément, déterminer pourquoi ses pensées. Jai mis ça sur le compte de lennui.
- Il serait possible que tu me serves une coupe ? Fit la voix de Valérie.
- Oh excuse-moi.
- Tu étais pensif ?
- Pas du tout ! Jétais concentré sur ceux quil se disait.
Je me suis saisi de la bouteille et jai empli son verre.
- Ça arrive souvent à Maryline de me parler de toi ! Me confia-t-elle.
- À bon ! De bien jespère !
- Que des éloges. Sans rien émettre. Tout ! Je te dis elle me dit tout. Elle ma même avoué, quelle et toi
enfin !
Son abandon me fait sourire. Je ne pu mempêcher de la faire encore un peu parler.
- Précise !
- Il faut que ce te fasse un dessin ? Me fit-elle.
- Non ! Les mots suffisent. Vas-y, je técoute ?
- Ici ?
- Pourquoi pas. Personne ne sintéresse à nous, comme tu peux le voir.
Dun coup dil elle a constaté que javais raison, et elle a approché sa bouche de mon oreille et ma lâché :
- Elle baise avec toi.
- Et alors ?
- Alors rien.
Jétais certain quà cet instant sa petite peluche sous sa culotte commençait à transpirer. Mais jen suis resté là. Coupant court à la discussion avant de me lever et daller rejoindre ma femme sur la piste de danse.
Peu à peu les heures se sont égrenées, et la lumière naturelle sest mise à diminuer, marquant le début de la soirée. Alors que je dînais à côté de ma femme, jai senti une main qui ne pouvait appartenir quà Valérie, se poser sur mon genou. Me caressant ma cuisse à travers le pantalon. Je me suis laissé faire, pour ne pas alerter ma femme.
Sagement et patiemment, elle a attendu que ma femme quitte la table, et profitant de la semi-obscurité pour attirer ma main sur ses cuisses. Sentant sous mes doigts sa peau nue, lisse et tiède.
- Caresse-moi, me chuchota-t-elle à loreille.
Ne pouvant résister à la tentation, je lai remonté jusquà la fourche. Mon trouble sest accrut lorsque jai pris contact avec la toison. Elle avait les poils rêches autour dune vulve béante et mouillée. Jai voulu retirer ma main. Mais elle sen est emparée mobligeant à la replacer entre ses cuisses.
Alors à laide de mon index, jai fouillé méticuleusement les pétales crénelés de la double excroissance de chair qui saillait au centre de la vulve. Sa respiration sétait faite plus forte.
Dun coup de poignet, jai fait pénétrer mon index tendu entre les petites lèvres, à la recherche de son pustule. Que jai pressé entre deux doigts. Elle a tressaillit et a soupiré avec force. Heureusement pour nous la musique couvrait ses plaintes. Sa mouille a suinté sur ma main, finissant sa dégoulinade sur le siège. La main de Valérie a tâté pour la seconde fois ma braguette. Mais là, elle enfouit sa main avec lintention de me la mettre à lair. Jai grimacé car dans sa hâte, elle me la griffer une fois de plus avec ses ongles. À contre mesure je lui ai enfoncé un deuxième doigt dans la chatte. Autour de nous les convives occupés à autre chose ne songeaient pas à soccuper de nous.
Elle ma serré la verge entre le pouce et lindex et ma branlé. Presque aussitôt, elle a suffoqué, et a joui sous mon branlage.
Là je lai enlacé étroitement et connus linfini plaisir de poser ma verge bandée contre son pubis recouvert du tissu de sa robe en dentelle blanche. Très vite les frottements provoqués par le mouvement rythmé de nos corps ont augmenté encore mon excitation. Elle sest abandonnée toute entière contre moi se branlant discrètement, comme elle le faisait souvent en pareil cas. Avec des halètements de volupté, que couvrait la musique. Jai pressé à deux mains les rondeurs de ses fesses, indifférent au regard qui nous entouraient. Jai sentis que je nallais pas tarder à jouir. Et fis mine de mécarter un peu. Mais ma femme ma attiré plus étroitement encore contre elle, et gémit à mon oreille.
- Ah je vais jouir ! Je vais jouir
En effet je lai senti soudain se contracter, le corps frémissant. Elle ma mordu sauvagement lépaule pour ne pas crier. Cette douleur subite, jointe au plaisir de partager cet orgasme quasi public, me mis devant la porte de la jouissance. Jai dégorgé dans mon slip en serrant les dents. Indifférent aux conséquences qui allaient suivre. À la fin du morceau, nous nous nous sommes séparés comme si rien ne sétait passé avec un petit baiser. Alors quelle est restée sur la piste de danse. Moi je suis allé jusquà la salle de bain, me nettoyer.
La nuit tombée il était venu de faire notre habituel cache. Pour ce faire la mariée a proposé de réaliser le tirage au sort pour savoir qui serait les deux chercheurs. Le hasard a fait que je me suis retrouvé avec Valérie. Jai soupçonné ma belle-sur davoir arrangé le
Coup ! Au signal tous les autres convives sans exception, ont quitté le jardin, nous laissons seul.
- Touche-moi, encore
vite, ma soufflé Valérie. Je ne peux plus tenir. Attirant ma main à elle.
- Touche-moi le cul, murmura-t-elle en remuant le bassin.
Constatant que la pénombre nous protégé des regards indiscrets, je nai pas pu résister à la tentation. Et je me suis laissé guider sous sa jupe. Je lui ai pincé son fessier, alors quelle se dandinait encore plus. Elle avait autant les fesses dures et musclées, que sa peau était douce et chaude. Je les ai pétries, à pleines mains. Les ai caressées, brutalisées. Je lai retourné, pour quelle prenne appui sur la table. Je me suis placé derrière elle. Jai plongé mon nez dans lentre fesse et jai léché sans retenue son vagin. Reniflant ses odeurs de pisse et de sueur. Jai aspiré les grandes lèvres molles. Rentrant le bout de ma langue dans le vagin spongieux. La mouille coulait en abondance. Jai séparé la naissance des fesses avec mes pouces et jai goûté lanus à la saveur amère et fauve. Bien que tout ça soit bon il fallait que je ne mattarde pas trop. Je me suis redressé pour me placer derrière elle. Avec autoritaire je lai positionné à bonne hauteur pour moi, avant dy introduire un doigt humide en guise déclaireur.
Dun geste jai libéré prestement libéré ma verge pour investir sa chatte dune seule poussée. Elle a reculé sur ma queue pour sempaler jusquà ce que mes couilles. Qui sont venu buter plaines contre ses fesses. Nous avons tous les deux poussé un profond soupir de joie pure.
Je me suis penché pour saisir ses seins dans mes paumes avides à travers le tissu de son haut, avant dentreprendre très doucement un mouvement de va-et-vient extraordinairement délicieux. Elle a gémit, chaque fois que je menfonçais. Peu à peu le mouvement sest accéléré prenant de lampleur. Ses reins se sont creusés. Jai eu comme un éblouissement en sentant son corps vibrer sous le mien. Sa chatte se délectait de mon sexe. Jai fermé les yeux de ravissement. En retardant de toutes mes forces ma montée du plaisir. Elle sest mise à haleter. Sa tête oscillant de droite à gauche dans un mouvement spasmodique. Nous deux corps soudés ne faisaient plus quun, progressant au même rythme, les cuisses de la femme suivant la cadence que je lui imposée. Elle accéléra même le mouvement avec une frénésie qui nous emporta tous les deux dans un tourbillon de désir dune violence inouïe.
Nous navons pas pris la peine de cuver notre orgasme, allons tous deux à la recherche des convives cachés
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