Collection Zone Rouge. Poupette. Saison Iii (22/30)

Que nous sommes bêtes, à vouloir jouer à qui aime plus l’une que l’autre avec un couteau effilé je me le suis planté sous le sein tachant ma robe de mariée et surtout obligeant Abby en bonne infirmière à me faire un point de suture.
Moi qui ai horreur des piqûres, pour resserrer les deux bords de la coupure elle est obligée de faire passer l’aiguille deux fois et sans anesthésie outre ma plaie que j’aurais à vie je hurle les deux fois à son passage.
Afin de me remettre de ces émotions je lui demande d’aller goûter au mets succulant qu’elle m’a préparé.

- Je suis allée rechercher une bouteille de champagne que j’ai mise au frais, assieds-toi je vais la chercher.

Gros problème pour moi car elle est restée comme moi nue.
J’ai envie de lui caresser les fesses quand elle passe à porter de ma main.

- Pas touche, de quel droit veux-tu me flatter le cul,
- Du droit que je suis ta petite maîtresse que tu as maltraitée avec ta grosse aiguille et ton fils très gros.

Elle est roublarde car elle évite de me répondre et en restant à porter de mes mains quand elle revient elle défait la protection pour défaire le fil de fer et faire sauter le bouchon.
Toute cette étape se fait sans aucun problème jusqu’au moment où elle essaye de faire sauter le bouchon.
Elle tire, elle essaye de tourner mais rien n’y fait.
Il est tellement serré dans son goulot qu’elle est impuissante à ouvrir cette bouteille.
J’éclate de rire à la voir se démener.

- Tu peux rigoler, je voudrais te voir si tu es meilleur que moi.
- Tu as du jus de chaussette dans tes biceps, donnes, je vais l’ouvrir.

Quand j’étais petite maman me disais de tourner ma langue sept fois dans ma bouche avant de dire une bêtise.
C’est le cas présentement car pas plus elle que moi n’arrive à faire sauter ce maudit bouchon.

- J’ai une idée, tu as un magnifique sabre accroché au mur on va la sabrer.


- Tu es de plus en plus folle, te faire une coupure sous le sein est insuffisant pour ce soir.
Veux-tu que nous finissions la nuit à l’hôpital auprès de mes collègues de nuit un bras tranché, mieux la tête décapitée car ce sabre est authentique et non une vulgaire réplique ?
Il coupe d’une façon incroyable.
- J’ai soif, j’essaye.

Je décroche le sabre le sort de son fourreau et comme je l’ai vu faire dans un film à la télé du temps où je la regardais car avec Bob, je me prépare à faire subir son sort à ce putain de bouchon.
Le sabre d’une main, la bouteille de l’autre.
Ploc, je tape sur le renflement comme je peux et ce bruit est celui du goulot qui a cassé net éjectant le liquide un peu partout sur la table.
La peur de ce que je viens de réussir, tenant la bouteille, je lâche le sabre qui tombe droit et vient se ficher à deux centimètres de mes orteils nus comme le reste de mon corps.

- C’est malin, tu as failli perdre tes doigts de pied, donne-moi ce sabre assez joué avec des objets coupants, Gai…

Une nouvelle fois comme quand elle a voulu parler de Cassidy et moi assassiné elle s’arrête.

- À ta santé ma chérie, une nouvelle fois tu me caches quelque chose, tu as commencé le mot Gai… avant d’arrêter.
- Oui, j’ai eu un doute que j’ai le droit de te parler d’un objet qui a rythmé ma vie plutôt notre vie Cassidy et moi un an après le début de notre relation du temps où elle était encore assez valide.
- Je suis sûr qu’elle aimerait que tu reprennes une vie normale et même s’il est important que tu penses toujours à elle, il faut que tu saches faire ton deuil et pour cela cet objet Gai… peut être une passerelle entre elle et moi.
- Tu as le mot juste en parlant de passerelle, mais si nous continuons à cette vitesse-là notre dîner vas devenir un réveillon.
C’est décidé je te présenterais Gai-luron tout à l’heure, il dort dans ma chambre depuis sa disparition.


Gai-luron est dans sa chambre, elle est bien mystérieuse mais les amuse-bouches qu’elle nous apporte pour boire le champagne enfin versé sont si savoureux que nous passons un moment délicieux.
Le repas terminé sans une fausse note, plats tous confectionnés avec amour et surtout beaucoup d’imagination.
Ils ont tous comme thèmes les amours saphiques, thème et forment par exemple sur le carton placé près de mon verre mais hélas arrosé par notre breuvage ayant fait couler l’encre, je peux lire.

« Buisson arda… de … vert. »

Quand le buisson arrive, ce sont des haricots verts et blancs disposer en forme de vagin.

