La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1286)

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1285) -

Les jours passèrent et Sophie et Clémence furent vite rétablies, Sophie reprit son travail au Château, la Comtesse de Maisondieu rentra chez elle avec Alix et Louis-Etienne. Elle aurait voulu que Clémence rentre avec eux et se repose au manoir, mais elle préféra rester quelques jours de plus au Château en compagnie de Ronan… Quelques jours plus tard, il lui proposa une promenade en calèche, ce qu'elle accepta volontiers. Comme il faisait un temps radieux, elle décida de monter avec son fiancé sur le siège du cocher. Quand au détour d'un sentier, il s'arrêta et la regarda avec une envie évidente de la baiser telle une chienne comme de lui faire l’amour telle à une femme, le jeune homme l'embrassa d'un long et fougueux baisé dominant.

- Monte à l'arrière et attend Moi…

Sans un mot Clémence s'exécuta et descendit avec un sourire et un regard interrogateur. En ouvrant la porte après avoir déplié le marche-pieds, elle comprit que tout cela avait été prémédité par son fiancé, car une sorte d’épais matelas était posé par terre dans le large espace entre les deux banquettes. La jeune fille se dévêtit et attendit à genoux tête baissée. Ronan arriva et lui aussi du se mettre à genoux à côté d'elle. Voyant ses chausses déformées, elle entreprit de le lécher au travers du tissu. Ensuite la jeune fille l'aida à se dévêtir, il s'assit et lui dit.

- Suce-moi dans la position de ton choix.

Clémence choisit de s'allonger entre ses jambes embrassant tendrement cette belle et noble queue dressée et dure et elle la prit dans sa bouche et le suça avec un plaisir non dissimulé. Léchant de haut en bas et de bas en haut passant sa langue sur toute la longueur et sa hauteur donnant au passage des petits coups de langues sur le gland violacé et gorgé de sang. Puis elle entreprit de lui lécher les bourses, toute aussi pleine de désirs, ce que son fiancé aimait particulièrement.

Quand cela lui parut suffisant, car l'habilité de Clémence avait fait perdre un peu de liquide séminal au jeune homme, ce qui ne déplut pas à la jeune femme car elle le trouvait délicieux. Soudain, Ronan très excité, ordonna tout en étant laconique :

- En levrette.

La belle se mit alors dans la position exigée sans un mot, tout en laissant un peu de sa cyprine couler entre ses cuisses tellement son excitation était forte de savoir qu’elle allait être prise ainsi. Ronan resta un court moment à admirer son corps puis caressa son dos, ses fesses bien rondes et offertes, ses jambes et remonta vers les fesses qu'il claqua pour les faire rougir. En passant sa main entre les jambes de sa belle, il constata qu’elle était vraiment trempée et donc il n'hésita donc pas à la pénétré, sans préliminaires, d'un coup puissant et commença ses va-et-vient doucement pas trop vite mais régulièrement tout en lui murmurant, ce qu'elle aimait entendre par dessus tout, dans ces moments-là.

- Tu es à Moi, tu M'appartiens totalement, tu es Ma propriété la plus absolue, ton corps, ton âme, ton esprit sont à Moi.
- Oui Maître Ronan je suis toute à Vous, mon âme, mon cœur, ma vie vous appartiennent, tout mon être et pour toujours.
- Bonne salope, tu es archi trempée, comme j'aime dit-il en accélérant le rythme tout en lui maintenant les deux hanches pour bien l’amener à lui et ainsi accen la copulation.
- Ho Maître Ronan… C’est trop boooooon !… puis-je … jouir ?
- Non pas encore, retient toi.

Ronan continua à la besogner avec force et virilité et Clémence luttait pour ne pas jouir de toute la force de caractère dont elle était capable et de la force de son amour pour ce jeune homme. Oui ce jeune homme en qui elle avait reconnu le Maître qu'elle avait toujours espéré qui était son cousin et qui l'avait récemment demandé en mariage. Il lui donna encore quelques claques tout en lui pinçant et étirant ses tétons qui étaient plus que réceptifs et titillant aussi son clito vibrant de désirs.

- Jouis maintenant, Ma chienne.

Clémence terriblement excitée, reçut cet ordre comme une libération et elle laissa éclater son orgasme puissant, alors que Ronan resta planté en elle en coït vaginal profond durant toute la jouissance de la belle… . Au bout d’un moment quand elle reprit un peu de souffle, une fois l’orgasme intense fut passé, elle se permit de dire :

- Maître Ronan, je suis désolée, mais je ne tiens plus, je vais m'écrouler, cet orgasme séismique m’a épuisé...

Le Maître lui autorisa de changer de position et ainsi reposer ses bras et ses jambes. Son but n'étant absolument pas de lui faire du mal, un comportement qui était tout le contraire de ce sinistre seigneur de Charnay.

- Couche-toi sur le dos, jambes largement écartées.

Ce qu'elle fit avec bonheur et reconnaissance de pouvoir reposer ses muscles.

- Merci, Maître Ronan.
- Branle-toi devant Moi, Ma chienne.

Clémence s'exécuta et se branla en gémissant de plaisirs. Soudain, ils entendirent des bruits de sabot et de chevaux qui passaient à proximité.

- Continue en silence, il y a du monde dehors qui passe.

Quand les bruits se furent suffisamment éloignés et disparus. Le Dominant mit sa tête entre les jambes de Sa soumise et il se mit à lui lécher ses lèvres intimes de cette chatte parfaitement épilée. Il se délecta de lui aspirer, titiller, et même d’agacer son clito si réceptif. Clémence gémissait doucement sous les coups de langues de Ronan qui lui ordonna :

- Tu jouiras, quand je te le dirais et uniquement à ce moment-là.

Ronan continua quelques instants ses mouvements de langue fortement baladeuse, amenant Sa belle au bord de l'orgasme et enfin, il lui exigea :

- Jouis, maintenant je le veux, Ma chienne.

Clémence jouit faisant attention de ne pas coincer la tête du Maître entre ses jambes. Son orgasme fut encore très puissant car Ronan était aussi des plus habiles de sa langue. De nouveau, Clémence le suça et voulu le masturber en même temps, mais il l'en empêcha.

- Sans les mains, tu peux juste tapoter sur ma cuisse si tu manques d'air.

Le Maître empoigna sa chevelure pour de lui-même imposer le rythme car il voulait lui imposer une gorge profonde. Cette baise dans la bouche dura un long moment…

- Bien, maintenant couche toi sur le dos car je veux te prendre comme un homme, alors jouit quand tu en auras envie sans attendre mon autorisation.

Et ce fut tendrement qu'il la prit en position classique du missionnaire tentant de lui procurer un maximum de plaisirs en prenant également le sien, faisant des allées et venues, en l'embrassant et en la couvrant de milles baisés brulant. Leur peau était trempée de sueur à tous les deux comme étaient en sueur leurs ébat de plus en plus torrides. Il lui murmurait à l'oreille des mots tendres et elle gémissait doucement de plaisirs tant c'était bon et plaisant. Sentant qu'il allait bientôt jouir, il accentua la vitesse et Clémence n'attendant que ce signal instinctif pour jouir elle aussi et ainsi jouir ensemble de concert… Ensuite, ils restèrent quelques minutes à discuter, entre autre de ce qui était arrivé a Clémence lors de son enlèvement, ce qui la bouleversait toujours. Ronan la pris dans ses bras.

- Ne t'inquiète pas cet immonde personnage payera le mal qu'il t'a fait et à Sophie aussi…

Au bout d’un moment, après ces propos et mille câlins aimants, ils rentrent tous deux au Château…

(A suivre …)