« Dél… de … Iles »

Tranches d’ananas coupées en rondelles avec un jus qui pour elle représentait une chatte avec sa cyprine coulant de son cœur.

- J’ai adoré Abby, tous tes plats sont originaux mais il me semble que tu ne sois orienté que vers le sexe féminin, tu es une gouine ou je me trompe.
- Tu l’as remarqué, il est vrai que de toute ma vie seul Gai-luron a été mon amant.

De plus en plus mystérieux, je finis par avoir hâte de connaître Gai-luron qui a été son amant.

- Viens, je sens que Cassidy me donne la force suffisante pour que tu fasses connaissance du cadeau qu’elle m’a fait pour notre première année de vie commune.

Elle se lève prend ma main et comme dans un nuage elle m’attire dans sa chambre.

- Allonge-toi je vais voir si Gai-luron est décidé mais d’accord de finir la soirée avec nous.

Elle se dirige vers son armoire et s’agenouille, sa position m’empêchant de voir ce qu’elle fait.
En chuchotant je saisi.

« C’est ma nouvelle amie, tu veux que nous reprenions nos jeux, tu sais ceux que tu aimais tant avec Cassidy. »

Bien mystérieux et même un peu angoissant.

« Oui, tu es d’accord, merci Gai-Luron, tu vas voir elle est jeune et jolie. »

Elle se redresse prenant dans ses mains une boîte ouverte mais dont il est impossible comme je suis placé de voir ce qu’elle contient.


- Tu dois me prendre pour une folle à parler à une boîte, mais tu sais l’objet que j’ai devant moi ai été plus qu’un ami quand Cassidy me l’a offert.
Le ressortir pour lui redonner vie est une chose et une décision dure à prendre.
Voilà Gai-luron Claudia, Claudia je te présente Gai-luron.

Les présentations faites elle sort de sa boîte un magnifique gode ceinture noir.
Moi qui ai vu comme je l’ai dit de nombreuses bites, je sais que cette longueur et ce diamètre existent dans la nature.
J’en ai rencontré deux ou trois dans ma carrière à Vegas, mais de penser qu’Abby se faisait enfiler cet engin par son amie un instant m’étonne.
Certes, hier je l’ai fisté mais entre ma main et ce bel objet, j’ai un instant du mal à l’imaginer.

- Attends, je reviens, quand je t’ai invité il était improbable qu’il sorte de sa boîte, il faut qu’il se prépare.

Abby part vers le couloir le gode à la main et presque dix minutes après elle revient avec devant sa chatte le gode attaché.

- Viens le sucer, il est près,

Elle vient de monter sur le lit et quand je prends Gai-luron dans ma bouche avec bien du mal il est chaud.
Elle me laisse le sucer comme je sais depuis longtemps malgré mon âge le faire avec les bites des hommes tout en me caressant la chatte.

- Place toi en levrette il est plus efficace et va te pénétrer intégralement et ses couilles touché ton bouton.

La levrette, position favorite des hommes, je me suis trouvé devant une queue de nombreuses fois dans ma vie mais se positionner pour prendre un gode dans ma petite chatte, j’ai une fraction de seconde une drôle d’impression et même un moment de panique.
Je sens le gland du gode siliconer noir, pardon je sens le gland de Gai-luron toucher ma fente et comme pouvait le faire l’un de mes clients Abby le prendre dans sa main pour le frotter du bas en haut caressant mon clitoris qui bizarrement s’enflamme.

S’enflamme-t-il car il est content de sentir que l’on s’occupe de lui ou la texture qui le frotte le stimule.
J’ai peu de temps pour me poser la question quand ma maîtresse l’enfonce d’un coup en moi.

- Ça va Claudia, il est rentré sans te faire mal, moi quand il m’a dépucelé j’ai cru que ma chatte allait s’ouvrir en deux.

Nouvelle surprise, c’est Gai-luron qui l’a dépucelé mais le mouvement qu’il fait en moi me cloue la bouche et je cherche l’air, il est tellement il est puissant.
J’ai eu un moment de doute quand Abby m’a fait entrer son gode sur la possibilité qu’une telle chose me fasse jouir.
J’avais tort, en moins de trois minutes je m’envole.
J’atteins les sommets de mon plaisir bien plus haut que ce que depuis que Bill m’a fait femme me fait jouir.
Au moment où mes cris sortent de ma bouche et qu’Abby voit que je suis au plus haut de ma jouissance Gai-luron gicle son sperme au plus profond de mon vagin.
Je sens tellement bien ses spermatozoïdes entrer jusque dans mon utérus que je suis certaine qu’il vient de m’engrosser…

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